À peine retranché de son confortable logement, qu’aussitôt il est remplacé par le sexe luisant des secrétions dues à cette possession forcenée. Elle braille vraiment, mais Arnaud ne stoppe en rien son élan. Et je suis subjuguée par la disparition totale de son mandrin en elle. La jolie frimousse a les traits crispés. Douleurs ou grimaces de plaisir ? Les mimiques sont parfois si proches qu’il est bien difficile de les différencier. Et toi, mon Alain qui suit également le mouvement de cette queue, tu oublies de modérer tes gestes. Les doigts de ta main qui me triturent un sein se serrent un peu trop fortement sur le téton de celui-là. Je sursaute et tu saisis bien que la douleur n’est pas mon truc.
Puis tu m’embrasses dans le cou, mais je présume que tu gardes les quinquets largement ouverts, pour ne pas perdre une miette de cette saillie extra vaginale. Je sens contre mon dos ta poitrine qui ne se soulève plus régulièrement. Tu apprécies la scène que nous jouent nos invités. Ta bouche laisse échapper de temps un temps comme un sifflement rauque. Et devant ce pistonnage anal nous sommes comme deux ronds de flanc sans trop savoir comment réagir. Tout ce que je peux dire c’est que ma culotte doit être bonne à tordre
Mais chez les deux qui prennent leur pied, la cadence baisse d’intensité. Est-ce voulu par le mari ou bien la fatigue se fait-elle sentir ? Là encore difficile à définir puisque nous ne les connaissons que très peu. Il continue pourtant à bander et frotte sa pine sur le derrière de sa nana qui soupire doucement, toujours installée en levrette. Tu en profites pour me murmurer quelques mots dans le creux de l’oreille.
Tu ne voudrais pas me faire plaisir et aller l’embrasser ?
? L’embrasser ?
Oui un vrai baiser, comme ceux que tu me donnes à moi. Tu vois ce que je veux dire
Mais
Et sans doute que ces petits échanges que je pensais faits en sourdine sont assez forts pour que les deux amants les perçoivent puisqu’elle lève ma main vers nous.
Vient ma belle. Viens ! Moi aussi j’en envie de t’embrasser Arnaud va se calmer un peu et me laisser tranquille, mais je veux bien que nous échangions un baiser. Viens !
C’est dans un brouillard que je sens tes pattes me quitter et presque me pousser dans le dos. L’élan ainsi donné me fait me relever de cette position qui finalement me plaisait pourtant bien. Je ne sais plus sur quel pied danser. Je m’approche timidement de la place qu’elle occupe et cette fois encore elle m’attire vers elle. Puis dans un réflexe, je ferme les paupières. Les lèvres qui se posent sur ma bouche n’ont rien des tiennes. Tout d’abord ça me fait tout bizarre de sentir une bouche inconnue qui s’écrase sur mes lippes. Et quand la langue qui se pointe vient titiller ma bouche, c’est encore par instinct que j’entrouvre la porte.
Le baiser n’a rien de commun avec ceux que je pratique habituellement. C’est plus calme, moins empressé. Un peu humide aussi, elle et moi devons saliver beaucoup. Et je me laisse emporter par la douceur de ce contact agréablement distillé. Elle me fouille d’une langue agile et je dois reconnaitre que c’est bon. Je n’irai pas jusqu’à dire que cette pelle m’enivre autant que celles que nous nous roulons toi et moi, mais elle n’a rien de repoussant. Et dans la seconde, je lui rends la monnaie de sa pièce, m’enhardissant, osant effectuer les mêmes gestes que ceux que nous échangeons si souvent. Après nos embrassades savoureuses, la glace semble donc rompue entre Sacha et moi.
Je t’ai vu, je ne sais pas trop comment, te lever, alors tout naturellement, la main qui soulève ma jupe, je la pense tienne. Et tu longes ma culotte le long de la raie de mes fesses, puisque j’ai adopté pour brouter la bouche amie une position pratiquement similaire à la sienne. Je frémis de cette caresse qui s’éternise sous mes vêtements. Un instant plus tard, le cache-sexe qui me couvre le cul s’envole grâce à tes mains. Je suis aussi à demi à poils alors que le cérémonial du bécot se renouvelle avec cette fois, ma bénédiction.
Mais Sacha s’attaque désormais à ma poitrine toujours sous mon chemisier. Elle ne met guère de temps à défaire les boutons. Et mes seins alors que je n’ouvre plus les yeux, sont assaillis par ses lèvres, ses dents ainsi que sa langue. Tout est en mouvement, bien coordonné et je me sens fondre sous l’avalanche de sensations diverses qui me donnent une chair de poule que tous, vous devez remarquer. Et lentement je me sens sombrer dans le désir. Une envie de plaisir me submerge, pareille à une vague indomptable qui me secoue tout le corps.
Je ne réalise que lorsqu’un doigt vient me titiller la rosette que mon slip n’est plus sur mes fesses. Et je sens contre mes lèvres un dard qui s’y frotte. J’entrouvre une paupière et comprends que de par ta position, tu ne peux en aucun cas te contorsionner assez pour t’occuper comme cela de mon cul. Et la peur qui me remonte à la gorge me fait pousser un cri. Tout mon être se crispe à l’idée que ce n’est pas toi qui t’enfonces en moi, dans mon dos. C’est seulement un doigt, mais pas un doigt connu. Je réagis trop brutalement et le non qui s’échappe de ma gorge fait filer à l’anglaise le visiteur.
oooOOooo
Ton sexe qui cherchait une ouverture sur ma frimousse pour un câlin très particulier ne me touche plus. Sacha non plus ne tente plus d’embrassades. Aucun de vous ne sait pourquoi j’ai presque hurlé ce non puissant. Et je me sens bête, abandonnée de tous dans le salon, seule au milieu de vous trois. Tu ne perds pas le Nord et proposes à tous un verre une coupe de champagne. Mais je vois bien que j’ai plombé l’ambiance de la fête. Personne ne me dit rien, mais ces trucs-là, ça se ressent profondément. Je vous ai tous déçus et en particulier toi, mon mari,qui croyais que tu allais enfin parvenir à tes fins.
Puis je ne vais dire à personne que je ne veux pas être sodomisée par un type que je ne connais que depuis quoi ? Deux ou trois heures ? Il y a des limites que je ne saurais pas franchir, enfin pas tout de suite, pas maintenant, pas comme ça. Les coupes de champagne sont bues dans un silence pesant. Je sens que la brune ne digère pas vraiment ce demi-échec, mais en femme bien élevée, elle se tait. Toi toi tu dois aussi bouillir intérieurement, mais tu avais promis le moindre non voulait dire non ! Pas peut-être, alors tu respectes ta parole. Mais ta tête reflète bien les idées qui doivent la traverser.
Alors nous décidons d’un commun accord d’aller nous coucher. Eux dans la chambre d’ami qui par rapport à notre chambre à coucher se trouve au fond du couloir de l’étage. En personnes respectueuses, aucun de vous n’a insisté ou fait de commentaires désobligeants. Et je vous en sais tous gré Il n’est plus question de faire l’amour. Je me dis que dans le noir, tu dois avoir les yeux grands ouverts, fixant un plafond invisible. Je ne bronche pas, je voudrais seulement me faire toute petite. Et au fond de moi se fige un sentiment de culpabilité, dont je n’arrive pas à me départir. J’ai beau me raisonner, me dire que ce n’est pas si grave, pourquoi est-ce que j’ai la nette impression que tu m’en veux ?
J’ai beaucoup bougé sans vraiment trouver le sommeil. Encore est-il plutôt agité celui qui finit par m’embrasser tout entière. Et le cauchemar se poursuit avec un fantôme qui me traine par les pieds vers des rangs de sexes d’hommes alignés. Je suis heureuse de voir enfin poindre les premières lueurs d’une aube naissante. Et une formidable envie d’aller aux toilettes m’oblige à me lever sans trop faire de bruit. Apparemment, tu t’es aussi endormi et ta respiration régulière m’indique que tu ne m’as pas entendue quitter notre couche.
Je sais que c’en est terminé de ma nuit. Donc je descends vers ma cuisine en espérant passer inaperçue aux oreilles de tous. Mais je crois que je me suis là aussi plantée. Il n’y a pas cinq minutes que je suis assise à la table que des pas discrets se font entendre. La brune arrive lentement près de moi.
Ça va ? Bien dormi ? Il fait bon chez vous
J’ai eu une nuit un peu cafardeuse.
Tu t’inquiétais pour ce qui s’est passé ? Ben ! Je t’assure que tu ne devrais pas. Je trouve même assez sympa que tu aies su dire non ! Je ne sais pas si j’aurais pu aller jusqu’au bout avec ton mari
Ben en fait, je n’ai pas osé revenir sur ce non, mais c’était juste pour la sodomie qu’envisageait ton enfin Arnaud. Je ne veux réserver cela qu’à Alain. Je n’étais pas préparée à ce que ton mari
Oui ! Parfois il ne fait pas dans la dentelle. Ne te fait pas de mouron pour ce genre de détail. Bon, je crois que nos hommes s’en remettront de toute manière, il n’y a pas de quoi fouetter un chat et encore moins une chatte n’est-ce pas ?
?
Tu sais, j’ai toujours envie de t’embrasser et si tu veux j’aimerais aussi que nous nous caressions un peu. J’ai trouvé géniaux les baisers échangés, trop courts aussi le temps passé avec toi. Tu ne veux pas que nous nous retrouvions tous dans la chambre où mon Arnaud dort toujours ?
Tous ? Comment ça tous ?
Oui tous les quatre, et cette fois ils ne seront que voyeurs, si tu crains toujours.
Mais non voyons. Je ne crains rien, mais je ne veux pas que ton mari me prenne par-derrière.
D’accord c’est bien entendu, mais alors tu décides quoi au juste, on se lance ou pas dans
Pour le moment, je vais remettre le mien de mari en condition. Lui l’a plus mal pris que toi si j’en juge par son mutisme, lors de notre mise au lit.
Ah ! Vous n’avez donc pas concrétiser vos envies lorsque vous étiez seuls ?
Non ! Alors, donne-moi une petite demi-heure et venez-vous, nous rejoindre dans notre chambre si cela vous convient. Je vais voir si monsieur est d’accord.
Ça marche alors à tout de suite
Oui ! Je laisse la porte entrouverte, entrez sans vous gêner on verra bien ses réactions.
Nous en terminé et sommes ensemble, remonté vers nos couches respectives. Tu n’as absolument pas changé de position, signe que tu dors vraiment à poings fermés. Alors je reviens me coller à ton grand corps nu. Et je sais comment réveiller le fauve qui roupille gentiment. Tu es dans ta position favorite, tourné vers le mur, allongé en chien de fusil. Mon bras entoure ta taille et ma main alors, se faufile vers ce centre tout recroquevillé, reposant sur ta cuisse. J’encercle la limace minuscule et je commence un petit mouvement avec la paume de ma main.
Et je t’entends grogner. Tu ne cherches pas à rejeter ma menotte qui continue à bercer l’enfant roi qui prend lentement mais surement un certain volume. Tes bougonnements se font plus rauques ! Tu es aux aguets, éveillé sans nul doute. Et tu attends la suite sans impatience. Je peux donc cette fois te murmurer ce que tu ne t’attends pas à écouter.
Tu as intérêt à être en forme, il va te falloir assurer. Ils vont venir nous rejoindre.
Qui ça « ils » ?
Allons ne fais pas l’innocent. Sacha et Arnaud vont arriver pour nous retrouver.
Ils vont venir ici ? Dans notre chambre ?
Oui bien sûr et dans notre lit pour être plus précise.
Mais
Pas de mais, contente-toi de te laisser guider. C’est bien ce que tu voulais non ? Alors vous avez mal interprété mes paroles hier soir après je n’ai plus osé revenir sur ce « non » lâché pour une raison bien spéciale.
Ah bon ! Parce que ça ne voulait pas dire non ce que tu as dit ?
Euh si, mais c’était parce que ton ami Arnaud j’ai pensé, j’ai cru qu’il allait m’enculer et je ne veux pas qu’un autre que toi le fasse. Du moins pas tout de suite. D’où le quiproquo.
Je ne pige pas
Ce n’est pas grave, laisse-les donc arriver et nous vous donnerons ce plaisir que vous n’avez pas encore eu.
!
Tu n’as rien répondu et ta main a empaumé un de mes seins. Ta bouche aussi s’est mise à l’ouvrage. Alors le temps a filé sans bruit. Et lorsque les draps sont, d’un coup soulevés, c’est Sacha la première qui se vautre près de toi. Arnaud lui est passé de mon côté. La chambre baigne toujours dans une sorte de pâle clarté. Le jour ne passant que légèrement au travers des persiennes baissées, je n’ai aucune crainte. Et mon ventre lui me rappelle violemment que j’ai le désir chevillé aux tripes. Ensuite ce qui se passe est un étrange ballet. Un enchevêtrement de mains, de bouches et je suis ballotées enter six paires de bras qui s’ingénient à me chauffer de partout. Le premier sexe à effleurer mes lèvres ressemble au mien.
J’en frissonne d’aise de voir cette entaille qui s’ouvre sous la langue alors que je ne sais qui s’occupe de ma motte. Si Sacha est trempée, je dois dire qu’à mon sens je coule aussi. Et une même caresse m’est délivrée alors que je la vois elle, qui lèche une queue raide. Je ne veux pas savoir si c’est la tienne ou celle de son mari. J’insiste sur les lèvres velues qui se prêtent au jeu des caresses. Elle gémit et je lui rends la pareille. Nous respirons fort, la partie fine de la veille n’a pas été concluante, mais celle promise là ce matin est bien engagée. Elle va surement lever vos derniers doutes.
Sacha et moi sommes bien deux salopes prêtes à franchir le pas. Celui d’un libertinage de bon aloi. Et je réalise que celui qui me lèche l’entrejambe est Arnaud. Il évite soigneusement de renouveler sa gaffe nocturne. Sa compagne lui a vraisemblablement donné quelques directives et explications. Il s’y tient, donc ça me convient. Nous finissons par nous embrasser toutes les deux et je te regarde alors que tu plonges tes yeux dans les miens avant que ton dard disparaisse dans la chatte de notre invitée. C’est seulement à cet instant précis, au moment où il est certain qu’il peut aussi entrer en moi, qu’Arnaud s’y hasarde.
Les choses après cela deviennent plus confuses et je sens monter en moi, au gré de ses coups de reins des sensations diverses. J’en oublie mes cris qui deviennent des hurlements de folie. Je m’accroche aux draps, les froissent, les tirent à moi. Et à en juger par l’écho qui répond à mes gémissements de plaisir, tu ramones bien aussi notre amie. C’est fabuleux d’imaginer qu’à côté de moi le couple que tu formes avec la brune me donne un plaisir que je ne peux absolument plus maitriser. Je donne avec fougue de grands balancements à mon derrière alors que vos soupirs se font plus pressés.
Je t’entends, je sais que tu vas jouir et ce n’est pas avec moi, mais seulement près de moi. Cette pensée entraine chez moi un état second et je me laisse aller à hurler de plaisir. Nous crions comme jamais notre maison n’a connu cela. Mais cerise sur le gâteau, tu viens enfoncer ta bite dans ma bouche juste avant qu’elle ne fonde. Et j’aperçois à moins d’un mètre de nous, Sacha qui elle aussi pompe le dard de son mec. Toutes deux, prises de folie subite nous n’arrêtons pas alors que vos jets nous éclatent dans le gosier.
Et pour clore la réunion, elle s’approche de moi, la langue encore chargée de cette manne. J’ai compris. Je n’avale pas non plus la totalité de la liqueur dont tu m’as rassasié et c’est dans un baiser très parfumé que nous nous roulons une pelle qui en dit long sur notre jouissance et surtout sur la vôtre, messieurs. Ces semences qui mêlées à nos salives descendent en nous nous renvoient à une autre forme de plaisir. Celle de cette honte bue et je prolonge le bonheur de l’embrasser, jusqu’à faire disparaitre toutes les moindres gouttelettes de sperme.
Nous sommes tous tombés là nous nous trouvons. Je suis contre Sacha, laquelle est coincée contre toi. Quant à Arnaud, il me caresse délicatement les fesses, mais la leçon lui a été profitable. À aucun moment il ne cherche à me doigter le cul. Mais en est-il de même pour elle et toi ? Je ne sais pas, je m’en contrefiche. Mes quinquets sont fermés au monde qui m’entoure. Je respire simplement, ressentant ces fragrances de toutes sortes, ces effluves orgiaques qui embaument notre chambre à coucher. Et les mots sont délicieux, ceux qui me parviennent de loin, comme dans un brouillard.
Merci à toutes les deux ! Vous avez été merveilleuses mais nous le savions déjà.
Qui a marmonné cette petite phrase ? Je ne sais pas si c’est Arnaud ou toi, mais quelle importance ? Le principal c’est que nous vous avons donné ce que vous vouliez et qu’en retour nous ayons joui et pour cela, je peux affirmer haut et fort que mon ventre s’en souviendra longtemps de cette première fois libertine. La douche nous a vu défiler tous ensemble, serrés comme des sardines après un petit déjeuner copieux. Nos hôtes sont repartis à l’issue de ce dernier et moi j’ai de l’ordre à remettre partout dans la maison.
Nos sens apaisés ne le sont pas restés longtemps. Je t’ai servi de dessert après le déjeuner et tu m’as raconté tout le ressenti de cette affaire. Les questions de ta part n’ont pas plus que cela perturbé mon esprit pourtant si inquiet d’ordinaire. Nous nous sommes promis de refaire un essai, peut-être deux qui sait. Je t’ai dit que je préfèrerais que nous procédions autrement et tu as opté pour mon point de vue. Une fois un homme pour moi devant toi, et la fois suivante une femme pour nous deux. Et voilà ce matin où nous en sommes vraiment. Mais je suppose que l’attente ne sera pas bien longue et qu’une nouvelle histoire verra le jour prochainement !
oooOOooo
À suivre