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Petit garçon devient adulte – Chapitre 3




Avec le départ de mon père convalescent pour la campagne, et en attendant que maman le rejoigne pendant ses vacances, je retrouvais le chemin de leur appartement et nos ébats reprirent, avec d’autant plus d’intensité que maman, contrairement à moi depuis ma rencontre avec Jeanine, était restée sur sa faim !

Comme je ne souhaitais pas abandonner Jeanine, j’encourageais ma petite maman à aller retrouver papa chaque week-end. Chaque samedi soir, elle filait directement à la Gare d’Austerlitz et prenait la direction du Loiret, pour n’en revenir que le lundi en fin d’après midi…

M. Goulard cultivait sa cirrhose avec une belle constance, laissant ainsi à sa Jeanine la plupart de ses nuits du samedi pour parfaire l’apprentissage de son jeune amant. De sa jeunesse cette petite femme avait conservé le goût pour une pratique du sexe, déluré. Elle aimait varier les positions, or sur ce plan, à part le classique « missionnaire » et la « levrette » que j’avais pratiqué d’instinct lors de notre première rencontre, j’avais tout à apprendre.

De plus les dimensions exigües de ma chambre sous les toits ne permettaient pas d’y loger un grand lit. Mais comme ce qui primait avant tout était, pour employer l’expression de Jeanine, « de me vider les couilles », et de satisfaire ses ardeurs, nous nous contentions de mon lit de 90.

Comme elle avait remarqué le plaisir que je prenais à commencer nos ébats par un « bouffage » de moule, elle en vint rapidement à un partage équitable et au soixante-neuf.

Je préférais avoir le « dessous », la tête entre ses bonnes cuisses potelées, ses nichons bien en main pendant que sa bouche montait et descendait sur mon « poireau » comme elle disait.

C’était agréable d’avoir simultanément l’écoulement de sa jouissance dans la bouche et de pouvoir lâcher mon foutre dans la sienne. Dans mon esprit d’alors, obliger ou faire en sorte que mes partenaires avalent mon foutre de leur plein gré, me donnait une agréable sensation de domination.

Plus tard, ma première partenaire à lunette, me procura un plaisir intense lorsque j’éjaculai sur son visage, et la « débarbouillais» de sperme tiède. Mais c’est une autre histoire…

Je rentrais à l’appartement, vide puisque maman ne reviendrait que demain soir, me confectionnais un sandwich, et décidais d’aller dormir dans ma chambre sous les toits. En montant, je croisais Jeanine qui descendait sa poubelle. Elle me gratifia au passage d’un sourire radieux. J’avais dans l’idée de bouquiner en attendant de pouvoir écouter sur mon petit poste radio mon émission quotidienne de jazz.

Il était près de minuit, je ne dormais toujours pas lorsqu’il me sembla entendre gratter à ma porte. Je me levais et comme le grattement persistait j’entrouvris. Jeanine en robe de chambre se tenait là. Je la fis entrer.

— " Goulard dort comme un loir, alors je me suis dit autant profiter de l’aubaine.

— Bonne idée entres j’étais en train de lire mais.

— Mais tu préfères un gros câlin de ta Jeanine, hein mon petit François ? "

À vrai dire l’idée était tentante, bien que je fusse encore tout à mes souvenirs de mon après-midi.

— " C’est sûr, dis-je en envoyant valser mon pantalon. "

Jeanine se mit tout de suite à l’ouvre, tombant à mes genoux elle se mit en devoir d’extirper ma queue de mon slip, l’engloutissant presque aussitôt dans sa bouche avide. Je la laissais travailler, me contentant de passer la main dans ses cheveux, comme on caresse un chien. Une chienne avide c’est bien ce qu’elle était. Pas besoin de long préambule. Je l’avais baisé une bonne partie de la nuit précédente, mais elle était insatiable cette vieille peau. Elle en redemandait toujours.

— " Allez viens plutôt sur le lit ma grande, que je puisse moi aussi "t’aimer". "

Elle ne me fit pas répéter mon invite. Le temps de nous mettre complètement à poil, et je m’allongeais. Mon amante vint me rejoindre, tête bêche et nous nous mîmes à l’ouvre. Tout à la pensée de Claire, je m’appliquais à sucer le clitoris de ma vieille Jeanine, clitoris qui ne tarda pas à sécréter sa divine substance. Je n’avais pas envie de jouir dans sa bouche, aussi lui fis-je comprendre que je désirais la pénétrer.

Elle s’installa à ma place, et je vins sur elle. J’engageais mon zob en douceur, mais bien à fond, puis la baisais doucement. Je submergeais littéralement ma partenaire mûre, de baisers, la serrant tendrement. Dans ma tête, je m’imaginais faire l’amour à maman.

— " Viens mon petit, viens ne te retiens pas. Donnes moi ton plaisir mon chéri, c’est trop bon ! "

La voix de Jeanine me ramena brutalement à la réalité. Certes, elle était encore très consommable, mais de là à imaginer une jeunesse !

Bien planté dans son vagin accueillant je lâchais ma semence, les yeux fermés.

— " Ben dis donc t’es drôlement amoureux ce soir mon bébé. Dommage que doive redescendre chez moi.

— Pas tout de suite, reste encore un petit peu, j’ai envie de rester dans toi.

— Un petit peu, mon petit chat, mais pas plus. Goulard risque de se réveiller et se demander où je suis passée. "

La lumière du jour naissant filtrant par la lucarne m’éveilla. J’étais seul, il était six heures. Je descendis à l’appartement familial, pour procéder à ma toilette.

Heureusement, le boulot allait me fournir un dérivatif. C’était sans compter sur les hasards du sort. Et le sort avait les traits de Gisèle, une brunette avenante, qui me poursuivit jusqu’à la fermeture du magasin dans tous les recoins de la réserve. En sortant du travail, alors que je croyais enfin lui échapper, elle me rejoignit en trottinant.

— " Tu as l’air bien pressé, François.

— C’est que je dois préparer à manger, ma mère rentre dans la soirée.

— Justement tu, veux pas me raccompagner, j’habite pas très loin, du côté de la Gare de Lyon.

— Si cela te fais plaisir. "

Son homme, militaire depuis un peu plus de quatre mois venait d’être affecté en Algérie. Fini les permissions quasi hebdomadaires, il ne reviendrait pas avant au moins dix, voire douze mois. Bref, "Gisou", bien seule était en retard d’affection! Il est vrai que le personnel du magasin était uniquement constitué de femmes, à l’exception du vieux pointeau Alfred, du directeur, de son adjoint et du responsable de l’alimentation. Tous mariés et guère port"s à badiner avec les employées.

Ce n’était effectivement pas très loin et en moins de dix minutes nous étions devant son immeuble.

— " Tu ne veux pas monter, il me reste de quoi nous préparer un petit dîner.

— Ben je t’ai dit que je devais.

— Ta mère peut bien se débrouiller sans toi quand même.

— Sans doute mais elle s’inquièterait si je n’étais pas là.

— Bon, mais demain midi tu n’auras qu’à venir manger ici, tu vois bien que c’est pas loin.

— D’accord, Gisèle.

— "Gisou"

— Promis Gisou.

— Allez à demain, François. Rentre bien! "

J’avalais rapidement mon dîner, puis tournais en rond dans l’appartement dans l’attente du retour de maman. L’idée de la baiser n’était pas particulièrement désagréable. Et à l’évidence, elle en voulait. Alors je la laissais faire l’attirant sur moi et l’empalant sur ma queue. Elle se mit aussitôt à monter et descendre sur mon dard turgescent. Je me contentais de l’encourager de temps à autres. Cela ferait bientôt un an que je "couchais" avec ma mère, J’y prenais toujours du plaisir, en quelque sorte nous étions un "jeune couple". Je n’avais pas à me tracasser, j’étais comblé côté cul entre elle et Jeanine, et j’étais convaincu que demain "Gisou" me voudrait elle aussi "du bien".

Si j’avais un peu forcé le sort avec maman, je n’avais pas à le regretter. J’avais seulement perdu quinze jours avant d’avoir l’audace de la "violer" . En fait, en satisfaisant à mon complexe d’odipe, j’avais déclenché chez ma jeune maman, une soif inextinguible de rapports sexuels. Cette nuit de retrouvailles fut donc courte, car ma mère à trente-cinq ans, était de plus en plus exigeante sur ce plan. Elle ne s’était pas beaucoup étendue sur ses rapports avec mon père. Tout au plus m’avait-elle appris que dans les années qui avaient suivi ma naissance il l’avait obligé à se faire avorter à plusieurs reprises.

Je dus donc la "prendre" à trois reprises avant qu’elle succombe enfin au sommeil. Afin d’éviter qu’elle "en réclame" encore à son réveil, je me levais avant qu’elle ne donne à nouveau signe de vie.

Tout au long de la matinée, Gisèle ne manqua aucune occasion de venir me retrouver, pour s’assurer que je n’avais pas changé d’avis sur son invitation. Ce n’était pas le cas, vous vous en doutez, et j’avais même hâte de voir comment notre dînette allait tourner.

Il faut dire que si je ne me leurrais pas, elle représentait une réjouissante alternative à mes deux autres partenaires. J’allais avoir de la "chair fraîche" à me mettre sous le noud, et ce qui ne gâchait rien, cerise sur le gâteau, cocufier son bidasse de mari, car je ne doutais pas de ma capacité à la satisfaire.

Comme elle me l’avait recommandé, pour ne pas que ses collègues jasent sur son compte, nous partîmes séparément. Pour ma part je pris la direction habituelle de mon domicile, mais bifurquait par le square Trousseau et hâtais le pas pour la rejoindre rue Abel.

La montée, derrière elle, dans l’escalier jusqu’à son petit deux pièces, fut en quelque sorte une mise condition. Maintenant un recul suffisant, je me régalais de la vue sur ses jolies jambes, vue qui remontait jusqu’à ses cuisses et par instant jusqu’à sa culotte. Il est bien évident qu’en arrivant sur son palier, ma trique ne tenait plus en place dans mon slip.

Elle me fit entrer en premier et claqua la porte derrière elle..

— " Tu as très faim ? "

Je n’hésitais pas une fraction de seconde:

— " De toi oui Gisèle ! "

Elle me prit par la main, m’entraînant dans la chambre à coucher. En un tour de main, elle retira sa robe légère, la passant par dessus sa tête et la laissant tomber sur le parquet. Il ne lui restait plus que son soutien-gorge, et sa petite culotte, elle ouvrit le lit, repoussant les draps, et lorsqu’elle se retourna, j’étais quasiment à poils. Nous nous couchâmes, et je l’enlaçais frottant mon dard contre la fine étoffe de sa petite culotte. Je ne pris même pas la peine de le lui ôter, me bornant à l’écarter juste ce qu’il faut pour diriger mon noud vers le cour de ma cible. Je la sentis s’ouvrir. C’était juste pour la forme, je la pénétrais à peine, juste pour m’assurer qu’elle était prête à me recevoir.

Je voulais commencer par lui montrer ma "tendresse", et donc je fis "marche arrière" et me laissais glisser pour placer ma bouche sur son abricot juteux. J’arrachais sa culotte et commençais à écarter ses poils pour dénicher ses petites lèvres humides du bout de ma langue. Je remontais ainsi jusqu’au frein de son clitoris qu’une fois dégagé, je titillais, puis me mis en devoir de le sucer.

— Oh! Oooohh.! Aaaaahhh!

Je le tétais pendant plusieurs minutes. Elle râlait de plaisir, et je me délectais de son nectar.

Rapidement elle se mit à exprimer de plus en plus fortement son plaisir. Divine mélopée à mes oreilles. Je ne cessais mon "biberonnage" que lorsqu’elle se mit littéralement à hurler.

Ignorant si des voisins étaient présent, je pensais préférable d’arrêter ses vocalises. Je revins donc sur elle pour plaquer ma bouche engluée de sa cyprine sur la sienne et l’empalais sur mon vit.

L’intromission de mon braquemart turgescent sembla la calmer. Mais le répit ne fut que de courte durée. Elle commença à se tortiller sous moi, alors que je n’avais pas encore esquissé le moindre mouvement, puis dans un sursaut plaça ses cuisses sur mes épaules, m’offrant ainsi totalement son cul. Aussitôt je la trombonnais "à couilles rabattues".

C’était une affaire au lit la jeune mariée ! À côté d’elle, dans ses plus fous abandons, ma mère me faisait l’effet d’une nonne.

Son "mitouzi" hyper lubrifié enserrait merveilleusement mon chibre, me procurant un bonheur qui m’emportait. Elle avait le paradis entre ses cuisses la belle Gisèle.

Elle me fit jouir violemment. Pas une seconde pendant notre coït je n’eus de pensées pour mes autres partenaires. Je lui larguais six longues giclées de sperme.

— " Mon amour; que tu es fort murmura-t-elle. "

Sur quoi apaisés, nous restâmes prostrés l’un dans l’autre bon quart d’heure.

— " François, tu n’as vraiment que dix-huit ans ?

— Oui, enfin bientôt.

— Pourquoi.

— Pourquoi quoi ?

— Rien. "

Une fois revenus sur terre, nous partageâmes en vitesse son repas. J’aurais bien "remis le couvert", mais hélas il fallait songer à retourner au magasin.

Il n’y avait pas photo, j’étais tombé sur une nénette super, pas repoussante d’aspect et qui avait soif de bite.

Le problème étant comment allais-je gérer les choses, tout au moins jusqu’à la fin de ce mois de juillet,? Car après comme j’avais décidé de travailler pendant toutes mes vacances ma petite maman serait pour un mois avec mon cher père. Autant dire que j’avais l’intention de m’installer chez Gisèle. Heureuse époque, sans téléphone et autres portables !

Comme pendant la matinée, Gisèle ne manqua aucune occasion de venir me relancer dans la réserve. Elle me fit promettre de revenir dès le soir même. Avec beaucoup de patience, j’arrivais à lui faire comprendre que cela serait difficile, mais que peut-être.

Sur quoi elle décida de me confier une clé de son logement, ce qu’elle fit, en me retrouvant à la sortie à 19 heures.

En rentrant au logis familial, je mis au point un stratagème qui devrait me permettre d’aller retrouver ma nouvelle maîtresse. Le tout étant de faire avaler à ma petite maman que nous devions tirer des photos chez mon copain Julien. Cela reposait sur une base réelle, car nous avions réellement monté un petit labo photo dans la chaufferie de l’immeuble dont la mère de Julien était la concierge. Je promis de ne pas trop m’attarder, et maman accepta que je la laisse se mettre au lit seule. Ouf !

À vingt heures vingt-cinq je la quittais. Vingt minutes de marche à pieds vers le nirvana , et je m’efforçais d’ouvrir la porte discrètement , mais..

— " C’est toi François ?

— Oui ma chérie

— Viens vite mon amour. "

Dans la pénombre je retrouvais le corps de la jeune femme. Elle était vêtue d’une seule nuisette, qui cachait à peine son pubis. Je posais un baiser appuyé sur sa toison avant de la serrer dans mes bras. Mon sexe cela va sans dire était déjà en érection maximale, mais je tenais à y mettre les formes, ne pas brusquer les choses. Après tout, même si je devais réintégrer le domicile familial, pour devoir rejoindre maman, nous disposions d’une grande partie de la nuit.

— " "Gigi". Si tu le veux bien rien que pour moi tu seras Gigi, ma Gigi.

— Ce sera entre nous mon chéri, je serais ta petite femme. "

Décidément, c’était une manie. Déjà ma mère m’avait dévolu à cet "emploi" Certes le "sexe" avait été une révélation pour moi lorsque je l’avais suborné. Je n’avais eu aucun mal après l’avoir possédé à la soumettre. C’était dans sa nature, j’avais souvent entendu mon père lui rappeler qu’elle était "soumise", sous sa domination tant mentale que sexuelle. En quelque sorte, je l’avais libéré de la pesante férule maritale qui l’étouffait.

Et sans aucune prétention, j’avais la sensation qu’elle jouissait enfin sans entrave lorsqu’elle se donnait à moi, son enfant.

Pour en revenir à ma Gigi, je la caressais amoureusement, pour l’amener progressivement à s’offrir. Je baisais ses seins bien fermes, titillant ses tétons durcis entre mes lèvres, faisant mine de la téter, pendant que mes doigts s’employaient à explorer l’intimité de son vagin déjà inondé . Entre pouce, index et majeur je "triturais" en douceur son clitoris offert. Je la tenais à ma merci, mais je voulais qu’elle "implore". Je jouais sur du velours.

N’y tenant plus, c’est elle qui vint sur moi, me chevaucha, dirigeant de sa main mon vit dans son sexe ardent.

Je rallumais la lampe de chevet pour profiter au maximum du spectacle. Cambrais mes reins pour qu’elle puisse s’empaler bien à fond sur le pivot de la joie que je lui offrais.

Je la trouvais vraiment belle, me chevauchant "au trot enlevé" son visage juste au dessus du mien, submergé par ses longs cheveux blonds. Afin de faire durer le plaisir je m’efforçais de limiter la cadence qu’elle semblait vouloir effrénée. Je ne pouvais plus me retenir, mais j’étais certain qu’elle même en était au même stade. Je me laissais aller, giclant mon plaisir dans sa vulve amoureuse. Elle s’affaissa sur moi, toute "chattemite".

Lorsqu’elle eut repris son souffle,elle murmura:

— " C’est la première fois.

— La première fois ?

— Que "je fais l’amour". Raymond n’a pas ta douceur. Il me "prend" il ne m’attend pas. Toi tu es doux mon chéri. "

Et Gisèle, qui était-elle ? Une jeune mariée infidèle, une jeune femme amoureuse, ou tout simplement une femelle en rut ?

Elle était douce, câline, aimante, elle s’offrait mais gardait quand même une grande part de pudeur. Peut-être vivait-elle simplement mal l’absence de son mari ? Pour ce qu’elle m’en avait dit, Il ne l’avait épousé que pour tenter d’échapper au départ pour l’Algérie.

Je m’éveillais nous étions toujours enlacés. À la clarté de la lune j’observais ma compagne. J’avais eu la bonne fortune d’être tombé au bon endroit, au bon moment.

Ma montre indiquait un peu moins de minuit. Je respirais l’odeur des cheveux de ma blonde compagne. Je ne voulais pas la réveiller, mais il allait bien falloir me lever. Je posais un baiser sur son front, me dégageant aussi doucement que possible.

Tout en me rhabillant, je contemplais ce jeune corps. Elle dormait comme une enfant, apaisée, mais je devais partir. J’ouvris et refermais la porte sans bruit, et me mis en route pour regagner mon "foyer".

Avec les mêmes précautions que j’avais prises pour quitter Gisèle, je réintégrais le domicile, et me glissais dans le lit maternel.

— "Tu rentres tard, il est presque une heure !

— Maman tu dormais je n’osais pas te réveiller. "

Et évidemment elle vint se coller contre moi. Comme je n’avais pas envie qu’elle se saisisse de ma queue, à laquelle adhérait encore des traces de mes précédents ébats, je passais à l’action au plus vite, me doutant que je n’aurais aucun mal à m’engager dans l’utérus maternel.

Sans problème ma bite la pénétra d’un coup. J’y allais bien à fond dès le premier coulissement, elle fut totalement éveillée et s’activa. Comme je l’avais prise de côté, je la fis verser sur le dos. La dominant bien, je me déchaînais, je n’avais pas envie de traîner, et je me doutais bien que la seul chose qui la calmerait serait de ressentir ma semence gicler dans son cul. Exprimé comme cela, ce n’est pas "romantique", mais la romance maintenant, je la réservais à Gigi.

Mon éjaculation, ne calma pas entièrement ma chère maman, à peine un quart d’heure après, elle voulait manifestement revenir à la charge, et commençait à flatter mes testicules. Comme ma gaule réagissait, elle se glissa sous les draps et entama une fellation appliquée. Je la laissais ouvrer. Les yeux fermés j’imaginais que c’était les jolies lèvres de Gigi qui me pompaient. Cette pensée agit comme un accélérateur et je ne tardais pas à jouir une nouvelle fois. Je n’eus pas besoin de lui maintenir la tête, d’elle même elle avala mon sperme et me nettoya le jonc. L’idée qu’elle pourléchait le poireau qui avait donné du plaisir à une autre avant elle ne lui effleurait sûrement pas l’esprit, mais me rendait tout guilleret.

Je savais que je ne pourrais pas échapper à Gisèle, mais il était exclu que je vienne coucher chez elle comme la nuit précédente. Contenter deux femmes avides, dans deux foyers différents chaque nuit était certes une idée plaisante, mais guère envisageable sur la durée. Il était impératif que je le fasse comprendre à la belle Gigi. Je commençais à la conditionner au cours de la matinée, conscient qu’il faudrait en remettre une couche lors de notre « dînette » amoureuse.

Est-il nécessaire de préciser que jusqu’à la fin de ce mois de juillet six fois par semaine je "déjeunais" avec Gisèle car le dimanche elle allait rendre visite aux parents de son cocu.

Lorsque maman partit rejoindre mon père, j’emménageais carrément chez elle: j’étais dans la peau d’un jeune marié et nous vécûmes en quelque sorte une "lune de miel", baisant jusqu’à quatre fois par jour.

Vers la fin août, je commençais à m’étonner de n’avoir eu à souffrir aucune interruption dans nos ébats, J’avais beau me triturer les méninges, aucune pose imposée par la nature n’était venu troubler nos parties de jambes en l’air. Tout au plus il me semblait avoir remarqué des traces "sanglantes" dans mon slip (que j’avais du jeter pour ne pas éveiller la nature soupçonneuse de ma mère) après notre première dînette, début juillet.

Je décidais donc d’éclaircir ce point, et questionnais Gisèle:

— " Tu ne me caches rien Gigi ?

— Non, mais de quoi veux tu parler ?

— Je sais pas, mais, t’as jamais eu de règles depuis …

— Si, si juste avant je venais de les avoir.

— Attends, mais c’était il y a près de six semaines !

— Faut croire que tu vas être papa mon chéri !

— Et Raymond, t’en fait quoi dans l’affaire ? "

En fait j’étais ravi.Non seulement je cocufiais ce troufion, mais j’avais engrossé sa petite femme !

Le pied, c’est qu’en plus Gisèle me supplia de l’aider à rédiger l’annonce de l’heureux évènement à son cocu.

À suivre

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