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Un gynéco très attentionné – Chapitre 1




Comme beaucoup d’hommes, j’ai eu ce fantasme de voir ma femme se faire prendre par un autre. Cela est arrivé d’une manière assez surprenante puisqu’elle était enceinte d’environ trois mois lorsque çà s’est passé. L’heureux élu avait une bonne longueur d’avance sur d’éventuels prétendants puisqu’il n’était autre que son gynécologue.

Je dois reconnaître que malgré l’inévitable pincement au cur que j’ai ressenti en voyant un autre homme d’abord la faire jouir, ses doigts profondément enfoncés dans sa petite chatte dégoulinante de mouille puis, le spectacle d’une queue en érection maximum glisser entre ses lèvres intimes puis pénétrer son intimité, m’a procuré une excitation que je n’avais ressentie jusqu’alors.

A ce stade de mon histoire il me faut vous raconter tout ce qui a précédé cette séance mémorable, à jamais gravé dans nos mémoires. Dès la 1ère consultation avec ce praticien, j’ai voulu accompagner mon épouse. L’homme, que nous appellerons Jean-Michel, a tout de suite compris que la situation m’excitait et très rapidement m’a permis d’assister à la consultation de l’autre côté du rideau plutôt que de rester à attendre, les oreilles aux aguets, assis dans son bureau.

J’étais dans un état d’excitation incroyable à chacune des séances car pratiquement à chaque fois, Elise mon épouse, avait droit à un examen complet qui allait de la palpation des seins jusqu’au toucher vaginal. Voir les doigts même gantés d’un autre homme, fusse-t-il médecin, s’enfoncer dans la vulve de ma femme en écartant ses lèvres intimes, me mettait dans des états indescriptibles.

Ma femme savait bien sûr combien j’étais excité si bien qu’elle aussi prise au jeu à commencer à mouiller grave à chacune des auscultations. Elle savait aussi que je nourrissais le fantasme de voir son docteur profité d’elle en lui enfilant non pas ses doigts mais sa bite toute entière dans la chatte.

Tout a basculé lorsqu’elle a été enceinte car rapidement, elle n’a plus eu aucun orgasme. Nous en avons parlé avec son gynéco qui nous a proposé un examen plus approfondi voire un peu particulier mais qui pourrait s’avérer efficace dans son cas.

Confiants, nous avons acquiescé et c’est ainsi, qu’Elise s’est de nouveau retrouvée les pieds dans les étriers, le sexe offert sur la table d’auscultation. Jean-Michel sûr de lui nous a expliqué qu’il allait essayer une technique que nous ne connaissions peut-être pas mais qui était très efficace dans certains cas. Je ne savais pas trop ce qu’il avait en tête aussi, je l’ai laissé faire, confiant.

Il enfile un de ses gants médicaux, enduit ses doigts de vaseline puis, délicatement sépare les lèvres intimes de ma chérie puis, pose un de ses doigts dans l’entrée avant de la pénétrer très doucement en lui demandant si ça allait, s’il ne lui faisait pas mal etc. etc.

A la vue de ce doigt, rejoint rapidement par un deuxième coulisser dans la chatte d’Elise totalement abandonnée au bon vouloir de son docteur, mon sexe prend des proportions de plus en plus inconfortables. Je me mets moi aussi à gigoter si bien que Jean-Michel me souffle :

C’est bon non, de voir sa femme se laisser pénétrer comme çà ?

Ses paroles me font l’effet d’une véritable claque en me rendant compte qu’il est parfaitement conscient de ce que je ressens en regardant ce qu’il fait à mon épouse. Sans réfléchir, je m’entends lui répondre comme dans un rêve :

C’est super excitant !

Tu peux te caresser si tu veux, ne t’en fais pas, c’est normal, beaucoup d’hommes adorent çà.

J’hésite quelques secondes mais en entendant mon épouse pousser des petits gloussements de pucelle effarouchée je me décide à ouvrir ma braguette pour dégager mon sexe déjà tendu.

Elise commence à réagir de plus en plus franchement aux doigts qui la fouillent. Elle mord une de ses mains pour étouffer les francs gémissements qui s’échappent maintenant de sa gorge.

C’est de mieux en mieux non ?

Docteur, j’ai honte, qu’est-ce que vous me faites ?

Je veux m’assurer que vous pouvez jouir et apparemment vous avez du plaisir, non ?

J’ai chaud partout. Je vous en prie docteur, arrêtez s’il vous plaît. Je….

Laissez-vous aller, Elise, regardez votre mari, comme il apprécie ce que je vous fais.

A ces mots, ma femme ouvre les yeux, me cherche du regard et m’aperçoit le sexe en pleine érection, en train de me branler doucement.

Vous voyez, laissez-vous aller. Ça ira beaucoup mieux après.

Mais.. mais vous me faites… vous allez….

Ne vous en faites pas. Tout cela fait parti de votre consultation. Nous en avons déjà parlé avec votre mari. Tout va bien se passer. D’ailleurs, vous avez l’air d’être prête pour la suite du traitement.

A ces mots, le gynéco, se lève, pose sa main libre sur le bas-ventre d’Elise, enfonce encore plus profondément deux de ses doigts dans sa vulve puis commence à les agiter de bas en haut, sans les sortir de son vagin, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elise écarquille ses beaux yeux, ouvre toute grande sa bouche sous l’effet immédiat que ces doigts lui font. Elle se tortille comme si elle voulait échapper aux sensations qui envahissent son bas ventre, s’agrippe nerveusement à la table d’examen, ce sont maintenant des petits cris qu’elle pousse en bougeant son bassin d’une manière incontrôlée. Tous ses muscles se tendent, son ventre, ses fesses, ses cuisses. Elle cherche l’air, en même temps que mon regard. Elle a l’air surprise, affolée même, par ce qu’elle ressent. Elle mord une de ses mains à pleines dents, essayant d’étouffer les cris qu’elle n’arrive pas à contrôler.

Je suis au comble de l’excitation, Mon gland est sur le point d’exploser, je n’ose plus me toucher de peur de jouir sur le champ. Il marque une pause pour lui laisser le temps de récupérer un peu puis recommence à une cadence qui me fait presque peur. Des bruits obscènes envahissent la pièce, des bruits couverts par les cris que pousse mon épouse. Il s’arrête encore quelques secondes à peine puis reprend sa possession à la même cadence. Ma femme d’un seul coup se mit à hurler, ses jambes et son bassin sont pris de tremblements. C’est vraiment impressionnant à tel point que j’en manque de débander. Un énorme orgasme la tétanise. Je ne m’en rends pas compte tout de suite mais un puissant jet éclabousse la main du praticien alors qu’il la retire du sexe grand ouvert. Il la laisse jouir quelques secondes puis replace ses doigts en elle et reprends ses mouvements à toute vitesse. Elle repart aussitôt dans un nouvel orgasme. Elle expulse de sa chatte un nouveau puissant jet de mouille. Je n’en crois pas mes yeux. C’est une première pour moi. Le gynéco la fait monter au 7ème ciel encore deux fois avant qu’elle ne s’affaisse lourdement, inerte sur la table d’examen.

Il se retourne vers moi en souriant :

Vous avez aimé ?

J’en suis bouche bée. Incapable de répondre au toubib qui pour le coup, esquisse un sourire amusé de ma réaction.

Si vous voulez je vous explique après mais là, elle m’a trop excitée votre petite femme.

Joignant le geste à la parole, je le vois faire glisser son pantalon à ses pieds puis sortir sa queue de son slip. Mon cur fait un bond dans ma poitrine en réalisant qu’il va la baiser pourtant je reste sans réaction, mon regard scotché à sa queue au gland violet d’excitation. Elle est grosse sans être énorme mais beaucoup plus longue que la mienne avec un gros gland qui me paraît par contre énorme. Il émerge de ses doigts qui coulissent sur la tige tandis qu’il le guide à l’entrée de la vulve grande ouverte. Il pose son gland entre les lèvres de mon épouse puis, sans attendre ma permission, en deux coups de reins, s’enfonce en elle jusqu’aux couilles. Ma petite femme accuse le coup en gémissant de plus belle. Elle ouvre les yeux encore voilés par les orgasmes à répétition qu’il lui a offert. Elle se laisse baiser sans opposer la moindre résistance. Tout se bouscule dans ma tête. Contrariété de voir réellement mon épouse se laisser baiser alors que c’est moi qui ait provoqué cette situation et excitation peut-être malsaine de la vue en gros plan de ce sexe en train de coulisser dans celui de ma bien-aimée d’autant que l’homme manifeste à haute voix le plaisir que la procure cette possession adultérine.

Hummmmmmmmmmmmmmmm ! Elle est trop bonne cette petite chatte. Vous en avez de la chance.

Au bout d’un long moment où il n’a cessé de la pilonner en s’enfonçant aussi profondément qu’il le pouvait, Elise ouvre les yeux. Elle s’est remise à gémir doucement mais elle semble vraiment épuisée. Elle attrape une de mes mains, la serre fermement avant de me souffler entre deux gémissements.

Mon amour, ça t’excite qu’il me baise, c’est ce que tu voulais non ?

Ses yeux vacillent tandis qu’il accélère ses coups de reins. Il lui a soulevé les jambes des étriers pour les replier de chaque côté de sa poitrine. Une position que j’adore car je peux la pénétrer jusqu’au plus profonds d’elle-même. A cet instant, c’est lui qui l’enfile et la fait miauler comme une chatte en chaleur.

Dis-moi mon amour. Dis-moi que ça t’excite. Dis-moi que tu avais envie de me voir me donner à lui.

Malgré ce sentiment mitigé, je suis bien obligé d’admettre n’avoir jamais été autant excité que par ce spectacle. Je suis au bord de l’éjaculation et le fait de voir cette grosse queue aller et venir dans le con de ma moitié ne fait qu’augmenter mon excitation.

Jean-Michel n’a pas pris la peine d’enfiler un préservatif, c’est encore plus excitant de voir les chairs l’une contre l’autre, trempées de secrétions intimes avec les bruits qui accompagnent les coups de reins à chaque pénétration. Il est vrai qu’en ce temps-là, nous ne connaissions pas le sida et autre HIV. Elise est maintenant totalement remise de ses précédents débordements, elle participe activement à l’accouplement, tire sur ses jambes pour s’offrir au maximum. Je ne connais que trop cette énorme sensation de possession qu’elle ressent quand elle fait çà. Notre gynéco a l’air d’apprécier lui aussi à en juger par ses commentaires coquins.

Hummmm, c’est une vraie coquine votre petite femme. Elle aime la queue, on dirait.

Je suis obligé d’arrêter de me branler, la jouissance est trop proche. Jean-Michel grogne de plaisir. Il s’agrippe aux hanches d’Elise pour mieux la défoncer. Elle vibre sous les assauts, pousse des gémissements qui deviennent rapidement cris.

Oh ouiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Plus fort. C’est trop bon. Encore, encore.

D’un seul coup, le gynéco, fléchit sur ses jambes et cale sa queue à fonds dans le ventre de son amante en m’annonçant qu’il allait la faire jouir comme tout à l’heure. Il donne des petits coups de reins rapides mais puissants qui me font penser à l’action de ses doigts quelques instants plus tôt. Il appuie en même temps avec une de ses mains sur le bas-ventre comme pour mieux sentir sa queue dans la chatte offerte. Mon épouse la bouche grande ouverte, cherche l’air, elle semble tétanisée par les sensations qui la submergent. Elle s’agrippe à ma main de toutes ses forces, ses doigts s’enfoncent dans ma peau, son regard se trouble encore une fois. Elle va jouir, je le sais, je le vois, je le sens. Des spasmes secouent mon bas-ventre quand ses yeux basculent dans ses orbites. Elle est à nouveau prise de tremblements. Une longue plainte s’échappe de sa gorge et tandis que son amant se retire prestement et branle vigoureusement son clitoris, j’assiste, surexcité à une nouvelle puissante éjaculation. Le jet se répand sur le ventre, dans les poils pubiens de son amant qui visiblement satisfait, aborde un large sourire en regardant ma femme tremblant de tous ses membres en basculant dans la jouissance. Le jet s’arrête à peine qu’il la réinvestit et se remet à la pilonner de la même manière, ce qui la fait remonter immédiatement au 7ème ciel. Elle pleure, crie, pousse des cris, délire. Je me rends compte que j’ai joui mais ma queue est toujours aussi dure. J’ai envie de la posséder à mon tour mais la place est déjà prise. JM la fait éjaculer une dernière fois puis se met à la posséder à grands coups de reins. J’assiste, subjugué à son accouplement avec ma femme, déchiré entre l’excitation, l’envie de jouir encore et la jalousie de la voir se donner comme jamais je ne l’ai vu faire. Il accélère encore la cadence, gémit de plus en plus fort en louant la douceur de son ventre. Il grimace de plaisir avant d’annoncer :

Je vais jouir, c’est trop bon. Tiens, prends-çà. Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Bois tout mon sperme avec ta petite chatte. Prends tout. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Ses fesses se contractent, il se cale dans le ventre de ma bien-aimée, il est en train de se vider. J’imagine son sperme inonder le fourreau d’Elise qui ne réagit plus. C’est fini. Il est repu, la caresse tendrement pour la remercier de lui avoir permis de se répandre dans son ventre. Elle revient enfin après de longues secondes. Elle lui sourit puis cherche mon regard et me sourit à mon tour. Je suis vidé par l’intensité des émotions qui se sont succédées à un rythme infernal. L’envie de la prendre est retombée d’un cran. Elle est épuisée, les traces de ses orgasmes marquent ses traits. Son regard habituellement étincelant a perdu de sa superbe. JM reste encore un moment en elle puis se retire précautionneusement, attrape un kleenex qu’il pose entre les jambes de mon épouse puis s’essuie la queue avec un autre en se détournant de mon regard qu’il voit rivé sur sa verge couverte des secrétions d’Elise et de son sperme. Il sait que nous avons besoin de nous retrouver, s’éclipse vers son bureau en nous laissant seuls derrière le rideau.

Mon épouse me sourit puis me demande :

ça va mon amour ?

Je lui avoue mon excitation de l’avoir vu appartenir à un autre homme et surtout de l’avoir vu jouir comme jamais je ne l’avais vu jouir auparavant.

Elle ne sait trop quoi dire, s’excuse, ne voulait pas me contrarier, explique que c’était plus fort qu’elle, tellement fort ce qu’elle avait ressentie. Elle me demande de la prendre à mon tour, elle me dit qu’elle veut que je jouisse à mon tour en elle.

Je m’exécute. Je me place entre ses jambes et m’enfonce dans son ventre déjà inondé d’une autre semence. Je la prends, elle se donne, me jure son amour. Je jouis rapidement. Nous nous étreignons longuement avant de rejoindre JM qui nous attends juste derrière le rideau. Il essaie de paraître le plus naturel du monde mais ce qui s’est passé était tellement inimaginable que ni nous, ni lui ne savons comment réagir. Nous quittons rapidement son cabinet, néanmoins rassurés quant au problème de libido de mon épouse. Vous vous doutez qu’il y a bien sûr une suite à cette histoire. Suite que je vous raconterais avec plaisir si vous avez aimé.

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