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Changements professionnels – Chapitre 1




En rentrant à la maison, je pris une douche, mis une tenue plus légère (soutien-gorge et paréo) et préparai rapidement le dîner. En attendant Arthur, jallumai mon ordinateur pour prendre connaissance des candidatures dont Georges mavait parlé le matin même : il y avait deux candidates et un candidat. Trois CV avec photos et coordonnées. Je lisais attentivement leur lettre de motivation ainsi que leur CV lorsquArthur arriva. Il était presque vingt heures.

— Bonjour mon amour. Ta journée sest bien passée ? Alors cette réunion ? me dit-il

— Bonjour mon amour. Ça a été. Et toi ? lui répondis-je en lui roulant une pelle.

— Bien, mais jai été excité toute la journée à cause dun petite salope qui se faisait filmer en train de sucer une grosse queue !

— Ah oui ! Quelle salope ce doit être ? Je la connais ? dis-je dun air innocent ?

— Je crois oui. Et en plus elle avale tout la garce en fixant la caméra !

— Non ! Quelle pute ! répondis en prenant un air outré.

— Tu veux voir la vidéo, je lai sur mon smartphone.

Sans attendre ma réponse, Arthur me montra la vidéo de cette trainée qui nétait autre que moi. Cela me fit un drôle deffet de me voir en action : je me trouvais terriblement salope ! Tout en continuant à regarder la vidéo que Georges lui avait envoyée, je palpai lentrejambes dArthur et défis sa ceinture. Quasi machinalement je magenouillai sans quitter le petit écran des yeux. Je me voyais recevoir le foutre de Georges et rattraper le surplus de mes doigts avant de jouer avec sa semence et lavaler dune traite. Je mouillai sérieusement.

— Wouah mon chéri ! Quelle salope elle a tout avalé !

— Oui. Tu as vu sa petite gueule de pute quand elle reçoit sa récompense ?

— Oh oui ! Quelle salope ! Tu voudrais que je sois comme elle ? Tu veux que je te suce à fond ?

— Et toi ? Tu veux comme elle une grosse queue dans ta bouche ?

— Oh ouiiiii fis-je dun air suppliant.

Je le suçais goulûment, jouant de ma langue et de mon petit piercing sur sa hampe et son gland. Je lembouchais de plus en plus profondément, serrant mes lèvres de plus en plus fort et tournoyant ma langue de plus en plus vite.

— Oh putain, je vais jouir ! Tu la veux ta récompense petite chienne ? grogna Arthur

Et il déversa si violemment sa semence que je dus ressortir sa bite de ma bouche et la reprendre en main afin quil finisse sur mon visage. Il méclaboussa de 5 ou 6 jets puissants qui finirent sur mon nez et mon front.

— Merci mon amour cétait merveilleux soupira-t-il

— Wouwwwww ! Et ben ! Tu étais excité mon amour. Quest-ce que tu mas mis encore ! Jadooooore !

Je filai rapidement me nettoyer et à mon retour je vis Arthur assis devant mon ordinateur.

— Cest qui ? me demanda-t-il

— Ce sont des CV de candidats pour un master en alternance. Georges veut que je choisisse lequel intégrera notre entreprise car il veut que je sois son tuteur.

Et jexpliquais à Arthur mon entretien avec Georges ainsi que le déroulement de la réunion.

— Et bien, je trouve cela super ! me dit-il à la fin de mon récit.

— Tu as vu les CV ? Quel candidat te semble le mieux ? lui demandai-je.

— Je nai aucun avis. Tout ce que je peux te dire, cest que celle qui sappelle Marina, cest un vrai canon ! me répondit-il !

— Vraiment ! Tu ne penses quà ça ma parole !

— Mais non ! Mais je ne les connais pas. Je ne peux donc donner quun premier avis ! Elle a lavantage de son physique déjà cette fille ! Après, tu verras selon les entretiens.

— Et pour le salon à Paris, ça va durer 3 jours ! Je vais devoir mabsenter cinq jours au total !

— Et tu vas choisir qui pour le salon alors ?

— Jen ai discuté cet après-midi avec Jacques. Nous avons choisi trois commerciaux : Christophe, Julie et Amélie. Pour la partie technique et mise en place, nous avons choisi Fabrice, Greg, Karim et Jérôme.

— Ah ! Et bien mon amour, cinq jours avec ces quatre-là, tu ne vas pas tennuyer !

— Mais tu arrêtes un peu ! Et puis vous mavez dit avec Georges quils ignoraient que cétait moi chez Patrick !

— Bah justement, ce sera une occasion de tomber les masques ! Jaimerai que tu tentes si loccasion se présente ! Et puis, je suis sûr que tu en as autant envie que moi !

— Oui peut-être mais là je dois dabord moccuper de mon travail, jen ai par-dessus la tête ! conclus-je.

Nous dînâmes et allâmes nous coucher de bonne heure car Arthur, comme moi, avait une grosse semaine de travail. Il me sollicita dans le lit et je ne me fis pas prier longtemps, car lidée quil avait mise dans ma tête sur lopportunité dune aventure avec mes quatre techniciens mavait émoustillée. Après quArthur ma faite jouir deux fois (sous sa langue et en levrette), je le pris en bouche tout en me caressant, car javais encore envie de sa semence de mâle. Lorsquil jouit et menvoya toute son sperme dans la bouche, jeu un orgasme terrible en mimaginant que cétait Karim qui menvoyait toute sa jouissance.

La semaine passa à grande vitesse entre les réunions de préparation du salon de Paris avec Jacques, les trois commerciaux désignés et les techniciens, les discussions sur notre future répartition des tâches avec Valérie et les entretiens avec les trois candidats à lalternance. De plus, Georges était en déplacement toute la semaine.

Lorsque Georges rentra le vendredi, il demanda à me voir. Nous avions pas mal de choses à voir, mais il fallait avant tout que je moccupe un peu de mon patron adoré et jétais aussi, je lavoue, en manque de sa queue !

— Bonjour Valérie. Georges mattend.

— Oui, entre il ma demandé de vous apporter un café.

— Oh cest gentil, mais je vais aller le chercher ! répondis-je en souriant !

— Non ! non ! ça fait partie de mon travail. Entre, il tattend. Jarrive dans deux minutes.

Jentrai sans frapper dans le bureau de Georges qui conversait au téléphone. Il me fit signe de massoir. Sans perdre de temps, jallai magenouiller sous son bureau, et pendant quil continuait à converser, je défis promptement sa braguette et commençai une fellation digne dune affamée du sexe.

— Mon dieu ! Que votre belle queue ma manqué cher patron, soupirai-je.

A ce moment-là, Valérie frappa et entra sans attendre de réponse. Elle posa les tasses sur la table de réunion.

— Bah ! Laeti nest pas dans votre bureau monsieur ? sétonna-t-elle.

— Euh ! Je te rappelle Patrick. Jai une urgence dit Georges qui avait peine à parler naturellement. Euh Excusez-moi Valérie, vous disiez ?

— Pardon monsieur. Mais je pensais trouver Laeti. Elle est repartie ? Son café va refroidir !

— Euh elle a oublié un dossier elle doit revenir.

— Très bien monsieur. Je vous ai posé les cafés sur la table.

— Euh Mmm Mmmerci Valérie.

— Vous allez bien monsieur ? Vous semblez fiévreux ?

— Oouiiii !i fit-il en me déchargeant une quantité incroyable de sperme dans la bouche.

Je ne pus tout avaler et une grande partie se déversa bien malgré moi sur son tapis.

— Voulez-vous que jappelle un médecin monsieur ? Vous me semblez vraiment souffrant insista Valérie.

— Non, non ça ira. Laissez-moi je vous prie.

— Bien monsieur.

Enfin la porte de son bureau se referma.

— Merci ma Laeti. Cétait divin ! Mais soit plus prudente petite salope. Nous aurions été bien si Valérie nous avait surpris !

— Mmmmm quest-ce que tu mas encore mis salaud ! Tas pas baisé durant ton absence ou quoi !

— Et bien figure-toi que je jétais en déplacement PROFESSIONNEL ! me répondit Georges.

— Bon et maintenant comment je fais pour rentrer de nouveau dans ton bureau sans que Valérie ne me voit ressortir ?

— Euh Oui tu as raison. Attends. Il appela Valérie au téléphone et mit le haut-parleur.

— Oui monsieur répondit Valérie.

— Valérie. Jai besoin du dossier Laplace. Vous voulez bien me le récupérer sur le bureau de Jacques ? Cest lui qui doit lavoir.

— Jacques est absent ce matin. Jirai le voir cet après-midi monsieur.

— Non Valérie. Cest assez urgent. Allez le récupérer sil vous plaît.

— Monsieur, je nai pas la clef de son bureau. Mais je vais voir avec Laeti. Je vous lapporte de suite.

— Euh daccord. Merci. Et sadressant à moi : Bon le temps quelle aille à ton bureau, tu seras revenue et si elle sétonne de te revoir ici sans tavoir croisée, tu lui diras que tu es passé par les toilettes.

Fort heureusement pour nous, tout se passe comme espéré avec Valérie. Ensuite, nous fîmes le point sur les affaires en cours.

— Bon très bien. Je vois que les choses sont calées pour le salon de Paris. Une dernière chose Laeti, tu as reçu les candidats pour le contrat de professionnalisation ?

— Oui Georges, je les ai reçus tous les trois mercredi.

— Et alors, ton choix est arrêté ?

— Oui. Je pense que Marina fera laffaire. Elle est très posée, elle présente très bien et elle ma semblée la plus motivée des trois.

— Bon très bien. Tu transmets à Valérie, quelle fasse le nécessaire avec lécole ?

— Oui.

— Merci Laeti. Ce sera tout.

Jallai prendre congé de Georges lorsquil ajouta :

— Ah excuse-moi Laeti, mais encore une chose. Dans deux semaines, jorganise une petite fête pour mon anniversaire. Jen ai parlé à Arthur. Il ma dit que vous naviez normalement rien de prévu. Donc ça me ferait très plaisir que vous soyez présents.

— Oh super ! Ok Georges. On viendra avec grand plaisir.

— Et pour mon cadeau – reprit Georges tu verras avec lui.

— Ah bon ! Très bien. A plus tard Georges, dis-je dun air surpris.

En sortant du bureau de Georges je passai devant Valérie qui me fixa dun regard étrange. Lorsque je regagnai mon bureau, Valérie me rejoignit.

— Laeti, pourrais-tu mouvrir le bureau de Jacques ? Georges ma demandé de lui apporter le dossier Laplace me dit-elle.

— Oui bien sûr répondis-je.

— Tu étais où tout à lheure ? Je tai cherché partout. Je pensais te trouver dans le bureau de Georges.

— Euh javais oublié sur mon bureau un dossier que nous devions voir ensemble.

— Cest étrange je ne tai pas croisée.

— Euh jai fait une pause par les toilettes si tu veux tout savoir petite curieuse ! dis-je en prenant un air faussement taquin.

— Je sais que cela ne me regarde pas Laeti. Mais tu nes pas obligée de me mentir. Nous avons toujours eu une relation franche et sincère, enfin du moins je lespère. Jai entendu des bruits suspects venant de sous le bureau de Georges lorsque jai apporté les cafés. Tu nas pas dexplication à me donner et je nai aucun jugement à apporter. Je te demande simplement dêtre honnête avec moi comme je crois que tu las toujours été dailleurs. Si mes questions te mettent mal à laise, tu nas quà me remettre en place. Mais sil te plaît, ne me racontes pas dhistoires.

— Euh Tu veux bien ferme la porte et tassoir sil te plaît ? répondis-je troublée. Tu as raison Valérie. Notre relation a toujours été franche. Sache que je ne me sens nullement obligée de te dire ce qui va suivre, mais jai grande confiance en toi. Après, à toi de voir ce que tu en feras, mais je te sais intelligente et suffisamment intègre pour garder cela pour toi. La seule chose qui me gêne, cest ce que tu vas penser de moi.

Valérie me regardait attentivement, sans prononcer mot, mais avec une certaine lueur de bienveillance dans son attitude.

— Tu as raison, jétais dans le bureau de Georges ce matin lorsque tu as apporté les cafés, enfin plutôt sous son bureau comme tu as pu le deviner. Cela fait plusieurs semaines que nous entretenons une relation avec Georges.

— Et Arthur ? minterrompit Valérie.

— Attends Valérie sil te plaît, ne minterrompt pas car cest déjà assez difficile de te parler de cela. Arthur est au courant et cest même lui qui my a encouragé au départ. Pas avec Georges, mais avec dautres hommes. Jaime les hommes et je dois reconnaître que je suis certainement ce quon appelle une nymphomane ou bien une salope si tu préfères.

— Je ne te juge pas Laeti, dit Valérie dune voix douce.

— Merci. Donc jai de gros besoins sexuels quArthur a révélés. Il est ce quon appelle un candauliste. Il aime me voir dans les bras dautres hommes. Il aime me regarder. Et moi aussi, je lavoue, jai appris à aimer le voir avec dautres femmes. Pour ce qui est de Georges, cest venu par hasard, enfin je veux dire que je ny suis pas pour grand-chose. Cest Arthur et Georges qui se sont entendus. Jaime profondément mon Arthur et jaime aussi Georges car jéprouve de ladmiration pour lui. Il est devenu très intime avec Arthur et moi. Ce quil se passe entre nous au travail na aucune influence sur les derniers changements puisquils avaient été décidés bien avant que notre relation débute. En conclusion, nous avons tous les trois une conception libre du sexe et nous en sommes épanouis. Daucuns jugeraient cela immoral, mais nous ne faisons de mal à personne et nous sommes des adultes libres et consentants. Personne dautre nest au courant. Maintenant tu sais tout Valérie. Jespère ne pas trop te décevoir et si cest le cas, tant pis, je massume comme je suis.

Il y eut un long moment de silence auquel Valérie mit enfin un terme.

— Dabord ma Laeti, je tiens à te remercier sincèrement de ta confiance et de ta franchise. Jimagine aisément que ce ne sont pas des choses faciles à dire. En tout cas tu peux avoir totalement confiance en moi. Tu as toujours été très attentionnée et très gentille avec moi lorsque je suis arrivée dans cette entreprise. Et à cette époque, ma vie était très compliquée tu sais. Et jai pu me retrouver grâce au travail et surtout grâce à toi et à Georges, qui avaient tout fait pour que je mintègre bien ici. Ne serait-ce que pour cela, toi et Georges je vous respecterai toujours.

— Oh Valérie ! Je suis très touchée de ce que tu me dis. Mais dis-moi franchement, je ne te déçois pas trop ?

— Ecoute ma Laeti, franchement non ! Au contraire, je suis fière de toi : tu tassumes telle que tu es et tu as su trouver les personnes avec qui tu pouvais vivre ta vraie nature. Je trouve que tu as beaucoup de chance. Jaimerais moi aussi pouvoir me libérer du carcan de mon éducation et de limage de bourgeoise coincée que je renvoie aux yeux de tous.

— Je ne tai jamais perçue comme une bourgeoise coincée Valérie ! dis-je avec soulagement.

— Je sais cela Laeti. Mais par exemple, je pense que Georges me perçoit ainsi.

— Oh que non Valérie ! Je peux tassurer que tu as tort ! Georges te trouve très désirable lui dis-je.

— Ne te moque pas de moi sil te plaît ma Laeti.

— Je te jure Valérie. Nous avons parlé de toi et si seulement il avait le courage de te le dire. Seulement, il fait très attention dans ses relations professionnelles. Et puis tant quil est encore marié, il reste très prudent dans son comportement envers les femmes quil côtoie dis-je.

— Comment cela tant quil est encore marié ? Tu veux dire quil est en instance de divorce ? me questionna Valérie.

— Oui Valérie. Mais je ne tai rien dit daccord ?

— Tu sais que ma principale qualité cest la discrétion !

— Je pense que toi et Georges, vous iriez très bien ensemble. Si tu nes pas jalouse bien entendu dis-je avec un sourire dange.

— Jalouse de toi ma Laeti ? Jamais. Au contraire, tant que nous sommes aux confidences, jai toujours rêvé de faire un jour lamour avec une femme aussi sensuelle et désirable que toi ! Je ne suis pas lesbienne, je le sais. Mais cest un de mes trop nombreux fantasmes ! Jespère ne pas te choquer en te disant tout cela.

En guise de réponse, je me levai, mapprochai de Valérie, assise face à mon bureau et me penchant en avant, japprochai mes lèvres des siennes. Mon cur battait la chamade. Je devais être rouge comme une tomate. Je touchai enfin ses lèvres. Elles souvrirent doucement laissant ma langue entrer de plus en plus loin, cherchant le contact de la sienne. Jamais je navais éprouvé autant de sensation en embrassant une femme. Sa bouche était dune douceur inouïe, sa langue dune onctuosité merveilleuse. Elle se détendit, ouvrit davantage ses lèvres pour maccueillir plus loin encore et laisser mon audace virevolter dans une danse folle et humide. Quel baiser divin ! Je massis sur ses jambes à califourchon, elle me caressait les fesses pendant que je fouillai dans son chemisier, sans nous quitter des lèvres. Lexcitation montait, montait Quand soudain la porte souvrit brusquement accompagnée de la voix de Georges :

— Excuse-moi Laeti mais tu naurais pas vu Valérie, je lui avais d. Georges resta figé en nous voyant dans une position sans équivoque.

— Hum ! Hum ! Euh excusez-moi. Jaurais dû frapper. Euh Bon Valérie apportez moi ce dossier Laplace.

Georges quitta le bureau aussi promptement quil était arrivé, en refermant la porte derrière lui.

(à suivre)

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