Te rencontrer enfin
Voilà déjà un mois que nous entretenons une relation épistolaire, mais mon désir étant le plus fort, j’ai décidé de m’inscrire un stage organisé par ma société dans la belle ville qu’est la tienne.
Ce stage durant une semaine, j’ai donc préparé mes affaires ne laissant pas à mon amie de la faire. Je n’ai surtout pas oublié de prendre avec moi mon PC portable qui contient tous nos mails échangés que j’archive ainsi que toutes les photos de ton corps parfait que tu m’as envoyées.
En partant ce lundi matin de la gare je fais un baiser doux à ma compagne mais j’imagine déjà que c’est tes lèvres que je frôle. Lors d’un arrêt pour changer de train je t’envoie juste ce mail:
"Je serais dans ta ville à midi juste pour ta pose déjeuner, attends moi sur la quai de la gare en portant ton imperméable court beige".
Le reste de mon voyage je le passe à relire nos échanges de mail si chauds, à regarder les photos où tu t’offres si coquine à mes regards.
Quand j’entends annoncer que nous arrivons dans ta ville, mes sens se réveillent. Moi l’homme si timide dans la vie et si coquin dans nos échanges par mail.
Lorsque le train s’immobilise, je laisse sortir les autres voyageurs je me mets à penser "Est-ce que Justine aura pu se libérer, a-t-elle envie de me rencontrer?" Le doute s’installe en moi et prenant mon courage à deux mains je me décide à sortir examinant inquiet les personnes encore présentes sur le quai.
Et là, miracle je t’aperçois avec ce sourire qui illumine mes rêves mes pensées. Je reconnais ta chevelure désormais rousse, ton regard pétillant. Je m’avance vers toi hésitant, qui sait tu attends peut être le retour de ton mari?
Je pose mes bagages à coté de toi, et hésitant le cour battant je te dis "Justine c’est bien toi, enfin je te retrouve" et sans plus y réfléchir j’avance ma bouche vers ta joue tout en posant ma main sur ta hanche.
Quel plaisir de sentir enfin mes lèvres sur toi, tu sens ma main tremblante, il est loin l’homme déluré parfois cru avec lequel tu partages ce mois de correspondance.
Je te glisse à l’oreille: "on peut aller boire un café ou un verre que je me remette de mes émotions du voyage et surtout de ta rencontre ma puce"
Prenant mes bagages et n’osant pas te toucher, on se dirige vers le buffet de la gare, mes regards s’attardent sur tes courbes sur tes jambes que dévoile ton imper.
Une fois entrés, on se dirige vers une banquette isolée afin de profiter au maximum de ta présence. Je reste debout à coté de toi le temps que tu ouvres ton imper, je peux enfin voir ce corps que je désire tous les jours.
Tes jambes gainées que dévoile ta jupe qui t’arrive à mi-cuisses, ton chemisier léger qui laisse deviner le sillon qui sépare tes seins de rêve.
Je me tourne vers toi:" Que veux-tu boire? Pour moi, cela sera un café pour commencer? Je sais que tu n’as pas beaucoup de temps à m’accorder ce midi mais je ne pouvais pas attendre jusqu’à ce soir".
Et là sans réfléchir je pose ma main gauche douce et chaude sur ton genou, j’approche ma bouche de la tienne.
Je te sens répondre à mon baiser tout en croisant tes doigts sur les miens. Tu me dis dans un souffle "Tu sais que tu es fou d’être venu comme cela, que t’aies-je fait? Comment va-t-on faire pour se retrouver? Heureusement mon mari est absent cette semaine il est parti ce matin"
Tout en serrant ta main dans la mienne, je te dis "Je ne serai pris que la journée et encore jusqu’à 18 h donc cela nous laissera largement le temps de nous découvrir, de nous caresser, de nous embrasser, tout comme on en parlait dans nos mails ma puce. Et en plus, j’ai réussi à obtenir une chambre avec un grand lit, nous aurons toute la place pour faire l’amour toute la nuit" Tu ne me réponds pas mais tu me fais un petit sourire.
Petit à petit je m’enhardis et je remonte lentement ma main sur ta cuisse jusqu’à la limite de ta jupe, tout en approchant ma bouche de la tienne. Je te sens frissonner sous mes doigts. En te regardant dans les yeux, je te glisse "humm tu es telle que je l’imaginais si belle bcbg qui cache bien son jeu, un tempérament de feu sous un aspect sage" Pour toute réponse tu décroises tes jambes que ma main puisse s’aventurer plus haut.
Reprenant mon rôle de coquin, je te dis: "Et si tu terminais la journée en me laissant ton string en gage, comme cela tu seras obligé de venir le récupérer ce soir?" Tu me réponds "Ah là, je retrouve le Serge que je connais, mais avec plaisir coquin, le temps d’aller aux toilettes"
Je te regarde revenir vers moi, tu glisses ta main sous la table pour me donner ce si petit bout de tissu et je le range dans ma poche
Coquin je te dis "tu es sûre que c’est celui que tu portais j’adorerais contrôler tu sais, ouvres moi tes jambes" et là tu sens mes doigts qui remontent le long de ton DIM-UP qui s’arrêtent sur ta peau nue.
Puis ma main reprend son ascension vers ton sexe presque imberbe, je te sens avancer ton ventre à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Et là enfin je touche au but, ce joli sexe dont je rêve. Je sens l’humidité du plaisir qui te gagne, toi qui m’a avoué que tu prendrais du plaisir à ce que je te caresse en public sans que personne ne s’en doute. J’entends ta respiration qui s’accélère, ton corps parfait de danseuse qui se crispe.
Lorsque j’appelle le serveur pour régler l’addition, surtout je ne retire pas ma main, pour sentir ta réaction au risque que celui-ci se rende compte de ce qui se passe.
Mais voilà, le temps passant trop vite pour nous, tu me dis en emprisonnant ma main contre ton ventre: "Il est temps que je retourne travailler, vivement ce soir que je te retrouve, donne moi l’adresse de ton hôtel, je passerai chez moi me changer et je t’y retrouve pour 19 h 30"
Je te donne l’adresse de mon hôtel, mais avant que l’on se sépare je te dis juste: "Ce soir, je te veux telle que j’aime. Bien sûr tu laisseras ton minou libre, et tu ne mettras pas de soutien gorge, je veux que tu portes un chemisier noir léger en soie qui caressera tes seins, ainsi qu’une jupe évasée que je pourrai remonter sur la paire de dim up noirs que tu mettras pour moi."
Et je t’embrasse à pleine bouche mêlant ma langue à la tienne, puis je te dis à ce soir ma belle Justine
A suivre