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Aventure aux thermes – Chapitre 1




Cette aventure date de quatre ans et a eu lieu dans un complexe thermal proche de Metz.

    C’était un samedi après-midi, comme ils nous arrivent de le faire de temps à autre nous avons ma femme et moi

    étaient nous relaxer dans cet havre de détente. Après le bain initial et le passage au sauna nous avons opté pour un

    bain à bulles à 38?. Cette baignoire qui peut contenir jusqu’à 5 personnes est située à l’ intérieur près du hamam.

    Nous avons faillis faire demi-tour car à notre approche trois hommes y étaient déjà installés. Nous voyant venir,

    une des personnes se leva et quitta la baignoire. En rentrant dans l’eau ma femme écrasa les pieds d’une des deux restantes, s’excusa et prie place, j’en fis tout autant. Une fois installé, j’ai dévisagé les deux personnes qui partageaient notre bain, ils avaient la trentaine bien marqué mais à priori ne se connaissaient pas. J’échangeais quelques mots avec mon épouse, puis comme souvent je ferme les yeux afin de profiter un maximum du bien-être que cela procure. Il n’est pas rare lorsque nous nous retrouvons dans ce lieux, que ma main soit attirée par les cuisses de ma femme. Elle était à ma droite, ma main se posa sur sa cuisse gauche et d’emblée elle me la retira,

    sur le coup je me suis dit: c’est la présence de ses deux personnes qui la pousse à le faire. Quelques minutes

    plus tard, celui qui me faisait face se leva et quitta la baignoire, cela nous donnait plus de place mais ni l’autre inconnu ni ma femme ne jugèrent bon de bouger. Je regardais à nouveau mon épouse, j’ai cru percevoir sur son

    visage que quelque chose clochait, j’ai à nouveau essayé de poser ma main sur sa cuisse et je fus une nouvelle

    fois éconduit. Je fis semblant de refermer les yeux, mais je lorgnais sur ma droite, le mouvement des bulles ne

    permet pas de voir ce qui se passe sous l’eau, mais la gène que je lisais sur le visage de ma femme me

    laissait à penser qu’il se passait quelque chose d’anormal. Ma femme ne disant rien j’en ai convenu que : qui dit rien,consant. A présent, j’avais la certitude que les mains de cet homme, devaient être baladeuses.

    J’ai retenté de poser ma main et une nouvelle fois, elle me la retira, sauf que cette fois-ci elle garda sa main sur

    mon poignet. J’ ai fermé les yeux et attendu, attendu quoi ? qu’ elle prenne l’initiative de rester où quitter le bain.

    La suite que je vais vous donner, c’est elle qui me la raconter.

    A peine, étions nous installés dans la baignoire que son voisin à commencer à lui faire des appels du pied, n’ayant pas la possibilité de déplacer ses jambes sans éveiller ma curiosité et craignant une altercation elle fit mine de ne pas ressentir les approches de cet homme. Celui-ci s’enhardit et bientôt, c’est sa cuisse qui vint au contact de celle

    de mon épouse, il la glissa même sous celle de ma femme, lui permettant ainsi de se rapprocher de son corps.

    Ne voyant aucun gestes négatives de celle-ci, il commença par faire glisser sa main sur les flancs, remonta jusqu’à son sein droit qu’il empoigna. Dans le mouvement descendant, il entraîna le poignet droit de mon épouse et le posa

    sur son sexe en érection, il avait au préalable, prit le soin de le libérer de son maillot de bain. Elle eu un geste de

    retrait mais il la maintenait fermement et ses doigts enveloppèrent le membre dur. Il l’obligea à le masturber conscient

    qu’il était impossible à moi son mari de voir à quoi s’adonner mon épouse. Elle commença des gestes courts sur

    la hampe de l’inconnu, la situation commençait par éveiller ses sens. Sûr, qu’a présent elle ne lâcherait pas son

    sexe, il posa sa main sur le ventre de ma femme et la fit glisser sous l’élastique de son maillot, geste d’autant plus facile que ce jour elle avait mis un deux-pièces bleu turquoise. Sa paume s’inséra plus bas, touchant les poils de son pubis, elle était à sa merci, aussi ne fut il pas surpris de constater que ma femme ouvrait ses cuisses

    pour lui faciliter l’accès à son intimité. Il agaça son clitoris de son index, le nid d’amour de mon épouse s’ouvrit

    à l’intrus et il n’ eu aucune difficulté à la pénétrer d’abord avec un, puis deux doigts. Pendant ce temps elle continuait

    à masturber le membre de son bienfaiteur, excitée qu’elle était de ma savoir présent, mon poignet prisonnier de sa

    main, m’empêchant de constater ce que lui faisait cet inconnu. Son bas de maillot était une entrave à leurs désirs, aussi elle n’hésita pas à soulever ses fesses lorsqu’il fit glisser le tissu le long de ses cuisses, puis s’aidant de son pied il abaissa l’étoffe jusqu’ aux chevilles de ma femme qui put s’ ouvrir le plus largement possible. Sa main put à

    loisir explorer l’ intimité de sa victime vaincue et résigner à donner le plaisir qu’il en attendait. Le travail de cet

    homme irradiait les sens de mon épouse qui se laissait aller à de petites jouissances personnelles. Satisfait de sa

    réactivité, il s’enhardissait, il retira sa main du sexe de ma femme et la remonta jusqu’ à sa poitrinne lui liberant un sein. Il le pétrissait tout en pinçant le téton durcit par l’excitation. Pressé de conclure, sachant que cela ne pouvait durer tout l’ après-midi et me voyant les yeux fermés, il la fit basculer légèrement vers moi, et en faisant

    de même il approcha son sexe de celui de ma femme qui toujours la main dessus le positionna à l’entrée de son

    puits d’amour. Elle cru que son intention n’était que de se frotter le gland sur son fruit gorgé de cyprine, mais dès

    qu’il sentit ses lèvres s’entrouvrirent il donna un coup de rein et son sexe glissa dans le vagin de ma chère et tendre. Elle était possédée par le membre de quelqu’un qu’elle ne connaissait pas, elle ressentait en elle la violation de ce pieu dans ses chairs et l’ encourageait en allant au-devant, le tout en me surveillant. Justement, ma présence

    décupla son plaisir. Il ne fut pas long à venir, elle sentit cette queue gonfler dans son ventre puis exploser sa

    semence au fond de son utérus. Elle fut emporter par un orgasme, dont elle garda les traces de morsure sur ses lèvres durant une semaine. Il resta encore dans la chaleur humide de mon épouse, jusqu’au moment où sa verge

    perdit de sa prestance. Il reprit sa position, ma femme se rajusta en essayant de me cacher son geste. Quelques

    temps plus tard nous sommes retournés au complexe, lorsque nous avons abordés cette baignoire, il m’ a

    semblé reconnaître l’aventurier de mon épouse, bien qu’ayant été très excité de par son acte, je l’ ai emmené plus loin. Je pense que cette personne à dû agir de nombreuses fois dans ce lieu et que d’autres femmes ont dans le

    dos de leurs époux, profitées de son audace. Si vous avez connu même mésaventure, merci de me laisser votre

    témoignage.

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