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Retour aux sources du plaisir avec ma cousine – Chapitre 1




"Monsieur Azziz est attendu à la porte 30 pour procéder à l´embarquement des passagers à destination de Tunis."

Oh merde ! Je suis encore à la traine. Vite vite, je vais rater l´avion. Il faut dire que l´aéroport d´Orly n’est pas le plus petit et à sept heures du matin mon esprit est encore dans les bras de Morphée. À peine monté dans l´avion, les portes se referment et nous décollons. J´étais le dernier passager. Mon cousin se mariant au début du mois d’octobre, il n’avait rien trouvé de mieux que de me prévenir trois semaines à l’avance, donc pour le billet, il ne restait pas trop de choix. Ah ! Qu’est-ce qu´on ne ferait pas pour voir sa famille…

Quinze années s’étaient écoulées depuis mon dernier séjour en Tunisie. Ce pays que ma mère avait quitté à sa majorité pour la France où elle décida d’étudier la médecine puis de fonder notre famille. Chaque été de mon enfance, nous retrouvions notre famille maternelle pour passer des vacances à la plage sous le soleil tunisien. Tout à changé après l’année 2000, l’année où ma mère nous laissa mon père, ma sur et moi pour rejoindre le ciel. Son départ approfondément changé mon père. Il ne pouvait plus s’imaginer en Tunisie sans elle, et, de ce fait, nous non plus. Le temps a passé depuis mes dix ans, et me voilà dans l’avion à vingt-cinq ans près à renouer contact avec les miens. Le temps du vol, j’essayais de me rappeler des noms de chaque personne, tantes, oncles, cousins, cousines. Il m’a fallu presque une heure pour me rappeler de toutes ces personnes avec qui nous avions partagé tant de bons moments.

Parmi tout ce beau monde, il me tardait de retrouver ceux avec qui je restais fourré tous les étés, mes cousins Yassine, Omar et leur petite soeur Zahra. Ils étaient les plus grands d’entre nous, respectivement 30, 25 et 23 ans. Aujourd’hui, ils avaient tous des enfants qui avaient le même âge que moi la dernière fois que je les avais vus. Dans mes souvenirs Yassine et Omar étaient gigantesques et athlétiques, le premier travaillait comme expert-comptable et le second comme manager de commercial, tandis que Zahra était encore étudiante en arts. Est-ce que j’allais les reconnaître, avaient ils beaucoup changé, j’allais vite le découvrir.

Enfin arrivé à Tunis, je pris le premier taxi direction la maison de ma tante à La Marsa. La ville la plus chic de la banlieue nord de la capitale, les pieds dans l’eau. Arrivé devant la porte d’entrée, un comité d’accueil s’était rassemblé. Omar, Yassine et leur mère étaient là juste sous mes yeux. Les garçons avaient pris de l’âge, les cheveux grisonnant avec un petit ventre remplaçant leurs abdominaux. Leur mère n’avait pas changé, toujours le même sourire lui faisant des rides d’expressions toutes mignonnes. Passé le temps des embrassades, je rentrais enfin de la propriété où j’avais passé tant de bons moments.

J’avais un petit pincement au cur, je ne voyais pas Zahra. Finalement celle pour qui j’avais tant d’affections étant enfant n’était pas là. J’appris qu’elle travaillait à plus de trois heures de Tunis, et qu’elle arriverait ce soir après sa semaine de travail. Elle était la talentueuse créatrice de bijoux artisanaux basée à Sfax. J’étais impatient de la revoir. Dans mes souvenirs, c’était la plus belle. Telle Blanche Neige, elle était d’une peau très claire faisant ressortir ses cheveux noirs. Sa peau était d’une douceur égalable à celle des fesses des bébés. À la vue de son visage, tous les hommes restaient de marbre. Des yeux en amande d’un noir profond, un petit nez rond, des pommettes rosées naturellement et une bouche aux lèvres pulpeuses. Du haut de ses 1m57, elle savait toujours mettre ses formes en valeur. Une poitrine ni trop petite, ni trop volumineuse, une taille parfaite bien ronde pour être tenté de les dévorer. Un fessier ferme affichant des courbes d’une beauté à donner des chaleurs aux hommes de foi. Le tout dans une silhouette athlétique. Mais de tous ses charmes, celui que je préférais était son sourire d’une blancheur avec une particularité qui me faisait fondre. Elle avait une fossette qui se créait juste au-dessus des lèvres qui me donnaient déjà envie de l’embrasser enfant. A t’elle changé, je le saurais dès ce soir.

« Ding dong » quelqu’un sonne à la porte, c’est surement elle, Zahra. Mon cur commence à battre dans ma poitrine à une vitesse folle. Comment était-elle devenue, me reconnaîtra-t-elle, était-elle heureuse, allons nous retrouver notre complicité ? La porte s’ouvre devant moi et j’aperçois une silhouette. Ça y est, c’est sûr, c’est bien elle, Zahra. Après tout ce temps, elle n’avait pas changé. Une beauté sans pareil, étant enfant, je souhaitais l’embrasser, aujourd’hui étant adulte, ce sont des pulsions sexuelles que j’avais pour elle. Que suis-je en train de penser ? C’est ma cousine, je ne peux pas avoir ce genre de penser. « A table !!! ». Sortie de nul part, ma tante me ramène à la réalité. Et nous allions ensemble dîner et rattraper les temps perdus en se racontant les histoires de nos vies.

Dans la deuxième partie de soirée, Zahra me propose d’aller boire un verre dans un hôtel cinq étoiles du centre de Tunis. C’est « the place to be », l’endroit parfait pour savourer des cocktails en se faisant bercer par une musique entrainante. Nous nous sommes installés dans une coin reculé, pour parler tranquillement. L’alcool aidant, les sujets variés défilés, famille, travail, loisirs et plaisirs charnels. Ainsi, j’apprenais la naissance de ses deux filles, à son récent divorce et son choix difficile d’aller vivre loin de ses enfants pour tenter de réussir à nouveau dans l’art. À travers ces mots, j’avais la drôle de sensation qu’elle ne me disait pas tout. Après avoir tourné autour du pot, elle m’avoua que l’alcool lui permettait d’oublier ses malheurs. À l’écoute de ses mots je l’ai prise dans mes bras pour lui faire sentir qu’elle n’était pas seule et qu’elle pouvait compter sur moi. Je lui redonnais le sourire en lui racontant les conneries qu’on faisait quand nous étions enfants. Au moment de finir nos verres, il était déjà minuit, elle m’annonce qu’on devait passer par son appartement récupérer des documents avant de rentrer chez sa mère. À l’écoute de cette annonce, j’ai commencé à avoir chaud, des images obscènes se chevauchent dans ma tête. Dans l’ascenseur de sortie, on se met à se prendre en photo. Elle se met à se coller à moi pour faire de superbes selfies. Sans m’en rendre compte, ses fesses qui se frottent contre moi commencent à me donner une érection. Je me mets à la prendre par la taille et la serrer encore plus, ses formes, sa chaleur et son odeur sont en train de m’envoûter. Mais qu’est-ce qui me passe par la tête, c’est ma COUSINEEEEE.

Quelques minutes de route plus tard nous voilà devant les portes de sont appartement. Nous entrons, et je découvre un sublime appartement qui m’est gentiment fait visiter par Zahra. J’alterne la direction de mon regards entre la décoration et ses fesses qui se déplacent devant moi. En la voyant marcher devant, je me rends compte que je ne suis pas le seul à être ivre. Elle me présente sa chambre comme étant la cuisine, puis sa cuisine comme étant sa chambre. En entendant cela sortir de sa bouche, mes sens se sont mis en alerte, j’ai pris cela comme une invitation au plaisir. La lumière de la cuisine étant éteinte, je prends Zahra par la taille et la colle contre la table à manger. Je lui dis dans l’oreille, « as tu déjà utilisé cette table pour prendre du plaisir ? ». Elle se mit à sourire. Tout de suite après, je l’ai soulevé pour l’allonger délicatement sur la table. Je me suis dirigé lentement vers sa tête, j’ai glissé ma main dans ses beaux cheveux noirs, j’ai rapproché mon visage du sien, elle ferma ses yeux et c’est à cet instant que tout à basculé. J’ai posé mes lèvres sur les siennes, elles sont encore plus douces que je les avais imaginé. Ma surprise fut grande quand elle m’a retourné mon baisé avec encore plus de passion. Sa langue se glissa dans ma bouche, pour jouer avec la mienne, qu’elle plaisir intense j’ai ressenti ! Nous avons continué de nous embrassé pendant quelque minutes. Puis soudain, la soif est revenue, et de l’un des placards elle sortie deux belles bouteilles de Vodka, l’une dorée et l’autre rosée. Après nous êtres servis deux verres, je n’avais qu’une seule envie, c’est de recommencer. Une seule gorgée m’a suffit pour la prendre contre moi, ma cousine, pour l’embrasser de nouveaux. Visiblement cela ne la dérangeait pas du tout. Elle renforçait sont étreintes et les mouvements de sa langue. Au moment où elle m’a mordue les lèvres, c’était partie. J’ai glissé ma main dans son dos pour lui détacher rapidement son soutient gorge. J’ai senti une monté de testostérone en moi. J’ai soulevé Zahra avec une facilité surprenante, ses fesses dans mes mains étaient un plaisir divin.

Ses fesses dans mes mains et sa langue dans ma bouche, je l’ai déposé sur son lit. Devant moi s’offrait ma cousine. Avec son sourire, elle m’appelait pour lui faire oublier ses problèmes du quotidien. Qui suis-je pour dire non à cette femme tant attirante ? Je me suis allongé sur elle pour reprendre où on en était. Mais très vite, je me suis mis à la déshabiller. Je découvrais chaque partie de sa nudité avec plaisir. Plus j’enlevais ses vêtements et plus mon pénis me faisait mal tellement il était dur. Comment lui en vouloir quand il allait découvrir ce qui allait être son lieu de plaisir pour la nuit. Une fois tous ces vêtements retirés, seule sa culotte lui restait. Sa culotte me faisait dire qu’elle n’avait pas prévu ce qui était en train de se passer. Elle s’est mise sur moi pour me retirer mes vêtements. En moins de temps qu’il n’en faut pour compter jusque à dix. J’étais nu. Nu comme un verre devant ma cousine allongée avec un sourire. Arrivé au moment de retirer la dernière barrière qui me séparer de son entrejambe. Zahra, était très gênée, elle avait une serviette hygiénique qu’elle s’est dépêchée de retirer en me demandant de fermer les yeux. C’était trop attendrissant, mais tout était en place maintenant. J’ai repris les baisers, puis j’ai glissé le long de son oreille pour lui lécher le cou. Son parfum Tommy Girl m’enivrait. Je repris ma descente vers sa poitrine, et quelle poitrine ! Si grosse et ronde. Elle a un certain goût en bouche, Zahra a du avoir chaud pendant la soirée et j’adorais ça. Et soudainement, elle m’a dit « Mais qu’est-ce qu’on est en train de faire ?». La seule réponse que j’ai su lui donner était « Chute, profite de moi, laisse-moi te donner du plaisir, Enjoy! ». Mes mots ont eu raison de sa morale. C’était purement une relation incestueuse. Mais nous étions tous les deux avec une seule idée en tête. Profiter de cette nuit pour laisser parler nos pulsions profondes.

Zahra arrêta ma descente vers son vagin, puis soudainement, elle se mit à glisser sa main dans mes cheveux pour les tirer d’une force pour coller sa tête à la mienne. Puis avec sa deuxième main elle a saisit mon penis avec douceur pour l´amener dans son entre. L´entré lui fut douloureuse malgré la mouille qui luisait entre ses cuisses. Après quelque va-et-vient, son visage commença à montrer des signes de plaisir ce qui n´était pas pour me déplaire.

Je ressentais un plaisir immense de pouvoir donner à nouveau du plaisir à une femme. Encore plus lorsque c´est Zahra. Je me suis arrêté l´espace d´un instant pour contempler ses yeux. Je me noyais dedans. Elle caressait mon visage en sueur de sa main. C´était assez étrange cela ne semblait pas la géner mais cela l´exitait. Et donc moi de la même manière. J´ai saisi ses mains d´une seule main pour les mettre au-dessus de tête avec force, puis avec l´autre main, j´ai saisi sa gorge. L´empêchait de se débattre me faisait ressentir fort face à elle. Le dominant face à sa dominée.

Mes mouvements se faisaient moins tendre et plus brusques, bestiaux serait leur meilleur adjectif. Plus je pilonnais son vagin et plus elle mouillait, me procurant encore plus de plaisir. Toujours plus. A chaque fois que je rentrais jusqu´au bout mon membre, elle poussait un gémissement inoubliable "Ahhh Ahhh Anhhhh". C´était un chant à mes oreilles.

J´ai voulu qu´elle me domine à son tour, en ce mettant sur moi. Mais ce n´était pas ce qu´elle souhaitait. Cette coquine voulait que je la BAISE!!!

Je l´ai retourné et mise à quatre pattes, pris ces cheveux et l´ai culbuté comme elle le méritait. J´adorais défoncer sa chatte par-derrière. Elle savourait chaque coup de bite et ça se voyait. Et ce n’était pas la seule. J´en profitais pour lui mettre des fessées qu´elle reçue volontier. Son cul bombé était prêt à recevoir ma penis. Mais la sodomie n´était pas au programme, elle semblait encore fragile à ce niveau.

Nous en étions qu´à l´apéritif. Elle bougeait son ses fesses telle une danseuse des mille et une nuits. Je prenais mon pied et elle aussi. Puis je ralentis mes mouvements pour lui mettre la tête collée au matelas pour lui faire étouffer ses cris. Ce qui la fit mouiller encore plus. Elle était si bonne. Elle courba encore plus ses fesses pour me faire pénétrer au plus profond de son être. Et soudain je fus piqué par quelque chose. Son stérilet. Je ne pensais pas l´atteindre. Mais cette position l´a fait remonter un peu plus vers moi. Sachant cela, en ayant la sécurité qu´elle ne pouvait avoir d´enfant de cet acte incestueux. Je continuais à lui pilonner son vagin.

Nous changeâmes de position que je reprenne mon souffle. Nous nous sommes mis en ciseau, et avons enchainé les va et viens. Elle semblait y trouver un intérêt particulier, différent. Je pense qu´elle est clitoridienne. Hummm.

Elle prenait le contrôle de la situation en s´agrippant à ma cuisse tout en se frottant comme une petite chienne avec son jouet. J´aimais regarder ce spectacle. Il me procurait un bien fou. Moi Azziz 25 ans, donnais du plaisir à Zahra 37 ans, et quel plaisir ça me donnait. Je me sentais ivre, ivre de joie, de bonheur, ivre de liberté, mais surtout vivant. Après ces vas et viens de la part d´unr Zahra dechainée. Je mis fin à cette partie de jambes en l´air sans jouir. Et pourtant, je voulais lui arroser le corps de sperme, et qu´elle se l´étala devant moi, mais ma raison était en train de revenir pour me faire la morale.

Pour autant, je restais tout nu, pendant que Zahra se rhabiller avec ma chemise à carreaux. Elle se déhanchait debout devant moi à la recherche de sa culotte. Une fois retrouvée, elle me jeta à la figure ma chemise pour mettre ensuite son jean. Je fis de meme, calcon et t-shirt pour etre sur de recommencer rapidement. Après avoir joué sur le lit de la chambre, il nous fallait profiter du reste de l´appartement. Zahra coupa musique pour mettre la sienne, prétextant qu´elles lui permettaient de danser correctement.

Sean Paul l´aida à danser comme une déesse sous mes yeux. Danser seule ne lui plaisait pas, il lui fallait un partenaire. Elle se mit dos à moi et bougeait son cul à la perfection. Mon pénis est restait droit, de mon arrivée dans l´appartement jusqu´a maintenant. Et il n´était pas prêt de se fatiguer. Après quelques autres musiques. Elle alla récupérer ses affaires dans la chambre. Mais je l´ai prise par-derrière, devant le miroir où elle se contemplait avec délice.

Je l´embrassais langoureusement quand soudain, elle souhaita rentrer chez sa mère pour éviter que celle-ci s´inquiète. C´était hors de question pour moi. Je l’ai plaqué contre le mur du couloir pour.l´embrasser la retenir et profiter tous les deux au maximum de ce moment. Je soulevai sa cuisse dans son jean pour frotter sa petite chatte. Elle saisissa ma bite pour la branler. Ohhhh quelle main experte. Elle me repoussa de nouveau pour m´attirer jusqu´au lit. Elle s´est assise face a moi, je n´ai pas compris, elle abaissa mon boxer pour prendre ma queue en main. Elle rapprocha sa bouche de ma queue puis s´arrêta en me regardant droit dans les yeux. J´ai senti qu´elle était prête à tout pour me faire jouir.

En engloba ma queue à une vitesse dans bouche si chaude que je voulais y rester vivre. Sa langue tournait autour de mon gland me provoquant des spasmes de plaisir. Je gemissait litteralement. La complimentant sur ses prouesses. Elle avait à la fois une langue experte, mais un poigné qui savait branler sans faire mal et à une vitesse parfaite. Elle enfonça mmon membre jusqu´au fond de sa gorges j´adorais ça. Je n´avais pas pris mon pied depuis très longtemps. Et au moment où j´allais jouir, encore une fois cette putain de voie me dit "Pense à ta femme arrête". J´ai pris sa tête et les repousser sur le lit. Je lui ai monté dessus et lui ai dit " si tu le (sperme) veux vraiment vient à Paris". Ça a surpris Zahra, mais ne l´a pas détourné de son objectif. C´est donc comme ca qu´elle me proposa un tits fuck.

Cette femme est juste une déesse hhhh. Elle continuait de me sucer en me regardant avec un regard de coquine tentatrice qui m´envoûtait. Mais c´était trop tard je ne pouvais plus jouir ma morale avait repris le contrôle de mon esprit.

Je me suis levé subitement pour se rhabiller et enfin quitter cet endroit magique.

Le week-end ne faisait que commencer, et le mariage de mon cousin avait lieu dans quelques jours.

Si vous voulez connaitre la suite, n’hésitez pas à me le faire savoir !

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