J’ai passé une enfance heureuse. Même si mes parents m’ont confié au bon soin d’un pensionnat chrétien, catholique de surcroît, j’ai néanmoins eu un léger sentiment d’abandon.

Toutefois, cela n’a pas entaché ma vie pour autant.

C’était toujours un déchirement de quitter le foyer familial le dimanche soir pour rejoindre le dortoir de l’institution.

Imaginez, soixante potaches entassés dans une pièce aussi grande que notre salle à manger.

Mes parents possédaient une grande maison de trois étages, une salle de bain et un WC par étage.

Je venais de satisfaire aux épreuves du CEP, que j’avais obtenu, sûrement grâce au fait que j’avais été le seul de ma promotion à avoir chanté devant l’examinateur et toute la classe, l’un de ces chants spécifiquement rédigés pour les épreuves orales.

Aussi pour fêter l’évènement, mon père organisa un dîner de famille. Je le savais fier de son fils. Lui qui se désespérait de me voir un jour faire des études, il fut rassuré quelques années plus tard, lorsque j’ai été admis à l’université…

Papa avait réuni quasiment tous les membres de notre famille. Du plus profond de mes souvenirs, nous ne devions pas être moins d’une quarantaine de personnes.

Cousins, cousines, oncles et tantes vinrent me féliciter, me couvrant de bisous et de présents, il faut dire que, chez nous, tout le monde était généreux.

Mais ce qui me fit le plus plaisir à cet instant, fut le baiser de ma cousine Lucie, qui de sa bouche avait couvert une partie de ma bouche, éveillant en moi, une sensation aussi agréable qu’hier lorsque le facteur nous a apporté le courrier annonçant ma réussite au CEP.

La journée avait été habituelle et je m’étais couché de bonne heure. Je mangeais rarement avec mes parents, souvent bien avant eux.

Mon père m’avait assuré d’une surprise et je mis longtemps à m’endormir, cogitant sur la surprise annoncée.

Il faisait chaud dans ma chambre du dernier étage. Je dormais toujours en slip propre après avoir pris une douche, un reste d’éducation de ma mère, scrupuleuse sur l’hygiène, que j’observe encore à ce jour

Ce devait être l’aube de la puberté, car il m’arrivait de faire des rêves érotiques. Et, ce soir là, une sensation bizarre voulait sortir de mon ventre.

Je ne comprenais pas très bien ce qui se passait en moi, mais c’était délicieux et même meilleur que la mousse au chocolat de maman.

J’avais chaud et froid à la fois, le drap au pied de mon lit, j’étais étendu tout en travers et d’un seul coup une onde parcouru mon corps.

Je m’entends encore gémir sous ce plaisir grandissant qui embrasait mon bas ventre. De ma verge sortit quelque chose, que je ne connaissais pas, c’était sublime.

Mon slip blanc était mouillé et remplit d’une espèce de liquide opaque, j’étais encore sous le coup de ce plaisir, effrayé par ce qui venait de m’arriver.

Je me précipitais à la salle de bain et baissais mon slip pour regarder ma verge. Elle était là, intacte et molle, une goutte de liquide perlait encore et tomba sur le carrelage.

Inutile d’en parler à ma mère. Chez nous, nous ne parlions pas de sexe. Je gardai ce secret pour moi et ce ne fut qu’au pensionnat que je découvris que les garçons étaient sujets à des éjaculations nocturnes.

Apres m’être recouché et lavé, je m’étais caressé le sexe dans l’espoir de retrouver cette sensation. A ma grande stupeur, ma verge reprit de la vigueur et le va et vient que je m’appliquais me remplissait de bonheur.

Telle une vague des quarantièmes rugissants, le plaisir pulsa dans mon bas ventre. J’aurais voulu que ce plaisir dure, mais mes mouvements continus sur ma verge ne firent qu’accélérer le moment inéluctable.

J’éjaculais sur mon ventre en longs jets de liquide translucide, des frissons parcouraient mon corps tout entier, je nageais dans le bonheur….

Quand Lucie, ma grande cousine, une vieille d’au moins vingt ans m’avait embrassé, juste sur le coin des lèvres, j’aurais bien voulu que mon ventre expulse un plaisir identique.

Lucie faisait partie d’une branche éloignée de ma famille, un beau brin de fille, qui faisait la fierté de ses parents, belle et brillante.

De toute la soirée je ne pus m’empêcher de la regarder. Je devinais, sous son pull moulant, ses seins généreux qui ne manquaient pas d’attirer le regard. Je savais quelle avait un copain, j’en étais intérieurement jaloux.

Et quand je pense qu’elle allait dormir sous le même toit que moi… J’en bavais déjà, mais sans illusion : une fille comme ça, n’avait que faire du ? minus ? que j’étais, même si j’étais aussi grand qu’elle !

Nous avons mangé, dansé, ri et raconté des blagues, les parents d’un coté, les jeunes de l’autre. Lucie était venue s’asseoir à mes cotés, je pouvais sentir son parfum et de temps en temps je frottais ma main sur sa cuisse nue.

Elle était douce sa cuisse. Discrètement, j’avais posé ma main sous un pli de sa jupe, juste à la rencontre de sa petite culotte.

Au diable les risques ou la honte d’une paire de gifles, je trouverais bien une excuse. Ce contact furtif n’eut pas l’air de déranger Lucie… Son absence de réaction et le contact de sa peau entraîna une belle érection dans ma culotte.

Vers vingt deux heures trente, les enfants durent aller se coucher. Lucie resta avec les adultes.

Il y avait trois chambres au dernier étage de la maison, dont une avait été réservée pour Lucie, je n’arrivais pas à dormir, même après avoir bu, pour la première fois de ma vie, une coupe de champagne.

Je m’imaginais Lucie nue, un fantasme de potache.

Cette pensé ne m’effrayait pas le moins du monde. Certes, elle était de ma famille mais c’était une cousine éloignée. A mes yeux, elle était avant tout une femme, bien faite, comparable aux filles des magasines qu’il m’était arrivé de feuilleter.

J’avais néanmoins dû m’assoupir quand j’ai entendu du bruit dans la salle de bain.

Je me levais comme un diable sortant de sa boite pour me diriger vers la lumière. La maison dormait, trois heures du matin venaient de sonner à la grande horloge Comtoise du salon.

J’entrebâillais la porte de la salle de bain et je vis Lucie de dos, nue.

Impossible de détacher mon regard : penchée sur le lavabo pour se brosser les dents, ma cousine m’offrait ses fesses et je pouvais voir son sexe et même son anus.

Quel spectacle, je m’en souviens encore, même l’age n’a pas affecté sa plastique à ce jour. Nous nous revoyons à l’occasion de fêtes diverses.

J’ai senti en moi un bouleversement, plus précisément dans mon bas ventre. Ma verge avait pris une taille que je ne lui connaissais pas et formait une bosse dans mon slip.

Puis ce fut une vision extraordinaire, Lucie se retourna, je vis ses deux seins et surtout son pubis couvert de poils blonds.

Je n’avais jamais vu de sexe de fille avant ce jour là, que c’etait beau et discret.

Perdu dans mes pensés, je levai les yeux, Lucie me fixait ! J’étais terrassé, je l’entendais déjà hurler comme une sirène d’alarme, réveillant toute la maison. J’allais passer un sale quart d’heure.

Mais non, Lucie me fixait, un doigt sur ses lèvres en signe de silence.

Elle me fit signe d’avancer, mais impossible de faire un pas ; elle a dut me prendre par la main pour me faire entrer dans la salle de bain.

Je voyais ses deux seins d’où émergeaient deux tétons dressés sur une aréole brune, son ventre plat ondulait lentement et je voyais aussi son sexe, tout près.

Elle sentait bon le parfum du savon de douche.

Elle me fit asseoir sur le bord de la baignoire et retira mon slip. Ma verge jaillit. Elle esquissa un sourire. J’étais tétanisé.

Je ne savais pas comment réagir face à cette situation, m’enfuir en courant ou me laisser faire, Lucie prit les devants.

D’une main douce, elle empoigna mon sexe et son autre main fila dessous pour caresser mes bourses en une délicieuse caresse.

Ma verge enflât encore un peu, je voyais sa main courir le long de ma hampe et la peau de mon prépuce décalotter le gland.

Son mouvement de main n’avait rien de comparable au mien, lors de ma masturbation. Là, c’était le Nirvana.

A un moment, elle me fit un peu mal, mon gland se décalottait à chacun de ses va et vient et je ressentis une douleur, comme un coup d’aiguille dans le bas ventre.

Puis la douleur s’estompa pour revenir plus violente car, d’un coup, elle tira violemment sur la peau pour bien faire jaillir mon gland, sa bouche le fit disparaître et sa langue le caressa.

Tout en lui éjaculant dans la bouche, je la voyais déglutir. Elle m’avalait au point que son nez touchait mon ventre.

J’aurai voulu rester dans sa bouche, tellement le plaisir irradiait mon corps. Mais elle se leva pour m’embrasser sur la bouche, sa langue cherchant la mienne, je ne savais pas trop quoi faire, elle me guida.

Lucie s’allongea sur le carrelage de la salle de bain, et m’attirât à elle.

A genoux entre ses cuisses je pétrissais maladroitement ses seins, je gobai même l’un de ses tétons pour le mordiller entre mes dents, Lucie bougeait, sa respiration était plus forte.

Ma main s’enhardit vers son entrejambe, je la plaquais sur sa vulve et laissais mes doigts courir le long de la fente et des grandes lèvres.

C’était doux et soyeux.

Tout en haut des lèvres, je découvris un petit bouton que je sentis grossir sous mon doigt. Lucie se tortillait comme un ver en gémissant.

Je n’en revenais pas, elle devait avoir le même plaisir que j’avais eu quand elle m’a sucé ; son ventre, telle une vague, ondulait sous la caresse de mon doigt.

Je fis pénétrer un doigt dans son vagin entrouvert. C’était chaud et humide et je me mis à le faire danser dans son ventre, avant d’en enfiler un autre.

Lucie prit ma tête entre ses mains, elle voulait que je la suce à mon tour, je ne pouvais pas me défiler au risque de passer pour un morveux.

Ma langue glissa le long de la fente, elle était toute mouillée d’un jus visqueux, mais agréable au goût; ma langue titilla son petit bouton et là ce fut le déluge.

Lucie banda les muscles de son ventre et je sentis dans ma bouche couler un liquide plus abondant. Je la léchais comme un petit chien lapant son lait.

Lucie si discrète d’habitude, se donna à moi dans un long gémissement de bonheur et je bus aux lèvres de son entrecuisse.

Elle m’attira sur elle, guidant mon sexe vers sa grotte. Très vite, celui-ci trouva le chemin…

C’était encore plus doux que sa bouche. J’eus l’impression que des milliers de bouches me suçaient.

Je voulais m’enfoncer encore plus en elle, j’écartais ses cuisses au maximum, comme un compas, et je fis quelques va et vient.

Mon prépuce, totalement décalotté, frottait sur ses parois intimes. Je sentais que je n’allais pas tenir bien longtemps car, déjà, le plaisir montait en moi.

Ma verge gonfla d’un seul coup et Lucie me murmura à l’oreille un ? pas encore ? que je ne compris pas. Elle crispa son bassin pour me stopper et calmer mes va et vient.

Le plaisir ne demandait qu’à jaillir de ma verge, je le savais et je voulais jouir, mais Lucie m’emprisonnait.

Lorsqu’elle relâcha la tension, j’en profitais pour mieux m’enfoncer en elle. L’intérieur de son vagin se serra autour de ma verge.

Elle me serra entre ses bras, si fort que je faillis être étouffé. J’éjaculai en elle en de longs jets du même liquide qui était sorti de mon sexe lors de ma masturbation.

Cela pulsa si fort que je pouvais sentir les tressautements de mon gland dans son vagin.

Lucie avait serré ses jambes autour de ma taille et ma tête était enfouie entre ses seins, je sentais les convulsions de son corps contre le mien.

Dans un râle, Lucie ânonna un ? je jouis ?

Je restais un moment dans son ventre, pendant qu’elle me berçait comme un enfant. Ma verge sortit d’elle-même de son vagin et je sentis couler du liquide de sa vulve, sûrement mon sperme.

Je lui fis quelques bisous et attendit qu’elle s’apaise lentement. Allongé sur son corps nu, je me laissais aller, béat.

Je me relevais et contemplais Lucie sur le carrelage, ses cuisses encore ouvertes et ses gros seins ronds me donnaient encore envie d’être en elle.

Mais ma verge ne voulut plus rien savoir. Je me mis à la caresser tendrement entre les jambes et sur les seins. Je m’attardais sur son petit bouton, la clé de son paradis.

Je glissais deux doigts dans le vagin de Lucie pour remonter jusqu’à son clitoris, mot que j’appris plus tard au pensionnat.

Je me disais que les filles , à l’instar des garçons, devaient aimer se masturber et j’entrepris de la branler.

Je caressais son clitoris gonflé par le plaisir récent tout en farfouillant sa vulve.

Pendant que mes doigts fouillaient son vagin, j’appliquais ma bouche sur son clitoris pour le lécher.

Sa vulve se contracta, je le sentis à mes doigts emprisonnés. Elle étouffa un cri et je sentis quelque chose de chaud : Lucie jouissait sur mes doigts, j’étais heureux.

Je les retirai de son vagin pour goutter cette substance visqueuse qui coulait de mes doigts. Ca n’avait pas grand goût, mais elle sembla ravi…..

Mes cousins et cousines partirent le lendemain après le déjeuner, en nous promettant de venir nous voir au plus vite.

De toute cette fête, sans aucun doute, le cadeau de Lucie fut le plus merveilleux d’entre tous, d’ailleurs je m’en souviens encore aujourd’hui. Elle fit de moi, ce jour là, un homme.

Je revis Lucie à plusieurs reprises, notamment pour fêter mes 14 ans quelques mois après mais jamais nous ne réitèrent ce jeu, nous n’en fîmes même jamais allusion.

Notre secret !

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