Hier soir jai rêvé de toi BB et dans mon rêve je timagine en nuisette, et là tu me dis que tu nas pas de culotte donc je te relève pour te déshabiller, entièrement nue. Tu me tournais le dos et là je peux très facilement admirer tes fesses rondes et dodues, séparées en leur centre par la profonde raie, tes cuisses bien en chair et très bien faites. Jadore ta petite cambrure en bas des reins, ce qui met en valeur la rondeur de ta croupe. Je trouve cela très excitant.
C’est avec énormément de douceur que je mapproche vers toi pour me saisir de tes lèvres. Ma langue rencontra la tienne et s’agita dans ta bouche avec délicatesse, me régalant de la salive sucrée de la femme que j’adore.
J’avance une main pour me saisir de lun de tes seins. Un trouble intense m’envahit en sentant sous mes doigts cette chair si douce et extrêmement moelleuse, que j’entrepris de malaxer. Puis japprochai ma bouche pour les mordiller un peu pour qu’ils soient durs, qu’ils pointent vers moi. Hummmm jaime mattarder dessus avec ma langue, car sous cette pression, tu poussas un petit gémissement.
— Je n’avais jamais bandé aussi fort. J’avais l’impression que ma verge allait jaillir de mon jogging
Ma main descendit vers ton vagin et au toucher de mes doigts tes jambes s’écartèrent pour les laisser arriver à ton diamant qui est maintenant totalement mouillé et luisant de plaisir, il était chaud et s’offrait à moi sans défense. Tu mourais d’envie de sentir mes doigts s’introduire à l’intérieur de ton vagin, je sentais ta chair palpitante enserrer mes phalanges.
Alors là, comme prise de frénésie, tu agites ton bas-ventre d’avant en arrière pour mieux sentir mes caresses qui se font de plus en plus rapides. Ta main se dirige lentement vers ma verge qui est déjà en pleine érection et tu la saisis doucement pour la garder quelques instants, la tâter pour estimer sa dimension avant de commencer à la masser légèrement puis à la caresser pour accentuer mon érection. A ce moment je t’entendis me dire dans un murmure :
— Hummm comme elle est bien dure je vais moccuper de toi.
Huuuuuummmmm jai trop aimé te voir la mettre dans ta bouche ce morceau de chair brûlante, palpitante et veineuse que tu te plais à déguster, lentement, sans te presser.. Et puis avaler cette passion qui sort de moi, témoin heureux du plaisir que tu me procure.
— Mais ce nest pas fini Aurore
Je ne veux daucun répit, Vas y assied toi sur moi, et sens contre ton ventre la flèche de mon désir redurcir. Tes mains sur mon torse, ton clitoris contre mon ventre.
— Ne mépargne pas fais-moi souffrir !!!
Tu frottas ma queue contre tes lèvres pour l’imbiber de ta mouille tout en accentuant mon désir puis je veuille qu’essayer de la pousser vers ton conduit vaginal, d’un coup de rein je l’introduis lentement dans ta grotte chaude et douce.
— Tu peux limaginer de ton bureau ma grosse bite limant ta chatte davant en arrière, très en profondeur.
Je reste prisonnier de tes jambes qui m’enserrent fortement. J’suis terriblement excité par cette situation. C’est la première fois que j’enfonce ma queue dans un sexe aussi douillet. Et avec ivresse je laisse coulisser mon pieu brûlant dans tes entrailles féminines, savourant le frottement de tes chairs douces et palpitantes le long de ma verge.
Je commence un va et vient incessant en enfonçant au plus profond ma verge dans ton vagin.
J’accélérais alors les mouvements de mes hanches. Les lents va-et-vient de mon membre viril à l’intérieur de ta grotte deviennent de violents coups de boutoir.
Et pour augmenter ton excitation je te claque la fesse dans un premier temps par la suite je promène un doigt dans ton anus, un gémissement plus fort me fait comprendre que taime ça. Plus mes coups de reins se font rageur, plus tu te cambres en poussant de petits cris de plaisir. Haletante, tu me regardes dans les yeux et m’embrasses avec fougue en gémissant.
— Aurore sil te plaît avance ton bassin et relève encore plus tes jambes en les écartant le plus possible pour me faciliter une pénétration plus profonde.
Nos langues se caressaient dans un bain de salive parfumé. Pendant que tu poussais de petits gémissements déchirant et j’enfonçais ma verge gonflée au plus profond de tes entrailles labourant ton vagin ruisselant de plaisir. Je te vois fermer les yeux, comme pour mieux savourer les va-et-vient de ma « dick » dans ta chatte bien trempée.
Et là tu jouis profondément et les sensations de ton ventre envahissent ton cerveau. Sous mon doigt je peux sentir les contractons de ton trou du cul. Le plaisir devenait de plus en plus intense en moi et dans un violent soubresaut de tout mon être, je ne peux plus me contrôler, je décharge ma semence au fond du ton ventre.
Exténués nous restons enlacés ainsi un bon moment pour reprendre notre souffle puis je pose sur tes lèvres un baiser léger pour te remercier de ce doux moment de bonheur.
20cm.97