Salut c’est votre folle de lycra.
Dans les épisodes précédents je vous racontais comment mon amie que nous prénommerons ma minette, m’avait fait rencontrer son collègue de travail prénommé Gilles et son ami Claude car tous deux étaient homos. En fait Gilles avait craqué pour moi quand ma chérie lui avait montré ma photo. Elle n’avait pas été contre le fait de me présenter un peu en sachant ouvertement comment cela finirait. C’est ainsi que j’avais appris à satisfaire un homme, je pouvais leur donner du plaisir désormais avec ma bouche et mon petit cul. Le problème c’est que ce couple d’homos m’appréciaient énormément et qu’ils désiraient faire de moi leur poupée gonflable. Avec l’assentiment de ma chérie ils avaient même droit de regard sur mes tenues intimes maintenant.
Voilà comment je me suis retrouvé à porter maintenant uniquement des dessous féminins à même mon corps; vu de l’extérieur personne ne le savait mais Gilles Claude et ma minette étaient au courant. Les semaines allant je commençais à y prendre goût d’autant que les matières étaient toujours très douces. Ma minette c’était chargée de me monter une garde-robe, du coup maintenant quand j’étais à la maison je vivais en femme et quand j’allais chez Gilles et Claude c’était la même chose. Ayant peur que je sois coureur de jupons ma belle qui travaillait dans l’événementiel préférait que je passe mes weekends, où elle n’était pas là, chez ses amis. Ainsi si je puis dire elle savait où j’étais et ce que je faisais.
Du coup une à deux fois par mois je me retrouvais en femme chez ses deux amis homos. 48 heures durant je me retrouvais là pour leur donner du plaisir et uniquement en femme. Mine de rien je commençais vraiment à prendre grand plaisir à vivre comme cela, ils me bichonnaient comme si j’étais leur femme. Par contre ils s’occupaient sexuellement aussi de moi comme si j’étais leur femme. Au fur et à mesure que je passais des weekends à chez eux ils poussaient ma méthamorphose toujours un peu plus loin. Un weekend j’ai eu droit du rouge à lèvres le weekend d’après j’avais le droit à du maquillage un autre weekend j’avais le droit à des faux seins puis un autre j’avais le droit à un plug. Le pire c’est que à chaque fois cela faisait sourire ma minette.
Un rituel s’était installé à savoir elle m’emmenait chez eux et me récupérait tous mes vêtements d’homme qu’elle laissait dans la voiture et me les ramenait le dimanche soir quand elle venait me chercher. Du coup régulièrement pour le weekend je me retrouvais la femme de ces deux hommes. J’ai fini par leur faire la cuisine faire la vaisselle leur faire le linge tout cela dans des tenues très sexy et sur des talons aiguilles voire même des cuissardes. Je leur faisais des pipes dans la cuisine le séjour les toilettes la salle de bain et même sur le balcon. Je me faisais prendre dans le lit sur la baignoire sur le canapé sur le lavabo l’évier la machine à laver et même contre le mur. Le pire c’est que de plus en plus je prenais goût à ce traitement.
J’adorais quand ils me faisaient mettre à genoux sur le canapé appuyé sur l’accoudoir. Gilles venait me remplir la bouche de son sexe pendant que Claude posait un genou sur le canapé l’autre restait par terre et je me faisais prendre tout en douceur. Il poussaient même le vice jusqu’à me parfumer, pendant 48 heures je me sentais vraiment femme. Je prenais grand plaisir à serrer leur sexe avec mon sphincter, de cette façon je les sentais beaucoup mieux coulisser en moi et du coup cela me donnait bien plus de sensations agréables. J’adorais quand ils me caressaient le visage pendant que je leur faisais une fellation; ils étaient vraiment d’une grande douceur avec moi.
Après que Gilles ait insisté auprès de ma compagne, cette dernière m’avait demandé à ce que je me laisse pousser les cheveux; j’ai obtempéré. C’est ainsi au bout de plusieurs mois ils réussissaient à me tenir par les cheveux quand ils me prenaient par-derrière cela changeait un petit peu car d’habitude ils me tenaient par les hanches. Au bout d’un an je me faisais joie d’aller passer mes weekends chez le collègue de ma minette. Ce dernier m’avait même appris à marcher de façon plus féminine, d’éclaircir un peu ma voix et d’avoir des gestes un peu plus féminins. Je retenais toutes les consignes et finissais par les mettre en application au fur et à mesure.
Le problème c’est qu’à force cela se répercutait sur ma vie de tous les jours. Au boulot je me faisais chambrer avec mes manières que je prenais progressivement. Comme disait certains si on ne savais pas que tu vivais avec une bombe, car ma compagne était d’une grande beauté, on croirait que tu deviens homo. Maintenant quand je faisais l’amour à ma Minette j’étais beaucoup plus efficace et endurant quand j’étais habillé en femme. La douceur des caresses de ma compagne à travers mes tenues toutes plus douces les unes que les autres augmentaient mon érection et me faisaient toujours grimper au rideau. Bref je n’avais pas besoin de poppers pour être en forme juste besoin de me faire belle pour ma compagne ou pour mes 2 hommes.
Le jour de mon anniversaire ma compagne a décidé de me faire une surprise. Elle m’a présenté une de ses collègues au boulot qui avait envie de s’envoyer en l’air avec un homme habillé en femme. Ce qui me gênait dans l’histoire c’est que ma compagne racontait notre vie privée à ses collègues. C’est ainsi, qu’alors que j’étais totalement en femme à la maison, elle est arrivée avec une femme magnifique. Je ne savais pas où me mettre mais cette amie prénommée Marie est venue me faire la bise comme si de rien n’était. Nous nous sommes tous les trois assis dans le canapé et Marie n’a pas tardé à passer à l’assaut, cette dernière n’avait manifestement pas froid aux yeux.
Quelques minutes seulement lui ont fallu pour qu’elle tienne mon sexe en main à travers ma fine et douce robe. Maintenant elle me masturbait à travers ma fine pièce de tissu, ma minette ne disait strictement rien elle regardait en souriant. Marie savait très bien y faire avec mon sexe; dès qu’elle se rendait compte que ce dernier était pas loin de partir, elle se calmait et remettait ça quelques minutes après. La pression montait entre mes jambes et Marie le savait. Puis elle est venue se mettre à genoux entre mes jambes et à glissé la tête ainsi que ses mains sous ma robe longue.
La elle a saisi mon sexe, elle l’a caressé quelques instants puis la couvert de baisers avant de le prendre en bouche. Il n’y a pas à dire, la collègue de ma chérie était experte en la matière.
Maintenant que j’y pensais je crois me souvenir que j’avais déjà vu cette collègue à une soirée au boulot de ma belle. Je crois m’en souvenir car elle m’avait tapé dans l’ il par sa beauté et son côté féminin et félin. Toujours est-il que Marie était là maintenant entre mes jambes en train de me faire une fellation d’anthologie. Je sentais sa langue aspirer mon sexe, je sentais sa langue virevolter tout autour de mon sexe, je sentais sa langue aller se faufiler dans le moindre détail de mon sexe, je sentais sa langue chercher à deviner le relief de mon sexe… Il n’y a pas à dire, cette superbe femme était experte dans les fellations et j’en été l’heureux bénéficiaire ce soir.
Avec une telle prestation, même si je me suis retenu, j’ai fini par craquer et me laisser aller dans la bouche de Marie. Ma compagne me regardait avec le sourire elle ne faisait strictement rien; si ce n’est regarder. Cela me faisait tout drôle quand-même de la part de ma belle qui dans ses propos n’avait pas confiance en ma fidélité et la était en train de m’offrir à une de ses collègues; j’ai appris plus tard que c’était sa chef. Bien que je sois parti dans la bouche de ma partenaire depuis quelques minutes, cette dernière continuait à me sucer et du coup mon érection restait intacte. Le problème c’est qu’elle y mettait toujours autant d’ardeur qu’au début et que maintenant que j’avais éjaculé cela commençait à devenir insoutenable.
Maintenant en plus de devenir insoutenable cela devenait même douloureux mais il y avait toujours un plaisir intense qui accompagnait. J’en étais arrivé à un point où je voulais lui retirer sa tête de mon sexe mais elle était comme fixée à lui. J’étais en train de tourner de l’ il tellement ce plaisir était intense. Finalement Marie a fini par se désolidariser de mon sexe, elle est sortie de sous ma robe pour venir m’embrasser. Il va sans dire que le goût de son baiser était un peu au sperme, mon sperme, cela de toute façon ne me dérangeait pas; disons qu’en un peu plus d’un an, j’en avais vu d’autres. Sa collègue embrassait formidablement bien, j’en arrivais à deviner en elle du désir.
Puis ma partenaire est venue se rasseoir dans le canapé et m’a invité à inverser les rôles. Du coup je me suis exécuté et me suis rapidement retrouvé entre ses jambes sous sa robe avec sa toison en point de mire. Et là qu’elle n’a pas été ma surprise de constater l’odeur de petite fille négligée, l’odeur de femme désireuse bref ça sentait vraiment le sexe là-dessus. Quand j’ai déposé ma langue sur sa toison, le goût était miraculeux tellement c’était ce que j’aimais. L’odeur et le goût étaient forts, moi qui déteste les minous tout propres car ils n’ont pas de goût ni d’odeur, là j’étais comblé. Je me suis lancé dans une toilette détaillée, sans limite, pour mon plus grand plaisir et manifestement celui de ma partenaire. Ma langue venait lui exciter son clitoris puis redescendait se désaltérer de cyprine.
J’étais comblé et j’avais du jus de minou partout sur la figure pour mon plus grand plaisir. Maintenant Marie ondulait du bassin et poussait de petits cris de plaisir, elle me tenait fermement la tête pour que j’aille le plus loin possible avec ma langue. J’étais vraiment heureux de lui rendre la pareille après ce qu’elle m’avait offert quelques instants auparavant. Initiative je prenais de lui glisser 2 doigts puis 3 doigts dans son vagin, manifestement j’avais eu une bonne idée. Puis elle s’est contractée et m’a carrément écrasé le visage sur son intimité elle s’est mise à crier, nous pouvions en conclure qu’elle prenait son pied. Tout comme elle, j’ai continué à lui brouter le minou jusqu’à ce que cela devienne insoutenable et que tout comme moi elle tourne de l’ il.
Elle m’a libéré de la pression sur ma tête puis je me suis resté pour venir me faufiler entre les deux femmes sur le canapé. Marie a pris une dizaine de minutes pour reprendre ses esprits puis m’a dit que maintenant elle aimerait que je la pénètre et lui balance ma semence en elle. Elle parlait vraiment sans-gêne devant sa collègue qui était ma compagne. Elle a littéralement poussé ma minette pour s’allonger complètement sur le canapé en reposant sa tête sur l’accoudoir. Elle avait une jambe par terre et l’autre poser sur le dossier du canapé. Je ne sais pas si vous arrivez à imaginer la scène mais elle avait vraiment les jambes bien écartées. Face à un tel spectacle mon sexe était au garde-à-vous et prêt à aller dans le terrier de Marie. J’aimais le contact de nos deux robes, leur contact sur ma peau avait un côté érotique mais surtout excitant.
J’ai soulevé l’avant de ma robe pour le poser sur le ventre de ma partenaire, ainsi nos deux sexes étaient face à face. Je tenais mon sexe en main au moment où j’ai senti les mains de Marie se poser aussi dessus. C’est elle qui voulait diriger les opérations, chose qu’elle fit en venant caresser le méat de mon sexe dans la Toison de son intimité. Ensuite elle a emmené mon gland se frotter à l’entrée de son vagin qui était déjà à nouveau humide pour ne pas dire trempé. Elle a calé mon sexe à l’entrée de son vagin avant de saisir mes fesses et de les tirer vers elle. C’est ainsi que j’ai pénétré Marie tout en douceur sous sa direction. J’adorais la douceur de ses mains sur mon collant qui était ouvert entre les jambes, j’appréciais surtout la douceur et l’étroitesse de son vagin que je découvrais.
Si ce chapitre vous a plu il y aura une suite
Je sais je suis cruel de m’arrêter là mais c’est voulu
Gros bisous
