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La déchéance de Caroline – Chapitre 1




La déchéance de Caroline,

Marié depuis deux ans, je commençais à trouver notre relation sexuelle, des plus monotones. Caroline, 22 ans, mince, blonde cheveux mi-long, un visage fin et un cul denfer avait un grand défaut, elle était timide, vraiment très timide. Moi, 30 ans sans aucun signe particulier sauf dêtre grand et mince et aimer le sexe par-dessus tout. Jai un sexe dans la moyenne nationale et apparemment suffisant pour Caroline.

Jai toujours remercié lalcool, ingurgité lors dune soirée, pour avoir su séduire cette fille. En effet Caroline ne supporte pas lalcool et devient très désinhibée, dès quelle a un petit verre dans le nez.

Tous les ans son entreprise organise une soirée en fin dannée au court de laquelle les employés peuvent y amener leur famille et amis. Cest donc en invité par des amis, que je me suis retrouvé dans cette soirée. Cest là que jai vu Caroline, pour la première fois et surtout vu, au cours de plusieurs slows, quelle se faisait littéralement draguée, par un type dune cinquantaine dannée.

Il la serrait de près et ses mains se baladaient souvent sur son cul. Caroline len empêchait par tous les moyens. Jai donc invité cette délicieuse fille qui paraissait très jeune et je lai, en quelque sorte, sauvée des griffes de ce vieux.

Ce vieux qui savéra être son chef dans son entreprise. Sans savoir leffet que cela aurait sur elle, je lai fait un peu boire et je suis resté avec elle tout le reste de la soirée, éloignant de ce fait son chef trop entreprenant.

Elle mavoua ce jour là quelle subissait un harcèlement depuis quelle travaillait dans lentreprise. Nous avons dansés, flirtés et même embrassés au cours de la soirée.

Six mois plus tard, nous nous sommes mariés et aménagés ensemble. Je ne pensais plus à son chef jusquà la soirée qui suivit notre première année de mariage.

Presque deux ans, marié avec Caroline qui se trouva être très soft au lit. Pas de fellation, pas de sodomie et la position du « missionnaire » à 90%. Je voulais plus de fantaisie dans notre vie sexuelle et il me vint une idée complètement débile, alors que, je la regardait danser avec son chef, qui cette fois se tenait correctement et ses mains restaient bien à hauteur de sa taille.

Cest en les voyant ensemble que cette idée est venue. Je voyais Caroline être obligée de céder aux avances de cet hommes et quelle en devienne son esclave, son jouet sexuel.

Oui, je sais, cest complètement fou et dangereux, mais cette envie me travailla lesprit toute la soirée. Je fis boire à nouveau Caroline et quand son chef est venue la chercher pour la quinzième fois pour une série de slow, je lui fis un clin dil et lever mon pouce comme pour lencourager.

Bien sur, Caroline navait rien vu et se tenait à la table et au bras de son chef pour ne pas tomber. Son chef me regarda bizarrement et ne compris pas mon geste. Je lui refis un clin dil et lui fit comprendre par geste, que je ne dirais rien, si ses mains se baladais sur le corps de ma femme. Il me fit un sourire carnassier et parti avec Caroline sur la piste de danse.

Il prit Caroline dans ses bras et aussitôt sa main gauche descendit sur ses fesses. Je vis bien Caroline essayée denlever la main qui malaxait sa fesse droite et essayer de se reculer du corps de son chef. Ce dernier me lança un regard interrogatif dès que Caroline me tournait le dos et je remis mes pouces en lair pour lencourager.

Toujours aussi étonné, il me fit un clin dil et remis sa main sur la fesse de ma femme et en plus essaya de lembrasser. Une petite escarmouche en suivit son geste et Caroline voulu le quitter pour revenir vers notre table. Je vis alors son chef la reprendre contre lui de force et lui parler à loreille.

Je crus quil lui disait que jétais daccord, mais je compris vite lors du retour de Caroline que ce nétait pas ça quil lui avait dit. Ceci dit, il pu continuer de danser avec elle jusqu’à la fin de la série de slow et lui ploter les fesses sans que Caroline ne se défende, que mollement.

Moi, je bandais comme un âne en rut et en avait mal au sexe. Caroline me fusilla du regard lorsquelle revint à table et me dit :

— Tu aurais pu intervenir !… Tu as vu ce saligaud me mettre la main aux fesses ?

— Bof !… Ce nest pas bien méchant !…. Sa femme ne veut peut-être plus rien faire et il profite un peu sur une de ses employées top-modèle.

— Cest gentil de me dire ça, mais quand même, il va trop loin !

Alors, pris dune subite inspiration, je lui racontai que avant de la connaitre, javais eu une chef me harcelait aussi et que je lui avais fait croire quun jour, je lui donnerais satisfaction, mais que jhésitais encore. Elle relâcha la pression dans cette attente et je quittai cette entreprise, quelques mois plus tard, sans avoir du coucher avec elle.

Mon mensonge, la fit réfléchir et elle pesa le pour et le contre. Je vis alors son chef se diriger vers les toilettes. Je me levai embrassai langoureusement Caroline et lui dit :

— Je reviens ma chérie, juste un petit pipi !…. Tu es la plus belle de cette soirée !

— Hum !…. Merci mon chéri !

Je rejoignis rapidement son chef aux toilettes et je le vit debout devant un urinoir. Je me mis à côté de lui et aussitôt entamé la discussion.

— Bonjour !…. Vous êtes le supérieur de Caroline ?

— Heu !… Oui ! Dit-il un peu mal à laise.

— Elle vous plait, ma femme ?

— Heu !…. Enfin. Cest que.

— Nayez crainte, je suis de votre côté !

— Com. Comment ça ?

— Je voudrais que vous forciez ma femme à être votre esclave sexuelle, votre jouet, et que vous la rendiez salope comme jamais !

— Vous. Vous êtes fou ?

— Rassurez-vous, je contrôle les choses !…. Il faudra cependant y aller avec douceur et par étape. Caroline est très, trop timide pour que vous la forciez avec brutalité. Il vous faudra être subtil et persuasif !…. Comme vous lavez été sur la piste de danse, il y a quelques instants.

— Ha !… Là !…. Je lui ai dit simplement, quelle devait restée dansé avec moi, sinon je lui mènerais une vie infernale au bureau.

— Bonne idée ! Jai vu quelle sest presque laisser faire ensuite !

— Vous avez tout vu ?

— Je crois bien !

— Même lorsque je lui ai roulée une pelle magistrale ?

— Ah, ça, par contre. Je nai pas vu !

— Putain ce que cétait bon !

— Elle a répondu à votre baiser ?

— Pas au début, mais après oui !

— Oh, putain, je bande comme un dingue !…. Permettez !

Et me voilà entrer dans une des toilettes et me branler en pensant que ma chérie avait roulée une pelle à ce gros dégoutant. En quelques va et vient, je jutai comme jamais. Je retrouvai son chef qui mattendait avec un petit sourire narquois.

— Alors, ça !…. Jai rarement vu le mari dune employée se masturber en sachant que jai embrassé sa femme.

— Putain, vous devez absolument continuer ! Je veux quelle devienne la plus grosse salope au monde.

Nous avons encore parlé quelques minutes en précisant les techniques à utiliser et surtout de me tenir au courant de son évolution comme salope. Je lautorisé à tout lui faire et surtout le plus souvent possible. On échangea nos n° de Gsm et reparti lun après lautre des toilettes. Il sorti le premier.

Lorsque, je rejoins notre table, Caroline dansait avec un jeune de son âge, mais ce nétait pas un slow. Elle revient inquiète et me demanda où jétais resté si longtemps.

— Jai retrouvé une connaissance et on a discuté un peu !… Et toi ?…. Tu as pu encore danser ?

— Ben oui !… Comme tu as vus !

— Ouais !…. Ah voila une série de slow à nouveau ! Dis-je en voyant son chef arriver rapidement.

— Fais-moi danser !… Sil te plait !

— Je suis un peu fatigué et puis tu sais les slows et moi.

— Vous permettez ?… Me demanda son chef en tendant une main vers Caroline !

Je vis à la tête de ma femme que cela ne lui plaisait pas du tout et que ses yeux me suppliaient de dire « non » !

— Bien sur, Elle adore danser ! Dis-je en souriant à son chef et ignorant les suppliques muettes de ma femme.

Il prit la main de Caroline et lentraina sur la piste. Dès quil leut dans ses bras, il lui parla à loreille et sa main descendis sur sa fesse. Il dansa une première danse et dès quil fut de profil vis-à-vis de moi, il colla sa bouche sur celle de Caroline qui essaya desquiver le baiser.

La main qui nétait pas sur sa fesse, remonta vers sa nuque et obligea Caroline de lembrasser. Je fis signe à son chef de caresser ses seins en sachant que Caroline était hyper sensible des tétons et que quelques caresses suffisaient à lui ôter toute résistance.

Son chef comprit parfaitement ce que je lui montrais depuis ma place et je vis ma femme se laisser aller et répondre au baiser langoureux et humide que lui faisait son chef. Mon sexe remonta directement à lassaut de mon slip et voulu en sortir.

Ce que je voyais comme spectacle mexcita tellement que rien quen frottant sur ma braguette gonflée, je jutai comme un ado. Caroline embrassait et se collait au corps de son chef comme la dernière des trainées.

Je sentais que mon fantasme allait se concrétiser dans peu de temps. Elle revint à la table, en me suppliant de partir. Quelle était trop fatiguée et quelle en avait marre de cette soirée. Dans la voiture, jessayai de la tripoter, mais visiblement elle ne participait pas et se laissait faire.

Ce soir-là nous fîmes lamour, mais Caroline se contenta dêtre une simple poupée inerte. Malgré lalcool ingurgitée, elle resta de marbre et je neu quune jouissance, que par les images dans ma tête, de voir Caroline embrasser ce vieux dégoutant.

Le lundi soir lorsquelle revint du boulot, elle tirait la tête et évitait mon regard. Je profitai quelle préparait le souper pour envoyer un sms à son chef.

« Alors ?… Que cest-il passé ? »

« Très bien !… Cela évolue comme vous le souhaitez »

« C’est-à-dire ? »

« Je ne sais pas vous écrire plus ce soir !… Contactez-moi demain matin ! »

« Ok ! »

Caroline mappela pour manger. Le repas commença dans un silence que seuls les couverts troublaient et je me lançai dans un « Questions/réponses »

— Comment cest passé ta journée ?

— Comme dhab !

— Rien de spéciale, ma chérie ?

— Heu !… Non Rien !

— Bof ! Cest monotone ton boulot !

— Je me demande si, je ne changerais pas !

— Mais Pourquoi ?… Tes quand même bien là ?…. Dis-je pris de panique pour mon plan en cours.

— Oui, je sais mais, peut-être quun changement de travail pourrait me monter plus vite.

— Tu sais, ma chérie, Je te connais, avec ta timidité, serais-tu capable daffronter tous ces entretiens dembauches ?…. Toutes ces questions et indiscrétions, auxquelles tu devrais répondre ?

— Hum !…. Oui. Tu as raison. Enfin, je crois, mais.

— Je suis sur que si tu ferais un peu de gringue à tes supérieurs, cela pourrait peut-être te faire avancée dans lentreprise.

— Quoi ?…. Tu veux que je couche, avec mon chef ?

— Peut-être pas si loin, ma chérie !…. Mais, jai bien vu à la soirée quil avait le béguin pour toi !…. Il faut parfois savoir profiter le la bêtise des hommes.

— Cest bien ce que je disais !…. Tu veux que je couche avec ce porc !

— Il mavait lair sympathique à la soirée !

— Sympathique !… On voit que tu ne le connais pas !

— Bof !…. Daccord, il nest pas terrible, mais je ne te demande pas de coucher avec, juste lui donner quelques espoirs !…. Tu comprends ?

— Je comprends surtout que tu ne maimes plus et que tu veux te débarrasser de moi !

— Mais enfin, ma chérie !…. Que vas-tu chercher là ?

La discussion sarrêta là et le reste de la soirée se passa dans un calme relatif. Je sentais Caroline bouillir à mes côtés et le soir dans le lit, je du faire ceinture pour le sexe.

Le lendemain, vers 10h00, je reçu un sms : « Sonnez-moi et laissez-moi parler sans me répondre » Je fis le numéro directement et entendis :

— Aaaaah !…. Bonjours monsieur Martin, Vous aller bien ?

— .

— Oui, bien sur, je pense à nos contrats, mais, je suis en litige avec une de mes employées.

— .

— Bien sur, monsieur Martin, cela naffectera pas les contrats, elle doit juste savoir qui est son chef !

— .

— Ah !…. Oui comme vous dites !…. Il faut les dresser ! Ahahahah !…. Comme vous y aller !

— ..

— Hum !, je crois quelle va bientôt céder à ma pression ! Elle ne voudrait pas rater sa commission sur les contrats.

— .

— Je pense que je vais bientôt venir et quon pourra alors, tout concrétiser ! Oooopoooh !

— ..

— Cher monsieur Martin, je pense que cette fois, mon employée accepte lensemble des Oooooh !…. Ouiiiiii !… Des envois !… Ouiuiiiiiiii !

— .

— Voilà, monsieur Martin, je suis enfin vider de toutes mes angoisses et je vous attends ce mercredi pour concrétiser et finaliser les contrats.

— .

Je bandais comme jamais, je compris que Caroline devait surement le sucer et quil venait de juter dans sa bouche. Jamais depuis notre mariage, je navais réussi à me faire sucer par elle et voilà quen seulement deux jours ma femme suçait son chef.

— Mademoiselle ?…. Montrer-moi le résultat de notre entretien ! Continua-t-il au téléphone.

— . (jentendis comme un déclic !)

— Voilà ! qui est fait !…. Vous pouvez faire disparaitre le contenu de votre savoir-faire.

— .

— Vous voyez, monsieur Martin, jai bien suivit vos conseils et je crois que nous avons une employée modèle et obéissante pour signer nos contrats.

— Je Je

Une vibration se fit dans mon Gsm et un MNS venait darriver. Je fini ma conversation avec le chef de Caroline et ouvrit fébrilement le message contenant une image. En voyant ça, je couru aux toilettes et me masturber comme un ado. Ma Caroline regardait lobjectif et sa bouche grande ouverte laissait voir le sperme quelle contenait. Comment était-il parvenu en deux jours de se faire sucer par ma femme alors quen deux ans, je nétais même pas parvenu à le faire.

Mon plan semblait fonctionner mieux que je ne lavais supposé. Le soir en rentrant, Caroline était sombre et peu éloquente. Je lembrassai longuement, mais aucun relent de sperme ne subsistait dans sa bouche.

Le soir, jai pu lui faire lamour à la missionnaire et elle sendormie très vite après. Le lendemain, jattendis avec impatience le coup de téléphone ou le sms de son chef. Rien ne sonna ce jour-là. Inquiet, je le sonnai, vers 16h00 en sachant que Caroline finissait à cette heure et personne ne répondit.

Jarrivai en même temps que Caroline à la maison et vit sa nervosité lorsquelle me vit. Elle couru, jusqu’à la porte et sengouffra dans la maison. Le temps de ranger la voiture au garage et de prendre le courrier, je vis Caroline, les cheveux mouillé et dautres vêtements sur elle.

— Tu tes changée, ma chérie ?

— Oh, oui, je me sentais sale !

— Ah ???

— Nous avons du visité un chantier de rénovation et une partie dun mur est tombé près de nous, nous recouvrant de poussière !

— Ah, voilà le pourquoi de courir te changer !

— Ben Heu !… Oui !

— Dis donc, cest la première fois que tu fais ça ?

— Heu !…. Oui Enfin. Cest la nouvelle politique de la maison !…. Faire participer physiquement tous les employés à la réalisation des contrats.

— Ah bon !…. ça a lair dune bonne idée !… Tu ne trouve pas ?

— Je

Mon Gsm, vibra dans ma poche et je prétextai un oubli dans ma voiture pour finir la conversation et me précipiter au garage pour découvrir un MNS de son chef.

Une série de photo de Caroline avec un sexe dans sa bouche et plusieurs photos de sa bouche remplie de sperme. Je ne comprenais pas pourquoi plusieurs photos se ressemblaients, mais en regardant mieux, je compris que les sexes étaient différents. Je comptai, cinq sexes différents et la bouche ouverte de ma femme se remplissant au fur et à mesure des photos.

Je sus alors, que ma petite femme venait de sucer 5 types et quelle avait du avaler leur sperme lorsque chacun à tour de rôle ont éjaculés dans sa bouche ouverte.

— Comment était-il parvenu à ça en seulement trois jours ! Mécriais-je tout haut.

Ou bien ma femme était vraiment une salope née et elle faisait sa timide avec moi ou ce type connaissait le mode demploi pour faire de ma femme une telle salope.

Je remerciai vivement son chef et le félicitai, pour cette ultra rapide évolution. Il me demanda de venir un jour rapidement, en fin daprès-midi et que jassisterais à un spectacle que je nallais pas oublier de sitôt.

Rendez-vous fut prit pour le vendredi suivant sachant que jai fini vers 15h00 le vendredi. Le jeudi passa comme un express lancé à toute vapeur et le vendredi me sembla le plus long de ma vie.

Lorsque, jarrivai dans lentreprise de ma femme, un type tout sourire maccueilli et me fis descendre aux archives. Il me demanda de ne pas parler et seulement de regarder.

Jentrai dans une pièce sombre par les étagères qui si trouvaient, mais dont une place entres-elle, avait été dégagée. Ma femme si trouvait à genoux et complètement nue. Un godemichet dune grosseur inouïe, lui entrait dans le cul et elle avait les mains sur la tête. Autour delle une dizaine de types en costume dun âge qui variait entre 35 et 55 ans avec un fort pourcentage de type de plus de cinquante ans.

Caroline souriait et bougeait lentement sur le godemichet en elle. Les types semblait au complet, car son chef sapprocha et sortir son sexe. Le passa sur le visage de Caroline qui essayait de lattraper avec se bouche. Son chef faisait en sorte quelle ne puisse le prendre et cela augmenta les mouvements de Caroline sur le godemichet.

Les premiers soupirs de plaisir qui sortaient de la bouche de ma femme me firent bander dur. Un deuxième homme sapproche et fit la même chose que son chef, il baladait son sexe bien raide sur le visage de ma femme.

— Tu veux nos bites ?… Petite salope !

— Oh !…. Ouiiiiiii !…. Maitre !…. Donné-moi votre bonne liqueur !

— Tu veux tous nous sucer ?…. Cest ça ?

— Ouiiiii !…. Maitre !…. Remplissez votre pute !

— Et après, tu te laisseras baiser par nous tous ?

— Ouiiiiiiiiii !…. Maitre, mettez-moi vos belles queues en moi. Partout !

— Tu es vraiment la reine de salope alors !

— Je suis la reine de ce que vous voulez. Maitre !…. Du moment que toutes ces belles queues me remplissent à ras bord.

Je nen pouvais plus, je ne reconnaissais même pas la voix de ma chérie à un point que pendant une seconde, je doutai que ce soit bien elle. Pourtant, cétait bien ma timide Caroline, qui disait tous ces mots. En une semaine, elle était passée du stade de la timide épouse à la salope pas possible que je voyais.

Un premier sexe fut entré dans sa bouche et lorsque je vis avec quelle fougue, elle suça cette bite, je du me pincer pour ne pas croire que je rêvais. Elle suça ainsi les dix bites qui lentouraient avec un véritable plaisir quelle exprima, en soupir et même en parole, lorsque sa bouche était libre, quelques secondes.

Elle montait et descendais sur le godemichet à une telle allure que plusieurs fois le sexe dans sa bouche sortait tout seul. Pas une fois, ses mains ne quittèrent le dessus de sa tête, pourtant, ses seins furent tirés, pincés, malaxés et même frapper sans quelle ne réagisse plus quun cri de douleur de temps en temps.

Je la vis prendre un premier orgasme au milieu des bites autour de son visage et faire une gorge profonde au moment de sa jouissance. Le type était pourtant mieux monter que moi et est parvenus à faire disparaitre totalement sa bite dans la bouche de ma femme.

— Messieurs ! Dis soudain son chef. Je sais que parmi vous quelques-uns sont déjà parvenus à la baiser pendant les heures de travail, mais cette fois, nous allons la remplir par tous ces trous !… Et, je sais aussi que cela fera plaisir à son mari que nous accueillons aujourdhui !

Tous regardèrent dans ma direction et je cru que ma femme allait réagir. Elle tourna simplement son visage vers moi et cest la que je vis ses yeux briller anormalement. Caroline nétait pas dans un état normal.

Tous les hommes présents commencèrent se déshabillés totalement. Les bedaines et bourrelets de graisses ne se comptaient plus. Seuls les plus jeunes avaient un corps et surtout une queue digne de ma femme. Ce sont pourtant les plus gros et les plus vieux qui commencèrent les hostilités.

La suite sur demande.

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