Bonjour à vous !
Je suis un quadra assez bien bâti. Mon péché mignon, ce sont les matières douces, et j’aime aussi me soumettre à madame quand l’occasion se présente.
Voilà très longtemps, j’ai rencontré une fille très grande, blonde, genre dominatrice, style Catherine Jacob. Elle m’avait attaché(e) au lit, bandé les yeux, et prenait plaisir à abuser de moi. J’ADORAIS !
Un jour, elle a remarqué que ses culottes et ses tenues toute douces me filaient une gaule monstre ; elle découvrit aussi que j’adorais ses caresses au niveau de mes fesses… Du coup, elle prit sur elle de me faire enfiler de douces robes (car je rentrais dans tous ses vêtements, qui m’allaient à merveille) et de faire l’amour ainsi vêtu(e)… Ce fut l’extase à partir de ce jour : nous grimpions tous les deux aux rideaux. Par la suite, dès mon arrivée chez elle, elle me demanda de me déshabiller et me fit enfiler ce qu’elle m’avait préparé : bas, guêpière, culotte souillée et robe longue et douce. Pendant près de six mois, je passai un week-end sur deux chez elle, vêtu(e) en femme.
Le fait de sentir le léger frottement de la robe sur mes jambes me mettait le feu ; le fait de la sentir passer sous ma robe pour venir me sucer m’excitait au plus haut point ; le fait que mon corps exhale le parfum de son minou me faisait me sentir encore un peu plus femme. J’enfilais ses escarpins, et elle m’obligeait à marcher ainsi dans la maison : j’étais sa chienne offerte. Je devais me glisser sous sa robe pour lui nettoyer la moule…
Cette sensation d’être obligé(e) de soulever ma robe pour la prendre était un superbe aphrodisiaque. Elle se harnachait d’un gode-ceinture pour me prendre quand elle le voulait ; bref, j’étais son sextoy pendant 48 heures.
Un jour, alors que j’étais en femme chez elle, elle descendit à la cave et, au retour, elle sonna pour que je lui ouvre; quelle ne fut pas ma surprise et surtout ma honte de la voir avec deux copines à elle. Je ne pouvais fuir, et je suis passé(e) à la casserole. Durant un week-end entier, j’ai dû les sucer ; elles m’ont sodomisé(e) à tout va ; elles m’attrapaient les tétons, me les trituraient et me faisaient crier de plaisir. Au lit, lune s’asseyait sur mon visage pendant qu’une autre me défonçait le fondement sans ménagement… Dans le salon, elles me faisaient mettre à quatre pattes et je devais assurer la parfaite propreté de leur intimité… Régulièrement, quand j’étais à quatre pattes, elles me prenaient avec force, me faisant pousser des cris fort peu masculins Elles y prenaient goût, et moi aussi !!
Le summum fut un week-end où je me suis retrouvé(e) avec ces trois filles et un ami à elles (1m 85 et bien membré) ; il avait quatre femmes à sa disposition et, je vous le donne en mille, j’étais sa préférée : tout le week-end, il m’a défoncé(e) De mes fesses coulait sa semence. Je me sentais encore plus sa femelle ; je devais nettoyer chaque femme qu’il prenait et le sucer avant et après chaque intromission. À un moment, elles m’ont allongé(e) sur le lit, relevé ma robe et mes jambes, et mont tenu les jambes de force pour que l’étalon de la maison vienne me saillir J’ÉTAIS À ELLES ! J’ai crié de plaisir, et l’une d’entre elles est venue s’assoir sur moi pour me faire taire. Mes petites fesses ayant un grand sens de l’accueil, je n’ai jamais souffert d’aucune pénétration.
Malheureusement la maîtresse des lieux a déménagé à l’étranger pour son travail, et nous nous sommes perdus de vue.
J’ai gardé ce goût de me travestir.
J’ai aussi découvert que de nombreuses femmes aiment que monsieur assume son côté féminin, et cela peut dégénérer très vite…
En espérant que cette histoire authentique vous ait plu !
