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Un soirée à conséquences – Chapitre 8




Nous voilà tous autour de deux tables, je récapitule il y a Samir et Latifah, Karim et Sophie, Jean et Mme X, Pierre B et Mme Y, Sarah et moi. La discussion s’engage, les liens se nouent, enfin disons que le courant passe, mais les deux « dames » ne disent rien, elles chuchotent à l’oreille de leur compagnon du soir. Je suis curieuse et demande à Jean s’il savait que nous venions ici avec Sarah, il sourit et pour toute réponse j’ai droit à un « chut, tu sauras tout bientôt soit patiente » Pierre par contre n’arrête pas de dire qu’il ne regrette pas d’avoir répondu favorablement à la proposition que Jean lui avait faite en lui proposant une surprise. Il est ravi d’avoir eu droit à la bouche d’une élève douée et pour tout. Je lui demande si Jean lui avait parlé d’une surprise dans les rencontres ici (je fais ma fouine), mais non, et Jean rajoute que la surprise était madame X ou madame Y ou les deux… Sarah coupe la conversation et propose qu’après avoir bu un verre il serait temps de prendre une boisson plus chaude et salée et propose aux filles de prendre chacune un homme et de bien sucer… Les filles disent oui, les deux « dames » acquiescent de la tête et voilà comment Sophie suce mon prof, Sarah mon voisin, Fatiha son beau-frère et Mme X Samir.

Moi, on m’a oublié, mais je regarde avec envie et tendresse toutes ses bouches et lèvres s’activer. Quand une main vient se placer sur mes cuisses, j’avais oublié madame Y, elle me sourit, approche ses doigts de mon sexe et par réflexe j’écarte mes jambes, elle se positionne entre et commence à me brouter le minou. Je ferme les yeux, sa langue me transperce, elle joue avec mes lèvres intimes, mon bouton, elle sait s’y prendre. Je commence à gémir, elle relève mes jambes et les place sur ses épaules, je suis totalement offerte, elle m’aspire, suce, lèche, sa langue descend sur mon petit trou, je sens qu’il s’ouvre. Elle en profite et me sodomise de la pointe de sa langue je coule beaucoup, elle me met plusieurs doigts dans la chatte et les active comme si elle jouait du piano sur mes parois intimes, sa langue force toujours mon petit trou, je n’en peux plus je vais jouir je le sais et je sens une jouissance hors norme monter le long de ma colonne vertébrale. Elle accélère, sa langue est de plus en plus intrusive, je pense même qu’elle a réussi à me fister.

Je lui agrippe les cheveux et hurle ma jouissance, je tourne la tête dans tous les sens je ne suis plus moi je suis une furie orgasmique. Dans ma jouissance, sans le vouloir, je lui arrache le masque. Quand je reprends mes esprits, je vois toujours les filles à leur affaire, ils tiennent la distance ou les réserves sont longues à se refaire. Je regarde alors la tête de celle qui m’a donné autant de plaisir dans l’idée d’essayer de lui rendre la pareille. Je vois alors le masque à terre et déchiré et cette femme qui cache son visage sur mon bas ventre. Je lui caresse la tête et lui dit que, son identité m’importe peu, je l’accepterais, qui qu’elle soit, elle m’a trop bien fait l’amour pour que je lui en veuille ou soit choquée. Elle redresse la tête et là, je pousse un cri de surprise en voyant que ce visage luisant de ma cyprine est celui de ma… tante.

On se regarde, elle a l’air honteuse et me demande de lui pardonner, pour toute réponse je l’embrasse en lui disant qu’elle n’a rien à se reprocher au contraire, puis que maintenant que je sais que c’est elle je vais bien m’appliquer pour la faire jouir. Elle sourit tendrement, et se met en position pour m’offrir à son tour son abricot. J’ai devant les yeux le sexe de ma tante, ce sexe qui a reçu Samir, le voisin, Sarah et Karim aussi, je crois, rien que l’idée m’excite, je me jette littéralement dessus. Son clitoris et bien sorti, je l’aspire à mon tour le lèche le mordille un peu, puis ma langue joue son rôle, je la pénètre avec, lèche l’intérieur de ce doux coquillage, mais très vite mes doigts viennent prendre le relai de ma bouche et sans plus attendre je commence un fist dans les règles de l’art. Elle couine quand mes quatre doigts s’activent, puis quand le cinquième les rejoint. Elle avance son bassin et là ça y est ma main est dedans je la bouge, la tourne, elle couine de plus en plus fort, sans sortir ma main je cherche à aspirer son clitoris.

Elle hurle sa jouissance, j’entends Jean dire « purine elle fiste sa tante » Ils s’arrêtent tous et nous regardent, je ne sors pas la main au contraire je la maintiens dans son fourreau bien au chaud et demande à jean de lui donner sa bite à sucer pendant que je m’occupe d’elle. Il se met debout sur le canapé et propose sa queue à tatie, pendant ce temps je recommence à bouger un peu ma main, puis je la sors doucement, son sexe est presque béant, impudique, mais beau. Je lui relève les jambes et m’attaque à son petit trou. Je lui fais un anulingus, à ces petits cris je vois qu’elle apprécie. Je force son entrée avec mon index, elle relâche alors la bite de jean pour me souffler qu’elle n’avait jamais pratiqué la sodomie. J’en profite pour forcer alors le passage, mes doigts recouverts par sa cyprine entrent assez facilement, du moins pour les deux premiers, le troisième doit forcer un peu plus, mais ça passe, elle se tortille, je la sens à la fois anxieuse et excitée. Et ce qu’elle me dit confirme mon impression, d’une voix timide elle me dit qu’elle veut être enculée, et reprend Jean en bouche qui, entendant ça, jouit direct dans le gosier de tantine.

Je demande à ma tante « marie » de se positionner en levrette les fesses bien hautes et cambrées, elle m’obéit et me demandant de ne pas la laisser seule et de bien vérifier que tout va bien. Pour toute réponse je lui claque la fesse et lui disant de ne pas avoir peur. Les mecs à l’idée de dépuceler analement un cul ont tous quitté les bouches qui s’occupaient d’eux et sont autour de la future victime. Qui va commencer ? Pierre demande à passer le premier, honneur à l’âge, mais vu son engin je refuse, bon Samir se dit qu’il aura droit à la même réponse, Jean et en demi molle, donc c’est Karim qui va avoir cet honneur. Tout content il se place derrière Marie et met son gland sur l’illet, je lui demande d’y aller doucement, il me rassure et je le vois forcer doucement l’entrée. L’illet de a tante se détend difficilement elle a peur, Sarah se propose de passer sous elle pour la gouiner un peu et la détendre (toujours prête à rendre service celle-là) et aussi tôt dit aussitôt fait. Sarah et Sophie s’occupent à maintenir Pierre et Samir en forme en forme, Mme X tient le sexe de Karim pour bien le guider, Sarah fait de l’effet Marie souffle de plus en plus fort et son anus s’ouvre aussi, elle pousse un petit cri, le gland est passé, elle pleure un peu, mais Sophie la rassure en lui disant qu’elle aussi avait pleuré, mais qu’après c’était bon.

Karim en gentlemen n’a pas bougé le temps que son petit trou s’habitue à l’intrus puis il reprend son avancée et enfin ses couilles touchent les fesses de Marie. « Ça y est tantine tu as tout dans le cucul » lui dis-je en riant. Karim commence à limer ce trou lentement, mais à fond, à l’entendre lui aussi souffler je sens que ce petit trou bien serré aura vite fait de le vider. Marie ne dit plus rien, mais commence à onduler pour aller à la rencontre de ce sexe qui la fouille, elle commence à prendre du plaisir, Sarah passe des couilles de Samir au minou de Marie, elle adore. Je demande à Marie si elle aime se faire enculer et là elle commence à hurler ouiiii vas-y encule moi, mets la plus loin plus fort, je veux remplir mon cul. Elle ne se tient plus, Karim la pilonne alors violemment, se tend et jouit dans ce cul enfin disponible, il décule gentiment et vide son préservatif sur les fesses de Marie pour qu’à mon tour je la nettoie, le vicieux celui-là, mais bon je m’y mets pour l’honneur de la famille, Karim se positionne et dit à moi, d’un coup sec il encule Marie.

Surprise elle hurle, car ce n’est pas tout à fait le même gabarit, mais encore une fois elle y prend vite goût et ondule du popotin. Karim commente le bonheur d’avoir un cul étroit à disposition, lui demande si elle aime se faire enculer par un arabe. Marie hurle que ouiii et qu’elle va de plus en plus demander de belles queues pour son cul. Karim décule et encule, entre deux il claque les fesses de Marie, Sarah boit sans discontinuer la liqueur qui s’écoule de l’abricot et va même jusqu’à fister Marie pendant que Karim l’encule, fière elle dit, Marie connait la double maintenant. Je n’en reviens pas, ma tante n’est plus qu’un corps secoué de spasmes, d’orgasmes violents. Karim d’un dernier coup de reins s’enfonce le plus loin possible et jouit à son tour. Il décule et on voit le cul de Marie béant, ouvert tel le gouffre de « la Pierre saint Martin » (référence locale). Marie s’effondre épuisée, le garçon sont épuisés aussi, seul Pierre reste là, la queue raide en se disant qu’il s’est fait avoir.

Latifah sourit et par solidarité le reprend en bouche et le doigte un peu pour le faire jouir.

Nous retrouvons tous nos esprits quand on s’aperçoit qu’en fait nous avions fait le spectacle, et nombre de gens nous ont matés. Le patron arrive même avec deux bouteilles de champagne pour nous remercier. Bon on repart à la douche, on s’habille et nous nous retrouvons devant le champagne. Karin, Latifah, Samir et Sophie sont vidés ils partent se coucher en nous disant à bientôt… Il ne reste que nous six. Marie prend la parole et nous propose d’aller nous reposer et de nous retrouver demain chez elle vers 13h, tout en me promettant de tout me dire. Mme X rougit un peu, Jean et Pierre sont ok, je n’ai pas le choix, Sarah me presse d’accepter, alors c’est ok on se retrouve à 13h30 14, DEMAIN.

Le lendemain. Ici, je vais passer un peu plus à la narration dialoguée.

Il est 13h30 nous sommes chez mon oncle et ma tante, devant la porte et nous sonnons Sarah et moi. Mon Oncle nous ouvre :

— Oh quelle surprise les filles, Marie va être contente et vous avez de la chance, elle était partie hier pour un colloque sur Bordeaux, mais ce matin il a été annulé un des intervenants était malade, mais entrez, venez

— Bonjour Tonton

— Bonjour monsieur

— Mais non ne m’appelle pas monsieur je suis Éric ok ? Bon j’appelle Marie, elle va être surprise. Marieee vient voir qui nous rend visite.

— Oh bonjour les filles, c’est une surprise vraiment, que faites-vous ? Vous avez mangé ? Nous pas encore on vous garde ?

— Heu… Oui pourquoi pas, mais on ne veut pas déranger

— Non, mais ne vous dérangez pas pour nous

— Non, mais c’est fini ces bêtises oui, bon je vais appeler mon frère et ta mère pour qu’ils nous rejoignent. Ah oui, votre tante marche bizarrement elle a une crise d’hémorroïdes, on dirait qu’un noir lui a cassé les fesses ma parole.

— Tu es bête, tu verras le jour où tu en auras. Va appeler les parents de Sophie au lieu de dire des bêtises.

Mon oncle part chercher son portable pour appeler chez moi, ma tante en profite pour nous dire de faire comme si de rien n’était, mais que ça ne changeait rien à la promesse de cette nuit.

— Bon alors là c’est vraiment la journée des surprises. J’ai eu ton père au tel, il était chez se cochon de Jean avec ta mère et sais-tu qui était là-bas aussi ?

— Ben non, comment veux-tu que je le sache ?

— Je demandais à Sophie

— Non tonton je ne sais pas

— Tu te souviens de ton prof, monsieur B ? Il était chez Jean lui aussi, j’ai demandé au quatre de passer, on aura bien de quoi faire un apéro dinatoire non ?

— Bon oui, je vais voir, mais ça doit passer.

— Vous voulez de l’aide madame ? Demande Sarah

— Non restez ici à boire un verre avec le « maître des lieux »

— Ne te casse pas le cul chérie, tu as mal n’oublie pas ahahah

Sarah et moi on se regarde et nous pensons à la même chose, le pauvre tonton s’il savait ce que c’était que ce colloque…

On passe un moment avec mon oncle et tante à discuter de tout et de rien quand on entend la voiture de mes parents arriver, suivie de celle de Jean avec Pierre B

— Bon jour à tous, entrez, on a commencé sans vous, on a pris de l’avance

— Tu n’es jamais en retard, lui répond mon père. Nous nous faisons la bise

— – Oh et bien petite Sophie tu es devenue une vraie belle et grande jeune femme, me flatte Pierre

— Ah ça, si vous ne l’aviez pas revue depuis le lycée elle a pris des formes, si ce n’était pas ma nièce tiens

— Enfin, comme vous y allez

— Tonton tu es un cochon, répliquais-je

Tout le monde s’installe, un verre à la main, l’ambiance est bonne, ma tante repart en cuisine et appelle ma mère pour de l’aide.

— Manon, tu peux venir m’aider s’il te plait ?

— Bien sûr j’arrive

— Alors les filles que racontez-vous ? Vu vos yeux la nuit a été mouvementée, sacrée jeunesse

— Éric, vous êtes un coquin en fait, dit Sarah avec une petite moue trop sexy

— Oh toi, avec cette bouche tu dois rendre les hommes fous

— J’avoue que je suis agréablement surpris d’autant de féminité chez vous deux, mesdemoiselles

— Merci Pierre et vous, vous êtes toujours aussi charmeur répondis-je

— Surprise les filles… Nous dirent Marie et Maman en même temps

Nous nous retournons et là, je vois stupéfaite, marie et Mme Y, c’était ma mère. Je reste muette, Sarah sort un « oh putain ». Maman parle la première :

— Mes chéries, au départ nous ne savions pas que, vous aussi, vous fréquentiez des clubs échangistes. Quand on vous y a vu, nous étions papa, Éric et Marie. On a acheté des loups à l’accueil et on vous a suivi, et même si j’ai un peu honte aujourd’hui j’ai été très excitée quand je t’ai léché le visage.

— Tu te souviens de la discussion du lendemain ici ? Me demanda Tonton. Elle n’était pas innocente. C’est moi qui ai mis le loup dans le carton pour voir comment vous réagiriez, et quand on a su que vous reveniez nous étions tous excités

— Ma tante reprit la suite

— – Quand on a su que vous reveniez on avait envie, ta mère et moi de vous revoir, on ne voulait pas participer avec vous, mais on voulait juste être fière de toi Sophie, de ta liberté.

— On n’a pas voulu venir par contre nous deux, ton père et moi, car on pensait bien que ça allait partir en couille, aussi on a demandé à Jean et Pierre de nous remplacer, on fait souvent des soirées ensemble.

— Voilà ma fille tu sais tout, dit ma mère, c’est aussi pour ça qu’hier je n’ai pas trop cherché, contrairement à ta tante, de « jouer avec toi.

— Waouw, je ne savais quoi dire, mais tout d’un coup je regarde mon oncle et lui lance

— Espèce de mytho, le colloque, les hémorroïdes, tu te foutais de nous ?

— Tu ne voulais pas que je te dise que ta tante avait encore le cul douloureux à cause de ce qu’elle avait pris hier soir.

— Enfin elle en a pris, mais pas la mienne, rajouta hilare Pierre B.

— Bon on fait quoi demanda Sarah

Ma mère pris alors la parole, et bien si vous êtes d’accord nous allons réparer les injustices d’hier soir, je propose que Sarah s’occupe de mon époux, toi Sophie de ton oncle, après tout tu t’es bien occupée de ta tante, Pierre effectivement vous méritez bien de vous occuper de Marie et de ses « hémorroïdes », la sodomie les soigne parait-il. Quant à moi, avec Jean nous restons à votre disposition en cas de « défaillance. Qu’en pensez-vous ?

Sarah ne répondis pas, mais plaça sa main sur la braguette de mon père en connaisseuse, Marie sortit le gel que maman lui avait donné et le présenta à Pierre, tonton sorti sa queue et pris ma main pour la poser dessus. Es choses se firent donc comme prévu, sauf pour Marie qui se fit sodomiser par Pierre, Jean et mon père, et pour moi qui est sucé mon père pendant que maman me mangeait l’abricot.

Voilà ceci c’est passé en début d’année universitaire, depuis il nous arrive de nous retrouver en club, mais toujours avec un masque et cette expérience, au lieu de briser la famille nous a soudé.

Samir et Latifah ont aussi profité de notre famille en soirée à la maison par contre Karim et Sophie non, car j’ai peur qu’ils ne comprennent pas.

Merci de votre patience, j’ai eu mon année de L3, et là je suis en vacances dans cette belle région du Béarn.

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