Ben voilà, en manque de sexe, je maraudais dans les rues de Lyon dans les centres commerciaux à la recherche d’une femme qui voudrait bien donner suite à mes propositions indécentes.. On ne le croirait pas, mais quand j’aborde frontalement des femmes dans la rue, je finis souvent par en trouver une qui accepte de coucher avec moi. Ce n’est pas que je suis canon, loin de là, même si je ne suis pas non plus affreux.

Je les aborde en toute franchise sans jamais être grossier, et sans cacher mes intentions. «Excusez-moi Madame, à l’instant, je vous ai croisée dans la rue, je vous ai trouvée très séduisante. J’avais envie de vous dire à quel point je vous trouve belle. Je serais très heureux si vous acceptiez que l’on fasse connaissance…" Le tout accompagné d’un grand sourire.. Le tout, c’est d’apparaître décontracté, sincère, direct. Et surtout respectueux, pas de commentaires vulgaires, pas de termes dégradants, encore moins des insultes. Bon ben, c’est basique, mais cela marche ! Pas à tous les coups bien sûr, en moyenne, je me fais jeter 7 fois sur 10, mais dans les 3 autres cas, j’arrive à engager la conversation, à susciter l’intérêt, à choper un numéro de téléphone, à prendre un rendez-vous. En moyenne, j’arrive à sauter une fille pour une vingtaine de tentatives d’approche. Ce nest pas si mal !

Alors voilà, sauf que cette fois, cela ne s’est pas passé comme prévu…. A peine, je venais de me faire envoyer valser par une élégante mère au foyer qui rentrait des courses, que je me fais alpaguer par une voix fluette:

Hé ! Il mate les meufs, lui !

Je me retourne et je me fais aborder par deux jolies petites nymphettes.. Elles sont très très jeunes, je leur donne à peine 18 ans, habillées court, maquillées comme des voitures volées, très provocantes.

Des petites bimbos toutes droites sorties des clips de RnB. Elles sont mignonnes, pas de doute, l’une est brune avec un très joli visage, l’autre est blonde avec une silhouette très finement sculptée.

Pourquoi tu nous mates comme ça, tu cherches des meufs, c’est ça ?

Comment tu t’appelles ? Donne-moi ton numéro de portable.

T’es marié? Tu fais quoi dans la vie ?

Elles sont cash provocantes, je ne suis pas habitué, je suis décontenancé.. D’abord, je ne les avais pas remarquées. Ensuite, mon truc à moi, c’est plutôt les femmes de 40 ou 50 ans, les mères de famille, rondes et sensuelles si possible. Les petites jeunettes, pas pour moi ; d’ailleurs, je n’ai aucun succès avec les jeunes filles normalement.

Là, c’est différent, malgré mon air idiot, elles insistent, je rougis comme un puceau…. On discute dans la rue, la blonde s’appelle Chloé, la brune Kenza. Elles se disent être coiffeuses, et prétendent avoir 20 ans ; moi je leur donne moins, je ne suis même pas sûr qu’elles sont majeures.

Apparemment, c’est surtout avec Chloé que j’ai un ticket, c’est elle qui insiste pour choper mon 06.

Pour m’envoyer des messages le soir, pour discuter, pour faire connaissance.

Je sens qu’elle a envie de trouver quelqu’un. Kenza, elle, a plutôt envie de jouer, elle a envie de faire la belle et elle a envie d’être regardée, d’être admirée, d’être désirée.. Je leur bafouille que je les trouve belles, très mignonnes, mais que je suis gêné de discuter avec elles, je ne trouve pas cela correct, vu la différence d’âge, et aussi que je suis marié.

T’inquiète, T’inquiète, on fera ça dans un hôtel, ta femme n’en saura rien, on est pas des chiennes !

Elles me foutent la trouille, ces deux petites punaises ; je décide de rentrer chez moi.. Elles me suivent et continuent de m’aguicher.

Allez, fais pas le rat, ramène-nous chez nous, on va pas faire tout ce chemin à pied !

Je finis par accepter de les ramener et l’on se dirige vers le parking souterrain place Bellecourt.. Durant le trajet, je sens la chaleur du désir monter dans tout mon corps. Je prends Chloé par la main dans l’ascenseur qui descend vers le niveau où est garée ma voiture.

On monte dans la voiture, Chloé à l’avant, Kenza à l’arrière.. Je ne démarre pas, je passe ma main sur la cuisse de Chloé.

Je penche ma tête vers son visage et nous nous échangeons un long baiser langoureux.. J’enlace Chloé, notre baiser est interminable, elle barbouille mon visage de son gloss.

A ma grande surprise, je sens des mains qui me caressent le ventre et qui tirent ma chemise hors de mon pantalon.. J’interromps mon baiser avec Chloé, et je contemple les mains habiles de Kenza qui déboutonnent mon pantalon, ouvrent ma braguette et extraient mon sexe de mon slip.

Je veux reprendre mes baisers avec Chloé, mais Kenza commence à me branler la bite qui devient bien vite tout raide. Chloé descend sa tête et commence à me sucer. J’actionne la manette et je recule mon siège au maximum pour laisser un maximum de place à Chloé. Je caresse doucement les cheveux de ma petite suceuse.. Kenza n’est pas en reste, elle me caresse les épaules et le visage et entreprend à son tour de m’embrasser. Je ne m’étais jamais tapé deux filles en même temps, maintenant, c’est fait.

La position n’est pas très confortable, mais je profite de l’instant et je sens bientôt la sève qui commence à monter.. Je gicle dans la bouche de Chloé ; celle-ci se retire en grimaçant, l’air dégoûté, elle recrache le yaourt sur mon pantalon.

Putaaaaain ! crie Chloé, t’es pas dans l’game.

Les deux petites salopes sortent de la voiture, elles me lâchent un "Saluuuuuut" en rigolant et se barrent en courant.. Je suis seul comme un con, à essuyer au kleenex mon foutre recraché qui macule mon falzar.

Je me sens bête, frustré, en même temps je voulais du sexe, j’en ai eu. Je démarre la voiture et je rentre chez moi….

A suivre…

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