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Body-painting – Chapitre 1




Cette histoire sest déroulée un soir d’été. Toute notre ancienne bande de potes était conviée à un barbecue au bord de la piscine chez notre ami Christophe. Certains d’entre nous prolongeaient leurs études, d’autres étaient à leur compte et certains déjà depuis un long moment dans la vie active. C’était le cas d’Arnaud qui bossait depuis l’âge de 16 ans, en couple avec Kathy et père de trois enfants. Ils nous ont d’ailleurs surpris, en se rendant disponibles pour cette soirée malgré leurs responsabilités. La soirée battait son plein, les couples discutaient poupons et projets. Quant aux éternels célibataires comme moi et Christophe, nous faisions les imbéciles pour amuser la galerie. Kathy nous a fait part de son désir de se faire tatouer et, connaissant ma passion pour le dessin et mon investissement dans mon entreprise de décoration, elle m’a demandé une chose à laquelle je ne m’attendais pas…

— Dis-moi Tristan ? Tu pourrais me dessiner une rose sur l’épaule pour me faire une idée ?

— Oui sans soucis. On va demander à Chris une feuille et un stylo.

— J’avais plutôt pensé à une improvisation de ta part directement sur ma peau ! Tu crois que tu peux le faire ?

— Oui bien sûr. Je dois avoir ce qu’il faut dans ma voiture, je vais chercher ça.

— Ce serait cool de faire la surprise à tout le monde, tu ne crois pas ?

— Carrément ça serait génial ! Ajouta Arnaud.

— On aura l’impression que tu viendras d’être tatoué ! Fit Odile.

— Tu me fais ça rapidement sur le parking ? Qu’en penses-tu ?

— Pourquoi pas ? Oui, allons-y !

— Merci, c’est trop sympa !

Nous nous sommes rendus sur le parking de la grande maison de Christophe. La nuit était tombée depuis peu et j’ai fait installer Kathy sur le siège passager de mon utilitaire. Prenant mes stylos à peinture dans le coffre et une chaise, je me suis installé près d’elle.

— Alors cette rose, plutôt en couleur où en noir et blanc ?

— J’avais pensé en couleur, mais avec la photo on pourra peut-être la rendre noir et blanche. De ce fait, j’aurais les deux visuels à disposition ?

— Très bonne idée, je pense que les couleurs rendront un bel effet en noir et blanc. Eh bien c’est parti !

Kathy portait un débardeur qui dégageait totalement ses épaules, rendant la tâche bien plus simple. D’un premier jet, j’ai esquissé la rose dans sa totalité avec un crayon noir. Le résultat étant plutôt sympa, j’ai commencé à remplir la tige et les feuilles avec du vert. Après deux, trois traits de vert, le noir n’étant pas encore sec, bavait sur le vert et vice versa. Chiffon en mains, j’ai rapidement essuyé le bas de mon esquisse pour effacer cette bavure. Redessinant le bas de la fleur, ainsi que ses feuilles et ses épines aussi fidèlement que précédemment, je me suis approché de son épaule, soufflé un peu de chaleur pour faire sécher le noir plus rapidement.

— Mmmmm, dit donc, c’est sensuel ce que tu me fais-là ! Fit-elle en rigolant.

— Et encore ce n’est que l’épaule, imagine sur un body-painting intégral ! Ajoutais-je en rigolant à mon tour.

— Parce que tu en fais ?

— Ça m’arrive oui.

— Intéressant ! Me fixant avec un sourire.

Quelques minutes plus tard, après l’ajout des différentes couleurs et pas mal de souffle sur cette épaule, j’avais terminé. Nous sommes retournés voir les autres après avoir rangé tout mon matériel et fermé la voiture. Ils étaient tous enjoués à la vue de la rose dessinée, puis, après les acclamations et félicitations, la soirée reprit jusqu’au petit matin.

Vers 11 h 30, mon téléphone se mit à vibrer. Encore alcoolisés de la soirée, les potes dormaient dans le salon autour de moi. Je mis du temps à répondre, je décrochais avant de savoir qui c’était.

— Allo ?

— Allo, salut Tristan ! Ça va ?

— Hummm… Kathy ?

— Oui c’est moi !

— Mais, tu n’as pas dormi ici ?

— Non, nous sommes rentrés dans la soirée, Arnaud travaille aujourd’hui.

— Ah, je ne vous ai pas vus partir !

— Je me doute vu dans quel état tu étais hier soir ! Elle riait encore.

— Te moque pas de moi, tu étais pas mal non plus !

— Tu te souviens de ça ? La honte…

— Mais non c’était cool ! Que veux-tu ?

— Ah oui, c’est vrai. Ma rose s’est effacée à la douche ce matin, pourrais-tu passer me refaire un petit tatouage ?

— Oui, si tu veux ! Je peux passer quand ?

— Quand tu veux !

— OK, à toute à l’heure !

— Bisous !

— Bise

Le temps de prendre une douche rapidement pour dégriser un peu, je me suis éclipsé sans faire de bruit pour ne réveiller personne. 12H40, j’arrive chez Nono et Kat. Je prends mon matériel dans le coffre et vais frapper à la porte. Kat vient ouvrir, visiblement bien remise de sa soirée, un large sourire sur le visage. Les salutations, la bise et nous voilà au salon, installé sur le canapé.

— Alors quel motif cette fois ? Encore une rose ?

— Eh bien, je ne sais pas trop, j’ai déjà les photos de la rose en couleurs et en noir et blanc. Elles sont superbes d’ailleurs. J’avais pensé te laisser libre sur une partie de mon corps.

— Ah je vois, c’est pour Nono ? De jolis clichés de sa jolie femme ?

— C’est pour moi cette fois-ci ! Merci du compliment mais Arnaud n’est pas au courant que tu es là.

— D’accord pas de soucis, que voudrais-tu faire ?

— Déjà, quelle partie tu aimes travailler toi ?

— Moi ? Peu importe, j’aime toutes les parties ! On éclate de rire.

— Mon ventre ça te va ?

— Allez, c’est parti pour le ventre.

Kathy a remonté son débardeur, me dévoilant un ventre étonnamment plat malgré ses trois grossesses. Étant libre de faire ce que je souhaitais, j’ai commencé à esquisser une sorte de « V » faisant un demi-cercle sous sa poitrine et terminant en pointe vers la ceinture de son jeans. Elle ne perdait pas une miette de mon dessin, il était très coloré et j’y avais ajouté des formes à l’intérieur pour lui donner un aspect métallique. Je soufflais près de son nombril pour faire sécher plus rapidement la peinture et pouvoir y ajouter un maximum de nuances.

— C’est très sympa ! On dirait presque…

— Oui ? On dirait presque quoi ?

— Tu vas me trouver bête !

— Non, vas-y dit moi !

— Eh bien on dirait presque une partie d’un monokini très échancré ! Elle rougissait légèrement

— Je dois bien avouer que je ne vois pas ce dont tu parles. Elle se mit à rire.

— Bouge pas, je vais te montrer

Saisissant son téléphone, elle trouva rapidement une image sur le Net. C’était une ravissante jeune femme portant un monokini ultra sexy et échancré. Les bretelles passaient derrière sa nuque, recouvraient à peine les tétons de la jeune mannequin et se terminaient en string très élancé. Effectivement le « V » dessinait sur son ventre se retrouvait également sur ce maillot de bain.

— Elle est hyper sexy la demoiselle !

— Oui, mais son maillot tu l’as regardé ou tu as juste maté la fille ? Riait-elle

— Bien-sûr j’ai regardé le maillot ! Effectivement la forme sur ton ventre ressemble à une partie de ce monokini !

— Oui…

— Qui a-t-il encore ?

— Rien, je te laisse continuer

— Si, vas-y dis-moi !

— Tu ne voudrais pas… me le reproduire ?

— Tu es sérieuse ?

— C’était débile, pardon je retire ce que j’ai dit !

— Non, ce n’est pas bête ! Mais je ne pensais pas que tu avais des goûts de ce genre !

— Eh bien merci ! Tu me prends pour la fille super coincée c’est pas sympa ça !

— T’énerve pas, c’est bon je n’ai pas dit ça !

— Laisse tomber !

— Vous les femmes, toujours à prendre la mouche pour rien ! Bon, on te le fait ce dessin ?

— Tu dis ça pour te moquer !

— Non je t’assure !

— Ce n’est peut-être pas une si bonne idée, j’ai honte de me retrouver sans haut devant toi ?

— Sois pas bête !

Je me suis relevé du canapé et j’ai retiré mon haut me retrouvant torse nu.

— Que fais-tu ?

— Eh bien, tu as honte d’être dénudé en haut et bien je le suis aussi c’est donnant donnant !

Elle se mit à rire aux éclats. Puis sans complexe, elle a retiré son débardeur et aussitôt fait sauter l’attache de son soutien-gorge. Libérant une sublime paire de seins, imposants mais pas gros pour autant, surplombé de jolis mamelons roses et deux tétons bien dressés. J’étais sans voix.

— Alors tu continues ? Rigolait-elle en remarquant mon émoi.

— Heu oui pardon !

Reprenant mon stylo noir, j’ai fait monter le dessin sur son sein gauche, et alors que j’arrivais au téton j’ai contourné son mamelon.

— Ne les recouvre pas totalement ! Ce sera plus sexy si les bretelles passent juste sur mes tétons.

— OK comme tu veux !

La situation était dingue, je dessinais sur le sein de la femme de mon ami. Je sentais mon sexe gonfler doucement dans mon boxer, tellement la situation était bandante. J’ai essuyé le trait de construction de mon esquisse initiale à l’aide du pouce. J’avais déjà fait des séances de body avec d’autres femmes mais jamais en intégral. Quel pied ! L’esquisse était aboutie, et Kathy était vraiment sexy dans ce haut de maillot de bain imaginaire. Continuant mon remplissage à l’aide de mes crayons, elle ne ratait rien de la performance artistique et souriait même lorsque je soufflais sur ses tétons. La chair de poule naissante sur ses seins, prouvait qu’elle appréciait la séance presque autant que moi. Elle a balayé ses cheveux bruns sur le côté me laissant terminer dans son cou. Sa respiration devenait presque un gémissement à mesure que mon souffle entrait en contact avec sa nuque. Plusieurs longues minutes plus tard, j’avais terminé.

— Voilà ma belle ! C’est terminé ! Après une poignée de seconde sans un mot.

— Tu ne fais pas le bas ?

— Heu… ce serait avec plaisir mais… je ne suis pas sûr que ce soit une très bonne idée…

— C’est moi qui te le demande…

On se regardait dans les yeux, gêné tous les deux de la situation mais avec une envie non dissimulée. Kathy désamorça la situation d’un geste incroyablement sexy. Elle déboutonna le premier bouton de son jeans sans me quitter des yeux, ce bruit incomparable me fit sourire immédiatement.

— On a un deal… je retire le bas si tu en fais de même !

Sans lâcher son attention je me suis relevé sur le canapé et j’ai déboutonné mon jeans totalement avant de le faire glisser sur mes chevilles. Ses yeux plongeaient dans les miens, elle rougissait légèrement, puis j’ai sorti ma queue tendue de mon boxer que j’ai également retiré.

— Viens retirer mon jeans ! Fit-elle avec assurance.

Je me suis glissé entre ses jambes et sans attendre, je finis de déboutonner ce jeans. Le saisissant par la ceinture, j’attrape en même temps l’élastique de son string. Je la dénude entièrement d’un geste. La belle, écartant délicatement les cuisses, m’offrait une vue incroyable sur son intimité parfaitement épilée. J’ai alors eu envie de la rendre mal à l’aise.

— Ta petite chatte est superbe !

— Arrête… tu me gênes !

— C’était le but ! Riais-je

— Imbécile !

Pour ne pas qu’elle change d’avis, je pris mon stylo et ai continué mon esquisse. Le string du monokini de la photo était très fin, il contournait d’un simple fil la taille du modèle pour finir sa course dans le sillon de ses fesses. Je le reproduisais à l’identique. Prenant mon temps pour recouvrir sa vulve bombée, mon souffle lui faisait pousser de léger gémissement à peine dissimulé. À chaque fois que je soufflais, sa chatte s’entrouvrait légèrement. Je faisais exprès par moments d’effleurer sa peau avec mon nez la faisant soupirer. Ce maillot était décidément trop sexy, il m’était néanmoins difficile de le terminer dans cette position.

— Retourne-toi si tu veux que je le termine bien !

— Tu veux me voir à quatre pattes… pervers ?

— C’est pour le dessin…

— Je plaisante….. Comme ça c’est bon ?

Kat était en position de levrette pile en face de mon visage. Je bandais comme un dingue !

— Oui… c’est parfait !

— Attends ! Plus simple comme ça, je pense ?

Elle a alors saisi ses fesses à pleine main et les a écartées naturellement devant mon regard médusé.

-… parfait…

J’ai passé mon stylo sur sa rondelle offerte pour le recouvrir à peine comme sur le modèle d’origine. Kathy gémissait de plus en plus sous ce traitement, et encore plus lorsque j’ai approché mon visage pour souffler sur son orifice. Ne pouvant pas faire prolonger la séance, j’étais obligé de me rendre à l’évidence, j’avais terminé.

— Et voilà ma belle, c’est fait !

— Oh, c’est terminé… Tu vas me prendre en photo ?

— Oui bien sûr ! Que tu vois le travail effectué. Tu veux que je remette mon boxer ? Tu es presque en dessous maintenant !

— Et non ! Je suis encore à poil. Donc tu restes à poil s’il te plaît ! Fit-elle en riant.

Nous avons fait une longue séance photo. Debout, devant la fenêtre du jardin, allongé sur son transat dehors, accroupie sur la terrasse, etc… A chaque fois, Kat évitait volontairement de poser son regard sur mon sexe car elle devait s’imaginer que je n’étais pas de marbre devant elle dans cette tenue. Et elle avait raison, cette bite complètement tendue depuis de longues minutes me faisait presque mal à présent. La séance photo touchait à sa fin et nous sommes rentrés prendre les derniers clichés sur le canapé.

— J’aimerais en prendre une dernière dans une pose affriolante, ça ne te dérange pas ?

— Au point où nous en sommes, pourquoi pas ! Riait-elle encore

— Mets-toi à genoux sur le canapé, les jambes écartées et les coudes posés sur le siège.

— En levrette donc ?

— Oui. Avec le dos bien cambré.

— Bien obscène alors !

— Oui… s’il te plaît…

— Oh allez lâche toi un peu Tristan ! Je plaisante !

— OK, désolé

— Comme ça, ça te convient ?

— Oui parfait ! Ne bouge pas !

Le fessier bien en l’air, je me suis placé face à elle, et lui ai posé la main dans le dos, l’incitant à se cambrer davantage. Elle gardait la tête baissée pour ne pas voir mon sexe et cela ne m’aidait pas à lui faire prendre la pause.

— Désolé Kat, mais je vais te demander de remonter ton visage pour cambrer davantage ton dos s’il te plaît !

Elle s’exécuta ne pouvant plus esquiver la vue de ma queue tendue qui palpitait face à son visage. Son dos s’est alors cambré très vulgairement et j’ai pu prendre mon cliché. Quelle vue ! Je consultais le cliché quand soudain…

— Je suis désolé….. je n’en peux plus…

Ouvrant la bouche en grand, elle plongea ma bite profondément dans sa gorge jusqu’aux couilles me faisant lâcher mon téléphone.

— PUTAIN ! Enfin. Tu me rendais dingue, salope !

Voyant qu’elle allait protester, sans doute offusqué par mes propos, je saisis ses cheveux et me mis à lui bourrer la bouche comme si c’était une chatte. Les yeux grands ouverts, surprise par cet assaut soudain, je limais cette jolie bouche sans retenue. Kat gémissait fort et sa salive abondante coulait le long de ma verge et maculait à présent mes couilles et le sillon de mon cul. La queue trempée, j’ai relâché mon étreinte.

— C’est ça que tu voulais petite catin !

— Non c’est p…

Lui giflant le visage sans vergogne, la faisant rougir totalement j’ai réitéré ma question.

— Avoue-le, petite salope !

— Je… la seconde gifle tomba.

— Tu voulais ma bite ! Une troisième gifle résonne dans le salon.

— OUI ! J’ai la chatte en feu depuis hier soir ! J’ai eu envie que tu me baises toute la nuit !

— Tu m’as attiré chez toi vilaine garce !

— Oui… je meurs d’envie que tu me baises depuis trop longtemps…

— C’est bien tu es honnête !

— J’ai connu qu’Arnaud qui m’a toujours fait l’amour tendrement, j’avais envie de me sentir … femme !

— Te sentir quoi ?

— Femm….. Quatrième gifle.

— Te sentir quoi ?

— Salope ! Je veux me sentir salope !

— Bien !

J’ai replongé ma queue dans sa bouche pour la limer brutalement. Elle parvenait difficilement à reprendre son souffle j’ai donc lâché prise et je me suis placé derrière son cul et sans un mot lui ai bouffé la rondelle. J’alternais la pénétration de son trou du cul serré et de sa chatte trempée avec ma langue tendue. Ses gémissements sexys me rendaient dingue, je me suis penché pour prendre son clito entre mes lèvres et le sucer fermement comme si je lui faisais un suçon. La belle chavirait et criait dans le salon.

— Putain t’es trop doué ! J’ai envie de ta bite ! Mets-la-moi !

Me redressant, les pieds à plat sur le canapé, j’ai pénétré cette chatte offerte jusqu’à la garde dans un balancement de bassin intense. Le bruit sourd de mes couilles claquant son vagin résonnait dans la pièce. J’ai alors poussé sa tête sur le canapé et lui ai mis le pied sur le visage.

— Ça va te changer de l’amour platonique petite chienne !

— Oui vas-y, défonce-moi ! Fais de moi ta Pute !

Bien cramponné, j’ai limé cette chatte trempée violemment. Sa mouille abondante s’accumulait et se propageait entre ma queue et ses parois vaginales. Les jets de cyprine maculaient le canapé en cuir. De nombreux et violents coups de reins plus tard je me suis retiré.

— Viens me sucer Salope ! Viens goûter ta mouille !

— Tout de suite !

Le cul dans la cyprine, elle est venue me pomper la queue sans retenue, sans doute habituée au goût de sa chatte. Je l’ai saisie par les cheveux et lui ai mis le visage dans son jus :

— Nettoie ça ! Sale Pute !

Kathy souriait alors que je la malmenais. Elle avait certainement enfoui ses envies depuis bien trop longtemps. Ce mauvais traitement était comme une délivrance pour elle. Je ne soupçonnais cependant pas jusqu’à quel point elle avait envie de se lâcher.

— Ça te dirait de me péter le cul ?

— Prends garde aux mots employés tu risques de le regretter !

— Arnaud me sodomise depuis des années ! J’aimerais me faire enculer sauvagement !

— Comme tu veux Salope !

La coquine a pris de son jus sur le canapé et l’a étalé sur sa rondelle d’une manière salace. J’ai posé mon gland sur l’entrée de ce si bel orifice, une main ferme sur la hanche, l’autre empoignant sa chevelure pour tirer sa tête en arrière. La belle prit une grande inspiration alors que je forçais violemment l’entrée de son cul. Le rectum s’écartant brusquement sous la pression de mon gland gonflé, le reste de ma queue n’eut aucun mal à se ficher bien au fond jusqu’aux couilles. Silence pesant dans la pièce, la salope la ramenait moins alors que je lui infligeais une pénétration brutale, les couilles claquant sur sa toison trempée. De longues secondes de pétage de cul en règle et toujours aucun mot de sa part. Soudain un crie, incroyablement bandant au milieu des bruits de claquement de mes couilles dans la pièce. Si excitant que je la martelais davantage et plus intensément. Les cris s’avéraient être de brefs et puissants gémissements. Elle adorait ça la garce !

— Tu aimes ça te faire péter le cul sale chienne ?

— Putain ! Oui ! Vas-y défonce-moi le cul !

Ces mots excitants à lâcher dans une telle situation, l’étaient d’autant plus à écouter. Au point que je sentais la pression monter et l’éjaculation arriver. Je me suis donné à fond pour la marteler encore plus avant d’exploser. Plusieurs allers-retours après :

— Putain ! Je vais tout lâcher !

— Éjacule sur ma gueule de pute !

— Redresse-toi Salope !

Libérant ma queue, je l’ai empoigné pour me branler au-dessus de son visage. Bouche ouverte, langue tendue, elle attendait sa giclée de foutre épais. Les jets puissants retombaient dans ses cheveux, sur son visage, ses seins et dans sa bouche. Elle m’a repris en bouche pour extraire la dernière goutte de mon jus salé, nettoyant par la même occasion ma bite souillée par son cul.

— Tu es incroyable !

— C’était génial ! Mon fantasme se réalise enfin !

— Je pensais que tu disais ça pour m’allumer !

— Non, je le pensais vraiment, mon envie de toi ne date pas d’hier soir !

— Je suis flatté ! Je dois bien avouer que j’ai souvent rêvé de toi aussi.

— Tu me baisais bien j’espère !

— Maintenant, je n’ai pas honte de le dire. Oui ! Je te baisais à mort dans mes rêves !

— Tu baises mieux que dans mes fantasmes ! Tu mas trop bien défoncée !

— Merci ma belle !

— Bon, ça va être compliqué de remettre ça un jour mais si tu es partant…

— Partant !

Nous nous sommes mis à rire…

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