Action ou vérité:
Déjà deux jours sans aucune nouvelle. Dans ma tête je me ressassais ce que javais osé faire et me mettais à imaginer ce quil pourrait encore exiger. Pour ne pas exploser, je partis avec mon fils dans le parc. Jouant avec lui, je surpris quelques hommes qui mobservaient de manière insistante. Dun coup je me souvins que cela faisait 3 jours que je métais passée de culotte. Ils devaient sûrement chercher la trace de mon string en vain. En tout cas jaurais cru que ce manque aurait été plus gênant, mais comme pour le reste jaimais finalement cela, même si je considérais que cela devait rester une exception.
Le week-end passé, je pris finalement loption de porter lun des deux strings en ma possession, et je me promettais de racheter des dessous si mon inconnu ne réapparaissait pas. Dans laprès-midi du lundi, jeus enfin le droit à son appel.
Après mavoir saluée et demandée si le fait de ne pas porter de dessous mexcitait, ce à quoi je répondis dune faible voix oui, il en vint au planning de ma soirée.
— Inconnu : Laurence, souhaites tu toujours me rencontrer ?
— Moi : Oui.
— Je souhaite conserver mon anonymat pour le moment. Aussi, lun de nous deux devra être masqué. Jai décidé que ce serait toi. Es-tu daccord ?
Bien quanxieuse, jacceptai sa requête.
— Inconnu : Ton fils est-il chez toi ?
— Moi : Non il est chez son père.
— Cest bien. Alors, pour rester incognito, tu iras au sex-shop XXXXX situé rue Untel. Tu achèteras une cagoule en cuir, un godemiché, de la vaseline, un plug et des boules de Geisha.
— Une fois rentrée chez toi, tu appelleras mon portable. Tu auras alors dix minutes pour te mettre en string ficelle, porte-jarretelles, et mettre ta cagoule. Auparavant tu penseras à entrouvrir ta porte dentrée. As-tu bien compris ?
— Oui Monsieur.
— Ta position dattente sera à genoux buste bien droit. As-tu toujours envie de me voir ?
— Oui monsieur.
— Cest bien, nous allons voir ce que tu as dans le ventre.
Un mélange danxiété mais aussi dexcitation restait encrer dans ma tête, jusquau moment où je me trouvai face au dit sex-shop. Je rentrais donc pour la première fois dans un tel magasin. Un peu perdue et honteuse jessayai de me débrouiller par moi-même. Mais comment faire quand vous ne connaissez pas certains ustensiles. Cest donc déconfite que je demandai de laide au vendeur. Le jeune homme avec un petit sourire en coin maida donc à trouver les objets désirés. Néanmoins, il me posa des questions plutôt directes auxquelles jétais incapable de répondre du fait que je ne connaissais pas mon partenaire. Cela finit de me faire bafouiller devant mon vendeur et donc de me rabaisser.
Rentrée chez moi, jappelai mon inconnu et me préparai comme demandé. Et cinq minutes plus tard, jentendais enfin ses pas. Comment était-il ? Je ne pensais même pas au risque que jencourais de laisser cet homme, qui mavait fait chanter, chez moi et dans cette tenue. Jétais folle de faire ça !!!
Tout dun coup, mon inconnu me parla :
— Inconnu : Veux-tu toujours poursuivre cette relation ?
— Moi : Si vous ne me faites aucun mal, je veux bien.
— Je ne te ferais aucun mal physique, mais moralement je risque de te brusquer car je pense que tu ne te connais pas. Alors désires-tu prolonger cette aventure ?
— Je le veux bien Monsieur ???
— Patience tu connaîtras un jour mon prénom. Mais pour linstant nous allons débuter cette soirée et jouer au jeu Action & Vérité.
— Daccord.
— 1ere Vérité : aimes tu te caresser ?
— Oui.
— 1ère action alors !!!
Le passage à laction me saisit dun mouvement de recul que je maîtrisai du mieux que je pus. Sa main sétait apposée sur mon épaule et commençait à descendre sur mon sein. Il le soupesa puis en titilla la pointe. Son autre main rejoint alors le sein libre pour lui appliquer le même massage. Mes seins commençaient à durcir et mon sexe humidifiait le mince tissu qui le protégeait. Ma respiration devenait plus forte.
Il dut sen rendre compte, cest alors quil entama la descente de ses mains sur mon ventre jusquà la lisière de mon string. Je penchais mon buste afin de ne pas perdre ses deux mains. Mais dun coup une des deux mains disparût pour réapparaître en bas de mes reins. Cest alors quil prît la ficelle de mon string par devant et par derrière puis mappliqua un langoureux va-et-vient. Jhaletais désormais et faisais mouvoir mon corps en fonction du mouvement. Mon sexe était tellement trempé que le coulissement agaçait merveilleusement mon clitoris. Jétais au bord de lextase, lorsquil sinterrompit.
— 2eme question : As-tu déjà pratiqué des fellations ?
— Oui mais je refuse davaler.
— Il faudra que cela change sinon cela ne pourra pas marcher entre nous. Montre-moi comment tu te débrouilles alors.
Je sentis immédiatement au bord de mes lèvres un pénis dun bon diamètre qui poursuivit sa croissance dans ma bouche. Je tentai de maider de mes mains mais mon interlocuteur men interdit lutilisation. Il me demanda de le lécher sur toute la surface puis de lavaler dans sa globalité jusqu’à son pubis. Jengloutis son membre et me lançai dans des mouvements de va-et-vient rapides puis lents. Après quelques minutes jaspirai son gland et fît circuler ma langue tout autour de son pénis décalotté et pointant fièrement vers mon front. Je repris ensuite la masturbation avec ma bouche. Cest alors quil me bloqua, son sexe à moitié dans ma bouche. Je sentis les soubresauts de son sexe puis enfin un chaud jet envahir ma gorge.
Il me demanda alors davaler ce que je fis avec appréhension, et surtout pour ne pas le décevoir. Je découvrais pour la première fois le goût salé de cette crème. Je ne trouvais pas cela dégoûtant, plutôt agréable même. Ce qui membarrassait auparavant, cétait la position dégradante quentraînait la fellation. Mais cette barrière sétait levée ce soir là . Encore une.
— 3eme question : Pratiques tu la sodomie ?
— Non !!!
— Il ny aura pas daction alors, même si je pense que tu y viendras un de ces jours.
— 4eme question : As-tu déjà pratiqué lamour en extérieur ? Si non où voudrais-tu le faire.
— Non, mais la forêt avec vous me dirait bien.
— 5eme question : Voudrais-tu que je te pénètre maintenant.
— Oui Monsieur.
Il me fît me coucher, descendit mon string, et écarta mes jambes. Mais au lieu de recevoir son sexe, cest sa langue qui simmisça entre mes lèvres. Passive, je commençais à tressauter. Il insinua alors deux doigts dans mon sexe quil mut de façon ample, les faisant ressortir pour mieux les insérer après.
Je nen pouvais plus, jallais défaillir. Il sarrêta et cest alors que je sentis pour la première fois son sexe au bord de mon vagin. Chaud et raide à nouveau, il lintroduisit sans aucun problème.
Il me pénétrait doucement mais bien profondément. Mon corps allait à sa rencontre pour être honnête. Après deux trois minutes il accéléra la cadence échauffant mon vagin et mes sens. Cest alors quil me prit mes jambes quil apposa sur ses épaules. La pénétration en fût que plus profonde et merveilleuse. Il en profita même pour me donner quelques petites claques sur les fesses que je ne réprimai pas. Bien au contraire ça accroissait mon excitation.
Lorgasme arriva alors quil me caressait la raie des fesses avec sa main insistant sur lillet sans toutefois louvrir. Quelques secondes plus tard je sentis les soubresauts de son pénis dans mon vagin sans recevoir le chaud liquide il portait un préservatif.
Après 5 minutes de silence et de repos, il me dit :
— Merci Laurence pour ce jeu. Demain tu iras de nouveau faire des courses. Je tai laissé sur ta table ce que je souhaite que tu achètes. De plus demain tu iras au travail en jupe plissée avec des porte-jarretelles, avec un string. Quand au haut tu mettras un chemisier légèrement transparent sans soutien-gorge. Mais le plus important, cest que tu devras passer toute la journée avec les boules de Geisha dans ton vagin. Daccord !!!
— Euh oui.
— Pour me prouver que tu auras réalisé ta punition je te donne la caméra. Tu dois avec réaliser 5 scènes de 5 minutes chacune me prouvant que tu portes tout ce que je tai dit auparavant. Une doit se faire chez toi demain matin, 2 au bureau, une dans les magasins et une dans la rue.
— Mais je ny arriverais pas ???
— Tu as déjà su te déshabiller dans un parc, alors tu réussiras encore une fois.
— Daccord Monsieur.
— Bonne soirée Laurence. Avant denlever ta cagoule tu dois patienter 5 minutes en comptant à voix haute.
Sans savoir à quel moment il avait disparu. Je pris la lettre sur la table et vis avec largent liquide une liste de vêtements à acheter :
— Une jupe portefeuille, une jupe plissée écossaise, une jupe moulante blanche, et une minijupe fendue derrière.
— Une robe droite à bouton sur le devant, une robe de soirée transparente noire, une robe à bretelles en mousseline.
— Dessous : une guêpière, 2 porte-jarretelles dont un blanc ; des bas résilles, coutures (5 différents au minimum).
— Culottes : Strings et culottes fendues. Ton choix sera jugé en conséquence.
— Un maillot de bain blanc mono pièce et un bikini légèrement transparent.