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Baby-sitting – Chapitre 4




4

C’est au moment précis où je faisais demi-tour après avoir fermé la porte de la chambre que l’imprévisible se produisit : je me trouvai nez à nez avec Ghislaine que je n’avais pas entendu arriver dans mon dos!

Je vis la stupéfaction sur son visage se transformer en fureur à peine contenue.

— Non, mais, je rêve! Décidément, c’est la soirée Enlevez-moi ça tout de suite Immédiatement!

— Ecoutez, je peux tout vous expliquer. Je pourrais essayer d’inventer n’importe quoi, mais je préfère vous dire la vérité : cest pour pouvoir ressentir ce qu’une femme telle que vous peut vivre en étant vêtue ainsi que je me suis permis d’enfiler vos vêtements.

— Comment ça, "ressentir"? Non mais vous êtes malade!

— Mais, je vous jure, c’est la vérité. Je voulais savoir quel effet ça fait de porter une jupe en cuir et des talons, et en essayant les vôtres, je voulais me mettre à votre place un instant.

— Vous mettre à ma place? Non, mais c’est pas possible! Enlevez-moi cette jupe et ces bottes Tout de suite! Vous mettre à ma place? Non mais je rêve!

— Je ne sais pas quoi vous dire de plus. Je Je suis désolé.

— Désolé? Pas tant que moi! Et dire que je vous faisais confiance, je vous trouvais même plutôt sympa, moi aussi. Je vous jure que si vous les avez abîmées, vous allez casquer. Vous faites quoi comme taille de vêtements et comme pointure?

— Je chausse du 39 et je prends du 38 en pantalon. Nayez aucune crainte, jai fait très attention.

Pendant cet échange, nous avions pénétré dans la lingerie. Je déposai les gants sur une étagère, puis me retournai pour déboutonner le chemisier de satin et enlever le soutien-gorge. C’est lorsque je fis glisser la jupe que je l’entendis :

— Oh non, c’est pas vrai!

Elle venait de découvrir sur moi les sous-vêtements qu’elle avait déjà portés. Je me retournai vers elle en cachant tant bien que mal ce qui restait de mon érection dans le string.

Ses yeux verts lançaient des éclairs.

— C’est pas vrai, non, vraiment Je cauchemarde! Allez, à poil, merde!

Elle suspendit rageusement la jupe grise sur son cintre pendant que j’enlevais les bottes. Je commençai à traverser sa chambre pour replacer la lingerie fine dans la panière à linge, mais elle m’arrêta de la voix.

— Mais j’ai laissé mes vêtements à moi dans la salle de bain

— Je m’en fous complètement! Restez là! Ne bougez plus!

Elle me prit les sous-vêtements des mains et les alla les déposer à coté. J’étais maintenant complètement nu, je ne me sentais pas franchement à l’aise, immobile sous son regard glacé.

— Parce que, pour vous, ça ressent quoi, une femme, hein? Vous croyez que tout est toujours rose parce qu’on porte de la lingerie sexy?

— Non, ce n’est pas aussi simple que ça, je sais bien, mais

— Vous croyez que tout est facile parce qu’on est perchée sur dix centimètres de talons?

A cet instant, une lueur étrange passa dans son regard. Elle reprit :

— Vous vouliez "ressentir ce que je vis tous les jours", vous "mettre à ma place", hein, c’est bien ça? Cest ce que vous voulez. Cest bien ce que vous avez dit, hein?

— Et bien, Oui, Enfin, c’est ce que je vous ai expliqué

— Et bien, vous allez le voir, ce que ressent une femme, vous allez le "ressentir", ce que j’ai vécu ce soir. Alors pour commencer, je vais vous faire connaître les joies de l’épilation.

— Ecoutez

— Il n’y a pas de ’Ecoutez’. Vous avez voulu vous prendre pour une nana, je vous promets que je vais vous faire assumer ce choix jusqu’au bout. On va finir ce petit jeu que vous avez commencé Mais à ma manière, sinon, je vous jure que vous allez le regretter! Et que ça vous plaise ou non, ça va commencer par une épilation. Venez avec moi à coté.

Elle sortit de l’armoire de toilette un épilateur à la cire et me fit signe de la tête de m’installer.

Pendant que l’appareil chauffait, je me sentais à la fois très mal à l’aise et survolté. Je me posais des questions sur les motivations qui poussaient Ghislaine à "prolonger mon jeu, mais avec ses propres règles". Pour quelles raisons rentrait-elle à 22H30 alors que sa soirée était censée durer jusqu’à deux heures du matin?

— Est-ce que vous me permettez de masquer ma nudité?

— Du moment que vous gardez les pattes à l’air, je m’en fous complètement!

Depuis que j’avais ôté ses vêtements, ses propos étaient encore plus cassants, plus relâchés. Sa colère faisait voler en éclat sa distinction habituelle.

J’allongeai mon bras en direction de la patère, mais au dernier moment, au lieu dy prendre mon slip, je saisis la nuisette et la petite culotte noire. Lorsqu’elle me vit les enfiler, elle eut un haussement d’épaule :

— De toute façon, au point où on en est

— C’est à dire que, tant qu’à faire, si je dois continuer à jouer à la femme

J’avais répondu un peu crânement, pour essayer de percer son état d’esprit.

Ma verge avait retrouvé un volume conséquent à partir du moment où j’avais mis la nuisette. Elle sembla ne même pas s’en apercevoir et commença à étaler la cire sur toute la longueur de mes jambes. Je tressaillis sous la brûlure. Elle me dit en retenant un léger tremblement dans sa voix "Ca n’est qu’un début!".

Effectivement, l’arrachage de la bandelette (et de celles qui suivirent) me fut beaucoup plus pénible, d’autant plus qu’elle ne prit volontairement pas de gants au sens propre comme au sens figuré!

Elle fit par contre preuve d’un self-control étonnant en épilant le haut de mes cuisses, ignorant complètement le fait que mon sexe faisait une bosse sans équivoque sous le polyamide transparent de la nuisette!

Néanmoins, au fur et à mesure que l’opération avançait, elle se montra moins sèche dans ses gestes.

Elle finit par débrancher l’appareil et me dit calmement "Attendez encore une minute, ce n’est pas encore tout à fait fini". Elle prit un flacon et me le tendit en ordonnant "Etalez-vous ça sur les jambes, ça calmera la sensation de brûlure". Effectivement, passées les premières secondes où le picotement fut avivé, je me sentis vite soulagé. Elle m’invita à me changer et à repasser dans la chambre. Elle se calmait petit à petit.

— Alors, ça vous a plu de "jouer à la femme"?

— Ecoutez, j’ai été totalement franc avec vous depuis le début, je vais continuer : je voulais, j’aurais vraiment voulu être à votre place. Je me suis senti tellement bien quand j’ai mis vos vêtements et vos bottes tout à l’heure, j’ai essayé d’imaginer ce que pouvait être votre soirée. Et oui, excusez ma franchise, mais je ne regrette pas. Tout le monde dira que ça ne se fait pas, à beaucoup de points de vue, mais j’ai trouvé ça merveilleux, je n’ai pas d’autres mots. Alors, oui, "ça ma plu de me sentir femme" !

Elle se raidit à nouveau et rebondit sur ce que je venais de dire :

— Vous voudriez être à ma place? Vivre mes soirées? Très bien, cette fois-ci, vous l’aurez voulu!

Sa voix était redevenue cassante.

— "Je vais vous la faire revivre, ma soirée, et on verra si vous pensez toujours la même chose après!" (Sa voix monta dun ton) "Déshabillez-vous! Tout de suite !!! Et ne bougez pas."

Alors que j’obtempérais, il se passa quelque chose de complètement incroyable.

Elle enleva son spencer, déboutonna son chemisier en satin noir, puis fit coulisser la fermeture éclair dans le dos de sa jupe et la laissa glisser au sol. Elle apparut alors devant moi, vêtue en tout et pour tout de ses bottes (si érotiques avec leurs talons métalliques), d’une paire de bas tenus par un porte-jarretelles et d’une petite culotte satinée blanche! Elle était largement échancrée sur les cuisses, ce qui fait qu’entre les bottes, les bas et ce slip, ses jambes paraissaient interminables. Elle avait une poitrine superbe, des petits seins fermes et hauts perchés. La pointe de mon gland touchait maintenant mon nombril tellement je la trouvais désirable.

Je n’étais pas encore au bout de mes surprises. Elle se baissa pour ramasser sa jupe, me la tendit en disant "Puisqu’il semble que vous rentriez dans mes habits, mettez ça".

Je ne pus réprimer un frisson lorsque je remontai le cuir en le faisant caresser mon sexe sur toute sa longueur! Ghislaine ne me quittait pas des yeux. J’essayai d’avoir une attitude féminine pour remonter le zip dans mon dos, je ne voulais pas donner l’image grotesque que donnent parfois des travestis trop mâles dans leurs gestes autant que dans leur morphologie. Elle ôta ses bottes et me les tendit :

— Allez, on continue. Je suppose que vous avez fouillé dans les placards et vous savez donc sans doute que j’en ai plusieurs paires, mais c’est celles-ci qui ont les talons les plus hauts et qui sont les plus serrées. On va voir combien de temps vous tiendrez avec ça aux pieds!

— Je Excusez-moi

J’avalai difficilement ma salive, mais poursuivit malgré tout :

— Je crois qu’il me faudrait des bas.

Elle poussa un long soupir, semblant agacée par mon insistance à me féminiser et passa dans la salle de bain.

J’eus un nouveau choc lorsqu’elle revint 30 secondes plus tard, vêtue en tout et pour tout de la culotte noire au pompon de fourrure, avec ses bas et sa lingerie blanche à la main, tendus en offrande!

Je voulus mettre immédiatement le slip brésilien, afin de le sentir encore chaud sur mon sexe et mon entrejambe. Je dus pour cela retrousser haut la jupe, car l’élastique arrivait au-dessus des hanches. Il avait cependant l’avantage de contenir toute la longueur de mon érection pourtant imposante, seuls les testicules débordaient un peu de chaque coté de l’étroite bande de polyamide qui me passait entre les jambes.

Pendant que j’agrafai le porte-jarretelles et les bas, elle alla chercher dans la commode le soutien-gorge assorti (qu’elle-même n’avait pas jugé bon de porter pour la soirée) et en profita pour se rhabiller aussi : elle portait à présent le jean en cuir noir, un sweat-shirt blanc à même la peau et les boots beiges à hauts talons.

— Vous avez encore moins de poitrine que moi, faites quelque chose

Elle avait esquissé un léger sourire en prononçant ces mots, et me tendit de quoi rembourrer le soutien-gorge. Je commençais à me demander si sa colère n’était pas simplement un exutoire à une très grosse déception. La hargne qu’elle avait manifestée en me promettant de me faire revivre sa soirée me laissait à penser que son rendez-vous avait du tourner à la catastrophe

Je m’assis sur le lit pour enfiler les bottes, puis le chemisier en satin. Mon sexe me faisait presque mal, tant il était tendu : je n’aurais même pas osé fantasmer sur le fait de porter les vêtements encore tièdes que cette femme si sexy avait sur elle à peine une minute plus tôt, et pourtant!

"C’est ce qu’on appelle déshabiller Pierre pour habiller Paul ou plus exactement, déshabiller Ghislaine pour habiller Sam" pensai-je silencieusement.

Elle m’invita à la précéder :

— Passons dans le salon, je vous suis.

Au passage, elle entrouvrit la porte pour s’assurer que son fils dormait toujours paisiblement.

Je m’efforçais de ne pas faire de trop grands pas et de poser mes pieds l’un devant l’autre, comme sur une ligne invisible, mais sans toutefois "tortiller du cul" de manière outrageuse. Je sentais son regard dans mon dos, cela me stressait et m’excitait tout en même temps.

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