Le mois de juin arrive avec ses promesses de soleil, donc de chaleur…
J’ai découvert les jeux interdits avec Mathilde, 17 ans et je suis toujours excité par la vue de jeunes filles en fleur…
Depuis des années cette période me pousse à surprendre les petits décolletés, les shorts moulants et autres provocations.
Avec l’expérience, je réussis à ne rien laisser paraître lorsque je matte une petite culotte presque invisible sous une
jupe trop courte, ou un début de sein à l’orée d’un débardeur un peu ample.
Cet après-midi, le plus jeune de mes fils, Edouard à invité une partie de sa bande de geeks à traîner entre frigo et ordinateur. On sonne alors à la porte et je m’attends à trouver le copain numéro 5 ou 6 en retard
Eh bien non, c’est une jeune Nadine qui se présente comme amie du fiston.
— Entre donc, ils sont là haut à faire chauffer les manettes.
— En fait, je pense que je peux attendre un peu car les jeux n’ont pas 6 manettes, vous savez… Et puis, je suis copine avec Mathilde. Elle m’a dit qu’il y avait des jeux à tous les étages, chez vous.
Interloqué, je me mets en mode prudence:
— Mathilde t’a parlé du jardin et de la piscine ?
— Non, elle m’a juste dit qu’on pouvait réviser sur la terrasse. Comme l’année se termine, je crois que ça devient inutile, n’est-ce pas ?
Je la regarde plus attentivement, et découvre une ado de 16 ans bien tassés, mais pointant vers moi un bon 95C sous son tee-shirt tendu. Ses jambes sont assez longues et disparaissent sous une mini-jupe noire en jersey léger.
— Écoute, je ne sais pas ce que t’a dit Mathilde, mais tu dois parfaire tes connaissances pour l’été et la rentrée.
— Pour l’été?
— Euh oui, j’ai mis un programme au point avec Mathilde et je crois qu’elle pourra progresser cet été.
— Pour la drague, tu veux dire ?
— Oui et non… On n’a qu’à se tutoyer, alors…
— Avec ce que je te prépare, c’est mieux, je pense.
Sans plus attendre, elle me prend la main et m’entraine à l’extérieur, sous la glycine près de la piscine:
— Là on va être une peu tranquille: soulève ma jupe, vilain !
— Je ne sais…
— Allez, chauffe-moi !
Elle m’agrippe le poignet et place directement ma main sous sa jupe.
— Tu vois, c’est presque aussi doux que chez Mathilde. Elle m’a tout dit pendant que je la broutait l’autre week-end. Nos
parents étaient sortis et on a pu réviser ensemble.
Puisque les dés sont jetés, je l’embrasse à pleine bouche pendant que mes mains explore les terrains interdits.
Sa poitrine ferme ne mattire pas plus que ça, mais elle semble apprécier mes efforts galants.
Je concentre mon attention sur son entrejambe qui ne manque pas d’intérêt.
La petite ne s’épile pas et j’avoue que cela faisait longtemps que je n’avait pas pétri un minou aussi touffu.
Je m’efforce d’écarter ses petites lèvres pour imposer mon index dans son intimité, mais la petite ne mouille pas encore
assez pour satisfaire mes ambitions.
— Nadine, tu vas devoir m’écouter attentivement, car nous n’avons que 10 minutes avant quÉdouard ne descende au ravitaillement. L’avantage c’est qu’il court dans le vieil escalier et qu’on ne sera pas surpris…
— Prends mon sexe dans ta main et pense très fort à ce que tu va pouvoir en faire, je m’occupe du reste.
A ces mots, je passe une main dans son dos et descend vers l’objet de mon désir. Elle se penche un peu plus en avant et
prend mon sexe à pleine main, tout près de sa bouche sensuelle.
— Elle avait raison, il est plutôt balaise.
— Je ne sais pas trop, mais il a l’air content de te voir. Branle-moi, maintenant, et plus vite que ça !
Surprise du ton de ma voix, elle s’exécute et accelère le mouvement. J’ai vu juste: c’est une soumise!!!
— Bouge ton cul, maintenant, c’est trop mou tout ça!
Elle ondule et se cambre pour que je puisse l’entreprendre avec deux doigts. Elle commence à mouiller et ses reins s’agitent en cadence.
— Merde alors, t’es trop fort, toi.
— Chut, chut, ferme-la et ouvre la bouche, je viens…
Même si j’ai encore du temps devant moi, je lui impose une fellation qui lui fait plus peur qu’envie.
— Tu vois, je vais t’en mettre plein la bouche dès que tu va commencer à trembler sur tes petites jambes.
un "hum" me répond que c’est d’accord et la jeunette ne tarde pas à descendre son petit doigt sur son clito, de peur de ne pas avoir le temps de prendre son pied.
— Là, frotte ma belle, tu mouilles comme une grande et ça va décoller.
Elle accélère ses mouvements de bouche comme de main et le bruit que fait sa moule sur mes doigts nous entraine vers la jouissance.
Elle présente les premiers spasmes de l’amour, pompant toujours ma queue très fière.
— Là, viens petite, laisse toi partir, profite.
Elle ne peut plus rien retenir et tremble de partout quand la jouissance l’inonde de cyprine qui déborde et coule sur sa jambe.
Elle reste alors immobile, guettant toujours la sortie de mon sperme avec sa langue novice.
— Tu vois, la surprise c’est que j’attendrai une nouvelle leçon pour t’inonder de ma semence, tu ne la mérite pas encore. Il faut absolument que tu révise avant qu’on se revoie.
— Je ne sais pas si ça se reproduira, dit-elle avec un air de défi.
— Moi je sais, c’est suffisant. Habille-toi maintenant, j’entends tes copains qui débarquent.
C’est sagement installée dans un des canapés de la terrasse qu’elle fait signe aux garçons:
— Eh! les geeks, on va pouvoir reprendre la partie ensemble ?
Un verre et quelques gâteaux plus tard, la troupe remonte l’escalier à toute vitesse,
Sauf Nadine, la dernière, qui prend un malin plaisir à me montrer qu’elle n’a plus de culotte sous sa jupette…
— Toi, ma chérie, on va sûrement se revoir avant l’hiver, ne puis-je m’empêcher de lui souffler.
C’est une semaine plus tard que lévénement se produit…
La bande de copains de mon fils ainé a décidé de faire une sortie "paintball" et les geeks dÉdouard, le plus jeune, jouent en ligne au second étage.
Nadine est là, bien évidemment, et mène la danse avec ses cris d’encouragement.
J’attends seul sur la terrasse, ayant préparé jus de fruit et autres confiseries pour la pause.
La sonnette retentit et j’ouvre la porte à une Mathilde rayonnante qui m’anonce:
"Bonjour, j’ai décidé d’attendre les garçons ici car ils ont entrepris une autre partie et j’en avais un peu marre. Je ne vous dérange pas trop?
— Euh non, les copains dÉdouard sont au second, devant la console. J’ai préparé leur pause "ravito".
— Je sais, Nadine viens de m’appeler. Elle a dit qu’elle avait une petite faim, elle aussi.
Je vois que les belles sont toujours en étroit contact…
Je ne suis qu’à moitié surpris d’entendre une petite cavalcade dans l’escalier et referme la porte derrière Mathilde.
— Eh, tu es déjà là? annonce Nadine.
— Tu penses que j’ai foncé, on a pas trop de temps, tu sais.
Je ne peux que minquiéter quand je vois Nadine sauter au coup de sa copine et lui rouler une pelle magistrale.
— Tu crois qu’il est ok? demande Nadine
— On va bien voir, la rassure Mathilde.
Je m’aperçois alors qu’on parle de moi à mots couverts, en ricanant quelque peu.
Les filles ont la même tenue: un débardeur jaune, très moulant et un short, style sportive du dimanche, peu ajusté.
— T’as vu qu’on s’était préparées? me dit Mathilde en mettant une main sur mon short déjà tendu par l’émotion.
— Pas mal la surprise, les filles, là, vous faites fort…
— Nadine m’entraine vers la terrasse pendant que Mathilde se débarrasse de son short.
— On va faire vite, mais tu va t’en rappeler, qu’elle me dit.
Elle est déjà presque nue et Nadine l’entreprend d’une main, l’autre sortant mon membre de sa cachette.
— Ce coup là, je vais la faire pleurer, ta grosse queue !
Je suis vautré dans un fauteuil, Nadine à genou devant moi, Mathilde assise sur l’acoudoir.
L’ainée m’embrasse à pleine bouche tout en triturant les seins de sa copine.
Elle a soulevé le top de Nadine et se place maintenant dans sons dos.
— Tu aime ses gros tétons? qu’elle me jette.
— Suce-les, ils sont magnifiques, insiste-t-elle.
Elle les malaxe toujours quand ma bouche se pose naturellement sur un mamelon dressé par le désir.
La main de Nadine accélère le mouvement sous le ventre de Mathilde qui grogne presque.
Bien placé sur le coté, je vois la mouille couler le long de sa jambe.
Ma main trouve rapidement refuge sur l’entrejambe humide de Nadine qui, toujours en short s’assoit à califourchon devant moi. Elle me fixe du regard, mais ses narines frémissent quand j’insiste sur l’étoffe.
— Bravo les filles, vous êtes au top.
Nadine se dégage et se retourne soudain; Elle me propose une vue magnifique sur ses fesses parfaites, toujours moulées dans le short qui n’a plus fière allure.
— Prends-moi maintenant, là, debout, par derrière.
— Ok, mais Mathilde va m’aider, ta fente est trop étroite…
Mathilde agenouille et prend mon membre en main. Elle le lubrifie un peu avec la langue puis le dirige naturellement sous le short de sa copine, écartant quelque peu l’étoffe souple.
— là, on va voir si t’es sportive, qu’elle lui dit.
Nadine pose un pieds sur laccoudoir et se cambre au maximum pour faciliter mon entreprise.
Le spectacle d’une petite moule dégoulinante, au poils luisant m’affole presque. Mathilde s’en rend compte et accélère son mouvement:
— Penche-toi bien en avant, ça va être génial, tu vas voir…
D’un coup je la pénètre, surpris moi-même par la facilité de l’intromission. Le va et vient s’accelère et Nadine accompagne mes
assauts de petits cris de plaisir.
— Je vois que tu n’as pas attendu l’été pour progresser…
Jaccélère encore un peu et Mathilde descend un doigt en bas de mon dos pour rejoindre la petite chatte de Nadine.
Au passage, elle en profite pour griffer mon petit oeillet, forçant un peu le passage pour m’exciter au plus haut point.
— Tu vois, souffle-t-elle, on fait une belle équipe.
Nadine jouit la première, bien sûr, tremblant de tout son corps. Je lâche alors quatre grand jets dans ses entrailles.
Mathilde nous rejoint en explosant sur la main de Nadine qui n’avait pas "lâcher son dossier"…
Très décoiffés, nous remettons de l’ordre dans nos tenues, et je vois les filles s’installer sur la terrasse, main dans la main, gloussant comme des petites insouciantes qu’elles sont.
— Bon je vais voir si les gars ont fini de jouer, eux aussi, et on prendra un verre ensemble. ça vous va ?
— Pas de problème, on peut attendre un peu, votre terrasse est tellement agréable, me susurre Mathilde, avec un il plein de malice…
L’été sera chaud, je pense.