Chapitre 2 Lingerie coquine
J’allai bien vite être rassuré. Habitude fut prise pour moi de masser longuement puis de biser les jolis pieds de Maman lorsqu’elle rentrait de son travail.
Un jour, j’osai aller plus loin : je pris ses orteils dans ma bouche, et entrepris de les sucer. Maman n’émettant aucune objection, je m’enhardis, à lécher progressivement tout le pied, remontant la plante de ma langue. Maman finit la séance les pieds bien détendus, trempés et luisants de ma salive ! Elle conservait continuellement les yeux fermés pendant mes massages et léchages. Visiblement, elle appréciait, mais ne fit jamais le moindre commentaire. Un jour que nous roulions en voiture, nous venions de faire de longues courses dans les magasins, tout en conduisant, elle lâcha :
— Je suis claquée, vivement que nous soyons chez nous, que je prenne une bonne douche et que tu t’occupes de mes pieds !
Avec son accord je pris aussi l’habitude de lui passer moi-même du vernis sur ses ongles, avec le petit pinceau.
C’est ainsi que tous les jours, je « faisais l’amour » à ses pieds. Un soir, un paroxysme fut atteint. Je léchai ses petons d’amour, tout en matant sans vergogne entre ses cuisses. Elle portait ce soir-là une petite culotte blanche semi-transparente, et je devinai sans peine son adorable petite forêt intime. Ma bandaison fut si intense que sans même me toucher, je déchargeai dans mon pyjama ! Difficile de rester impassible. Je me mis à tousser faussement, pour masquer mon trouble. Maman me fixa de ses yeux bleus, un sourire coquin sur les lèvres. Avait-elle détecté mon délicieux petit « accident » ?…
Pour moi, ce fut dès lors l’escalade. Ses pieds, la vue de ses cuisses, de sa culotte c’était bien, mais tout cela devenait insuffisant. Se levant très tôt, Maman avait toujours pour habitude de préparer la veille au soir les sous-vêtements, habits, et chaussures qu’elle mettrait le lendemain matin, et elle déposait le tout sur le coin du canapé. J’attendais qu’elle soit couchée, et venais discrètement dans le salon. J’emportais ses escarpins dans ma chambre. Elle en possédait de toutes les couleurs et aussi de toutes les hauteurs. Talons raisonnables pour aller travailler, vertigineux quand elle sortait pour le plaisir. Il en allait de même pour ses jupes : un peu mini pour le boulot, outrageusement courtes pour ses sorties.
Sur mon lit, je me branlais comme un fou, en embrassant ses chaussures, léchant l’intérieur, puis éjaculant dedans. J’allai les remettre en place. Le lendemain matin, je guettais l’instant où elle allait grimper dans ses escarpins, et je bandais rien qu’à l’idée que la plante de ses pieds reposait sur mon sperme séché Puis, je procédais de même avec ses petits slips et soutiens-gorge. Ils étaient propres, bien sûr, mais je me masturbais en entourant ma bite avec, et en jutant dedans. Puis je repliais soigneusement la culotte ou le soutif, que je replaçais sur le coin du canapé avec le reste. Et le matin, j’étais fou de désir pour elle, en la voyant déambuler avec cette lingerie, dont le sperme séché se trouvait au contact de sa chatte ou de ses seins.
Maman constituait mon unique sujet de masturbation. Au minimum une fois, mais la plupart du temps plusieurs fois par jour je m’astiquais vigoureusement pour elle, avec à chaque fois des émissions hyper juteuses. Je n’en revenais pas de la quantité de liqueur d’homme que je pouvais expulser.
Mais le sexe n’était pas seul en cause. Je m’inquiétais du fait que je me sentais devenir amoureux d’elle, réellement amoureux, sur le plan sentimental. Et je me désolais du fait qu’elle ne serait certainement jamais ma maîtresse, et encore moins ma femme Sur un petit cahier (secret !) je me mis à écrire tout ce que je rêvais de lui faire et qu’elle me fasse. Mais j’abandonnai bien vite, car mon récit, débuté sur le mode érotique, tombait très vite dans une basse pornographie, ce qui tout à la fois m’excitait, et me dégoûtait, curieux paradoxe. De même que lorsque je me masturbais pour elle, je murmurais à son intention des obscénités que je regrettais sitôt terminé, et pourtant je recommençais à chaque fois.
J’étais de plus en plus perturbé, cela tournait à l’obsession. Je pensais Maman, je rêvais Maman, je me branlais Maman, je ne vivais que pour elle, mes études s’en ressentaient, je délaissais même mes potes. En sa présence, je devais faire des efforts surhumains pour rester impassible, alors que je rêvais que d’une chose : lui faire l’amour, lui faire et lui refaire l’amour, encore, et encore !… Et en plus, comment ? Je n’avais jamais couché avec personne, aurais-je su m’y prendre ?
Durant une année, la situation demeura identique : je lui massais et léchais les pieds, lui vernissais les ongles, me régalais de la voir tous les jours en petite tenue, je pratiquais d’innombrables masturbations rien que pour elle, assorties d’horreurs que je proférais, et d’éjaculations dans ses slips, ses soutiens-gorge et ses chaussures
Jusqu’à l’été 1977, celui de mes 20 ans, où tout allait basculer. J’étais toujours puceau, je me sentais ridicule. Je frimais auprès de mes copains, leur assurant que je me tapais « plein de salopes ». Ils me regardaient avec un petit sourire ironique, comme s’ils avaient deviné qu’il n’en n’était rien
Chapitre 3 Topless
Juillet 1977, nous voici en vacances. Maman avait choisi le Pays Basque, Biarritz. Mes copains s’étaient encore foutus de ma gueule en me lançant :
— Oh, le petit Fabien, il part avec sa maman ! Elle ne t’a pas expédié en colonies de vacances, cette année ?…
Bande d’abrutis !
Un changement s’opéra chez Maman, dès notre arrivée à Biarritz. Elle qui ne mettait jusque là que de sages maillots une pièce à la plage, étrennait pour la première fois un très joli -et sexy- bikini de couleur turquoise. Le string n’était pas encore de mode, mais son deux pièces était malgré tout très petit, jamais je n’avais vu Maman si peu vêtue ! Mon propre slip de bain n’étant pas très grand non plus j’étais un peu ennuyé, car mon érection (qui fut immédiate !) ne passerait pas inaperçue Je réglai le problème en m’allongeant de suite sur le ventre, sur ma serviette de plage. Comme Maman se laissait bronzer au soleil, les yeux fermés, cela me permit de fixer intensément mon regard sur elle. Je peux dire que centimètre par centimètre je détaillai son corps, ses cheveux châtains, son doux visage, ses épaules nues, le profond sillon entre ses seins offert par la petitesse du soutien-gorge, le ventre plat, le petit renflement de sa vulve sous sa culotte, puis ses cuisses de rêve, ses jambes, et ses petits pieds adorés.
Il y avait pourtant de belles filles en maillot de bain autour de nous, mais je ne voyais que Maman, ma Maman adorée, ma Valérie à moi.
Je constatai tout de même que beaucoup de ces naïades se baladaient seins nus. Ce qui est banal de nos jours ne l’était pas encore totalement en 1977. Lorsque Maman s’assit, ouvrit les yeux, nous bavardâmes un moment. Je ne résistai pas à l’envie de lui dire, d’une voix mal assurée :
— Tu sais, tu pourrais retirer ton soutien-gorge, regarde, plein de femmes n’en n’ont pas ! Et j’ajoutai malicieusement : Et toutes ne sont pas aussi bien faites que toi !
Flattée, Maman me répondit par un sourire amusé, mais sans faire de commentaire et sans quitter son petit haut.
Nous avions loué un studio dans un immeuble dont les baies vitrées donnaient sur la Grande Plage. Nous allions donc dormir dans la même pièce, mais dans deux lits distincts.
Le premier soir, Maman alla se coucher, seulement vêtue d’un habituel t-shirt à mi-cuisses. Assise au bord de son lit, elle enleva prestement sa culotte et se glissa très vite sous les draps. Elle était donc nue sous son t-shirt, cela me fit immédiatement bander. Elle s’endormit, le visage sur l’oreiller, tourné vers moi. Malgré mon érection, je me devais de rester sage. Je dus bien patienter presque une heure, avant qu’elle ne change de position, et me tourne à présent le dos. Alors, tout en la regardant, j’entrepris de me masturber. Même si elle l’ignorait, c’était la première fois que je le faisais en sa présence. Je pris le risque de repousser le drap, et de m’astiquer, la bite à l’air, prêt à me recouvrir si elle se tournait de nouveau. J’étais si excité que la jouissance arriva très vite, trop vite. Elle fut si forte que le premier jet de foutre m’atterrit sur le visage ! Je dus me mordre les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir, tandis que je tirais de mes couilles un flot de sperme qui m’inondait le ventre et le torse.
Afin de ne pas me lever, je laissai ma semence sécher sur moi. La pièce empestait le sperme ! Pourvu que demain matin Maman ne perçoive pas cette odeur ! D’autant que j’allai me branler deux autres fois durant la nuit, achevées par de nouvelles éjacs, moins copieuses malgré tout.
Le lendemain matin nous nous sommes baladés dans Biarritz, mais je n’étais aucunement attentif à ce que nous visitions. Je n’avais d’yeux que pour Maman, marchant à côté de moi, très attirante avec sa courte robe d’été à bretelles, et ses belles chaussures à brides et hauts talons, mettant en valeur ses jolis pieds aux ongles vermillon. Je n’avais qu’une hâte, retourner à la plage ! Ce que nous fîmes, dès le début de l’après-midi.
Dans une boutique, Maman s’était acheté un autre bikini, encore plus minimaliste que le premier, cette fois de couleur saumon, ou corail. A peine installés sur le sable, Maman eut une étrange attitude. Elle ne cessait de regarder de droite et de gauche. Je compris bien vite, comme il y avait encore peu de monde sur la plage, elle en profita pour dégrafer, puis ôter le soutien-gorge de son maillot. Pour la toute première fois je vis ses seins ! Des seins gros, lourds, bien faits, sublimes, aux tétons saillants et aux larges auréoles roses ! Une poitrine de rêve ! Voyant que je ne la quittai pas des yeux, elle me tança :
— Hé ! Je ne suis pas la seule paire de seins de la plage, regarde autour de toi, il y a des belles filles dans la même tenue !
— Mais TU es une belle fille, Maman !
— Merci du compliment, mais détourne un peu tes yeux, s’il te plait !…
— Pas facile, tes seins sont si beaux !… Et c’est la première fois que je les vois !
— Bon, ça suffit comme çà, arrête, sinon je remets mon soutif !
Argument de « poids », si j’ose dire. Je compris qu’à insister, je risquais de tout perdre. J’étais donc « condamné » à ne jeter sur elle que des illades furtives, ce dont je ne me privais pas lorsqu’elle tournait la tête, ou lisait le livre qu’elle avait apporté.
Me vint une idée coquine. Je m’allongeai sur le ventre. Naturellement, une énorme érection ne me quittait pas, et je trouvai comment la soulager. Je me mis à me trémousser lentement sur ma serviette de bain. Ainsi, je me masturbai avec discrétion, par frottement. Par chance,
Maman s’était assoupie, son petit chapeau lui protégeant le visage des rayons ardents du soleil. Je pus donc tout à la fois me branler sur ma serviette, tout en ne quittant pas son corps des yeux, en particulier ses merveilleux seins bien évidemment !… Même si j’étais hors d’elle, allongé à 20 centimètres de son corps, j’avais la sensation de lui « faire l’amour », c’était trop bon, génial. Je m’arrangeai pour que mes ondulations demeurent discrètes, ce qui retardait délicieusement ma jouissance. Ma « branlette-serviette » dura de ce fait une bonne vingtaine de minutes. Et finalement, les yeux rivés sur ses seins, j’éjaculai dans mon slip de bain, que j’inondai littéralement ! Maman je t’aime, avais-je envie de hurler.
Car ce que j’éprouvais pour elle allait bien au-delà du sexe. Mais ces mots d’amour je devais me contenter de les penser, sans pouvoir les dire Quelle torture, quelle frustration ! Je me redressai, constatant que mon inondation intime avait traversé mon slip jusqu’à humidifier ma serviette. J’allai me baigner, afin d’effacer toute trace de mon « méfait ». Maman me rejoignit dans l’océan, mais, encore un peu timide, elle avait remis son soutien-gorge pour se balader sur le sable et dans l’eau. Soutien-gorge qu’à ma grande satisfaction, elle enleva de nouveau dès que nous regagnâmes notre emplacement sur la plage. Elle finit par s’habituer à cette situation nouvelle pour elle (et pour moi !), et, constatant que mes yeux revenaient régulièrement sur sa poitrine, me dit en riant :
— Eh bien, ils te plaisent vraiment mes seins !
Sautant sur l’occasion, je plaisantai alors :
— Oui, ils sont vraiment magnifiques, s’il y avait un concours, tu gagnerais à coup sûr le titre de « Miss Seins Nus » de la plage !
A cette remarque, Maman éclata de rire. Tout cela prenait une tournure plus que plaisante.
Vers 17 heures, nous remballâmes nos petites affaires. Alors que Maman allait se parer de son soutif, je lui dis :
— Pourquoi tu le remets ? Tu peux t’en passer pour ce soir, non ?
Je m’attendais à un refus. Elle hésita quelques instants, puis :
— Oh après tout tu as raison, ce sont les vacances, au diable les habitudes, les convenances !
Et d’enfiler directement sa petite robe par la tête, sans rien dessous, du moins pour le haut. Je la sentais vraiment dans de bonnes dispositions, il me fallait en profiter, sans toutefois aller trop loin, au risque de tout gâcher.
Sa robe à bretelles était vraiment très courte, et bien décolletée. Maman semblait un peu embarrassée, tandis que nous marchions côte à côte dans les rues biarrotes. Elle me dit, presque à l’oreille :
— Cela se voit, non ?
— De quoi parles-tu ?
— Que je n’ai pas de soutien-gorge sous ma robe !
Ce qui me permit, cette fois avec sa bénédiction, de lorgner sa poitrine ! En effet, en marchant, celle-ci, lourde et libre de toute entrave, se balançait de manière très sensuelle, pour ne pas dire provocante. Cachant mal mon excitation, je confirmai ses dires :
— Disons que ça se devine, mais ce n’est pas choquant, tu es très belle, et puis nous sommes en été, sur un lieu de vacances, pas en plein Paris !… Ne t’inquiète donc pas. Et puis, pour être franc cela me plait beaucoup !
— Mon fils, tu es un coquin ! Ajouta-t-elle en riant, et en me gratifiant d’un bisou sur la joue.
A peine la porte de notre studio refermée, Maman se débarrassa de ses chaussures et de sa robe, pour ne plus porter que son micro-slip de bain corail. Voyant ma mine étonnée, elle crut bon de se justifier :
— Bah, maintenant que tu as vu mes seins à la plage, il serait hypocrite que je te les cache ! D’autant que tu sembles vraiment les apprécier
Je me gardai bien de la contredire ! Après sa douche, elle sortit de la salle de bain vêtue (si l’on peut dire !) d’une petite culotte noire de lingerie. Noire, mais tellement minuscule que la lisière de ses poils pubiens dépassait d’un bon centimètre !
Je commençai à me poser des questions. Etait-elle naturelle, seulement débridée par cette atmosphère de vacances ? Ou bien m’allumait-elle ? Je passai cette soirée à la suivre continuellement du regard. Celui-ci courait partout sur son merveilleux corps, pas seulement sur ses seins. Sur sa petite culotte et sa bande de poil à l’air libre. Pour ma part, je portais un boxer, qui ne pouvait rien laisser ignorer de mon érection presque permanente. Décidemment bien délurée ce soir, baissant les yeux vers mon bas-ventre, Maman s’esclaffa :
— Dis-donc, tu es rudement en forme, ce soir ! Ce n’est tout de même pas moi qui te fais cet effet ?
Pris de cours par ce sous-entendu gaillard, je fus tenté de répondre par l’affirmative, mais je me sentis rougir jusqu’aux oreilles, et ne trouvai à bafouiller que :
— N non, bien sûr ! Je repense seulement aux belles filles de la plage !
— Belles filles dont je fais partie, m’as-tu dit ?
Sur ce, elle éclata à nouveau de rire, ravie de mon embarras. Ce troublant dialogue s’arrêta là.
Nous allâmes nous coucher. Comme la veille, Maman enleva sa culotte avant de se glisser sous les draps. Elle y était donc entièrement nue. Alors que la croyais endormie et que j’allai enfin pouvoir m’octroyer un plaisir plus nécessaire que jamais, je crus percevoir un souffle saccadé. Dormait-elle déjà ? Et puis non, je ne rêve pas, de petits gémissements très étouffés me parviennent aux oreilles. La pénombre n’étant pas totale dans la pièce, je vois le drap bouger, prendre de la largeur, comme si comme si Maman écartait les cuisses. Je n’eus bientôt plus le moindre doute. Maman se caressait ! Bien que faibles, ses gémissements se faisaient plus lascifs, le drap ne cessait de bouger. Alors, avec le plus de discrétion possible, je la rejoignis dans sa masturbation.
Nous nous branlions certes chacun pour soi, mais ensemble malgré tout, c’était fou, c’était un rêve qui se réalisait. J’étais tellement surexcité que je jouis bien trop vite, m’arrosant très copieusement, comme de coutume. Mais il y avait eu un « plus », et quel plus ! Maman se branlant à deux mètres de moi Elle finit par émettre un « hummmmm !!!! » bien sonore, signant sa jouissance, mais hélas non synchronisée avec la mienne. Un silence total revint ensuite dans le studio. Je cogitai. Pourquoi se branlait-elle, et surtout pour qui ? Serait-ce en pensant à moi ?
J’en étais là de mes pensées, lorsque je perçus de nouveaux gémissements. Pas possible, voilà qu’elle remettait çà ! Et de façon encore moins discrète que la première fois. Hélas, j’avais joui tellement fort que je ne parvenais pas à déjà rebander. Je l’entendis très nettement orgasmer pour la seconde fois, elle murmura un interminable « ouiiiiiiiii !! », me ravissant, mais me frustrant de n’avoir pu l’accompagner