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Autostop – Chapitre 1




Voici le récit dune histoire qui mest arrivée il y a une quarantaine dannée, je pensais quavec le temps il finirait par seffacer de ma mémoire mais malheureusement je suis toujours hanté par ces souvenirs qui reviennent en force. Pour en faciliter la compréhension, je dois dabord vous situer le point de départ.

A cette époque jétais pensionnaire dans une station balnéaire des Cotes dArmor. Cétait la fin de lannée scolaire et je venais de trouver un emploi de plongeur pour y faire la saison. Je voulais donc partir en vacances plus tôt afin de prendre quelques jours de repos avant de travailler. Jai donc demandé à partir de lécole un peu plus tôt soit environ 15 jours avant la fin des classes. Le directeur mavait quand même demandé que mes parents me fassent un mot. Je lai reçu par courrier, mais comme la date ne me convenait pas je lai un petit peu modifié.

Après une journée de classe normale, jai dit au revoir au directeur en lui expliquant que je partirais tôt le lendemain matin car il fallait que je prenne le train à Lamballe vers 06h30. En fait ce soir là je ne me suis pas couché. Jai attendu allongé sous la couverture, vêtu dun tee-shirt et dun survêtement, les valises prêtes, attendant que le surveillant général fasse la tournée des chambres pour méclipser vers 22 heures à la nuit tombée, car à cette époque il ny avait pas de changement dheure dété. Je suis parti en traînant mes valises en faisant signe aux rares voitures qui passaient. Jai du marcher pendant environ 5 kilomètres jusquà un grand carrefour et là une voiture sest arrêtée, le conducteur ma laissé devant la gare de Lamballe ou je me suis mis à refaire de lauto stop. Vers 23 heures 30 une 404 sest arrêtée le conducteur à simplement ouvert sa portière et ma dit « Montez » sans me demander où jallais jai posé mes bagages sur la banquette arrière. Je nétais pas très rassuré mais je luttais contre le sommeil qui peu à peu me gagnait. Nous sommes arrivés à Rennes vers une heure du matin. Il ma déposé dans le centre ville et je lai remercié en lui disant que son auto radio mavait permis rester éveillé, il na pas eu lair très convaincu en me disant que javais dormi tout le long du chemin. Cest vrai quà cette époque je dormais dun sommeil de plomb et malgré tout cétait possible.

Dans Rennes je continue faire de lauto stop et très rapidement, à un feu rouge, une Triumph Spitfire verte sarrête. Le conducteur me demande où je vais, puis descend et range mes valises dans le coffre. Je me sens beaucoup plus en confiance avec cette personne que dans le véhicule précédent. Il moffre une cigarette, à cette époque je ne fumais pas mais je laccepte et la fume pour faire bien. Nous parlons un peu je lui raconte comment je suis parti plus tôt de lécole, la fausse autorisation de mes parents qui à bien bernée le directeur cela nous fait rire La voiture roule, je sombre peu à peu dans un sommeil profond.

Jai froid, je me réveille, la voiture est arrêtée, je suis totalement nu. Je regarde partout tout autour de moi je ne vois pas mes affaires, je suis complètement affolé, une boule me serre la gorge, péniblement jarticule avec une sorte de sanglot dans la voix « où sont mes vêtements ? », Pas de réponse lhomme ne dit rien, il se contente de fumer une cigarette. Jai du difficilement et à plusieurs reprises poser cette question qui est toujours restée sans réponse. Je situe bien le lieu où nous sommes, je reconnais lendroit ou la voiture est arrêtée, nous sommes à proximité du bourg de la Gravelle sur la route nationale. Il nest pas 2 heures et demi du matin ce qui veut dire quen un peu plus dune heure nous avons parcouru environ 50 kilomètres et quil a largement eu le temps de me déshabiller. Jai envie duriner mais je ne vais pas descendre de voiture si des fois il démarrait pendant ce temps là, alors je me retiens. Il termine sa cigarette, la jette par la vitre ouverte puis redémarre. Tout en conduisant il me touche, je me pousse au maximum contre la portière, je le repousse mollement, je nen mène pas large, jai peur de linconnu, de ce qui va se passer. Javais souvent entendu dire quil ne fallait pas que les filles fassent de lauto stop car il pouvait leur arriver des choses. Mais pour les garçons ne voyant pas ce quon pouvait leur faire, pour moi il ny avait aucun risque autant dire que je ne sais pas et je ne vois pas ce qui va marriver je commence à me demander ce qui va bien se passer avec cette angoisse, cette inquiétude que je ne peux exprimer.

La voiture arrive à Laval nous traversons par le centre ville lhorloge de mairie indique 3 heures cest désert il ny a personne mais je suis quand même mort de honte à lidée que lon puisse me voir ainsi ou pire me reconnaître, jessaie de menfoncer au maximum dans mon siège de me recroqueviller pour cacher mon sexe. Cela fait ricaner lhomme qui me dit « tu as la trouille quon te voit à poil p’tit con ? ». Cest vrai mais je ne dis rien, je baisse la tête, Jessaie de me faire oublier, en plus jai la gorge tellement serrée quaucun son ne peut sortir correctement de ma bouche.

Finalement nous sortons de Laval, la traversée de la ville nest pas très longue, cest plutôt moi qui trouve le temps long dans ma situation. Nous sommes en direction du Mans, de la main je lui indique la route sur la gauche qui conduit vers mon village en espérant quil va sarrêter là, me rendre mes habits et me laisser poursuivre ma route. Il nen est rien il engage la voiture dans cette direction. Que va t il faire ?, Sempiternelle question qui tourne dans ma tête. Environ 4 kilomètres plus loin il sarrête sur le bas-côté .Nous ne sommes pas très loin de Bonchamps. Maintenant il a les deux mains libres il lui est beaucoup plus facile de me tenir, de me tripoter je le repousse faiblement je nose pas lenvoyer promener. En cette mi-juin Il commence à faire jour

A force dêtre caressé jai le sexe en érection il me regarde me dit « Tu bandes comme un salaud » jencaisse linsulte comme un direct dans lestomac je dois être rouge de honte, personne ne ma jamais dit çaQuelques gouttes dun liquide tout transparent séchappent de mon sexe ce qui me vaut ce commentaire « tu mouilles comme une salope » jencaisse à nouveau. Il finit par ouvrir son pantalon et sortir son sexe à plusieurs reprises il tente de lapprocher de mon visage je me recule cest vrai que dans la voiture jarrive à mécarter. Je le sens sénerver.

Il descend de voiture en claquant sa portière fait le tour et ouvre la mienne. Il me tire par le bras « descends ». Alors la je suis envahi dune terrible peur je suis tétanisé cest sûr il va mabandonner ici en rase campagne sans vêtement sans mes valises la honte… Où alors il va me tuer, je suis tombé sur un assassin on va retrouver un jour mon corps nu dans un fossé. Quelle honte pour mes parents.. On va se poser mille questions que faisait il ici alors quil devait être en pension ?. Dans les deux cas ma position mort ou vivant nest pas brillante.

Nu dehors je suis mort de honte, je regarde par terre. Il me tient par le bras, la main est ferme autour de mon petit biceps (à cette époque je devais peser tout juste 45 kg), je tremble comme une feuille et là ce nest pas au cause du froid nous traversons la route les graviers me piquent les pieds. Nous nous engageons dans un petit chemin qui mène jusquà une ferme dont je me souviens encore du nom (Le Bignon). Nous avançons ainsi sur plusieurs centaines de mètres il y a dans la partie basse, du chemin des arbres, on nest plus en terrain découvert comme au début du chemin. Il relâche un peu son étreinte car il sait que si jessaie de lui échapper en courant pieds nus je nirais pas très vite et je nirai pas très loin. De toutes façons avec la honte qui menvahissait je navais pas lintention de méchapper et je trouve particulièrement humiliant dêtre nu dehors avec quelquun de vêtu à mes côtés. Durant ce trajet qui me paru très long les idées sentrechoquaient dans ma tête quallait il me faire ? Comment allait il me tuer ? Plus la honte sur la familleje devais avoir la tête de ces gens quon conduisait à léchafaud ou à ces animaux qui vont à labattoir et qui le savent par intuition.

On a finit par sarrêter sous les arbres il ma fait mettre à genoux, je ny comprenais rien, pourquoi fallait il que je sois à genoux ? Je ne lai compris que lorsquil a baissé son pantalon et que je me suis retrouvé avec son sexe devant le visage. Il ma demandé de le sucer, jignorais que cela se faisait, je trouvais cela répugnant mais jai mollement essayé, ce qui ma valu une bonne paire de claques. Les joues brûlantes jai essayé ensuite dêtre un peu plus convaincant. Cela ne semblait pas lui suffire il me forçait le fond de la gorge allait et venait dans ma bouche.

Jai un goût âcre dans la bouche je ne veux pas je ne veux plus je marrête je lenlève , je me dérobe ce qui lénerve. Il ôte la ceinture de son pantalon men balance plusieurs coups sur les fesses le ventre les cuisses je me roule sur le sol pour me protéger des coups « tu vas voir ptit con tu vas apprendre obéir » il enserre ensuite un des mes poignets dans un nud coulant fait avec sa ceinture, puis me plaque de face contre un arbre il attache ensuite mon autre poignet à lautre extrémité de la ceinture de lautre côte de larbre Je me doute que je vais passer un sale quart dheure, quil est inutile de me rebeller. Je regarde par derrière moi ce quil peut faire, je le vois cueillir quelques orties et reviens vers moi. Il me les passe sur le dos les jambes les cuisses le dessous des bras, les fesses insiste particulièrement entre les cuisses et les parties les plus sensibles du sexe cela me brûle, jai limpression que cela dure des heures, ça me picote ça me cuit, je pleure en silence, je le supplie faiblement darrêter, je promets dêtre sage, jai mal, si mes mains étaient libre je me gratterais jusquau sang cest horrible… Après un long moment, Il finit par jeter les orties par terre sapproche de moi me laisse me calmer me touche les fesses.

Ses doigts me caressent, jai encore mal, mais je trouve cela très doux après ce quil ma fait. Est ce que je me détends un peu où tout simplement craignant une nouvelle colère de sa part je deviens totalement passif. Mais est ce de la passivité cette sorte dapathie ? de tétanie ? . Je suis dans un état second où je nose ni bouger ni parler. Y voit il une sorte de consentement de ma part je ne peux le dire mais je sens que mon esprit dit non et se révolte intérieurement. Résigné, je me laisse aller. Il se crache dans la main, puis il enduit ensuite mon anus et son sexe avec cette salive et se plaque contre moi, il commence à pousser je me crispe me contracte mais je sens que cela me brûle, ça force et senfonce inexorablement dans mon corps. Jai limpression quil me déchire, davoir quelque chose de très chaud au plus profond de moi. Il saisit mon sexe qui malgré tout reste en érection Je men veux de ne pouvoir le contrôler. Cette rapide masturbation provoque rapidement une longue éjaculation. Peut être quinconsciemment les spasmes ressentis je les reproduis autour de son sexe qui sagite dans mes reins. Je regarde hébété les gouttes de sperme qui sétalent sur lherbe, je men veux davoir joui de la sorte, davoir eu cette jouissance arrachée contre ma volonté. Il y a quelque chose de brisé en moi. Je reste hébété, sans volonté, complètement brisé.

Il continue de sagiter dans mon corps puis je le sens à son tour se contracter et une douce chaleur liquide menvahir. Il se retire, jai limpression de rester ouvert, je sens lair frais. Je le vois qui ramasse une poignée dherbe et puis messuie les fesses avec. Il me détacheje suis dans un état second complètement anéanti. Je me retrouve de nouveau à genoux son sexe en bouche ça sent mauvais, il me le fait lécher sur toute la longueur. En fait je le lave avec ma langue tandis que moi jai juste eu droit à une poignée dherbe pour être nettoyé sommairement et rudement. Il finit par remettre son pantalon et sa ceinture. Dans un brouillard je crois lentendre dire « tu suces pas trop mal petite pute »

Je reste longtemps prostré, me laissant aller, pleurant en silence, je men veux, je suis coupable, cest de ma faute je naurais jamais du être là ( si mes parents savaient ça ils mauraient dit « cest ta faute, le Bon Dieu ta puni »).je revis la chronologie de ma présence ici et tout ce que jai fait pour mériter cela (La fausse autorisation, le départ à une heure non prévue, lauto stop) cest vraiment de ma faute je lai bien cherché.

Il me fait relever nous retournons vers la voiture. Ma nudité na plus aucune importance, plus rien na désormais dimportance après ce qui sest passé, je peux mourir je nen ai plus rien à faire. Je marche à ses cotés tel un chien, un zombie, la tête bourdonnante de pensées contradictoires, je sens les orties qui me picotent encore, mais je sens surtout mon anus qui me brûle et me gratte je dois certainement saigner. Jai peur que maintenant cela se voit, que lon voit ce qui mest arrivé, ce que je suis désormais, quand je prendrais une douche après un match de foot.

De retour à la voiture il ouvre le coffre et me redonne mes vêtements. je me sens soulagé, je suis heureux, il ne va pas mabandonner tout nu ici. Jen éprouve même une certaine reconnaissance à son égard. Je ne me fais pas prier pour me rhabiller, je suis content quil me rende mes habits. Une fois vêtu je me sens un peu mieux, bien que physiquement et mentalement je me sente très sale. Il me parle comme si rien ne sétait. passé. Jai limpression de lui vouer une sorte dadoration car il ma permis de me rhabiller. Je ne lui en veux pas ce nest pas de sa faute, le coupable cest moi. Personne ne ma obligé à faire de lauto stop.

Il me propose de faire le crochet jusqu’à mon village dont je lui indique le nom. Les 17 km restant se font rapidement sans fait notable. Il me dépose dans mon village à quelque pas de la maison des parents.

Je lui ai dit « merci monsieur, au revoir monsieur » il me semble avoir entendu un vague « salut ptit PD ») je ne savais pas ce que cétait, mais jen étais devenu un puisquil lavait dit. Jai fait quelques petits détours par des ruelles pour massurer quil ne mavait pas suivi. Javais quand même peur quil note mon adresse et quil vienne tout raconter à mes parents. Que jétais un vicieux, un PD. Sil avait voulu membarquer ailleurs et me conduire nimporte où, je crois que je laurais suivi. Je nétais plus moi-même, il mavait laissé vivant et pour moi cétait le plus importantje lavais mis sur une sorte de piédestal. Je ne lui en ai jamais voulu, sauf peut être pour les orties, mais je ne lai jamais considéré comme un agresseur puisque je me suis laissé faire.

Peu après 7 heures jétais à la maison, je nai rien dit, je me suis longuement lavé puis je suis reparti toujours en auto stop vers Belle Ile en Mer où je suis resté plusieurs jours à méditer sur les rochers face à locéan, sur ce qui sétait passé et en gardant en moi ce profond sentiment de culpabilité car je ne métais pas rebellé, je ne lavais pas envoyé balader. Cétait de ma faute tout était de ma faute. Peut être quil avait raison et que jen étais devenu un..

Il ma fallu plusieurs années avant que je parle un peu de cette affaire (jamais dans ma famille). Jai longtemps cru que cela se voyait, alors jévitais de prendre une douche avec les autres.

A chaque fois que voyais une Triumph Spitfire dun vert anglais jétais dans un état de trouble assez particulier. surtout lorsque jen voyais une dans mon village, car il savait que jhabitais ici, et je nose imaginer ma réaction sil était venu me relancer en raison de ce stigmate que je porte en moi (complexe de Stockholm).

Il maurait sans doute été possible retrouver la trace mon « agresseur » car la voiture était immatriculée dans le département 49. et il ne devait sans doute pas y avoir beaucoup de véhicule de ce type et de cette couleur.. Cela aurait supposé que jaille raconter toute cette histoire à la gendarmerie du village (accompagné des parents puisque mineur) et jaurais sans doute été la risée de tous.

NB : à lépoque où sest déroulée cette histoire, je tiens à préciser que lâge de la majorité était encore fixée à 21 ans (je venais den avoir 18) et que la sodomie nétais alors pas considérée par la loi comme un viol.

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