Je commençais à l’entendre gémir et à soupirer, mais les lapements de son chien et sa bouche à lui ne s’arrêtaient pas, ce chien était vraiment infatigable, mais quel délice, ce n’est pas moi qui allait m’en plaindre, j’étais de plus en plus excité.
Mon anus était complètement dilaté, car il avait repris ses va-et-vient avec ses deux doigts, quel bonheur !
Le vieux, était complètement excité lui aussi, car sans lâcher sa prise dans mon anus, il se retourna un peu vers moi et je vis sa grosse queue toute tendue.
— Tu l’aimes ma bite ?
— Heeeu je sais pas trop quoi vous dire.
— Dis-moi "tu" m’as petite salope, au
point où on n’en est, on va oublier les mondanités tu ne crois pas ?
— Oui répondis-je TU as raison et bien
en tout cas, elle me paraît très excitée.
Il lâcha mon anus un instant et s’approcha de moi en me disant :
— Ouvre ta bouche espèce de pute, tu
vas voir comment elle est bonne ma bite, aussi bonne que la tienne.
— Non, je ne suis pas certain d’être prêt
à ça, déjà tout ce qu’on fait là, pour moi c’est la première fois, alors sucer une queue, je suis pas certain que..
Je n’eu pas le temps de finir ma phrase, que déjà il glissait sa queue chaude sur ma langue…
— Vas y salope lèche la bien, tu vas
aimer et après tu verras bien, si tu ouvres la bouche ou pas.
Tout s’accélérait ; la langue du chien qui était revenu sur mon gland, ce qui m’excitait terriblement, les doigts du vieil homme qui titillaient le bout de mes tétons, sa queue dure et chaude qui glissait entre mes lèvres, qui ne savaient toujours pas, si elles devaient s’écarter ou pas.
Il m’avait fait déjà tellement de bien et m’en faisait encore, étais-je en droit de le priver d’un plaisir légitime ?
Tout cela était totalement incohérent, car je faisais abstraction du faite que depuis une demie heure j’étais en train de me faire sucer par un chien, que je m’étais fait enculer par un vieillard, un parfait inconnu de surcroît, même si ce n’était que par ses doigts, qu’il m’avait déjà fait jouir et de quelle manière… et que sa queue était en train de glisser sur ma langue.
Je me dis alors, que tout cela n’avait pas d’importance, qu’il fallait que je me lâche et que je profite du moment présent ; c’était une première et sans doute une dernière.
J’ouvris la bouche et comme s’il n’attendait que cela, sa queue entra toute entière dans ma gorge et je dois avouer que j’en avais très envie.
C’était très excitant de sentir la queue d’un homme dans ma bouche et de savoir que son plaisir dépendait de ma bouche, de ma langue, il avait entre-temps virer ses chaussures et enlevé son pantalon.
J’entrepris alors, de prendre ses couilles entre mes mains et de les lui pétrir, pendant que je lui faisais une gorge profonde et de lui rendre la pareille.
Tout doucement, il monta alors ses genoux l’un après l’autre sur le banc et se mis en position de 69, lui dessus et moi dessous, sa belle queue pendait alors juste au dessus de ma bouche, je n’avais plus en quelque sorte, qu’à me servir.
Pour autant le chien n’arrêtait pas de me lécher l’anus, c’était vraiment une extrême jouissance.
— Ho putain comment tu m’excites
espèce de petite salope tu la sens bien ma queue hein ?
Je ne pouvais même pas répondre, car il n’arrêtait pas de baiser ma bouche avec ses va-et-vient.
Sa queue était devenu très dure et elle m’empêchait de parler. Lui n’arrêtait pas de me pomper, c’était vraiment très bon, il aimait sucer et ça se voyait.
— Vas-y continue mon chien, lèche lui
bien son petit trou, il faut la faire cracher encore une fois cette petite pute et cette fois je veux qu’elle crache dans ma bouche pas dans la tienne, chacun son tour.
D’entendre tout cela et d’imaginer ce qui se passait, exacerbait tous mes sens et au bout de quelques secondes j’explosais au fond de la gorge du vieillard.
— Ouiiiiiiiiii putain c’est booooon…
Continuuuuue.
il n’arrêtait pas, pourtant mes saccades avaient été fortes, mais goulûment et consciencieusement, comme son chien précédemment, il avala tout et ne laissa perdre, pas une seule goutte.
Il fit ma toilette avec sa langue avec méthode et gourmandise.
Le vieux s’était retenu et bandait toujours aussi fort.
— T’as bien joui encore petite catin ?
J’espère que tu es contente, t’as une bonne queue et ton sperme est très bon. Je vais te montrer une bonne chose ma petite putain, tu vas voir, ça aussi tu vas aimer.
Je ne comprenais pas…
Il sortit alors doucement, sa grosse queue de ma bouche et se coucha sur moi, face à face.
Je sentais son corps sur le mien et sa queue dure qu’il frottait sur la mienne, qui malgré ma dernière éjaculation ne débandait pas, l’excitation avait été si forte que je bandais encore.
— T’aimes ça hein espèce de petit pédé,
t’aime bien te faire sucer par un vieux et t’aime bien sucer les queues aussi, tu fais ça très bien, mais c’est pas fini, dit-il tout en continuant de frotter sa queue sur la mienne, je ne comprenais pas, que voulait-il encore, voulait-il cracher sur mon ventre ?
Il remonta et glissa ses jambes sous mes cuisses et je me retrouvais immédiatement en position du missionnaire.
Puis il plaça mes deux mains au-dessus de ma tête, qu’il maintenait fortement avec l’une des siennes.
Proche de 70 ans je pense, le vieil homme était encore solide, car je ne pouvais plus bouger et lui continuait de frotter sa queue sur la mienne.
Il fouilla dans l’une des poches de son pantalon qui était juste au sol, j’avais de nouveau fermé les yeux pour me laisser envahir par le plaisir, mais au bout de quelques secondes, j’ai senti qu’il glissait encore une fois, ses deux doigts dans mon cul.
Pour autant, je sentais quelque chose de gras et de froid entre mes fesses.
Cette fois, ses deux doigts puis un troisième rentrèrent très facilement dans mon anus, pendant un long moment il continua de m’introduire et je sentais ma queue durcir de nouveau, mon dieu, je bandais encore ?
— Vas-y espèce de petit pédé écarte bien tes cuisses, je vais te prendre comme une petite chienne.
Il fit un léger mouvement en arrière et je sentis sa grosse queue chaude, glisser cette fois, entre mes fesses.
— Mais qu’est-ce que tu fais ? Lui dis-je.
— Je vais t’enculer comme une petite salope, tu vas adorer.
— Non s’il te plaît je ne veux pas ça, je ne suis pas gay.
— Ferme là, je vais rentrer ma bonne queue au fond de ton anus et tu vas prendre ton pied p’tite pute.
Je ne pouvais plus bouger j’étais paralysé par la crainte de ce qui allait se passer.
Je ne pouvais pas me faire enculer, je n’étais pas gay et je n’avais pas été préparé à ça en sortant ce soir.
Soudainement, j’ai senti sa grosse bite guidée par sa main à la porte de mon intimité, j’ai essayé de me dégager, mais sans grande conviction c’est vrai, car j’étais de nouveau partagé entre l’excitation et la peur.
Mon anus avait été bien préparé, le vieil homme s’en était bien chargé.
— S’il te plaît doucement c’est ma 1ere
fois.
— T’inquiète pas petite pute je vais bien
roder ton petit cul, relaxe toi et respire doucement, tu vas en redemander.
Je sentais sa bite qui allait rentrer d’une seconde à l’autre et j’avais pris le parti de me laisser faire.
Je la sentais entrer tout doucement dans mon petit trou, c’était vraiment bon.
Une fois que le gland fut passé ça allait beaucoup mieux et alors que j’avais commencé à débander, le stress ou la peur sans doute et sentant les va-et-vient dans mon petit trou, elle commença à se redresser.
Ho putain, je n’y croyais pas, je bandais et j’étais excité de nouveau, parce qu’un homme commençait à m’enculer.
Le vieux rentra sa queue tout doucement, presque cm par cm et je sentais le plaisir monter en moi, jusqu’à ce que ce vieux pervers ait fini de pénétrer tout au fond de moi et que je sente ses couilles taper sur mes fesses.
C’est alors que je sentis qu’il me baisait vraiment et que j’étais en train de me faire prendre par un homme qui pouvait largement être mon père.
— Alors ça te plaît ? Me sussurait-il.
— Tu vas voir je vais ramoner ton petit cul tout doucement, jusqu’à ce que la place soit bien faite et que tu sentes bien ma queue..
— Hooooo mais je la sens déjà huuuum et j’ai même l’impression qu’elle est énorme, vas y doucement huuuum, mais maintenant que tu y es, ne t’arrête pas, c’est booon.
Jamais je n’aurais pu imaginer que je puisse dire ces mots à un homme.
Était-ce mon état exceptionnel d’excitation, ou comment cette scène était arrivé à son terme, je ne saurais le dire, mais me sentir offert, les cuisses ouvertes à ce vieux qui était sur moi et qui me labourait l’anus, tout en me léchant les tétons, c’était juste fou.
C’était si bon de sentir cette queue au plus profond de moi, on aurait dit qu’il avait trouvé mon point G.
J’avais presque oublié le chien, qui devait avoir pris quelques minutes de pause pour reposer sa langue, il revint à la charge, et réussissant à passer sa tête entre nos deux ventres.
I se remit à bouffer et à lécher de plus belle encore, la seule chose qui dépassait, mon gland ; et on peut dire qu’il y allait de bon cur.
Ça m’excitait vraiment beaucoup de sentir ce chien qui me lapait la queue et son maître qui m’enculait, mais pas seulement, car le vieux était très excité lui aussi par cette scène.
Je le sentais, car il accélérait ses coups de boutoir tout en m’insultant de plus en plus.
— P’tit pédé t’aime ça hein ?
T’aime te faire enculer espèce de petite salope ! J’suis sûr que tu viens ici tous les soirs pour te faire prendre comme une petite chienne huuuuum putain, tu m’excites p’tite pute, j’vais te défoncer ton cul tu vas voir..
il n’arrêtait pas de s’exciter tout seul, et me baisait de plus en plus fort, mais je dois avouer que ça m’excitait beaucoup également.
Et ce chien qui n’arrêtait pas de me lécher le gland, il faudrait vite qu’il arrête, sinon je ne pourrais pas me retenir encore bien longtemps.
Je sentais que j’allais cracher sur le ventre de son maître d’un instant à l’autre, mais je n’eu pas à attendre bien longtemps, après quelques secondes, je sentis que le vieux déchargeait dans mon anus et me remplissait le ventre de sa chaude semence.
— Ouiiiii oui ouiiiii putain tu me fais jouir salope, il n’arrêtait pas de se défouler verbalement pendant que sa queue se vidait en moi.
Presque au même moment l’excitation fut si forte, que ma bite se mit à cracher et à cracher encore, c’est le chien qui en profita et qui fit ma toilette pour la deuxième fois sans rien laisser.
Mon amant de passage allait se retirer doucement de mon anus, j’étais aux anges la tête en arrière, les yeux fermés et la bouche mi ouverte pour profiter encore des dernières secondes, c’est alors que je sentit qu’il se penchait vers moi.
Je me dis, qu’il allait encore m’insulter ou me demander si j’avais aimé, pendant qu’il se retirerait.
Je ne bougeais plus et je sentis que quelque chose qui envahissait ma bouche.
Comme pour me remercier, en tous cas le pensait-il peut être, le vieillard avait entré sa langue au fond de ma bouche, comme je l’aurais fait avec n’importe quelle femme.
Il mélangeait à présent sa langue avec la mienne et me fouillait littéralement la bouche.
C’était également la première fois qu’un homme m’embrassait et celui-ci le faisait de manière très excitante.
Je ne l’ai pas repoussé, je crois même que ma langue s’est mélangée volontairement avec la sienne..
Si cette histoire vous a plû, d’autant su’elle Est vraie, n’hésitez pas à me faire vos commentaires La suite dans le chapitre 3 car croyez moi, ce n’était pas fini !!