Le lendemain soir, après ma journée de cours, je me connectais à nouveau et j’ai vu que javais des demandes. Je les ai regardées et j’en vis une de mon prof que javais déjà sucé, et jacceptais cette demande pour le vendredi soir, après son cours que javais dans laprem, je pense que ça devait le faire fantasmer de baiser une de ses étudiantes. Mais le meilleur de la journée fut le coup de téléphone de M.R mon "employeur".

Celui-ci me dit quil avait vu sur le site que jacceptais les rapports sexuels. Je pensais quil allait me dire quil retirait son offre mais il me fit une autre offre à laquelle je ne mattendais pas. Il me dit quil retirait son offre actuelle pour ses clients mais pour me présenter une autre proposition. Il mexpliqua quà lorigine, les clients auxquels jétais destinée, étaient des clients secondaires et que si maintenant jacceptais les rapports sexuels, il allait me confier les soins de clients plus importants, ceux à qui il offrait une fille durant leur rencontre. Il me dit quil me paierait le prix que je demandais selon ce quavait demandé ses clients. Jacceptais son offre. Il rajouta quil avait besoin que je laccompagne ce week-end à Londres où il allait pour affaire et quil me paierait selon les services demandés. Jacceptais également cette offre. Je venais de basculer, non plus dans l’escorting occasionnel mais bien dans quelque chose de plus ponctuel et professionnel. Je m’en rendais pas encore vraiment compte mais ce moment a été un basculement dans ma vie. J’étais devenu une pute de luxe et cela s’est fait sans peine, uniquement par l’attrait de l’argent d’une part et par le sexe d’autre part.

Vendredi soir, après les cours, jattendais mon prof chez moi, puisquil connaissait le chemin jusquà chez moi. Javais décidé de sortir le grand jeu. J’avais préparé une boite de capotes près du clic-clac que je venais douvrir. Je m’étais habillée dune façon écolière hyper sexy, avec un ensemble de lingerie rouge, porte-jarretelles inclus, des bas résilles, une jupe courte plissées écossaises, une chemise blanche et une cravate et je me coiffais avec 2 nattes.

Il arriva vers 21h30. Quand je lui ai ouvert la porte, il siffla en me voyant puis me dit que jétais parfaite et irrésistible habillée comme ça. Je fermais la porte tandis qu’il commença à me tripoter et m’a dit quil avait un budget illimité ce soir et quil voulait le top du top. Il me repoussa et me dit : « si tu es daccord, je te paie bien plus cher, disons le double de tes tarifs soit 500 de lheure si tu acceptes certaines choses». Je lui ai demandé "quelles choses?" et il m’a répondu « sodomie, une certaine soumission à moi, tu es la première étudiante que je vais baiser alors je veux réaliser certains fantasmes, soft je te rassure. »

Je lui dis que j’étais partante à condition quils ne me fassent pas des trucs violents ou qui laissent des traces et qu’on arrête si ça ne me plaisait pas. Il sortit dun sac quil avait amené une paire de menottes et me les mit avec les mains dans le dos puis me demanda de le sucer et il sassit sur le bord du clic-clac mobligeant à me mettre à genoux, les mains dans le dos pour le sucer. Il déboutonna tout de même son jean et baissa son boxer pour que je commence. Je dus lui lécher le sexe pour quil bande bien. Une fois que son sexe était bien comme il fallait, je commençais mon uvre en prenant bien soin de ne pas basculer sur lui et ce nétait pas une sinécure. Je me mis à le sucer doucement jouant avec ma langue autour de son sexe, puis jaccélérais en lavalant le plus possible, puis je ralentissais. Il prenait visiblement son pied et gémissait sous le traitement que je lui imposais. Il me tenait la tête et finit par imprimer la cadence. Au bout de quelques minutes, il finit par jouir dans ma bouche sans prévenir même si je commence à avoir une bonne expérience en la matière, ça surprend toujours ! Javalais son sperme et lui montrais ma bouche vide. Il me dit que cétait bien mais que la soirée ne faisait que commencer

Il sortit une cravache de son sac en mexpliquant quil devait minterroger sur ma vie sexuelle. Il passait sa cravache sur mon visage et sur mon corps, sur ma poitrine et lintérieur de mes cuisses plus précisément. Il me dit que je devais répondre le plus sincèrement possible à ses questions et que si je mentais, il serait obligé de me punir avec. Il commença donc ses questions qui portaient sur ma vie sexuelle mais cela ayant commencé tôt, je ne peux pas vous le dire mais en gros, elles ont portés sur ma première fois, ma première masturbation, première fellation, première sodomie, premier trio, première fois avec une fille, et à chaque fois si j’avais aimé cela. Bien entendu, je n’ai pas dit la vérité, il n’avait pas à savoir l’histoire de ma vie.

Il me défit les menottes et il me déboutonna la chemise pour me lenlever. Il me caressa la poitrine avec la pointe de sa cravache puis il mordonna de me mettre à 4 pattes ce que je fis. Il me releva la jupe puis me caressa avec sa cravache alternant les fesses et mon entrejambe qui était maintenant humide. Il a enlevé mon soutien-gorge et m’a retournée sur le lit. Il se mit à membrasser les seins, à me les lécher, à me les caresser, il me tortillait les tétons, les mordillait. Il finit par me mettre nue et mécarta les jambes pour me faire un cunni qui dura jusqu’à ce quun orgasme me prit durant lequel jexplosais en un cri de plaisir intense. Je n’y croyais pas, je venais d’avoir un orgasme avec un mec qui me paie et ce mec était un de mes profs. Cela reste pour moi un souvenir indélébile.

Il sempara alors dune capote quil enfila sur son sexe et me pénétra dun coup sec. Il me prit assez sauvagement, je dois dire, en missionnaire. Après 5 min de son pilonnage, il se retira et mordonna de me mettre à nouveau a 4 pattes puis me prit en levrette. Pendant quil me prenait comme cela il introduisit ses doigts dans mon cul. Il éjacula en moi dans un râle de plaisir.

Il se coucha sur le dos à coté de moi et me fit signe de lui nettoyer sa bite. Une fois nettoyée, il me demandé de me coucher à coté de lui. Il commença à parler en me disant que vraiment jétais très douée, quil prenait son pied. Il me dit que plusieurs de ses collègues mavaient remarquée et quils aimeraient bien être à sa place. Il me dit que si un jour jai envie de me faire une partouze, je naurais quà lui dire et que lui et ses collègues se feraient un plaisir de lorganiser. Ensuite, il demanda que je le branle ce que je fis, puis il récupéra une capote et me la tendit pour que je lui mette.

Une fois celle-ci mise, il me demanda de me mettre à nouveau à 4 pattes pour quil puisse me sodomiser, si jétais toujours daccord. Je lui répondis « pas de problèmes » et je me mettais en position. Il me massa lanus en crachant dedans et en étalant la cyprine qui coulait de ma chatte. Il finit par y glisser un doigt puis un deuxième. Il me massa et me dilata pendant 3-4 minutes puis il enleva ses doigts. Je sentis alors le bout de son sexe sur mon anus. Jessayai dêtre la plus décontractée possible.

Il poussa doucement et je senti son gland entrer dans mon cul puis le reste de sa bite. Javais mal et des larmes me coulèrent sur les joues pendant que je gémissais de douleur. Mais au fur des lents va-et-vient quil faisait en moi la douleur sestompa et le plaisir commençait à monter en moi. Je lui demandais daccélérer et dy aller plus fort ce quil a fait. Il se mit à me prendre par les cheveux en tenant mes nattes dune main, et me mettait quelques claques sur les fesses de lautre. Ce traitement quil me donnait durant au moins un quart dheure puis il finit par jouir dans mon cul au milieu de mes cris de plaisir. Cette sodomie, la première avec quelqu’un qui n’était pas mon copain, avait été intense et j’ai adoré d’avoir été traitée comme cela.

Après ce quart dheure de défonce totale, il ny a pas dautre terme, il se retira et sallongea a coté de moi pour reprendre son souffle, dans le même temps, je restais le cul en lair pour me remettre, et il en profitait pour me mettre quelques claques sur les fesses. Au bout de quelques minutes, il se leva et commença à se rhabiller. Une fois quil fut habillé, il me donna mon salaire acquis par mon corps, qui représenter la modique somme de 1000, le prix pour ses heures quil qualifiait de bonheur total tout en précisant que jétais une véritable salope, une vraie petite chienne et quil se ferait une joie de me baiser à nouveau puis il est sorti de mon appart où jétais encore couchée après le traitement que je venais de recevoir. Au bout dun moment, je me suis couchée sans prendre une douche tellement jétais vidée.

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