Je mappelle Rex, je suis un jeune berger allemand fougueux, jappartiens à un couple avec deux enfants, un garçon et une fille. Ils mont recueilli dans un chenil alors que javais été abandonné.
Cet après-midi de juillet, on mavait laissé seul à la maison alors que chaque membre de la famille vaquait à ses occupations.
Jétais assoupi dans un coin du salon, sur ma couverture, quand tout à coup jentendis la clé dans la serrure de la porte dentrée. Cétait la fille de la famille qui rentrait avec une de ses copines, cétait la période des vacances.
Elles allumèrent la télévision, se mirent assises sur le canapé, bavardèrent tout en grignotant des gâteaux.
— Dis donc, il est rudement beau ton chien, lança la visiteuse en mapercevant.
— Oui, cest un berger allemand, cest mon père qui la recueilli.
— Tu as vu ce bout rouge qui sort entre ses pattes ?
La fille de la maison se mis à rire.
— Mais que tu es bête, cest son zizi.
— Ha ok, désolée, javais jamais vu de zizi tout rouge comme ça.
Elles continuèrent de regarder la télévision tout en bavardant quand je sentis à nouveau le regard de la jeune fille se poser sur moi.
— Et il devient gros son zizi ?
— Ben heuu, comme un zizi quoi.
— Mais je veux dire ça peut faire combien en taille ?
— Je sais pas trop, je lai jamais mesuré, mais quand il est sorti, il doit bien faire 12 à 15 cm.
— Whaou, pas mal, lol.
— Ben, ta quà te mettre à quatre pattes et faire la chienne, tu vas le voir sortir, dit ma maitresse en riant.
— Chiche, lança linvitée, inconsciente de ce qui allait se passer.
Elle se leva du canapé puis se mis à quatre pattes au milieu du salon tout en remuant du cul. Cela ne me laissa pas indifférent.
— Rex, viens mon chien, lança la fille de la maison.
— Viens mon chien manger un gâteau.
Je me levai donc, alla vers ma maîtresse en bon chien obéissant.
Elle mit un gâteau sur les fesses de sa copine afin que je lattrape tout en me caressant la tête. Je sentis sa main glisser sur mon dos, descendre sur mon ventre, puis elle commença à me toucher le sexe, mempoignant dans un premier temps les testicules comme pour en tester leur contenance puis la verge.
Bon, cétait pas désagréable mais enfin, pourquoi faisait-elle ça ? Javais pas tiré depuis quelques jours et ça commençait à me titiller grave, ma bite était à présent bien raide.
— Remonte ta jupe et baisse ta culotte.
— Pourquoi faire, il va me faire quoi ?
— Va y, fais-le, tu vas voir, on va bien samuser, tu vas aimer.
Elle sexécuta donc sans poser de question, remonta sa jupe sur son dos et baissa sa culotte jusquaux genoux.
Ma maitresse me plaqua le museau contre la chatte offerte de son amie, chatte que je mempressai de laper à grands coups de langue, lui nettoyant lanus au passage.
— Léche mon chien, léche lui bien la moule et le cul.
— Ouuu, cest humide et froid, constata la petite conne.
Ma maîtresse continuait de me secouer le bâton, je le sentais de plus en plus sortir de son fourreau et devenir de plus en plus gros et dure.
— Allez, grimpe mon chien, grimpe, me dit-elle sèchement en tapotant le dos de sa copine comme pour me montrer le chemin.
Bon, jétais un jeune chien, certe, mais pas puceau. Javais déjà eu loccasion de saillir quelques chiennes en chaleur dans le quartier et de les remplir abondamment de mon foutre.
— Mais tu es folle, tu fais quoi, commença à paniquer la petite salope, la devant moi, toute offerte et qui commençait à comprendre ce qui allait lui arriver en apercevant la trique entre mes pattes de derrières, oui tu vas prendre ma cocotte.
— Laisse toi faire, ne bouge surtout pas, il risquerait de te mordre, écarte un peu.
Je grimpai donc dun coup sur le dos de ce joli cadeau, mis une patte de chaque côté de ce joli fessier offert afin de bien le bloquer, commençai à donner de rapides coups de reins afin de trouver une entrée accueillante. Mon poids sur son dos empêchant toute esquive. Elle était prise au piège sans espoir dy échapper. Jallais souiller son intimité de ma semence animale.
Je sentis une des mains de ma maîtresse appuyer sur mes reins, lautre saisissant ma tige pour la diriger vers la grotte du bonheur.
Jy étais.
Je poussai dun coup pour pénétrer cette grotte humidifiée à la fois par ma bave et par sa mouille de jeune excitée.
Jentendis tout dabord un cri de douleur, puis au fur et à mesure de mon étreinte, les cris devenaient non plus de douleur mais dun certain plaisir ressenti.
— Vas- y mon chien, va-y mon Rex, bourre la bien cette salope. Taime ça hein cochonne.
La chienne de service de répondit pas, elle était en transe, elle gémissait comme une truie, une jument en chaleur.
Alors que je mactivais à labourer la chatte de la demoiselle, ma maitresse, mappuyant sur les fesses pour que létreinte soit encore plus forte, en profitait pour lui doigter le trou du cul avec deux doigts quelle faisait aller et venir dans cet orifice à peine lubrifié assez énergiquement ce qui u pour effet de rendre les gémissements de la proie encore plus soutenus.
Je limais si fort, tellement heureux de ce cadeau inattendu que javais au bout de la queue, quau bout de quelques minutes je fis pénétrer ma boule dans sa chatte dilatée par les coups de butoir et verrouilla cette jeune chienne soumise à mon assaut.
Je sentais sa mouille couler sur mes burnes qui claquaient sur son cul.
Jétais tranquillement occupé à défoncer cette jeune fille, je sentis soudain de longues giclées de sperme sortir de mon braquemard, plus violacé que rouge, et remplir le ventre de ce nouveau modèle de chienne, race que je ne connaissais pas mais délicieuse à baiser.
Ayant fait un verrouillage dans les formes, je restais environ 20 mn sur son dos, quelques giclées de foutre sortaient encore, la jeune chienne ne bougeait pas, attendait docilement la fin de mon assaut, puis je descendis enfin, soulagé, les couilles et la verge bien vide.
Elle sallongea sur le dos à même le sol, épuisée par mon étreinte, écarta largement les cuisses ce qui me permit daller y mettre la truffe et dy placer quelques léchouilles afin de nettoyer ce trou béant.
Ma maîtresse en profita pour me lécher le gland afin de boire les dernières goutes de sperme qui pouvaient encore y avoir, passant sa langue sur ma verge encore chaude, pour bien la nettoyer. Un bonheur de plus de sentir la douceur de cette jeune langue passer sur mon bâton rouge.
Je repartis ensuite sur ma couverture afin de récupérer, heureux et satisfait de moi.