Le lendemain matin, le soleil, refit son apparition et Lisa allait un peu mieux. Elle fut autorisée à accompagner Janey et son père au marché (naturiste, comme de bien entendu).
Tandis que Bart attendait leur retour, il prit le soleil, nu et en tongs, sur la terrasse du bungalow. Il avait coincé son pénis entre ses cuisses serrées, et s’il n’avait pas été coiffé en brosse, on aurait pu le prendre pour une fille. Une furieuse envie d’aller faire du canot avec Janey, le taraudait. Il était temps de reprendre leurs jeux aquatiques et d’approfondir les connaissances qu’ils avaient acquises la veille.
Perdu dans ses pensées, le garçon a soudain réalisé que, obnubilé par la nudité des deux adolescentes perverses avec qui il passait les vacances, il n’avait pas prêté attention à celle des parents. Bart savait que Madame Powell prenait sa douche dans la salle de bains.
Se mettant pieds nus, le garçon entra en catimini dans le bungalow. Il s’approcha sans bruit de la porte de la salle de bains. Elle était entrouverte. Approchant son visage, Bart vit la mère de Janey, devant une psyché, entièrement nue. De la façon dont il était placé, le jeune voyeur avait une vue imprenable sur le côté face, comme sur le côté pile.
La femme, à qui Janey ressemblerait probablement, passa les doigts sur sa toison sombre, puis sourit d’un air bizarre. Elle prit un sein dans sa main, en titilla le bout, tritura l’aréole et le mamelon. Bart n’en revenait pas.
Totalement surexcité, le gamin porta la main à son sexe bandé. La mère de Janey se tourna alors vers la porte et l’ouvrit brusquement .
Que fais-tu là ? demanda-t-elle à Bart, sans cacher sa nudité.
Celui-ci était si gêné qu’aucun mot ne sortit de sa bouche.
On mate les femmes à poil ? Ta sur et ma fille ne te suffisent pas ?
Elle ne paraissait pas vraiment en colère. Ses yeux dévoraient le corps nu et bronzé du garçon. La mère de Janey l’attira dans la salle de bains et verrouilla la porte. Son érection n’avait pas cessé. Honteux de se retrouver exhibé devant cette femme, les yeux de cette dernière tombèrent sur le jeune sexe et s’y attachèrent.
Le pénis se dressait en direction de la belle poitrine généreuse. Amusée, la mère de Janey releva la tête et vit que les yeux de Bart étaient fixés sur ses seins fermes et piriformes. Elle invita le garçon à les toucher. Soudain timide, il n’osait pas. Mais elle attrapa son sexe et le tira vers elle. Les mains adolescentes s’emparèrent de la poitrine, ne la lâchèrent plus, parcourant la masse élastique, triturant l’aréole du bout des doigts et agaçant le bout du mamelon qui durcissait.
Puis la femme se pencha vers le sexe en érection, approcha la tête en ouvrant la bouche bien ronde, et engloutit le vit. Pas entièrement, mais une bonne moitié de la longueur. Bart se mit à grogner de manière incoercible.
L’ado fut sucé à la perfection par une personne ayant de l’expérience en la matière. Quand il n’en put plus, le garçon s’agrippa aux fesses féminines avec les deux mains.
Bart passa les deux derniers jours exclusivement avec Janey, ne lui parlant évidemment pas de sa petite aventure avec sa mère. Toujours en train de l’exhiber en s’allongeant de tout son long dans le canot, la jeune adolescente le faisait bander.
Tu te touches la bite avec un copain chez toi ? lui demanda-t-elle soudain.
Ça va pas la tête ? s’insurgea-t-il. Je suis pas pédé !
Pédé, pédé, c’est vite dit ! Avec Lisa, on joue au docteur, on se caresse et on se tripote. Voila .
Bart fut à la fois atterré et fasciné par cette révélation. Il connaissait les penchants lesbiens de sa sur pour ses quelques rares copines, mais elle ne lui donnait pas de détails.
Pourquoi tu me racontes ça ?
Tu devrais essayer avec un bon copain à toi, lui dit-elle.
Ils ne voudront jamais !
Les deux enfants restèrent silencieux un instant.
Et si on le faisait ensemble tous les deux ? lui proposa Bart.
Quoi ? Ici ? Dans le canot ?
Ben oui ! acquiesça-t-il en haussant les épaules.
Le problème résidait dans le fait que le canot n’était pas assez large pour que les ados puissent s’étendre de tout leur long, à deux, sans trop se gêner. Après trois chavirages, Janey et Bart décidèrent de s’abstenir. Ils espérèrent une après-midi pluvieuse afin de prétendre faire une sieste, et terminer ce qu’ils avaient commencé. Malgré une chaleur caniculaire, ils furent exaucés la veille de leur départ. Un orage avec des trombes d’eau et du vent s’abattit sur le camping.
Les deux camarades se rendirent dans la chambre et cette fois-ci, sans chichis, Bart se vautra sur la couette et Janey vint lui sucer la bite. Le mouvement des lèvres sur la tige fit gémir le garçon. La bouche coulissa, monta et descendit sur la colonne de chair qui se durcit et se gonfla de plus en plus. Le garçon trouva que cette fille se révélait plus douée que sa sur. Pourtant, elles avaient le même âge. Janey avaient joué les prudes et les saintes-nitouches. La séance de la piscine naturiste, elle était au courant, et en tant que fervente adepte de cette pratique, ça ne lui avait posé aucun problème. Mais elle avait décidé de rien entreprendre si Bart ne faisait pas le premier pas. La maladie de Lisa n’était pas prévue, mais elle tombait à pic.
Le garçon caressa les cheveux de la jeune suceuse. Il lui bloqua la tête et enfonça son dard puissant jusqu’au fond de la gorge de l’adolescente, puis il déchargea copieusement. A son grand étonnement, Janey avala tout.
J’aimerais bien te regarder… osa lui demander Bart . De plus près.
L’adolescente s’essuya les lèvres du revers de la main, et le dévisagea d’un drôle d’air. Avec un sourire, elle invita le garçon à venir s’asseoir sur son lit. Janey se mit à genoux pour enlever sa chemise de nuit et s’étendit, nue et offerte, sous le regard vicieux et pervers du môme.
Bart voyait mieux que jamais son intimité la plus secrète. Ses seins arrondis, à l’aréole à peine marquée. Sa fente vulvaire, glabre parce qu’épilée, laissait voir nettement les grandes lèvres. Le gamin ne rebandait pas encore, nais ça n’allait pas tarder.
Janey glissa sa main entre ses cuisses, en fermant les yeux.
Bart était hypnotisé par la vision de son corps, si nu, si vulnérable, et par cette main innocente qui fouillait son sexe, sans honte ni culpabilité.
Eh bien, regarde ! dit Janey.
L’adolescente cambra les reins, poussant son ventre vers le visage du garçon. Sous l’action de ses doigts sur sa motte, Bart aperçut deux grosses lèvres roses et charnues. Janey écarta les nymphes, découvrant des muqueuses roses et l’orifice de son vagin.
En passant sa langue sur ses lèvres, Bart regarda sa copine se fourrer un ongle dans les replis de chair humide. Elle y enfonça le reste du doigt et le fit aller et venir.
Les yeux fermés, cette cochonne pensait au plaisir insensé qu’elle avait eu avec l’organe viril de Bart. Elle écarta son entaille sexuelle, faisant émerger, tout en haut de la fente, le petit bourgeon rose du clitoris. Elle le pinça entre pouce et index, le fit rouler contre la paume de sa main, puis revint vers le vagin. Ses doigt glissèrent entre les lèvres et pénétrèrent plus en avant entre les replis de chair suintantes de mouille gluante.
Janey sursauta et ouvrit des yeux de terreur, puis de stupeur en découvrant la tête du garçon entre ses jambes. Sa langue pointue et râpeuse léchait les lèvres de son con. Bart n’avait pas pu résister plus longtemps. L’adolescente retira sa main et lui caressa les cheveux avec. Le vagin palpita et s’ouvrit davantage sous les succions hasardeuses. Il était trempé et cette liqueur intime qu’il déversait était enivrante. Le garçon butina de la bouche cette vulve et remonta jusqu’au clitoris érigé. Janey s’agita, se tordit en gémissant et jouit comme elle ne l’avait jamais encore fait. Un orgasme fulgurant la terrassa et secoua Bart. Il s’abandonna entre les jambes de la toute jeune fille, s’étendant brutalement, la queue en érection, au bord de l’orgasme.
Janey sanglotait de bonheur en tentant de reprendre son souffle. Le visage contre son sexe, Bart avait les lèvres et la joue tartinées de sécrétions vaginales. Sa copine l’attrapa par le cou. Elle le força à lui nettoyer le sexe, puis à remonter sur son ventre, à déposer un baiser sur le nombril, à téter les seins. La bouche du garçon, légère comme un papillon, butina ses mamelons, vibrants sous la caresse. Janey transpirait. Un long filet de sueur coulait le long du sillon mammaire. Bart s’en empara et le lécha jusqu’au cou de l’adolescente. Elle prit le visage du garçon entre ses mains et colla sa bouche contre la sienne. Elle le força à écarter les lèvres, partit à la recherche de sa langue avec la sienne. Lorsqu’elles se touchèrent, elles s’enroulèrent l’une contre l’autre. Ils mélangèrent leur salive et s’écartèrent l’un de l’autre.
Bart reprit peu à peu ses esprits et se pencha vers le bas ventre de la fillette. Cette dernière écarta les cuisses et Bart lui lècha le minou. Il commence par la naissance de la vulve, descendit jusqu’au méat, remonta, écarta les grandes lèvres du sexe en les butinant avec celles de sa bouche. Janey tortillait du popotin et mordit le drap pour ne pas crier.
Ce garçon est vraiment doué, il n’y a pas à dire ! Et il est évident qu’il s’exerce sur sa sur !
En y pensant, la copine de Lisa fut presque dégoûtée de les imaginer dans les bras l’un de l’autre.
Bart fouillait le vagin du bout de la langue et faisait gémir Janey. Sa mouille, mêlée de sueur et d’urine, se mit à jaillir de son sexe. Le gamin travaillait de la bouche avec un tel enthousiasme qu’il n’en remarqua pas immédiatement la saveur. C’est le petit rire de la gamine qui le fit comprendre.
Tu… tu… bégaya-t-il. Mais t’es une vraie dégueulasse !
Oh, excuse-moi Bart, hoqueta Janey, en écrasant une larme de rire qui coulait sa joue. J’avais tellement envie. Et j’ai pas pu me retenir !
Le gamin faisait un tel rictus de dégoût que le rire de la fillette se déclencha de nouveau.
Tu perds rien pour attendre ! Tu vas voir !
Bart se mit à genoux au dessus du visage de Janey et, saisissant son organe d’une main, il le dirigea vers sa bouche. Il resta immobile, semblant se concentrer.
Qu’est-ce que tu fais ? lui demanda-t-elle, retrouvant son sérieux.
Je vais te pisser dessus, puisque t’aimes ça ! Mais là, j’ai pas envie !
Janey leva les bras et caressa les fesses de Bart.
Tu n’as pas envie de faire autre chose ?
Sous les yeux éberlués du garçon, Janey se mit à quatre pattes. Enfonçant sa tête entre ses bras, elle présenta son croupion très haut. Ses fesses rondes et nues étaient offertes
Un joli cul joufflu, aurait dit Homer.
Se souvenant de ce qui s’était passé dans la chambre de Lisa, lorsque son père les avait surpris, sa sur et lui, Bart demanda à Janey d’écarter les cuisses. Et la elle s’exécuta.
Bart eut un sentiment de victoire. Les cuisses s’ouvrirent, s’écartèrent l’une de l’autre, exagérant la profondeur de la raie culière. On distinguait même la tache brune de son anus et, en dessous, les bourrelets roses de la vulve glabre.
Ebahi, Bart fixa sa bite, gonflée d’une excitation déjà bien conséquente. Il avait présumé de ses capacités en envisageant d’enculer l’adolescente ainsi troussée. Il posa ses petites mains de chaque côté de son sexe, exhiba son trou large et profond. Ses nymphes rouges sortirent à peine. Le garçon ouvrit la fente dans laquelle il plongea les yeux. Il passa un doigt dans l’entaille sexuelle. Janey poussa un petit cri de souris et subit en silence l’introduction de l’index de Bart dans son jeune vagin. Le môme le ressortit enduit de mouille et refouilla le sexe avec. Il se mit à la branler en rythme.
D’où elle était, Lisa voyait le visage de sa copine. On y lisait des sentiments de honte et de plaisir. Son cul se trémoussait et elle commençait à pleurer. Elle se mit à jouir devant sa copine et fut la première à remarquer sa présence, nue à lentrée de la chambre, les joues écarlates.
(à suivre…)