On était, tous deux, assis sur le grand canapé en cuir du salon devant la télé, le salon avait beaucoup changé depuis les trois ans ou je n’étais pas venu chez le père d’Eva, Eva aussi avait beaucoup changé, son visage s’était débarrassé de ses boutons, ce qui n’était pas encore mon cas, et elle avait pris un peu de poids ce qui rendait son visage plus harmonieux et la teinte de sa peau plus chaleureuse.

Eva avait arrêté d’alimenter notre amitié depuis quelques années à cause de son ex-petit copain qui refusait catégoriquement que nous continuions notre amitié fusionnelle que nous perpétuons depuis notre plus jeune âge, âge auquel nous partagions nos bains sans pudeur et que toutes nos vacances se passaient dans cette grande maison que le père d’Eva, un père visiblement trop occupé pour se soucier de sa fille, nous laissait le temps de ses déplacements avant de rentrer avec une autre fille, bien moins âgée que lui, qui pouvait profiter du soleil du sud de la France.

Eva avait beaucoup souffert de cette situation et s’était rebellée à sa façon, habillée comme un garçon et en fumant autant de joints qu’elle pouvait jusqu’à ce que son père la remarque et découvre son anorexie.

Cependant, depuis mon retour, elle avait remplacé ses vieux tee-shirts pour des habits féminins et semblait avoir arrêté de fumer.

J’étais un peu gêné de la revoir après toutes ces années mais, égale à elle-même, elle se comporta comme si nous nous étions quittés hier, ce que je crus quelques heures en sa compagnie, retrouvant ma meilleure amie d’enfance, fusionnelle et naturelle comme je l’avais connue.

Nos vies étaient catégoriquement opposées, j’habitais un appartement en périphérie d’une grande ville avec mes parents et mon frère tandis qu’elle habitait une grande maison d’architectes près des côtes isolée sans vis-à-vis, équipée d’un spa, d’une piscine et de toutes les commodités que son père et ses ancêtres ont pu s’offrir.

Eva avait souvent tendance à oublier que j’étais un garçon et aimait par-dessus tout faire les boutiques avec moi, ce qui ne me dérangeait pas plus que ça d’autant plus, qu’à l’époque, nos goûts vestimentaires n’étaient pas si éloignés et qu’elle n’avait aucune gêne pour se changer pendant que j’étais dans la cabine.

Nous discutions quelques heures dans ce salon en nous ressassant les bons souvenirs de notre enfance, on se connaissait mutuellement par cur dans tous les aspects et nous retrouvions vite nos réflexes d’antan envers l’autre, comme les nombreux câlins qu’Eva réclamait dû à son manque d’attention, nos fous rires sur des blagues très personnelles qui nous avaient valu d’être seuls contre tous pendant notre adolescence.

Je lui avais vite fait remarqué que j’appréciais sa robe blanche printanière agrémentée d’une ceinture à la taille ainsi que son côté plus féminin, elle était très fière que je l’aie remarqué et se leva pour me faire remarquer les moindres détails de sa robe qui semblait de très bonne facture et qui lui mettait très bien en valeur son teint bronzé.

Elle me prit par la main et me fit monter à l’étage où se trouvait sa chambre, elle avait retiré tous les posters de rock aux murs et avait totalement rénové la pièce pour la rendre plutôt sobre, j’eus un moment de nostalgie qui ne passa pas à côté du regard d’Eva qui me prit dans les bras en me disant, avec une voix très émotive, "Tu m’as manqué" j’eus un profond sentiment de réconfort et nous prolongeâmes notre câlin quelques secondes avant de reprendre la visite.

Elle m’amena dans son dressing, toujours en me tenant la main, pour que j’y découvre des montagnes d’habits, de chaussures et de sous-vêtements rangées scrupuleusement dans chaque étagère qui entourait la pièce. Je me rappelais que cette pièce servait à ranger nos skates et toutes les affaires qu’Eva ne voulait plus entasser dans sa chambre. Je me demandais comment elle avait pu acheter tous ces vêtements en l’espace de trois ans.

Elle me fit m’asseoir sur son grand lit et s’isola pour me préparer un festival de mode improvisé et très privé. Elle commençait par une tenue simple, un haut en mailles roses rentré dans un jean noir slim. J’eus une attirance insurmontable envers sa poitrine, elle n’était pas très opulente mais elle formait une forme très agréable contre son haut. J’avais l’habitude, dans le passé, qu’elle mette des brassières qui semblaient confortables mais qui ne mettaient pas son anatomie à son avantage cependant je me surpris à, plusieurs fois, à reluquer sa poitrine. Je ne lui avais jamais caché que je la trouvais belle mais j’avais beaucoup de mal à m’avouer que, celle qui est devenue ma sur par la force du temps, était très sexy et tellement féminine.

Son défilé était très peu commun, elle venait à un mètre de moi, me demandait mon avis pour chaque vêtement qu’elle montrait et me faisait toucher toutes les textures comme pour me convaincre de leurs qualités, j’eus du mal à me réhabituer à cette proximité mais peu à peu j’y prenais goût et m’exprimais avant qu’elle ne me le demande.

Les différentes tenues se succédaient jusqu’à ce qu’Eva sortie du dressing vêtue d’un maillot de bain une pièce comportant un large décolleté en V qui se terminait en une bande nouée qui venait coller sa taille jusqu’à ses cuisses. Je n’arrivais plus à retirer mes yeux du décolleté qui laissait libre vue sur ses seins légèrement écrasés contre le coton mais qui laissait tout de même libre cours à mon imagination pour visualiser ses seins dans leurs entièretés. Elle s’approcha de moi jusqu’à se trouver presque entre mes jambes se tourna et posa pour moi ce qui me permettait de découvrir le haut de son dos où ses cheveux noirs s’échouaient sur ses os et sa peau bronzée qui se laissait envelopper par le coton de son maillot au niveau de la taille, son bassin qui inversait la courbe pour s’écarter légèrement pour introduire deux excroissances bombées à la perfection qui formaient ses petites fesses qui se découvraient en leur bas formant presque un angle droit avec ses cuisses, ses jambes n’était pas très longues mais fines et imberbes. Son corps était soulevé par la pointe de ses pieds parfaitement propre et soignée comme le reste de ses pieds. Je commençais de plus en plus à être excité par son corps et je m’avouai intérieurement que j’avais envie d’elle, envie de ma sur spirituelle.

Lorsqu’elle eut fini de poser, elle se tenait devant moi en scrutant mes réactions et attendait que je donne mon avis. Je posai mes mains timidement sur son ventre, comme je l’avais fait avec les autres tenues, et Eva m’interpella :

— Rhoo tu ne vas pas me faire croire que tu es gêné ?!

— Comment ça ? Non c’est juste que je n’aie pas l’habitude de te voir comme ça.

— Qu’est-ce que tu racontes ? On a passé notre vie à se pavaner nus l’un devant l’autre !

— Oui mais ce n’est pas pareil maintenant, on a grandi tu as des seins maintenant.

Elle ne répondit pas tout de suite, prit mes mains et les apporta sur ses seins en me retenant. Mon visage se décomposa mais la sensation que j’avais en mains était idyllique.

— Tu vois que rien n’a changé ! Ce n’est pas la taille de mes seins ou ton pénis en érection qui changera nos relations tu sais !

Je descendis mon regard et vu une grosse bosse contre mon pantalon, pris de gêne je bafouillais les mots qui me venaient :

— C’est juste que je pensais à autre chose, ce n’est pas ce que tu crois.

— Tu bandes devant ta sur ? J’ai bien une idée pour que tu puisses te rattraper. Tu vas devoir être à mon service pendant un petit moment.

— Quoi ? Non ! Je ne ferais pas la vaisselle à ta place !

— Non ! Je pensais plus à un autre type de services.

— D’accord.

— Pour commencer tu vas commencer par m’appeler "ma divine sur" !

— Quoi ? Pfff d’accord ma divine sur.

— Bien ! Mets-toi à quatre pattes au sol et déshabille-toi en attendant que je revienne.

— Non pourquoi je ferais ça ?

— Parce que tu es ma chose et que tu ne voudrais pas décevoir ta reine. Que dit-on ?

— Oui ma divine sur.

J’étais devenu une sorte d’esclave et je ne savais pas du tout à quoi m’attendre mais elle avait eu le don de m’exciter davantage et je m’exécutai en enlevant tous mes vêtements. Quelques secondes après avoir obéi, Eva lança son maillot de bain dans la chambre à quelques mètres de moi et, dans une transe provoquée par l’excitation, je m’empressai de le récupérer, m’enivrant du léger parfum qui s’en dégageait, un mélange de fleurs printanières et de pommes acidulées très subtil, je frottais ma queue au tissu qui était en contact avec ses parties intimes ce qui me donna un léger semblant de proximité avec ma nouvelle souveraine. Eva sortit du dressing avec une lingerie bleu foncé décorée de dentelles, le soutien-gorge remontait en son cou en une transparence comblée de motifs quant à sa culotte, seuls les motifs en dentelles uvraient à cacher ses parties intimes. Elle me vit avec mon pénis entouré de son maillot.

— Espèce de pervers dégueulasse ! Tu aimes sentir l’odeur de ta surette contre ton gland ? Je t’ai pas autorisé à te toucher et encore moins à souiller mon maillot à 400 ! Mets-toi sur le dos !

Je m’exécutai et Eva se mit les deux pieds de chaque côté de mon visage me laissant une vue somptueuse avant de me mettre son doigt de pied dans la bouche m’ordonnant de le lécher, je n’ai jamais été fétichiste mais avec l’euphorie je trouvai ses pieds si doux et si aphrodisiaques que je les léchais avec passion et dévotion envers ma divine sur.

Elle retira son pied et s’approcha de mon pénis pour y laisser sa salive avec abondance avant de me laisser l’étaler. Elle dansa devant moi pendant que je me masturbais en m’offrant ses courbes, à en juger par ses expressions faciales, Eva prenait un plaisir sadique à me voir me soumettre et utiliser mon excitation comme une laisse me lacérant le cou. Mon excitation montait de plus en plus jusqu’à ce qu’elle m’ordonne de ne plus me toucher et de me rasseoir sur le lit.

Elle s’approcha de moi et s’assit sur moi en collant mon pénis lubrifié, prêt à jaillir comme un volcan, contre sa lingerie fine. Elle me prit le visage et m’embrassa intensément avant de se redresser et me regarder sadiquement.

— Tu aimes embrasser ta surette ? Je veux que tu lèches mes sous-vêtements !

Je ne me fis pas prier et je commençai par son soutien-gorge ce qui ne réussit pas à assouvir mon envie, je descendis vite sur sa culotte, déjà mouillé du mélange de salive et de semence qui coulait sur ma verge que j’astiquais en même temps que mes coups de langue énergiques. Ma salive se faisait abondante et les fines dentelles de sa culotte ne pouvaient retenir ma salive de couler le long de sa fente, Eva semblait être très satisfaite de son frère spirituel mais je ne pouvais pas m’arrêter là. Je mordis le haut de sa culotte pour le faire glisser vers le bas rapidement et je remontai mon corps vers son visage, ses yeux s’écarquillaient dans un mélange de plaisir et d’indignation.

— Qu’est-ce que tu fais !? Je ne t’ai rien ordonné !

— Désolé ma divine sur mais je te veux.

J’insérai mon pénis, déjà sur le point d’exploser, dans son vagin inondé de ma salive et, accompagné par les gémissements de nos deux bouches, j’effectuais de violents va-et-vient.

— Arrête ça ! Tu es en train de pénétrer ta sur ! Hum c’est trop bon !

Sa voix et ses gémissements me donnèrent un dernier pic d’excitation et je donnai un dernier coup de bassin au plus profond de son anatomie et je crachai toute ma semence en elle.

— Qu’est-ce que tu as fait ? Tu viens d’éjaculer dans ta sur espèce de pervers ! C’est si chaud et si bon !

Je sortis d’elle pour l’embrasser et notre baiser se prolongea en un long baisé passionnel pendant que ma semence sortait de son vagin pour couler dans sa culotte.

Merci à ozephirin pour son aide à la correction et à la relecture.

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