Dans ces moments-là, le temps semble s’être arrêté.
On ne comprend pas ce qu’il se passe.
L’esprit tourne à plein régime, tentant d’engranger le maximum d’information sur la situation à laquelle elle faisait face, pour déterminer comment réagir.
Ainsi Sophie eut tout le loisir de détailler la scène qui s’offrait à ses yeux. Elle aurait presque pu énumérer les détails qu’elle apercevait, tel un amateur appréciant le tableau d’un maître durant des heures. Cela ne dura en réalité que l’espace d’un ou deux battements de cur.
La chambre était plongée dans une quasi-pénombre, la lampe de chevet émettant une faible lueur, mettant en lumière son fil, debout, entre son lit et son armoire, ses vêtements à ses pieds, entièrement nu. Il était beau son fils ! Il fallait bien le reconnaitre. Les cheveux châtains, les yeux marron, 1m80, un torse légèrement musclé, des fesses… Il avait tout du parfait petit ami pour les filles de son âge, si seulement il osait les approcher… Pour l’heure, il était donc là, nu avec son sexe en érection (de bonne taille, ne put s’empêcher de remarquer Sophie). Il venait de jouir, pour preuve les nombreux jets de spermes sur le miroir de son armoire…
Le temps reprit ses droits, elle entendait son cur battre la chamade. SI fort qu’il devait l’entendre de là où il était. Mais lui comme elle semblait incapable de bouger, incapable de réagir. Les secondes étaient interminables sans que l’un ou l’autre ne bouge, trop choqué. Seul le liquide séminal de son fils sur l’armoire, soumis à la gravité, prouvait que ses secondes s’étaient bel et bien écoulées.
Soudain, le bruit d’une clé dans la serrure et la voix de Sarah dans l’entrée.
— « C’est moi ! Ah ? Personne ? Ils sont déjà couchés ? Je suis pourtant rentrée tôt ! »
Et les bruits de pas de Sarah résonnèrent, menant vers l’escalier, vers les chambres…
Mathieu et Sophie se mirent en mouvement au même moment. Lui ramassant ses habits et couvrant son sexe avec, elle fermant la porte rapidement et sans bruit.
— Que… – commença à dire Mathieu
— Silence ! Tu te tais ! – Chuchota-t-elle – Pas la peine de rendre cette situation encore plus compliquée ! Tu te rhabilles, tu attends que ta sur soit dans sa chambre et tu files dans la tienne ! Je m’occupe de nettoyer… ça… Ensuite nous aurons une discussion, il le faut !
Le claquement de la porte de chambre de Sarah retentit. C’était une chance, sa fille adorait son lit et ne veillait jamais tard. Mathieu avait remis son boxer, gardant son T-shirt et son pantalon à la main, il sortit de la pièce les yeux baissés au sol, les joues et les oreilles rouges de honte.
— Désolé murmura-t-il en quittant la pièce, frôlant sa mère de l’épaule.
Sophie ne répondit rien, n’ayant pas encore les idées assez claires pour pouvoir donner une réponse. La porte se referma sans bruit derrière Mathieu. Le dos contre le mur, elle se laissa glisser au sol.
Les yeux fermés, tentant de remettre ses idées en place. Privé de sa vue, son odorat se fit plus développé, elle dut se rendre à l’évidence : sa chambre empestait le sexe. L’odeur du sperme de son fils et sa sueur, qu’elle avait senties sur lui en sortant, éveillaient en elle des pensées troubles.
Les battements de son cur s’étant calmés, elle se remit debout, les jambes flageolantes. Prenant des mouchoirs, elle entreprit de ramasser la semence de son fils. Une fois cela fini, elle jeta un regard au miroir, une trace était encore présente.
— « De toute manière, il faudra que je lave ça avec du produit ménager demain » pensa-t-elle.
Dans le même temps, elle essuya machinalement la trace avec son doigt. Elle s’en rendit compte au moment où elle allait sucer ledit doigt.
— « Mon Dieu, qu’est-ce que je fais ! A quoi est ce que je pense »
Reprenant ses esprits, elle ouvrit la porte de sa chambre et rejoignit Mathieu
— Viens dans le salon, je ne voudrais pas déranger ta sur durant son sommeil !
Une fois dans le salon, l’un et l’autre s’assirent sur le canapé, chacun à un bout… Le silence devenait gênant, mais aucun ne semblait vouloir prendre la parole. Sophie prit son courage à deux mains :
— Ecoute, je suis désolée que tu aies assisté à… cette scène ce matin ! Je comprends que tu es un homme, un jeune homme avec beaucoup d’hormones et que le spectacle que tu as vu t’a chamboulé ! Mais ce que tu as fait ensuite est mal ! Tu t’en rends compte j’espère ? Tu ne peux pas avoir ce genre de pensée pour moi, et je ne peux pas non plus en avoir pour toi ! Car c’est mal ! Tu comprends ?
— Je… Je comprends et je suis désolé ! Mais quand je t’ai vu ce matin, tu étais tellement belle maman ! Une vraie déesse ! Aucune fille n’est aussi belle que toi !
— Tu en as beaucoup vu des femmes nues ?
— Non, aucune ! Enfin aucune en vraie… Dans les vidéos, elles sont souvent vulgaires mais toi ! Toi, c’était beau !
Plus l’échange durait et plus le rouge montait aux joues de Sophie, quant à Mathieu, le sang lui était à nouveau monté aux joues mais pas uniquement. Une petite bosse au niveau de l’entrejambe de son fils lui fit écourter son sermon. Battant en retraite et bafouillant, elle termina ainsi :
— Je… je suis heureuse qu’on ait eu cette conversation. Dorénavant, je ferais attention à fermer la salle de bain. Toi, tu devrais t’intéresser à d’autres femmes que ta mère, car ce n’est pas… bien.
Elle s’enfuit plus qu’elle ne quitta la pièce, s’enfermant dans sa chambre. Quelques minutes plus tard, allongée sur son lit, elle entendit Mathieu rentrer dans sa chambre. Ses pensées ne pouvaient s’éloigner longtemps de la scène dont sa chambre avait été le théâtre plus tôt. Elle s’endormit, l’esprit confus, un coussin coincé entre les jambes, censé calmer les démangeaisons qu’elle ressentait près de l’aine.
Cela faisait du bien de susciter une telle émotion chez un homme, mais que ça soit son fils ! « C’est mal ! »
La mère comme le fils eurent tous deux un sommeil agité…
Mathieu se réveilla à l’heure, ce mercredi. Il n’avait aucune envie de voir à nouveau sa mère, pas seul à seul en tout cas. C’était trop… gênant ! Son désir pour la femme qu’était sa mère n’était pas parti durant la nuit ! Mais il avait compris ce qu’elle voulait dire, il fallait qu’il aille de l’avant, malgré son désir…
La journée passa sans trop de souci, il réussit à éloigner de ses pensées sa mère, non sans effort, participant en cours, se forçant à penser à ses leçons. Le soir venu, il soupira de soulagement en se souvenant que Sophie était encore du soir. Cette fois-ci, il serait vraiment couché lorsqu’elle arriverait. Mais le lendemain, elle et lui se reverraient, mais en compagnie de Sarah, ça irait donc !
Au repas pourtant, Sarah aborda le sujet épineux :
— Dis-moi frangin, quand je suis rentré hier, j’ai cru que vous étiez couchés, mais ensuite je vous ai entendus parler dans le salon…
— Heu… Ah oui, on sest un peu pris la tête à propos d’un sujet à la con, elle a voulu m’en parler alors qu’on était déjà couchés… désolé d’avoir fait du bruit…
— Ba pas grave, je ne dormais pas vraiment à ce moment-là
Heureusement, le sujet en resta la, Sarah ne demandant pas plus de détail. La soirée passa tranquillement, ils regardèrent un western mais Mathieu, lui, ne traîna pas et fila directement se coucher aussitôt que le générique apparu, en souhaitant une bonne nuit à sa sur.
La journée du jeudi se passa comme la veille. A midi, Mathieu se dit que finalement, il pourrait réussir à éloigner de ses pensées cette scène… Le soir, sur le pas de la porte, il se sentait prêt à « affronter » le regard de sa mère. Croiser son regard sans rougir. Et sans pensée sexuelle… il l’espérait.
La première personne qu’il rencontra fut sa sur :
— Ah, Mathieu, tu vas voir, je crois que maman sort ce soir elle est… canon ! Ne te moque pas d’elle, tu sais à quel point elle est timide !
— Mais non, ma chérie, je ne sors pas. Juste que je me suis dit que j’ai de belles robes et jupes qui moisissent dans le placard. Il parait que je ne fais pas assez féminine dans mes tenues – dit Sophie dans un éclat de rire
Mathieu se retourna pour voir sa mère entrer dans le salon, vêtue d’une robe noire de patineuse. On pouvait voir ses superbes jambes fines jusqu’au-dessus des genoux. Elle portait également une chemise blanche. Les deux boutons du haut n’étaient pas mis, formant un léger décolleté qui mourrait à la naissance des seins. Elle portait en plus de beaux bijoux : une paire de boucles doreilles en forme de triangle en or ainsi qu’un fin bracelet du même métal au poignet gauche. Pour finir la tenue, elle portait de petits escarpins plats noirs.
— Eh bien Mathieu, tu as perdu ta langue ! Tu n’as pas l’habitude que ta mère soit si féminine ?
— Rhalala, ça c’est bien les mecs renchérit Sarah. Ils s’imaginent que leur mère n’est pas vraiment une femme. C’est pas sympa Mat ! Tu pourrais lui faire un compliment ! Tu ne la trouves pas jolie maman ?
— Si si si – parvient à bafouiller Mathieu. C’est juste que… J’ai pas l’habitude de te voir… comme ça ! Tu es… très belle
— Merci les enfants, c’est gentil ! J’essaierais de m’habiller plus élégamment désormais !
Mathieu était complètement perdu ! Il ne savait pas à quoi il s’attendait mais sûrement pas à ça ! Sa mère lui disait de ne pas voir en elle l’objet de ses désirs sexuel, il comprenait… Il allait essayer… Mais pour autant, pourquoi fallait-il qu’elle rende la tâche si difficile !
— « Mon Dieu, elle est tout simplement parfaite ! Avec sa chevelure châtain qui encadre son visage d’ange… »
— Mathieu ?! On passe à table ! Ça te va ?
— Heu, oui oui bien sûr !
Le repas et la soirée passèrent aussi bien que Mathieu pouvait l’espérer compte tenu de la tenue de sa mère. Evidemment, Sarah, toujours aussi bavarde, monopolisait la conversation, ce qui l’arrangeait bien, il fallait le dire. Mais l’attention de Mathieu était inéluctablement attirée par le léger décolleté de Sophie lorsqu’elle servait les desserts en se penchant, par ce petit déhanché dû à ces escarpins !
Le soir venu, dans son lit, après cette soirée où ses hormones avaient été mises à rude épreuve, il dut faire un réel effort de volonté pour ne pas se masturber. S’il l’avait fait, nul doute que sa mère aurait été au centre du scénario de son fantasme.
Différente journée, différents cours mais le soir venu, ce fut la même séance de torture pour Mathieu. En ce vendredi soir, c’était une jupe crayon rouge que Sophie avait choisi de porter, assortis d’une chemise blanche cintrée, le tout soulignant ses belles formes. Un collier d’argent venait parfaire la tenue. Ce soir pas de chaussure, Sophie était pieds nus.
— « Au moins n’aurait-elle pas cette démarche envoûtante qui me rendait dingue hier, mais cette jupe… rhaaa il met bien son petit cul en valeur… Je deviens dingue ! Qu’est-ce qu’elle cherche à faire !
Le soir venu, Mathieu prit son courage à deux mains et attendit que Sarah parte se coucher la première pour rester seule avec sa mère dans le salon.
Une fois seuls, le silence s’installa, pesant… Le bruit des publicités en arrière-plan n’arrivait pas à rendre l’atmosphère plus… normale. Après deux interminables minutes de mutisme et de sourire crispé, Mathieu osa briser ce silence :
— Maman… Je… Tu es très belle ces jours-ci… Heu, je ne veux pas dire que tu ne l’étais pas avant mais tu te mets beaucoup en valeur… Et ça te va très bien… Le souci, c’est que… Depuis ce que j’ai vu… Que je t’aie vu dans la salle de bain, j’ai du mal à ne pas y penser… Et mon corps réagit de lui-même…
— Mon chéri ! Je sais que tu es secoué par ce que tu as vu et je m’en excuse encore. Mais tu dois comprendre que je suis une femme ! Comme les autres… Que j’ai envie aussi d’être désirée par des hommes. Pas forcément par toi… Ohhh je m’y prends mal, je ne sais pas comment l’expliquer. Ce qu’il faut que tu retiennes, c’est que cette mésaventure a été un bouleversement pour toi comme pour moi… Et qu’il faut qu’on s’adapte…
Mathieu remercia sa mère et partit à son tour se coucher, laissant Sophie seule, dans ses pensées.
— Mon Dieu, qu’est-ce que je suis en train de faire ! J’allume mon fils depuis deux jours ! Devant ma fille en plus, qui heureusement ne pense pas à mal… Et quand Mathieu me fait part de son trouble, je joue la sainte-nitouche… Non il faut que ça cesse ce jeu du chat et de la souris… D’une manière ou d’une autre.
Le lendemain matin, Sophie avait pris sa décision. En réalité, elle l’avait prise en fin de soirée. Elle avait un plan… Enfin, plutôt un traquenard, mais ainsi, elle ne serait pas seule responsable… Elle y avait pensé toute la nuit. Inspiré pour beaucoup par ces recherches pornographiques avec en mot-clé « inceste » et « coincée ».
Sarah partait souvent faire des photos dans des grands parcs le samedi matin avec des amis, laissant seuls Mathieu et leur mère.
Ce samedi, quand Mathieu fut réveillé, tard, ce fut par des appels de Sophie venant de la cuisine. Des appels étouffés et répétés. Emergeant difficilement du sommeil, il ouvrit la porte et fut ébloui un instant par la lumière. Il était 10h passé.
— Mathieu ! Mathieu ! Viens m’aider, je suis coincée ! Mathieu ? Tu es là ?
Complètement subjugué, Mathieu n’en revenait pas de la scène qui s’offrait à lui. La cuisine, baignée dans la lumière de ce beau samedi d’avril. Un panier à lingue sur la table de la cuisine et sa mère, à genoux, la tête enfoncée dans la machine à laver. Son haut ? Il n’aurait su le dire, mais en bas, elle portait une jupe courte. Dans cette position, il fallait le dire, ses fesses étaient mises en avant au sens propre comme au figuré. D’ici il pouvait deviner le léger renflement dans sa culotte bleu marine. Un endroit qu’il avait rêvé de « visiter ». Et là, devant ces yeux, un scénario digne d’un porno… Pour l’heure, Mathieu n’en avait cure ! Il verrait bien ou le mènerait cette situation, pour le moment, il profitait de la vue !
— Mathieu ! Et bien !? Vas-tu m’aider ! J’étais en train de chercher une chaussette coincée dans le fond de la machine et c’est désormais mon chemisier qui est coincé… Il faut que tu me tires de la
— « Ah oui, j’aimerais bien te tirer ma petite maman… Si seulement j’osais… Si seulement je savais si c’était simplement une situation embarrassante, ou alors une énième façon de me chauffer».
— Heu, oui oui j’arrive… Qu’est-ce que je dois faire ?
— Je ne sais pas, au début, c’était juste un bouton coincé, mais je me suis démenée et maintenant je me retrouve vraiment coincée !
— Bon, je vais tenter un truc
Mathieu s’agenouilla à droite de sa mère, tentant de ne pas laisser libre cours à son désir. Mais c’était dur, surtout au réveil… L’érection incontrôlable du sexe masculin le matin. C’était gênant d’habitude, mais là, si sa mère s’en rendait compte…
Il plaça ses deux mains de part et d’autre de l’abdomen, par trop haut ni trop bas. La prise la moins sexuelle possible compte tenu de la position de sa mère. Il tira doucement, puis fort mais rien n’y fit, Sophie ne bougea pas d’un poil.
— Non, tu t’y prends mal, tu me tires juste la peau par ici, par les hanches et de derrière, sinon, on ny arrivera pas
Suivant les instructions de sa génitrice, Mathieu se plaça juste derrière. La vue était somptueuse. Il remarqua une petite tache sur la petite pièce de lingerie juste « à cet endroit ». Etait-elle là lorsqu’il était rentré ? Il secoua la tête pour ne pas se focaliser dessus. Pourtant, lorsqu’il tira d’un coup sec, il s’arrangea pour que son sexe en érection tape à l’endroit de la tâche, à savoir l’entrée de la caverne des merveilles. Autant joindre l’utile à l’agréable…
— Han, han, tu ne bouges pas, ça ne fonctionne pas maman…
— Si, continue, je sens que ça vient
Dans un état de plus en plus excité, Mathieu prit le parti de prendre les paroles de sa mère pour ce qu’il pensait… Des incitations. Il plaça à nouveau ces mains sur les hanches de sa mère, en une prise un peu plus basse. De ces mains, il commença par pousser, en écartant légèrement les fesses de sa mère, comme si ça n’avait pas été son intention. Puis il tira légèrement sa mère en arrière. En revanche, c’était plus son corps à lui qui bougeait, venant à nouveau taper celui de sa mère au même endroit. La petite tache de tout à l’heure était à présent plus étendue, fine ligne verticale au beau milieu de la culotte. Cette situation ne la laissait pas indifférente, mieux, cela l’existait. Peut-être autant que lui. Pour preuve une tache était apparue sur son propre boxer, au niveau de son sexe en érection, de plus en plus à l’étroit.
Touchant du bout des doigts son boxer à présent souillé, il fit subir le même examen au sous-vêtement de Sophie, appuyant légèrement de son index.
— Haaan ! Mathieu ? Qu’est-ce que tu fais ? A quoi tu joues ?
— Je… je vérifiais juste un truc, ma petite maman. Je voulais savoir si tu n’avais pas… ce genre de pensée… Tu vois ce que je veux dire ?
En parlant, il accentua la pression de son doigt. La tâche n’en finissait pas de s’étendre. Son index semblait aspirer par l’antre de sa mère
— On dirait bien que ton discours de l’autre jour finalement, c’était du vent, hein ma petite maman !
Ruant de plaisir, sentant son bas-ventre fondre littéralement au contact des mains de Mathieu, de son doigt à l’entrée de son vagin malgré le tissu. Sophie tenta vainement de se justifier.
— Je… Non, ce n’est pas ça… J’étais heureuse de faire de l’effet à un beau jeune homme comme toi, c’est pour ça que je me suis apprêtée cette semaine. Pour revoir cette lueur dans tes yeux, pour t’aguicher. Mais c’était mal, je m’en rends compte, j’ai trop joué avec le feu… Si l’on va plus loin, il n’y aura pas de retour possible. C’est ce que tu veux ?
Elle avait dit cela, pour tenter de se justifier. La réalité était tout autre. Elle avait rêvé chaque nuit depuis ce soir-là qu’un homme la prenait, sauvagement. Et cet homme avait toujours eu les traits de Mathieu…
— Effectivement tu as beaucoup joué avec le feu ma petite maman. Un peu trop mais ça n’a pas l’air de te déplaire vu comment tu dégoulines ! Tu as le feu au cul, je m’en vais te l’éteindre !
Joignant l’acte à la parole, il baissa la culotte inondée de cyprine jusqu’au genou. La position de sa mère ne lui permettant pas de le lui enlever complètement…
Une main posée sur le bas du dos, l’autre se mit à caresser légèrement la toison qu’il devinait sous ses doigts. Au rythme de ses allées et venues, ses doigts aspergés de jus s’enfonçaient parfois sans le vouloir à la limite du vagin.
Sophie ne parlait plus, haletante, toute à son plaisir… Les doigts de son fils la rendaient folle. N’allant jamais plus loin que ses lèvres. Exaspéré par l’attente de l’étape supplémentaire… Elle voulait qu’il aille plus profond, qu’il la pénètre enfin… Elle l’avait bien cherchée, elle l’avait méritée… Prenant une voix d’allumeuse qu’elle ne se connaissait pas :
— Oui ! Mathieu, mon chéri, baise ta vilaine mère. J’ai été vilaine et je t’ai excitée autant que j’ai pu ! Punis-moi ! Baise-moi fort…
Clac ! Une fessée sur la fesse répondit à sa remarque.
La masturbation reprit de plus belle, mais elle n’était plus légère et tendre comme avant. De droite à gauche, de haut en bas, les doigts de Mathieu prenaient possession de son antre. Le contact de sa main contre sa vulve, aspergée de son jus faisait un bruit de plus obscène, excitant davantage les deux protagonistes.
Puis soudain, la caresse cessa. Elle sentit Mathieu se lever, entendit le bruit d’un vêtement que l’on jette… A nouveau une main se pose sur sa croupe. Puis soudain le contact… La bite de son fils, qu’il frotte à l’entrée de petite chatte. Il remonte le long de ses fesses… puis redescend… Il répète l’opération deux fois… Puis enfin, il lui entre sa queue au plus profond.
Sophie était dans un tel état que le simple fait d’avoir enfin la queue de son fils en elle lui provoqua un orgasme. De son côté Mathieu n’était pas loin non plus, il était au bord de l’explosion. Il stoppa donc ses mouvements pour se calmer, dautant plus que les tremblements parcourant le corps de sa mère mettaient sa concentration à rude épreuve. De petites contractions par à-coups du vagin venaient comprimer son sexe, l’incitant à envoyer la sauce. S’apercevant qu’il ne tiendrait finalement plus très longtemps, il agrippa le cul et se mit à donner frénétiquement de grand coup de boutoir, déversant sa semence en elle.
Il y eut un bruit de tissu qui se déchire, et la résistance qu’il y avait l’instant d’avant disparut. Mathieu fut envoyé en arrière par l’élan, entrant Sophie à sa suite par les fesses. Sophie fut la première à se relever. La chemise blanche à moitié arrachée, les seins échappés du soutien-gorge, la jupe retroussée et la culotte à hauteur de genoux. Pour compléter le tableau, du sperme s’échappait de ses lèvres, coulant lentement sur sa cuisse gauche. Avec un sourire radieux, elle remonta sa culotte et remise en place sa jupe :
— Merci mon chéri, tu m’as bien tirée. Je ne suis plus coincée désormais. Il faut que je me change, cette chemise est ruinée. Ta sur va bientôt rentrer pour manger mais il faudra qu’on ait à nouveau une discussion toi et moi !
— Oui ! J’ai hâte !
