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Le cavalier de compétition – Chapitre 1




Je m’appelle Jean-Baptiste (JB pour la famille et les copains). Grand brun aux yeux bleu azur d’un mètre quatre-vingts-quinze pour un peu moins de quatre-vingts-dix kilos. Je pratique l’équitation depuis mes cinq ans et fais de la compétition au niveau national depuis mes quinze ans. Je suis issu d’une famille de passionné de chevaux… Mon grand-père était éleveur de chevaux et possédait une grande propriété composée d’une grande maison, de nombreuses écuries, bâtiments et hangars et d’une centaine d’hectares de terres agricoles tout autour.  

À la mort de mes grand-parents, il y a dix ans environ, mon père et mon oncle ont hérité de la propriété et de l’élevage. Il ont naturellement décidé de continuer l’activité d’élevage mais ils ont également décidé d’installer un centre équestre dans la propriété familiale, vu que mon oncle est un ancien instructeur de l’École Nationale de Cavalerie.

En cette fin juin 2015, je viens d’obtenir mon diplôme de moniteur d’équitation. Mon oncle va m’embaucher pour la section compétition du centre équestre. Je vais fêter mes vingt-trois ans dans quelques jours et je vais enfin emménager dans la maison que l’on vient de terminer avec mon oncle, dans une dépendance en face de chez lui et juste à côté des écuries de chevaux de compétition.

Vivement ce week-end qu’on se retrouve avec les potes pour qu’on arrose le diplôme, mon anniversaire et la maison ! Rendez-vous est donné donc le samedi soir vers dix-huit heures au centre équestre pour une soirée de folie.

Dans la bande de potes, il y a Max, Tony, Anaïs et Julie. Max, Julie et moi, on se connaît depuis qu’on a trois ans. Tony et Anaïs sont venus s’ajouter à la bande quand on est entrés au collège. Tous les quatre savent monter à cheval mais seuls Tony et Anaïs montent toujours et m’accompagnent très fréquemment en compétition pour m’aider avec mes deux ou trois chevaux.

Max et Julie sont ensemble depuis presque cinq ans. Tony est avec Magalie depuis quelques mois et il doit nous la présenter ce soir Anaïs est célibataire depuis peu et, selon Julie, elle est beaucoup plus libérée.

J’ai toujours eu un faible pour Anaïs, une grande brune aux cheveux mi-longs avec de belles formes féminines, un caractère calme et réfléchi et toujours avec le sourire.

Dix-sept heures quinze : tout est en ordre dans l’appart. Je file à la douche. Au moment où je vais entrer sous la douche, j’entends sonner à la porte. Je m’enroule dans une serviette et vais ouvrir. Je découvre Anaïs, un sac de voyage à la main, en tenue d’équitation et bottes noires en cuir.

— Salut, JB, me dit-elle avec son sourire habituel en me faisant la bise.

— Salut, Anaïs

— Je viens de finir mon cours d’équitation et je me disais qu’au lieu de rentrer pour me changer, je profiterais bien de ta nouvelle salle de bains pour me préparer pour ce soir. Dis, tu veux bien ?

— Entre, t’as carrément bien fait de venir directement ici.

— Mais dis-moi, JB Tu as fini de prendre ta douche ou tu y allais, demande-t-elle en me regardant enroulé dans ma serviette, avec un regard coquin que je ne lui connaissais pas.

— Euh, j’y allais, mais si tu veux tu peux y aller en premier

— Merci, c’est gentil, et je dis pas non parce que la séance de ce soir était vraiment difficile… Je suis trempée…

On rigole parce qu’on connaît tous les deux ce genre de grosses séances de travail avant les championnats de France.

Je la conduis jusqu’à la salle de bain et, en entrant dans la salle de bain, elle se retourne, tire sur ma serviette et s’enferme dans la salle de bain.

Elle me lance à travers la porte :

— Julie ne m’avait pas menti

— Menti ? À propos de quoi ?

— De la taille de ta bite Elle est vraiment énorme !!! Et avec le corps de beau gosse que t’as, moi j’en mangerais bien, dit-elle en rigolant.

Je reste sans voix derrière la porte de la salle de bain. Je ne sais plus quoi dire. Ça ne ressemble pas à la Anaïs que je connais. Bon d’accord, j’étais en stage à l’autre bout du pays ces trois derniers mois, mais quand même

— JB, t’es toujours la ?

— Euh oui oui, mais comment vous en êtes arrivées à parler de la taille de ma bite? Et comment ça tu en mangerais bien ?

— Euh, JB, t’as très bien compris Fais pas l’innocent et viens donc prendre ta douche avec moi, je te raconterai tout.

— Ok, j’arrive.

Je me retrouve nu devant Anaïs qui elle aussi est nue. Elle a vraiment de jolis seins, un 95 C je pense. On se détaille mutuellement et nos regards finissent par s’accrocher.

Elle s’approche de moi, pose ses deux mains sur mon torse imberbe, se hisse sur la pointe des pieds et m’embrasse sensuellement.

Ses mains descendent vers « le monstre » qui commence à se réveiller au contact de la peau douce de ses mains.

— T’es sûre de toi, Anaïs ?

— Oh que oui ! Et ça fait très longtemps que j’en ai envie !

Je me penche légèrement, enserre son visage à deux mains et l’embrasse. Je lâche ses lèvres et commence à embrasser et à sucer ses seins. Elle soupire et me dit :

— Reste plus qu’à rattraper le temps perdu Mais là, il faut aussi se laver sinon on va finir par être en retard, dit-elle en m’entraînant par la bite jusque sous la douche.

J’ai ouvert le robinet et nous nous sommes savonnés mutuellement et nous avons joui simultanément sous les assauts manuels de l’autre On s’est relavés. On s’est séchés et je suis allé m’habiller dans ma chambre. Je passe un pantalon beige en lin et une chemise blanche en lin également et je suis retourné dans la salle de bain pour finir de me faire beau.

Anaïs est toujours nue, la serviette sur la tête en train de se maquiller. Enfin quand je dis nue ni soutien-gorge, ni culotte Elle a juste paré ses longues et magnifiques jambes de bas couleur chair accrochés à un porte-jarretelle en tulle et dentelle rouge. Elle m’aperçoit dans le reflet du miroir, me sourit et me dit :

— Tu veux la place, peut-être ?

En guise de réponse, j’avance et me place juste derrière elle, pose mes mains sur ses hanches et l’attire à moi pour l’embrasser. Ses fesses rebondies se plaquent à mon bassin. Ses bras entourent ma tête et elle répond à mon baiser.

— Merci, ça va, prends ton temps, j’ai juste besoin de mettre du parfum

— Ok, je me coiffe, je m’habille et c’est bon !!

Elle se retourne, pose ses mains sur mon torse et rajoute :

T’es à croquer dans ton pantalon en lin !

— Merci ! Et toi, t’es plus que sexy dans cette lingerie.

— Merci !

Elle redresse la tête, nos bouches se rapprochent pour un baiser torride où les langues s’entremêlent avec fougue.

DING DONG !!

Elle me repousse jusque dans le couloir et dit :

— Merde ! Ils arrivent et je suis encore à poil ! Je me dépêche et j’arrive !

Elle referme la porte et je me retrouve avec le sourire aux lèvres et une demi-molle dans le pantalon. Je vais ouvrir et, derrière la porte, je retrouve Max, Julie, Tony et Magalie.

Je les fais entrer et leur dit qu’Anaïs est venue directement après son cours et qu’elle est en train de se préparer dans la salle de bain. Julie me regarde du coin de l’il et esquisse un sourire. Tony nous présente Magalie, petite blonde très charmante, pleine d’énergie, future institutrice. On s’installe dans le salon et je leur propose une coupe de champagne pour fêter mon anniversaire et mon job chez mon oncle. Tous le monde est d’accord.

Je passe derrière le bar qui sépare le salon de la cuisine et sors le champagne du frigo. Je sers les six coupes et les distribue au fur et à mesure. Alors que je retourne chercher mon verre, Anaïs, par la porte du couloir, apparaît avec un sourire radieux. Elle dit bonjour à tout le monde, accepte la coupe de champagne et s’assied sur le canapé à côté de Julie.

Max se lève et dit :

— JB, mon pote, maintenant que nous sommes tous là Nous te souhaitons un bon anniversaire !!

Et tout le monde se lève et me chante joyeux anniversaire

Embrassades et distribution de cadeaux. Max et Anaïs m’offrent une place de concert pour Shaka Ponk, Tony et Magalie m’offrent une Wonder-box week-end détente et Anaïs me tend une enveloppe avec un petit mot à l’intérieur :

« Tu as déjà eu un aperçu de ton cadeau. Le reste, tu l’auras quand tous le monde sera parti ! Bisous.»

— Merci beaucoup les amis !!!

Et je les embrasse tous chaleureusement.

Max et Tony me disent que eux aussi ont leurs places pour le concert de Shaka Ponk. J’arrive devant Anaïs et l’embrasse à la commissure des lèvres et lui souffle à l’oreille :

— Tu es magnifique dans cette robe, et merci pour le cadeau Mais je vais avoir beaucoup de mal à attendre que tout le monde soit partit

— Il faudra bien, me répond-elle avec un clin d’il.

La soirée avance et tout le monde rigole bien. Magalie s’intègre bien dans le groupe. Avec les gars, on allume le barbecue et on commence à parler du concert en surveillant les grillades. Tous le monde se retrouve dehors, les verres s’enchaînent et les conversations s’animent. On enchaîne fou rire sur fou rire. On passe une bonne soirée ! Anaïs me provoque et me chauffe dès qu’elle le peut et j’ai beaucoup de mal à rester le plus naturel possible.

Lorsque les grillades sont presque cuites, je retourne dans la maison pour récupérer les assiettes et les couverts. Anaïs me suit et dit :

— Attends, je vais t’aider.

— Ok, si tu veux.

Une fois dans la cuisine, elle se cale dans mon dos en posant ses deux mains sur mon torse et me demande en laissant glisser ses mains jusque sur la bosse que fait mon pantalon :

— Ça va mon chou, tu tiens le coup ?

— Depuis la douche de tout à l’heure, j’en peux plus. J’ai trop envie de toi.

Je me retourne et essaie de la prendre dans mes bras mais elle me repousse en disant :

J’aimerais bien aussi être dans tes bras mais, là, on n’ a pas le temps.

Elle me sourit et me fait un bisou plein de tendresse sur la joue. Elle récupère le pain et les assiettes et rejoint les autres à l’extérieur.

Sa démarche féline légèrement exagérée n’arrange rien à la tension déjà existante dans mon pantalon. Je prends quelques secondes pour me recentrer sur la soirée et j’arrive avec les couverts et les sauces.

Tout le monde est déjà à table et je m’installe entre Tony et Anaïs. Plusieurs fois lors de la soirée, elle réussit à me caresser le sexe sans que personne ne la voieJ’essaie de ne pas trop la dévorer du regard pour ne pas éveiller les soupçons même si je sais que Julie est déjà au courant

Vers 23h30, Magalie qui est ivre demande à Tony de rentrer chez eux. Max et Julie veulent aller en boîte de nuit. Anaïs dit :

— Moi, j’ai trop bu, je peux pas conduire. Je préfère dormir sur le canapé de JB. Enfin, sauf si tu vas en boîte, toi aussi ?

— Non, j’ai pas trop envie d’aller en boîte ce soir. Mais, allez-y, on se tient au jus dans la semaine.

— Ok, pas de soucis. Bonne nuit, dit Max.

— Oui, c’est ça… Bonne nuit, vous deux, dit Julie avec un sourire entendu.

— Bonne soirée, dit-on à l’unisson, Anaïs et moi.

Je referme la porte et retourne vers la terrasse pour finir de ranger. Je croise Anaïs qui revient avec les assiettes et les couverts. Je récupère les bouteilles, les verres et rentre dans la maison.

Anaïs vient se caler dans mes bras, nous échangeons un baiser des plus torrides. Elle pose sa tête contre mon torse et me dit :

— Tu sais, Julie et moi, on a beaucoup discuter de mecs et de sexes ces dernières semaines En fait, ça a commencé quand l’autre con m’a trompé Je me suis vengée en baisant avec un de ses potes qui se vantait d’être monté comme un poney et il l’était. C’était top bon ! Quand je lui ai raconté, Julie m’a dit que sa première fois avait été avec une vraie bite de cheval et que même si, à l’époque, elle aimait le garçon, elle ne pouvait pas car il était trop gros… Et puis, dans la discussion, on est venues à parler de toi et, là, je lui ai avoué que j’avais un faible pour toi depuis longtemps. Elle m’as avoué alors que sa première fois, c’était toi et donc que la vraie bite de cheval, c’était toi !!

— Waouh !! Vous êtes de sacrées coquines toutes les deux !! Et, oui, Julie et moi ça a été notre première fois, mais c’était il y a longtemps et, finalement, c’est mieux comme ça, dis-je en l’embrassant à nouveau.

Elle sort de l’emprise de mes bras et disparaît dans le couloir en me disant :

— Donne-moi dix minutes, je vais faire une petite retouche à ton cadeau !

— Ok.

J’en profite alors pour faire la vaisselle. Comme ça, je serai tranquille demain. À peine ai-je eu le temps de finir la vaisselle qu’elle fait sa réapparition dans le salon. Elle me dit :

— Tu ne bouges pas et tu profites du spectacle

Elle a échangé sa robe sage contre une beaucoup moins sage mais sexy à mort Une robe en maille blanc laissant apparaître son porte jarretelle, un mini string en tulle rouge et un soutien-gorge à balconnet rouge et noir.

Elle commence à se déhancher, fait demi-tour tout en continuant sa merveilleuse danse, se cambre quand elle est complètement de dos. Je suis envoûté par le spectacle, adossé au bout du bar. Elle me regarde, retire sa robe et s’approche de moi telle une lionne affamée de chair.

Elle commence par déboutonner un à un les boutons de ma chemise et dépose un baiser sur chaque nouvelle parcelle de mon corps ainsi dévoilée. Les assauts de sa bouche et de sa langue expertes sur mes tétons me font frissonner.

Elle se redresse pour m’embrasser et pose ses deux mains sur mon entrejambe. Je pose mes deux mains sur ses fesses que je commence à caresser tandis que, de ses mains habiles, elle fait tomber mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles, et commence alors une lente masturbation. Je remonte une main et lui dégrafe son soutien-gorge qui tombe sur ma bite puis vole à travers la pièce.

Sa masturbation devient plus intense à mesure que mes mains lui caressent les seins et les tétons déjà bien durcis par l’excitation. Elle s’accroupit et dépose quelques bisous sur mon gland puis elle me lèche les couilles en reprenant sa masturbation. Sa langue parcourt ensuite mon sexe sur toute sa longueur et je gémis d’un plaisir non dissimulé lorsque qu’elle gobe mon gland et joue avec sa langue sur mon frein. Je suis aux anges

Elle entreprend alors une fellation diabolique Je n’ai jamais vécu ça auparavant Elle m’aspire, me pompe et me branle en même temps.

Elle pose alors ses deux mains sur mes hanches et avale mon sexe, centimètre par centimètre, jusqu’à se retrouver le nez sur mon pubis. Elle recrache mon sexe en y laissant la salive accumulée et me masturbe énergiquement en me disant :

— Putain, la vache ! Elle est vraiment énorme !!! Je ne pensais pas que j’arriverais à l’avaler en entier mais elle est trop bonne à sucer !

Elle replonge sa bouche sur mon sexe et reprend sa fellation en gorge profonde en me fixant dans les yeux. Mes mains viennent se poser sur sa tête, non pas pour la forcer à quoi que ce soit, mais pour lui partager le plaisir qu’elle me donne. Après cinq minutes de ce traitement, je lui dis :

— Si tu continues comme ça, je ne vais plus tenir très longtemps

— Oh oui ! Donne-moi ton sperme. Je veux le goûter.

Elle reprend de plus belle sa fellation et, en quelques va-et-vient de sa bouche sur ma bite, m’emmène jusqu’à la délivrance. Je pars en quatre ou cinq grosses giclées qu’elle réussit à garder en bouche avant de tout avaler.

Elle se redresse et me dit en souriant :

— Hum… Délicieux

— Wahou… T’est vraiment une sacrée tigresse, quand tu suces, toi. Personne n’avait encore réussi à me bouffer la queue comme tu l’as fait J’ai adoré !

Elle se redresse avec un sourire coquin. Je la soulève par les fesses, elle m’encercle avec ses jambes, passe ses bras autour de mon cou et on s’embrasse passionnément. Je me dirige vers le canapé et la pose délicatement sur le dos.

Ma bouche et mes mains partent à l’assaut de ce corps qui, depuis le début de la soirée, m’attire. Je la sens se raidir quand je pose ma bouche sur ses tétons.

Ses mains me caressent les cheveux pendant que les miennes atteignent le petit bout de tissu qui couvre encore son sexe. Je la caresse par dessus le tissu. Elle se mord les lèvres et laisse échapper en soufflant :

— Mmmm, tu as vu dans quel état tu me mets Enlève mon string et bouffe-moi la chatte. J’en peux plus.

— C’est bien mon intention.

Elle soulève le bassin pour me faciliter le retrait de son string. Je dépose un baiser sur le haut de ses cuisses puis, très lentement, me rapproche de ses lèvres très humides et de son clitoris qui pointe légèrement. Je pose ma bouche sur son clitoris et commence à l’agacer avec ma langue. Je l’aspire et je lèche la cyprine qui suinte de sa chatte.

Elle ondule de plus en plus son bassin sur ma bouche ou ma langue. Elle pose ses mains sur ma tête, sa respiration s’accélère. Je la vois se mordre la lèvre et se tordre de plaisir sous mes assauts linguales.

Mes mains ne sont pas en reste. Elles s’occupent de ses seins et de ses tétons qui, maintenant, sont biens dressés et sensibles. Il ne me faut que quelques minutes de ce traitement pour la faire jouir.

Je me redresse tout souriant, le visage maculé de sa mouille. Je lui donne mon index et mon majeur à lécher.

Je pose mes doigts sur son clitoris puis les fais glisser le long de sa fente et les insère sans difficulté tellement elle mouille.

Je commence à la doigter et me penche pour l’embrasser. J’accélère le mouvement et sens son vagin se contracter sur mes doigts. Elle commence à haleter et lâche de petits gémissements. D’une main, elle attrape mon sexe en semi-érection et entreprend une lente masturbation. De l’autre, elle se caresse les seins.

Son corps se tend et s’arc-boute, elle lance sa tête en arrière et jouit en lâchant un jet de cyprine qui nous surprend tous les deux. Elle est en sueur tellement sa jouissance a été puissante.

Je me redresse et m’assieds sur le bout du canapé pour la laisser reprendre des forces. Elle se redresse, m’embrasse et vient se mettre à califourchon sur moi. Elle me dit :

— Je n’ai jamais joui aussi fort ! Et tes doigts sont magiques, mon JB !

— Tu es trop belle quand tu jouis et j’adore le goût de ta mouille.

Je me lève pour aller chercher des capotes et, lorsque je reviens dans le salon, elle se lève et me prend des mains les capotes. Elle me pousse sur le canapé et vient se poser entre mes jambes. Elle prend en bouche mon sexe turgescent, me masturbe et me place la capote. Elle se replace à califourchon sur moi. Elle frotte sa chatte dégoulinante sur ma bite et me dit en me mordillant l’oreille :

— Sois gentil. Laisse-moi faire pour le début

Elle se redresse sur ses pieds en plaçant mon gland sur ses lèvres et fait quelques mouvement avec son bassin pour facilité l’intromission de ma bite. J’en profite pour m’occuper de ses seins en les caressant.

Je la sens frémir quand mon gland entre en elle. Elle stoppe la progression en soufflant comme pour un accouchement Et reprend un lent va-et-vient qui à chaque fois lui fait gagner quelques centimètres sur ma queue.

Elle se jette sur moi pour m’embrasser, pose ses genoux de chaque côté de mon bassin. Elle reprend ses va-et-vient sur ma bite et finir complètement assise sur moi.

Je l’attrape par les fesses, la soulève et entame un léger va-et-vient. Elle glousse de plaisir, pose ses mains sur mon torse et me dit :

— Doucement, mon bel étalon, il faut que je m’habitue à ton calibre

Progressivement, elle se détend, j’en profite alors pour augmenter le rythme de mes va-et-vient.

— Oh c’est bon ! Je te sens bien ! Je vais encore jouir Ah ! Je jouis !!!

Je ne suis pas loin moi non plus d’exploser tellement son vagin s’est contracté lorsqu’elle a joui. Elle me couvre de bisous en me caressant le visage et les cheveux.

Je me redresse, passe mes bras sous ses cuisses et me lève. Je ressors ma bite jusqu’au gland et replonge d’un coups sec en elle. Je recommence en accélérant le mouvement.

— Ah, salaud !!! Tu vas me refaire jouir si tu continues

— Tu veux que j’arrête, lui demande-je en souriant.

— Non, surtout pas ! Tu me fais trop de bien, continue

Je reprends mes mouvements et, au bout de quelques minutes, quand je sens notre jouissance arriver, je la repose par terre et lui dis :

— Mets-toi sur le dos !

Elle s’exécute. Je me place entre ses jambes, pointe mon gland sur ses lèvres et pousse en avant jusqu’à la garde. Je place mes mains dans le creux de ses genoux, me penche en avant et commence à la pilonner avec de grands mouvement amples. Elle m’encercle le cou de ses bras, m’embrasse à pleine bouche et plonge sa langue à la rencontre de la mienne. Je l’entends gémir de plus en plus fort.

— Je vais plus tenir très longtemps, Anaïs.

— Moi non plus, JB.

— Tu veux que je jouisse où ?

— Viens sur moi Arrose-moi de ton foutre, mon amour !!!

Je sors ma queue, enlève la capote, me branle énergiquement et, en quelques secondes, je la recouvre de cinq grosses giclées de sperme, lui recouvrant une bonne partie de son joli visage, de ses seins, de son nombril et de sa chatte.

Elle m’attrape par la queue et me nettoie. J’en profite pour insérer deux doigts dans sa chatte et l’amène jusqu’à la jouissance. Je me relève et me place à côté d’Anaïs.

— Wahou !! t’es un sacré baiseur, toi, dit-elle en se lovant contre moi.

— Et toi, t’es une sacrée coquine !

On reste quelques minutes comme ça, à se faire des papouilles.

Elle se lève et me dit en faisant un clin d’il :

— Je vais à la salle de bain pour me nettoyer un peu. Tu m’en a mis partout

Et elle rigole.

Je regarde mon téléphone. Putain, la vache ! Déjà 2h30 du mat ! Je lui demande si elle veut boire quelques chose et me dit qu’elle veut bien un coca.

Elle revient et on boit notre verre de coca. Elle se jette à mon cou et m’embrasse tendrement. Je lui donne l’heure et dis :

— On prend une petite douche avant d’aller dormir ?

— Oui, très bonne idée.

On avance main dans la main jusque dans la salle de bains. On prend notre douche en se savonnant mutuellement. On finit par sortir et se sécher. Toutes ces caresses échangées m’ont remis en forme pour le plus grand plaisir d’Anaïs qui pose sa main sur mon sexe et commence une très légère masturbation. Elle me dit avec un regard de braise :

— Je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Rien que de branler ta belle bite, je mouille… Et j’ai encore envie de la sentir en moi Prêt pour un dernier round, mon chéri ?

— Je vois ça, dis-je en passant ma main sur sa petite chatte qui, effectivement, dégouline de cyprine. Viens dans la chambre. On sera plus à l’aise

Je la prends dans mes bras et l’embrasse en la faisant reculer jusque dans la chambre. Lorsqu’elle sent le lit contre ses mollets, elle nous fait tourner et me pousse sur le lit. Elle s’agenouille alors entre mes jambes pour entamer une fellation. La douceur de sa bouche et l’agilité de sa langue en gorge profonde me font frissonner et tomber à la renverse sur le lit en lâchant un râle de plaisir.

Au bout de quelques minutes où seuls les bruits de succion se font entendre, je finis par reprendre un peu mes esprits, me redresse et lui dis :

— Je suis aux paradis Putain qu’est-ce que tu suces bien !!! Oh oui, continue avec ta langue !!! C’est trop bon …

— Hum Comme ça, dit-elle en me regardant droit dans les yeux tout en avalant mon sexe jusqu’à la garde.

— Oh oui, comme ça !

Je finis par la redresser et lui dis :

— Installe-toi sur le lit, je vais chercher une capote

Et lorsque je reviens dans la chambre, je la trouve à quatre pattes sur le lit en train de se caresser le clitoris d’une main pendant que l’autre malaxe fortement l’un de ses seins. Je la regarde se masturber quelques instants, tout en mettant ma capote sur mon sexe bien dur.

Je me place derrière elle et joins mes mains aux siennes. Elle abandonne son sein au profit de ma bite, me masturbe et pointe mon gland sur sa chatte dégoulinante de cyprine.

— JB, Prends-moi. Défonce-moi la chatte

D’un coup sec, je pousse mon gland à travers ses lèvres. J’attrape ses mains et les place dans son dos. Je tire sur ses bras tout en rentrant mon sexe d’une traite dans sa chatte. Elle lâche un râle de plaisir.

Je ressors mon sexe en entier et replonge aussi sec dans sa grotte ruisselante. Je renouvelle plusieurs fois l’opération en augmentant à chaque fois le rythme et la force de mes va-et-vient. Elle halète, gémit de plaisir et se cambre encore plus en redressant le buste.

Je lâche ses mains et lui donne une grosse claque sur chaque fesse. Elle sursaute en lâchant un petit cri strident. Je lui caresse les fesses et finis par poser mon pouce sur son petit illet et entame un petit massage. Tout en continuant de la prendre en levrette, j’alterne massage de son anus et grosses claques sur le cul

— On dirait que tu aimes ça, te prendre des fessées, lui dis-je en lui claquant le cul à nouveau par deux fois alors que, dans un mouvement de son bassin, mon pouce est entièrement rentré dans son cul.

— Oui, continue

Je lui donne une nouvelle série de claques sur ses fesses déjà rouges et commence à lui branler son anus.

Je me penche sur elle et lui dis :

— J’ai trop envie de t’enculer Et toi, t’en as envie ?

— Oui, mais seulement si tu fais tout doux Je n’ai jamais été prise par là et j’ai peur que tu me déchires le cul.

— Je vais y aller doucement et tu me diras. Si tu as vraiment trop mal, j’arrêterai.

Je sors de sa chatte, récupère avec une main sa mouille et lui badigeonne l’anus. Je pose mon gland sur son anus et force le passage. Elle serre les dents, souffle fort. Je continue de pousser jusqu’à ce que mon gland finisse par rentrer. Je vois et sens le corps d’Anaïs se tendre et se contracter.

— Ça va, Anaïs, lui dis-je en lui caressant le dos.

— Oui ça va Tu me remplis bien le cul avec ta bite. C’est bizarre mais c’est trop bon

— Euh, je suis pas encore à fond dans ton joli petit cul. Il en reste beaucoup à rentrer …

— Quoi ? Attends, j’ai l’impression que je vais exploser, dit-elle en passant sa main sous elle pour venir constater que seul mon gland est en elle.

Je passe à mon tour une main sous elle pour doigter sa petite chatte avant de reprendre la marche en avant vers le fond de son petit cul.

J’avance centimètre par centimètre jusqu’à ce que la moitié de mon sexe soit en elle. Je me penche alors sur elle pour l’embrasser et lui dis :

— La moitié du chemin est faite Prête pour la deuxième partie ?

— Doucement alors, me répond-elle en me rendant mon baiser.

Je commence alors un lent va-et-vient très lent au début et je finis par coller mon pubis sur son cul. Je stoppe tout mouvement quelques instants puis ressors ma bite jusqu’au gland et, sans la prévenir, je la pénètre lentement, mais d’une seule traite, jusqu’à la garde.

— Hum trop bon ! Vas-y, continue.

Je reprends mon va-et-vient en variant la rapidité et la force de mes pénétrations en m’accrochant ferment à son bassin. Je sens ses sphincters se contracter autour de ma bite à chaque fois que je suis à fond en elle. Un vrai régal !

— Plus fort, vas-y à fond ! Je vais jouir, dit-elle avec les yeux dans le brouillard.

J’accélère donc le rythme en même temps qu’Anaïs vient à ma rencontre pour bien s’empaler. Je lâche l’emprise de mes mains sur ses hanches et décide dans un éclair de lubricité de la fesser à nouveau.

J’alterne alors quelques séries de fessées et de fortes pénétration de son cul. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens le corps d’Anaïs se tendre. Elle est prise de spasmes, crie sa jouissance en lâchant un nouveau jet de cyprine sur mes couilles et s’effondre sur le lit en disant, àvmoitié dans les vapes :

— Tu m’as tuée avec tes fessées, JB ! Merci mon amour pour m’avoir fait autant jouir !

— Avec plaisir, princesse Mais j’ai pas encore joui, lui dis-je en continuant à la pénétrer en douceur

— Hum. Doucement, c’est bien aussi, mais je vais te finir en te suçant. Je n’ai plus la force de subir tes assauts, me dit-elle avec un grand sourire.

— Ok, dis-je en me retirant de son joli petit cul et m’allonge à côté d’elle.

Elle se jette alors sur moi, avale ma bite jusqu’à la garde et commence une succion diabolique qui me fait venir en moins de cinq minutes. Elle se redresse en avalant son dû, me sourit et vient m’embrasser à pleine bouche.

— Je t’aime, JB, dit-elle en posant sa tête sur mon torse.

— Moi aussi, je t’aime, Anaïs, lui dis-je en lui caressant le dos du bout des doigts.

— Si j’avais su que tu baisais aussi bien, je t’aurais sauté dessus beaucoup plus tôt que ça.

On a continué à discuter quelques instants et nous nous sommes endormis.

A suivre …

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