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Leïla, maman soumise – Chapitre 1




Je me présente : je m’appelle Benjamin, j’ai 41 ans et je suis marié à une magnifique femme qui se prénomme Delphine qui en a 36. Nous pratiquons le sexe libre et sans limites. J’ai déjà raconté sur ce site quelques aventures.

 

Je vais vous racontez comment j’ai fais de la mère d’une des copines de ma fille ma chienne bien dressée.

 

Je vais d’abord vous la présenter, elle s’appelle Leïla, elle a 25 ans et est mère divorcée d’une petite fille de 6 ans qui est dans la classe de la mienne. Physiquement, Leïla est une marocaine très mate avec une chevelure noire et raide lui arrivant à mi-dos. Elle mesure 1m55 pour environ 50kg, très athlétique, elle fait du fitness. Son corps est à tomber par terre, il est ferme et joliment dessiné. Une poitrine généreuse, 85 E, une taille de guêpe, 36, et un cul bombé à souhait qui surplombent des cuisses fines et fermes elles aussi.

 

Je vais commencer par le début, pourquoi nous en sommes arrivés là. Plusieurs fois, le matin devant l’école, Leïla m’attendait après avoir déposée sa fille pour me faire la bise et discuter un peu. En parlant de chose et d’autre avec Delphine, elle me confie que lorsqu’elle est seule, Leïla ne lui adresse pas la parole, même pas un regard. Je lui dis qu’elle s’imagine des choses. Cependant ses mots me restent en tête et je remarque effectivement que quand Delphine n’est pas avec moi, Leïla est plus tactile à mon égard. Caresse du bras, 4 bises plus lentes au lieu de 2 et des questions toujours pour savoir si je suis seul dans la journée. Un matin au retour de l’école, j’en parle à Delphine.

 

–    Dis donc Delphine, je crois que tu avais raison !

–    J’ai toujours raison mon cur, mais de quoi tu parles exactement ?

–    De Leïla, je crois qu’elle me fait du rentre dedans.

–    HAAAAA !! Tu vois je le sentais ! Cette trainée veut que tu l’as baise !

–    T’es rude avec elle, elle n’a rien fait encore !

–    Encore le mot est là !

–    Dis-moi, tu ne serais pas un peu jalouse TOI ?

–    Non ! Mais j’aime pas cette poufiasse !

–    Parce qu’elle me drague un peu ?

–    Non ! Ca je m’en fou c’est plus parce qu’elle joue sa faux-cul devant moi quand tu es à mes côté et qu’elle ne me calcule pas quand je suis seule.

–    Ok ! T’énerve pas ! Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? je n’y suis pour rien moi !

–    Je sais, mais avoue que tu la baiserais bien avec son cul de chienne !

–    Oui, il ne me rend pas insensible.

–    Juste une chose alors, si un jour ça arrive je veux que tu la baises comme jamais tu n’as baisé une de tes maitresses ou même moi, et je veux tout savoir.

–    C’est-à-dire ?

–    Fais la crier de douleur et prend ton pied en la dégradant un maximum !

–    Tu l’aimes vraiment pas celle-ci

–    Non ! je te l’ai dis c’est une salope traite-la comme telle !

–    Ok, je sais pas si c’est ça mais je le verrai bien demain. J’amène les petits tous seul et je vois où cela m’amène.

–    Ok !

 

Sur ces mots et à peine le petit déjeuner fini, Delphine s’est jetée sur moi et nous avons baisé toute la matinée comme des chiens passant par tous les trous et toutes les positions. Delphine parti au travail dans l’après-midi, et ne tenant pas en place, j’imagine un plan pour le lendemain.

 

Le lendemain matin, je me prépare et j’amène mes enfants à l’école. Comme habituellement, Leïla est là aussi en train d’embrasser sa fille et de lui dire au revoir. J’en fais de même et après je m’approche d’elle pour lui faire la bise. J’en fais 2 et en me reculant, je la vois en train d’enchainer pour en faire un troisième.

 

–    C’est vrai c’est 4

–    Oui tu sais moi je suis gourmande !

 

Nous rigolons ensemble et je lui fais les 2 dernières bises et nous commençons à marcher vers nos habitations. Sur le chemin, Leïla me demande :

 

–    Tu rentres retrouver ta belle ?

–    Non, elle est déjà partie au travaille ! (mensonge, elle travaille d’après-midi)

–    Ha ! tu es pressé ? ou tu as le temps pour un café à la maison ?

–    Bah écoute, aujourd’hui j’ai tout mon temps, alors j’accepte ton café avec plaisir !

–    SUPER !!!! suis-moi alors !

 

Elle a l’air très contente que j’accepte son invitation, j’ai le sourire aux lèvres et je la suis en matant son petit cul dandiner devant moi car elle a accélérer le pas. Elle habite à 500m de chez moi, nous montons dans l’ascenseur et direction le 7ème étage. Les portes s’ouvrent et droit devant nous se trouvent sa porte d’entrée. Nous rentrons, elle me fait une visite rapide de son appartement un F3 disposé à peu près comme le mien à l’exception que moi j’ai une chambre de plus. Elle m’installe dans le salon sur le canapé, et elle s’enfui dans la cuisine ouverte pour faire les cafés. Elle revient et s’assoie juste à côte de moi faisant toucher son genou au mien. Nous commençons a discuter.

 

–    Tu as divorcé depuis longtemps ?

–    Oui, 5 ans le mois dernier !

–    Ho ! du coup tu as élevée toute seule ta fille ? il la prend en garde de temps en temps ?

–    Non ! Il a déjà du mal à payer sa pension alors la prendre. Mais c’est pas grave, de toute façon je ne l’ai jamais aimé.

–    Comment ça ?

–    C’était un mariage arrangé, il voulait un héritier, alors tout ce passait bien au début gentil attentionné, mais une fois enceinte il a commencé à aller voir ailleurs, et le pompon c’est quand il a appris que c’était une fille. Il  a commencé à me traiter d’incapable et d’inutile et au bout d’un an après la naissance, il s’est barré sans un mot avec une de ses poufiasses.

–    Rude ton histoire !

–    Non, au début oui mais maintenant je suis bien seule avec ma fille.

–    Et tu ne t’es jamais remis en couple ou flirter ? (je tends des perches pour voir si je ne me fais pas de film)

–    Tu parles les hommes tous des porcs, ils pensent qu’à te sauter et après Ciao !!!

–    Ho, pas tous (ça à l’air mal parti, Delphine s’est mit et m’a mit des films en tête et du coup je vais rester sur ma faim).

–    Non c’est vrai, toi par exemple tu as un super papa et un bon mari je suis sûre.

–    Merci.

–    C’est un type comme toi qu’il me faudrait.

 

Sur ces mots, elle s’adosse sur le canapé. Comme pour la réconforter, je pose ma main sur sa cuisse à mi-hauteur. Ne s’y attendant pas, elle sursaute ce qui me fais sursauter à mon tour et qui par enchainement ma fais me renverser mon café sur le pantalon.

 

–    Ho ! je suis désolée Benjamin ! je vais chercher de quoi te nettoyer.

 

Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle est dans sa salle de bain et j’entends de l’eau couler. J’ai à peine le temps de me lever quand elle revient avec une lingette humide et commence à me nettoyer. Ses frictions sur ma cuisse et la voir à genoux devant moi en train d’enlever la tâche de café, me donne un début d’érection. Elle ne le remarque pas tout de suite. Mais à un moment, sa main nettoyeuse, touche mon sexe par-dessus le pantalon. La 1ère fois je prends ça pour une maladresse mais les 2 fois suivantes je vois bien qu’elle l’a fait exprès. Je lui saisi la main et lui fais signe de se relever. Une fois face à moi, je la regarde droit dans les yeux et me lance, après tout au pire je reçois une gifle.

 

–    Tu sais Leïla, s’y tu veux je peux m’occuper de toi !

–    Comment ça ! tu sais je suis indépendante et je suis une bonne mère !

–    Je ne te parle pas de ça, je te parle niveau sexuel !

–    

 

Elle est scotchée devant moi et bois toute mes parole. Je continue.

 

–    Si tu veux je peux te remplir le vide de ce niveau là, tu n’as qu’une chose à faire.

–    , quoi ?

–    Tu me suces là maintenant

–    

 

Elle ne me quitte pas des yeux et avale sa salive. Elle laisse tomber la lingette et après une bonne minute dans un silence total, elle s’agenouille devant moi et place ses mains sur la ceinture de mon pantalon. Le sourire aux lèvres, je l’aide et me retrouve rapidement la bite droite entre elle et moi. Le premier contact de sa main sur ma hampe et agréable, elle a les mains douces et chaudes. Ensuite elle approche sa bouche avec beaucoup d’hésitation et sort la pointe de sa langue. Elle entre en contact avec mon gland. Elle l’embrasse et commence à le lécher. Une fois ce repérage fait, elle enfourne enfin mon sexe dans sa cavité buccale. Les premiers va-et-vient sont aussi hésitant mais plus elle prend de l’assurance et plus elle s’applique pour finir par une pipe merveilleuse. Maintenant elle alterne entre branlette et suçage en bonne en dût forme. Je vais cracher, je veux voir jusqu’où elle est experte, sans rien lui dire je gicle au fond de sa gorge. Sans broncher elle continue à m’astiquer le manche et à me vider les couilles. Une fois sa labeur faite elle se relève le sourire aux lèvres.

 

–    Satisfait ?

–    Oui ! mais va falloir faire plus si tu veux que je revienne !

–    Qui te dit que je veux ?

–    Ton sourire et ton manège depuis des mois devant l’école.

–    Tu veux quoi de plus ?

–    Tout !

–    Tout ?

–    Oui tout ! Absolument tout ! Je veux que tu sois ma chose, je te donne un ordre tu obéis,

–    Mais,

 

Je ne lui laisse pas le temps de répondre, je lui roule une pelle à l’étouffer avec ma langue. Ensuite je le rejette sur le canapé et remonte mon pantalon.

 

–    Tu ne décide de rien, si tu veux jouir sur ma bite, tu te laisse faire et tu subis mes joutes. Tu m’as allumé tu vas prendre chère ma petite salope.

–    Salope ? et ta femme ?

–    Oui SALOPE ! C’est ce que tu seras MA salope ! et laisse ma femme en dehors de tout ça à moins que tu veuilles aussi te la faire ?

–    Je suis pas lesbienne !

–    On verras ça plus tard. En attendant je te laisse jusqu’à demain pour te décider mais saches que si tu dis oui je serais ton maitre et tu devras tout faire pour assouvir mes moindres désirs. Tu as mon numéro envoie-moi une photo de toi nue pour me donner ta réponse. Si je n’ai rien avant demain 08h00 je considérais que tu décides d’arrêter là. A demain !

 

Je n’attends pas et sors de son appartement sans me retourner. Dans l’ascenseur j’envoie un message à Delphine lui racontant tout ce qui vient de ce passer. Elle me répond juste : « j’ai toujours raison ! » suivi d’un Smiley qui fait un bisou et un clin d’il.

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