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Mes trois demi-soeurs – Chapitre 2




Depuis ce jour, je prenais ma demi-sur quand je le voulais. Elle ne se refusait jamais à moi. De temps en temps, elle venait dans ma chambre pour me faire une fellation, mais le plus souvent cest moi qui venait à elle pour des séances de sodomies sauvages. Sous mes « conseils » elle portait constamment une jupette, ainsi je pouvais à tout moment de la journée la coincer contre un mur, retrousser sa jupe, baisser sa culotte et lenculer. Bien sur nous le faisions seulement quand nous étions seuls, mais comme nos parents étaient souvent en déplacement et que ses surs étaient en cours, je pouvais lenculer environ 3 ou 4 fois par jour. Et cest elle qui en redemandait.

Je vais vous raconter une journée type passée avec ma demi-sur. Le matin au réveil je nai jamais eu beaucoup dénergie, je me contentais de lui caresser les fesses quand elle passait à ma portée. De temps en temps elle allait sous la table pendant que je déjeunais et me taillait une pipe. Je laissais ça selon ses envies, ce nest pas sa bouche qui mintéressait le plus.

En milieu de matinée, quand tout le monde étaient partis, jallais la rejoindre dans sa chambre, comme à son habitude elle mattendait entièrement nue, à quatre pattes sur son lit, ses fesses relevée en direction de la porte. Ainsi jentrais et sans un mot je lenculais directement.

Ensuite nous allions tout les deux en cours. A la fac je marrangeais toujours pour la prendre au moins une fois, dans une salle de classe vide ou dans les toilettes, on la même fait une fois sur le toit de luniversité. Dans ces cas là il me suffisait de retrousser sa jupe et de glisser ma bite entre ses fesses. Une chose est sûr, cette fille aimait se faire traiter comme un objet, plus je lavilissais, plus elle aimait ça.

En revenant, je mettais un film porno à la télé que nous regardions ensemble, puis je lenculais à nouveau face à lécran tout en regardant la scène de sodomie.

De temps en temps la nuit, elle venait me retrouver dans ma chambre et alors elle me suçait. La sodomie était proscrite cette fois puisque mes demi-surs dormaient juste à côté, et que ses cris les auraient sans aucun doute réveillées. Je me contentais alors de profiter de sa fellation. Même si ce nest pas sa bouche qui mintéressait.

En fait la bouche qui mintéressait était celle de mon autre demi-sur, Celeste. Son visage dange mobsédait, et je rêvais de la souiller. En plus elle avait un caractère difficile, sans cesse à mengueuler parce que je ne rangeais pas mes affaires, parce que je salissais la maison, ou pour toute autre occasion. Je rêvais de remplir sa bouche avec ma bite afin de la faire taire, de la voir agenouiller devant moi, elle si fière, en train de sucer ma bite tout en me regardant.

Un soir, alors que je rentrais dans la cuisine pour voler quelque chose à manger, je fus témoin dune scène qui me ravit au plus haut point. Celeste caressant le visage de sa grand sur du revers de sa main, serré contre elle, et lui chuchotant quelque chose dans loreille.

Quand elle mentendit entrer Celeste se retourna furieuse

— Quest-ce que tu fais là toi?

Je ne répondis rien, me contentant de la regarder en souriant. Une chance venait de soffrir à moi.

Finalement elle quitta la pièce, en me jetant un dernier regard furieux.

— Quest-ce quelle te voulait? demandais-je à Corinne.

Corinne baissa les yeux, et ne répondit rien.

Je mapprochais alors delle et caressais sa joue au même endroit que sa sur lavait fait.

— Quest-ce quelle te voulait? répétai-je

Après un nouveau moment de silence elle répondit, toujours sans lever les yeux.

— Cest que Celeste est attirée par les filles et en fait ça fait un moment quelle insiste pour

— Pour?

— Elle dit quelle veut lécher ma chatte, avoua-t-elle finalement en rougissant.

— Et bien pourquoi ne pas lui donner ce quelle veut?

En vérité jai du longuement insisté avant que Corinne finisse par accepter de rentrer dans mon jeu. Mais finalement mon ascendant sur elle finit par lemporter. Et la menacer de la priver de ma bite est largument qui la finalement achevée. Non pas que jen ai eu la moindre intention, mais au sexe comme au poker, il faut savoir bluffer.

Tout était donc prévu. Un jour au lieu daller en cours je séchais pour revenir à la maison, et sans attendre je déboulais dans la chambre de Corinne. Et le spectacle que jy vis me ravit.

Corinne entièrement nue, allongée sur le lit, sa jolie poitrine montant et descendant au rythme de sa respiration voluptueuse. Le corps cambrée, la tête rejetée en arrière et les jambes écartées. Entre ses jambes la tête brune de sa sur.

Celeste avait gardé ses vêtements, même si son haut était largement déboutonnée, et sa jupe était relevée. Ses doigts sagitaient sur sa chatte à travers le tissu blanc de sa culotte.

Corinne gémissait bruyamment, visiblement satisfaite du traitement de sa sur, qui sappliquait à lécher son sexe de tout son savoir faire.

Mais tout cela ne dura quune seconde. Quand jentrai dans la pièce, Celeste tourna la tête et dès quelle me vit ses yeux reflétèrent dabord lembarras, puis la colère.

Elle rabaissa aussitôt sa jupe et rassembla son chemisier comme elle le pouvait.

— Quest-ce que tu fais là? me lança-t-elle.

— La question est plutôt ce que toi tu fais, lui répondis-je avec mon sourire le plus énervant.

— Ça ne te regarde pas!

— Jai bien peur que si. Je viens dassister à une scène dinceste, vois-tu. Je ne crois pas que ta mère approuverait cette relation.

Celeste parut accusé le coup, avant de se reprendre.

— Et quelle preuve auras-tu de ce que tu diras? Jaurais qu’à affirmer quil ne sest rien passer.

— Et bien, et si je le disais à ta mère. On verra bien qui de nous deux elle croira.

Celeste se mordit sa jolie lèvre, visiblement en proie à un conflit intérieur.

— Et bien sûr, Corinne confirmera ma version. Elle pourrait même dire quelle nétait pas consentante, qui sait.

Celeste tourna aussitôt la tête vers sa sur qui détourna son regard. Ce dernier acte finit par lachever.

— Alors ne dit rien, me demanda-t-elle toujours avec colère.

— Et pourquoi je ne dirais rien? Après tout, tu nas jamais été gentille avec moi

Son ton changea

— Ne dis rien sil-te-plait.

— Cest mieux, riais-je, mais pas assez

— Très bien, quest-ce que tu veux Brice?

— Ton obéissance

— Daccord grinça-t-elle, mais juste pour cette fois.

— Ah non mécriais-je, je veux ton obéissance totale.

— Alors cest non.

— Bon, nous sommes tout les deux des adultes raisonnables je suis sûr que nous pouvons trouver un terrain dentente.

Elle me défie du regard.

— En échange de ton obéissance, je promets en plus de ne rien à ta mère, je promets de ne jamais pénétrer ta chatte, à moins bien sur que ne le veuille.

— Cest tout ? glissa-t-elle avec un sourire ironique.

— Non, je promets aussi de ne jamais prendre tes fesses. Et si tu mobéis je pourrais te prêter Corinne quand tu me le demanderas.

Corinne rougit violemment à cette dernière remarque, mais ne protesta pas. Le fait quelle venait de prendre son pied sous la langue habile de sa petite sur nétait jen suis sûr pas étranger.

Celeste parut un moment hésiter, mais cela ne dura pas longtemps, le démon en elle lemporta finalement.

— Cest daccord, approuva-t-elle.

— Bien. Mais quon soit bien daccord. Tu me devras obéissance absolu, me donner ta bouche où et quand je le demanderais. Si tu veux Corinne tu devras toujours me le demander avant. Et je me réserve le droit de refuser. Bien que je trouve plutôt excitant le fait de vous voir ensemble. Alors toujours daccord ?

Celeste jeta un dernier regard à sa sur, qui baissa les yeux, sans pourtant arriver à dissimuler un sourire. Et elle acquiesça

— Parfait, alors pour commencer. Déshabille-toi.

— Tu nas jamais dit que

— Rappelles-toi, la coupais-je, obéissance totale. Jai dit que je ne te pénétreras ni en chatte ni en cul, je me réserve le droit de tout le reste.

Enfin vaincue, elle se déshabilla consciencieusement, pliant soigneusement chacune de ses affaires. Elle dégrafa son soutien-gorge, laissant apparaître une petite poitrine bien taillée, avec des tétons qui pointaient. Finalement nue, elle me regarda attendant sagement les ordres.

Je me réjouis intérieurement de son obéissance. Et lui commanda

— A genoux.

Elle le fit sans hésiter. Je mapprochais alors delle, puis glissais ma main dans ses cheveux, lui caressait son si beau visage, puis tout son corps en mattardant sur ses petits seins.

— Ouvre le bouche et tire la langue.

Une fois quelle leut fait, jappelais Corinne. Celle-ci se précipita, sortit mon membre de mon pantalon. Et sous les yeux soudain anxieux de sa sur déposa mon pénis déjà pourvu dune belle érection sur sa langue offerte.

Je savourais un instant cette image avant dordonner à Celeste de me lécher. Suivant mes instructions elle lécha ma hampe tout du long, puis le prit en bouche et commença la plus divine des pipes quon ne mait jamais faite. Son visage dange, une bite en bouche, était divin.

Je la repoussais finalement, attrapais Corinne et enfonçais ma bite dans son cul, après quelques aller retour je revenais à la bouche de Celeste qui cette fois totalement excitée nattendit plus avant de lengloutir. Puis je revenais entre les fesses de sa sur et ainsi de suite.

Au bout de quelques minutes de ce régime je ny tint plus et arrosa le dos de Corinne de ma semence.

Je dus inciter mais si peu, Celeste à venir nettoyer le dos de sa sur avec sa langue.

— Tu as été très bien Celeste, lui dis-je. En récompense je te prête Corinne pour la soirée si tu le veux.

Celeste eut un grand sourire malicieux, dévoilant ses dents du bonheur avant de se jeter sur sa grande sur et de lui dévorer les seins.

Je décidais de les laisser pour cette fois, tout en me promettant de me rattraper plus tard.

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