LA VENGEANCE DE MA FEMME

Alors que dans les vagues, Marie, ma femme, se remet lentement de son puissant et exceptionnel orgasme, nous restons enlacés debout dans l’eau à la limite de la formation des vagues qui s’écrasent sur la plage quelques mètres derrière nous. 

L’ondulation de la houle est d’une telle amplitude que nos corps se trouvent un coup plongés jusqu’aux épaules, un coup dévoilés jusqu’à la taille, exposant régulièrement la poitrine opulente de ma femme aux yeux des ados qui ont du mal à reprendre leurs esprits.

Je reste collé derrière elle, la queue bandant à mort et une envie inavouable de la prendre, là, dans l’eau, à quelques dizaines de mètres des vacanciers en train de se faire bronzer…

« Où est mon bikini ?  Comment je ressors de l’eau maintenant ? » s’inquiète ma femme.

À grands regrets, je dois remettre mon projet à plus tard et rentrer la quincaillerie en essayant de débander. La frustration est énorme.

« Commencez par retrouver le bikini de ma femme qu’elle puisse sortir de l’eau décemment » Je fais en m’adressant aux ados d’un air de vouloir reprendre les choses en main.

Alors, comme ça, les deux jeunes sont bi Ok ; mais pas moi ; ce n’est pas parce-que j’ai maintenant une trique d’enfer et que ma femme veut me punir de l’avoir exhibée à son insu, qu’elle va m’obliger à faire je ne sais quoi et succomber aux velléités d’un autre homme !

 Y’a des limites quand même !

 Les deux jeunes hommes plongent alors à la recherche du maillot de bain qui doit se balader quelque part sous l’eau, emporté par les doux courants qui nous passent entre les jambes.

Mais sans succès.

"Mais… comment je sors de l’eau maintenant ?"

"Attends, je vais te chercher ta robe"

"Ma petite robe de plage ?! Mais…"

Je pars en courant et, pour mon plus grand désespoir, me force à débander dans la douleur, laissant ma femme nue au milieu de la houle entre les deux ados.

« Ça vous a plu Madame ?"

"Heu… oui, oui"  Fait-elle gênée.

Bêtement, elle se cache pudiquement les seins alors qu’elle vient de jouir sous leurs yeux en se les faisant triturer.

"Vous… vous nous avez vraiment vu sur la plage en train de… en train de…"

Ils sourient et acquiescent.

Ma femme rougit comme une gamine.

"Alors… alors tout ce sperme sur mes fesses, c’était… c’était…"

Ils sourient à nouveau.

« Ça vous a drôlement plu aussi on dirait »

Avec le sourire jusqu’aux oreilles, ils opinent du chef en parfaite synchronisation comme deux gamins bien élevés alors que je reviens avec la petite robe blanche transparente que je maintiens au-dessus de l’eau pour ne pas la mouiller.

Ma femme est cramoisie.

"Mais comment je peux l’enfiler sans la mouiller ? »

Je pourrais la soulever, mais alors toute la plage va la voir nue. Et elle ne va pas sécher dans mes bras en quelques secondes !

Finalement, elle passe sa robe sous l’eau et nous sortons tous ensemble en la dissimulant entre nous trois autant qu’on le peut.

Au fur et à mesure qu’elle sort des vagues, certains plagistes remarquent sa nudité révélée par la transparence de la mini robe.  

Et bientôt, tout le monde la reluque, à commencer par moi-même et les deux jeunes garçons qui, au lieu de la protéger des regards, la matons comme les autres.

La robe trempée lui colle littéralement à la peau et est complètement transparente là où elle colle le plus, à savoir les seins et l’arrière train…

Elle tire dessus pour couvrir ses fesses mais du coup, comme elle est trop courte, à l’autre bout, ses mamelons commencent à sortir des bretelles…

Les gens se retournent pour mieux voir et rapidement, elle devient le centre d’attraction de la plage.

J’entends alors pleins de commentaires des vacanciers en famille qui s’insurgent, certains offusqués, d’autres, avec le sourire en coin, plus salaces.

  On marche vite et ramassons nos affaires sans trainer.

En se penchant, j’aperçois alors carrément sa fente !

J’essaye de la cacher à la vue de tout le monde mais les ados n’en ont rien loupé.

Cette vision ne fait que m’émoustiller à nouveau et bien que le moment soit mal choisi, mon érection repart de plus bel.

Faisant mine de n’avoir pas relevé l’invitation improbable de ma femme, je dis au revoir aux deux jeunes, lorsque celle-ci m’interrompt :

« Mais non, on les a invités à boire une citronnade au chalet ; tu as déjà oublié ? »

Les ados arborent un sourire réjouit qui m’énerve et me transforme en arroseur arrosé.

On s’en va donc d’un pas pressant vers le chalet. Les deux jeunes suivent comme des toutous.

On a tous les trois les yeux rivés sur sa croupe qui, sous le fin vêtement mouillé, se déhanche en complète transparence sous nos yeux lubriques.

 En jetant un coup d’il à nos shorts, je me disais qu’on aurait pu faire un concours de la plus grosse bosse.

La situation commence à m’échapper…

Arrivés au chalet, je les invite donc à s’installer tandis que ma femme part prendre une douche et se changer dans la salle de bain.

Je range les affaires de plage, sors les verres et la bouteille de citronnade comme prévu et ma femme nous rejoint, toute propre et seulement vêtue d’une petite tunique blanche à franges qui la rend encore plus seyante.

  Elle ne porte visiblement pas de soutien-gorge mais pour la culotte, je me pose des questions. 

Elle n’oserait quand même pas venir s’attabler avec trois hommes qui la reluque avec des regards concupiscents sans culotte je me dis

On trinque dans un silence pesant.

  Personne ne dit rien pendant plusieurs minutes et j’ai secrètement hâte de les voir partir pour pouvoir assouvir mes pulsions avec Marie en toute intimité.

Car je me demande à quoi tout ça nous mène.

Exhiber ma femme à de jeunes inconnus est une chose ; les inviter chez nous au risque que ça aille plus loin en est une autre.

Je ne veux pas me retrouver cocu quand même !  En attendant, mon sexe est redevenu flasque mais couleLes jus mouillent mon short de bain.

« Alors comme ça vous êtes bisexuels ? » sort soudain ma femme qui brise le silence par une question cash.

« HeuOui M’dame » répond timidement l’un d’eux.

« Comment vous en êtes-vous aperçus ? » 

« Eh bienc’était au lycée quand on nous emmenait à la piscine municipale et qu’on se changeait dans les vestiaires.

On se retrouvait régulièrement tous nus et je ne sais pas pourquoi, mes yeux se fixaient inexorablement sur Fabien »

« Fabien, c’est moi » intervient le deuxième.

« Oui, et moi c’est Michel ; je le trouvais vraiment mignon avec des traits si fins qu’on aurait dit une fille mais un jour, il s’est aperçu que je ne cessais de le reluquer »

« Et moi j’en faisais autant car son physique m’attirait tout autant sans que je sache pourquoi » continue Fabien.

Je dois avouer que les deux garçons ont un physique craquant et que les filles doivent facilement leur tomber dans les bras. 

« Du coup quand nos regards se sont croisés, malgré l’embarras évident, on s’est compris de suite »

« Intéressant et ensuite ?» fait ma femme.

« Eh bien, on s’est vus en dehors du lycée et on est devenus amis et on a parlé de notre attirance mutuelle »

« Continuez » lâche ma femme décidément très intéressée par leur histoire.

« Eh bien, on est souvent sorti ensembles et un jour, on s’est embrassé »

« Continuez »

« Eh benc’est tout, enfinensuite, on s’est retrouvé chez Michel quand ses parents étaient sortis et »

« Oui ? Et ? » fait ma femme visiblement troublée.

« Benon l’a fait quoi »

« Vous avez fait quoi ? » fait ma femme qui reste sur sa faim. « Donnez-moi des détails »

J’interviens « Chérie, voyons, tu vois bien que tu les mets mal à l’aise »

« Mal à l’aise ?  C’est toi qui me parle de « mal à l’aise » quand tu viens de me faire jouir devant eux à mon insu ?

Quand tu viens de me faire traverser la plage pratiquement nue sous les regards de tous ces touristes ?»

Je me sens idiot et ne sais quoi répondre.  Je l’ai rarement vu me répliquer sèchement de la sorte et me sens paralysé. Je grommelle un truc pour la forme, mais du coup je la laisse mener son interrogatoire et me réfugie dans la citronnade

Et puis, les deux garçons ne semblent pas si gênés que ça en plus !

« Eh bien ? » fait ma femme qui s’impatiente.

« On s’est déshabillés et on a commencé à se caresser »

 Fabien hésite, alors Michel reprend « Je l’ai déshabilléen fait on s’est retrouvé torse nu et on continuait à s’embrasser pendant longtemps jusqu’à »

« Jusqu’à quoi ? »  Fait ma femme captivée.

Fabien reprend à son tour « Jusqu’à ce que nos mains descendent et qu’on s’aperçoive qu’on avait tous les deux une bosse dure dans nos frocs »

« Woah. D’accordensuite ? »

« Ensuite » fait fabien en déglutissant et en regardant son camarade « Ensuiteje lui ai dégrafé son pantalon, et il en a fait de mêmeon s’est mis debout pour les retirer et on s’est rassit sur le canapé, juste vêtus de nos slips bien remplis »

« Ooh » lâche ma femme inconsciemment.

« Bon ben, c’est bon, on a compris Mariequelqu’un veut reprendre de la citronnade ? »

Je fais en espérant stopper ce déballage de plus en plus embarrassant.

Comme si je n’existais même pas, ma femme coupe : « Ça vous excite de me raconter ça ? »

Les garçons semblent cette fois-ci interdits et se regardent. « Heubenheu »

« Mettez-vous debout »

Décontenancés, les deux jeunes uniquement vêtus de leur short de bain s’exécutent.

« C’est bien ce que je pensais » conclut Marie en regardant la bosse dans le maillot de Fabien ; mais pas dans celui de Michel.

« J’ai une idéevous allez vous mettre tous les trois debout et enlever vos maillots »

« Hein ??! » Je fais surpris en avalant de travers et en toussant.

« Tu pensais t’en tirer comme ça après m’avoir exhibée sans mon consentement ? Allez, debout et à poil. Toi aussi mon chérie »

« Mais, enfin Marie ?  Pourquoi faire ? »

« Vous allez continuez de me raconter votre histoirejusqu’au bout et les deux d’entre vous qui banderont en premier, mimeront la scène »

« De quoi ?  T’es folle ma parole » Je m’exclame.

« De quoi as-tu peur mon chérie ?  Tu m’as toujours dit que les hommes ne t’intéressaient pas et que tu ne ressentais rien du tout »

 « Évidemment !! » j’affirme avec assurance.

« Alors ? Tu vois bien ; tu n’as rien à craindre et après leur récit et reconstitution de la scène terminée, ils pourront s’en aller et nous serons quittes.  D’accord tout le monde ? »

« Vousvous voulez qu’on se donne en spectacle devant vous M’dame ?? »  Fait Michel un peu angoissé.

« Tout à fait. Vous avez bien profité de moi ; à mon tour ; c’est réglo, non ? »

Devant la logique imparable de Marie, les trois hommes pas très fiers que nous sommes n’osons moufeter et, piteusement, on se lève et enlevons nos maillots.

Le sexe de Fabien mi-dur se met à sautiller hors du maillot tandis que celui de Michel qui semble plus stressé, reste sagement au repos.

Le mien aussi évidemment. A l’exception d’un filet de mouille embarrassant qui se colle à une cuisse ; un reste de l’excitation que m’a provoqué le dernier orgasme de Marie et sa déambulation affriolante dans les dunes sous sa robe transparente n’ont rien arrangés…

« Alors ?  Vous en étiez où ?  Ah oui, assis en slip « bien remplis » sur le canapé ; ensuite ? »

Un peu honteux, Fabien reprend.

« On s’est mis à genoux et on s’est rapproché pour s’embrasser encore, nos poitrines se touchaient et »

À se remémorer la scène érotique avec son copain, il regarde avec embarras son sexe qui grossit tandis que celui de son copain remue un peu mais reste flasque.

Moi je reste indifférent à ce qu’ils racontent.

« Nos bustes étaient chauds et on a commencé à se frotter l’un sur l’autre en faisant glisser nos tétons.

J’ai ressenti des picotements et une bouffée de chaleur et je n’ai pas pu m’empêcher de l’embrasser dans le cou sa peau était douce et si lisse »

« Puis il a poussé une de ses cuisses contre mon entrejambe jusqu’à m’écraser mon sexe qui durcissait dans mon slip

Mon sexe était malaxé et se tordait dans tous les sens.  Il le faisait rouler dans le slip, c’était trop bon ! »

Il regarde à nouveau son sexe qui bande complètement alors que celui de Michel se met à grossir à son tour mais, le plus invraisemblable,

c’est que je constate que le mien réagit aussi !  Est-ce que ce sont les regards furtifs de Marie pour vérifier mon état qui me font cet effet ?

Ou son excitation de plus en plus visible ? Est-ce que c’est le fait de visionner la scène décrite par Fabien ?

Est-ce l’idée que ma femme va s’impliquer avec ces deux garçons qui m’excite à ce point ? 

Je n’en sais rien mais je n’en crois pas mes yeux ; peut-être que ma bite « pense » à autre chosecomme de savoir si Marie porte une culotte ou non, je ne sais pas, mais la réalité est là et je dois absolument me contrôler pour ne pas être la risée de tous et de Marie en particulier.

« Avec ma cuisse également en contact avec son slip, j’ai commencé à faire de même et j’ai bien ressenti aussi la dureté de son membre au travers du tissu. Ça me faisait tout drôle d’avoir le pouvoir de faire réagir son sexe ; c’était génial »

« On s’est frotté nos sexes mutuellement comme ça pendant de longues minutes et nos érections sont devenues si dures et si grosses, que nos sexes poussaient abominablement sur le slip. Soudain, ils ont franchi la barrière de l’élastique ! … »

J’écoute malgré moi son histoire et ne peux m’empêcher d’y trouver un certain érotisme.

Et en plus, de voir ma femme si troublée m’excite malgré moi.  Je suis sûr qu’elle est en train de mouiller. 

Je constate alors que mon sexe se raidit inexorablement, tandis que de son côté, Michel, toujours stressé, ne semble pas réagir et son sexe reste désespérément mou.

Je me penche discrètement en avant pour minimiser la criante longueur de ma queue mais, peine perdue, Marie le remarque avec un sourire narquois qu’elle a du mal à dissimuler.

Fabien poursuit « Quand nos sexes sont sortis de nos slips respectifs, ils se sont mis à se frotter l’un sur l’autre, directement sur la peau…

Les sensations étaient incroyables et bientôt, ils se sont progressivement décalottés tous seuls et on commençait à mouiller.

  C’est alors que nos glands luisants de mouille se sont frottés sans le moindre obstacle : La sensation était décuplée !! »

 Fabien bande comme un taureau en racontant son récit. Son sexe droit comme un I saccade en l’air sous les yeux brillants de ma femme qui se tortille sur sa chaise, la bouche ouverte.

Et moi, à l’écoute de ce passage et à la vue de l’excitation de Marie, mon sexe bondit carrément en l’air et se tend à l’extrême !

Je ne peux plus le cacher alors que celui de Michel commence seulement à grossir à son tour.

« Parfait ! » fait soudain ma femme. « Nous avons les deux gagnants ; veuillez continuer votre histoire en mimant la scène »

« Tutu n’es pas sérieuse ? » Je fais sur un ton implorant.

« Tu contestes ton état peut-être ? En place ! » fait elle sur un ton qui ne supporte pas de contestation.

Je suis sidéré de l’aplomb de ma femme ; je ne l’ai jamais vu comme ça et c’est véritablement une révélation pour moi.

« Continuez de raconter et maintenant, en plus du son, ajoutez l’imageou le film si vous préférez ; nous n’avons pas de canapé, mais il y a notre lit »

Sur ce, elle se lève et ouvre la porte de notre chambre, prend autoritairement Michel par la main et le fait rester debout à côté d’elle qui s’assoit sur une chaise en face du lit sur lequel elle invite Fabien et moi à nous installer pour un « show » privé.

« Vas-y Fabien, tu racontes bien, continue et toi Michel, reste là à côté de moi »

Je monte sur le lit à poil et la queue tendue qui ne veut pas débander ! La honte m’envahit.

Fabien me suit et nous nous mettons face à face sur les genoux comme il le décrivait.

Il me prend timidement par les épaules et, visiblement gêné par la tournure des évènements et aussi par la présence de son copain sans doute, il s’approche jusqu’à ce que nos corps s’effleurent

J’ai un mouvement de recul et constate que malgré que je sois sans doute deux fois plus vieux que lui, je suis beaucoup moins à l’aise. 

Mon sexe commence d’ailleurs à se ramollir un peu.

Puis il reprend son histoire.

« On a enlevé nos slips rapidement et, entièrement nus, le temps d’admirer nos corps respectifs, on s’est rapproché à nouveau, toujours sur les genoux jusqu’à ce que nos corps se touchent ainsi que nos sexes en érection Comme ça. »

Joignant la parole au geste, il se colle à moi et plaque son sexe sur mon corps tandis que ma queue se retrouve prisonnière entre nos ventres.

La pression exercée par nos corps sur nos sexes contribue à les renforcer dans leur excitation et je me surprends à bander d’un coup !

Mais c’est la suite qui me sera fatale

Je jette des coups d’il à ma femme qui scrute nos moindres faits et gestes et semble dans un état second.

Elle se frotte discrètement les cuisses et passe innocemment sa main sur la jambe de Michel qui se tient debout près d’elle.

Le jeune homme réagit enfin et bande à son tour.

La main de ma femme monte et descend négligemment sur sa jambe, puis sur sa cuisse uniquement.

Je suis fébrile et ne peux détacher mon regard de cette main baladeuse, de la main de ma femme sur la cuisse nue de ce jeune homme.

Pendant ce temps, sur le lit, nos queues se croisent soudainement !

Je n’aurais jamais cru que le contact entre deux sexes masculins puisse être aussi érotique.  La sensation est si douceUn vrai massage.

Nos queues se croisent et s’entrecroisent et le regard de ma femme sur ce spectacle, scrutant mes réactions, amplifie mon excitation.

  Je me mets à vraiment bander dur !

« C’est alors que nos sexes se sont effleurés, puis imbriqués comme deux épées, puis frottés, puis massés en se roulant l’un sur l’autre, en s’écrasant entre nos ventres »

Il joint le geste en me massant mon gland avec le sien !

L’effet est sensationnel.

Ma respiration s’accélère et mon cur bat fort sous les yeux vitreux de ma femme, visiblement très troublée et qui prend un pied magistral.

Michel, toujours debout à côté de Marie et face à nous, bande maintenant généreusement en nous regardant.

Ma femme remonte alors sa main sur ses fesses qu’elle contourne et l’approche machinalement vers son bas ventre qu’elle caresse, puis la descend sur la base de la verge du jeune homme qu’elle saisit fermement. 

Sa main glisse ensuite sur le gourdin et commence à le masturber. Le jeune homme trésaille et lâche un long soupir de plaisir.

Voir ma femme me regarder tout en masturbant l’ado me transcende.

Ma queue trépigne et bave de longs filets de mouille qui, combinés à ceux de Fabien, disparaissent immédiatement sur la peau de nos ventres pour mieux lubrifier notre obscène friction. 

« C’est la première fois qu’on faisait ça, alors on s’est contenté de se toucher, de se caresser et de se frotter nos sexescomme ça »

Il me saisit les fesses en les malaxant et me tire vers lui pour augmenter la pression sur nos deux bites écrasées l’une sur l’autre et qui roulent et se frottent continuellement.

Il est pris d’un petit spasme et lâche un cri de plaisir.

C’est alors que je vois ma femme prendre la main de Michel pour l’entrainer sur sa poitrine et encourager le jeune homme à la peloter.

Elle ne dit plus rien et semble hypnotisée par le spectacle homophile qu’on lui offre.

Ses cuisses croisées se frottent doucement l’une sur l’autre et elle gémit discrètement.

Elle masturbe toujours aussi lentement et implacablement le sexe du jeune homme de l’autre main tandis que ce dernier passe sa main sous la tunique de Marie.

Je peux voir le tissu se déformer par ses doigts qui tripotent ses nichons.  Le garçon est aux anges et se délecte des attributs de ma femme.

Les sensations physiques sur ma queue qui se fait écraser par celle de Fabien me provoquent autant de plaisir que la vision de ma femme qui se fait peloter et qui masturbe ce jeune homme sous mes yeux.

Ma respiration s’accélère encore plus vite. Je commence à perdre le contrôle de mon corps.

Ma femme s’en aperçoit et jouit littéralement de ma coupable faiblesse.

Fabien a du mal à continuer à parler.

« On sentait la jouissance monter et envahir nos corpsaaah soudés, en totale fusionoooh, c’était une sensation formidable et à ce stade, rien n’aurait pu nous arrêter désormais, seul l’orgasme pouvait conclure ce déchainement de plaisir aaah On profitait chacun du corps de l’autreon s’en servait pour notre propre plaisir  aaaaahhh»

Michel commence lui aussi à présenter des signes avancés de l’approche de l’orgasme.

  Revivre la propre scène de son copain avec moi sous ses yeux semble l’exalter.

Soudain, je ressens une fulgurante poussée de désir et m’aperçois qu’à force de se frotter, nos prépuces se sont rétractés et que nos glands glissent l’un sur l’autre sans plus aucune protection !

Les sensations sont indescriptibles et le jeune homme sait y faire en insistant bien sur le frein hypersensible de mon gland

J’approche inexorablement du point de non-retour lorsque Marie qui me connait bien et le sait aussi, s’avachit sur sa chaise et écarte les jambes en grand en remontant sa tunique.

Sa chatte nue béante s’expose d’un coup à mon regard et à celui de Fabien qui, bouche bée, s’arrête de parler.

La vision de sa fente grande ouverte à un effet dévastateur ! Le point de non-retour est presque là !

Suffoquant de plaisir, j’essaye alors désespérément de me soustraire de l’étreinte pour ne pas m’abaisser à jouir le premier mais Fabien me tient fermement les fesses et ne pouvant échapper à l’issue fatale, soudain

Je me CONTRACTE et ne peux retenir un puissant jet de ma semence qui gicle sur son gland et entre nos ventres !  AAAAHH…

Je me mets à jouir de longues secondes en interminables rasades sous les yeux moqueurs de ma femme qui de son autre main se masturbe carrément !

Fabien, les yeux rivés sur le con de ma femme, puis sur mon sexe giclant de tout son sperme, ne peut se retenir d’avantage et m’asperge à son tour de son jeune foutre blanc qui inonde nos bas ventres et ma queue.  Aaaaaahh….

Tout en accélérant sa main sur la bite turgescente de Michel, ma femme se masturbe plus vite et respire lourdement.

Sous la tunique, Michel lui triture frénétiquement les pointes dures de ses seins tandis qu’il grimace et plie sur ses jambes.

Il pousse un cri et lâche soudain toute la purée qu’il crache violemment jusque sur nous.  aaaaaahh!!

Ma femme ralentit mais ne cesse de le branler et devant ce spectacle, ce festival de foutre, elle s’abandonne sous nos yeux et jouit longuement la main entre les cuisses qu’elle referme en se figeant.

Fabien se recule doucement.

Après une dernière accolade, nos sexes englués de foutre se séparent alors que je n’ose pas le regarder dans les yeux, tellement la honte me submerge.

Le temps de reprendre nos esprits et de nous nettoyer, nous nous rhabillons et nous retrouvons attablés un moment plus tard.

« Alors chérie ?  Les hommes ne t’excitent pas tu disais ? »

« C’était purement mécanique !  C’est parce-que tu m’as montré ta chatte que c’est parti C’est toi qui m’excitait ; de te voir prendre du plaisir à nous regarder etce jeune homme qui te touchait »

« Bien sûrtoujours d’aussi mauvaise foi, mais »

« Mais ? »

« Ça t’as excité de voir ce jeune homme me toucher tu disais ? »

MinceQu’est-ce que je suis allé lui avouer dans la précipitation

Au vu de la conversation, les deux jeunes ne veulent pas s’imposer à nous plus longtemps et après de chaleureux remerciements, s’éclipsent de notre chalet en nous donnant peut-être rendez-vous le lendemain. Sur la plage ou ailleurs

Après leur départ, Marie et moi nous sommes regardés un moment en chiens de faïence et tout d’un coupsommes tombés dans les bras l’un de l’autre et les images de cette journée aidant, nous avons fait l’amour intensément et plusieurs fois la nuit suivante.

Jusqu’à complet épuisement

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