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Soirée à 4 – Chapitre 5




Pendant que l’autre main à lâché sa poitrine, passe derrière elle, et qu’un doigt pénétrer son anus. Elle se retrouve prise des deux côtés, en m’embrassant et me branlant, et remue son bassin car elle aime. Il n’a pas placé les boules, mais joue avec l’intensité de l’uf, joue avec un sein, et te lèche le sexe. Parfois il te pénétré d’un doigt ou deux. Ça va être très dur de te retenir pour ne pas craquer avant moi. Il apprend vite, tu lui as montré comment bien le faire, il sait que lui comme toi et sa femme, vous êtes sous mes ordres. J’ai dit : Abusez-en. Et il compte bien le faire. Pour te remercier des conseils, pour sa femme. Pauvre de toi, tu te retrouves à devoir subir ses caresses, ses doigts, l’uf, alors que tu étais déjà entamé par les caresses, parce que je t’ai pris par derrière, et que tu t’es occupé de la femme. Il assaille ton sexe, joue avec tes fesses, mettant parfois un doigt en plus de l’uf, te lèche, joue avec tes seins… Tu aimerai changer ça, mais tu ne peux pas. Il sait qu’il doit te faire jouir, pas l’inverse. Alors il en fait plus, il met l’uf à fond le laisse. Il pose le boitier sous tes yeux, prend tes jambes entre ses mains, les écartent plus, et se mets à te lécher sans interruption. Sauvagement, il joue avec ton clitoris, te lèche le sexe ne te laisse pas une seconde de répit. Tu penses céder, jouir, mais te retiens. Il l’a senti, alors y va de plus belle. Tu te retiens. Ca l’excite ! Il arrête quelques instants, tu en profites pour bien respirer. Il a bougé, pour prendre une meilleure position tu penses, mais tu t’es ressaisis, tu es prête ! Il a même arrêté l’uf. Tu sais que tu viens de reprendre, tu peux tenir maintenant, tu t’es habitué à son coup de langue, ses assauts, ses doigts en toi. L’uf te fait te poser des questions, mais tu verras à ce moment-là. Tu sens qu’il s’est bien replacé, il recommence à te lécher, tu le sens, tu peux résister. Une boule, la seconde dans le même instant, et il lance tout à fond, l’uf et les boules de Geisha. Tu retiens un crie, mais ne peux t’empêcher de gémir. Tu ne peux rien faire, tu dois subir. Abusez-en j’ai dit. Il use et abuse des interrupteurs, te rendant folle, te léchant, jouant avec tes seins, aspirant ton clitoris gonflé d’envie, le mordillant, léchant ton sexe, arrêtant l’un ou l’autre appareil, changeant régulièrement la puissance. Elle a bougé, elle est descendu, me regarde, et chuchote : une petite partie du merci. En me regardant, elle se met à lécher mon sexe, à l’embrasser, puis au bout de quelques instants comme ça, elle ouvre la bouche. Juste ses lèvres sur mon sexe, tout en haut. Elle joue dessus en faite juste avec sa langue. Puis, toujours en me regardant, elle l’engloutit dans sa bouche, et commence à me sucer. Elle aspire en même temps que sa langue parcours ma queue. S’arrête, recommence, plusieurs fois de suite. Puis elle arrête complètement et vient me chuchoter à l’oreille :

Sucer comme une salope, me faire enculer comme une chienne, j’ai bien aimé, et ça m’excite, j’aimerai bien recommencer.

Je la regarde, attrape sa nuque et lui dis : Dans ce cas, soit une bonne petite salope et suce moi. Tu verras après, je te prendrais peut-être comme une chienne si tu es assez bonne.

Son regard pétille. Mais je ne la lâche pas. Je rajoute : Tout à l’heure, vous serez toutes les deux prises comme des chiennes après que vous ayez été de bonne petites salopes l’une avec l’autre. Elle comprend que je n’ai pas oublié qu’elle avait bien aimé se faire caresser par toi, et que je comptais en profiter. Je la relâche, pose ma main sur sa tête, et dit à voix haute :

Tu aimes ça être une salope, à genoux et suces, montre nous que tu sais être une bonne suceuse de queue. Elle sourit, ça lui plait, elle aime ça, elle descend me regarde et se met à sucer le mieux qu’elle peut.

Vous avez entendu, le mari se sent obligé à son tour d’en faire plus. Tu te doutes que je l’ai fait exprès. Tu as bien raison, tu sais qu’autant que toi, je peux me retenir, et j’ai peu participé au contraire de toi. Il lèche plus, plus fort, à la limite de trop. Il te pénètre malgré les appareils, il les allument, change les puissances, les fait bouger en toi, pince tes seins tellement sensible par toute ton excitation… Je lui prends la bouche maintenant, et elle se laisse faire, aimant être dirigé, soumise, maté. Je la fait accélérer et ralentir à ma convenance, m’économisant alors que toi tu subis les assauts du mari, impuissante. Je la relâche et me laisse me sucer, il te fouille le sexe de sa langue, elle joue avec ses lèvres, sa langue, aspire, suce et se caresse en même temps. Tu vois ses doigts, elle se pénètre. Un coup le vagin, un coup l’anus. Il enlève les appareils et te mets des doigts dans les fesses, et recommence à te lécher le sexe. Tu penses pouvoir résister, mais tu as subis trop longtemps les assauts. Tu gémis de plus en plus fort, t’entendant, il met plus d’énergie encore, tu gémis encore. Tu fais de plus en plus de bruit, gémis de plus en plus. Un cri, tu lentends très bien, tu sais que tu vas craquer, mais tu te rends compte que ce n’est pas le tiens. Elle est à quatre pattes, et tu réalises que ce n’était pas le mari que tu entendus te dire qu’il allait t’enculer comme un chienne, mais moi qui prend le cul de la femme. Elle est aussi excitée que toi, et je la prends sans ménagement. Tu me vois lui tenir les fesses bien en l’air, faire sonner une claque retentissante sur sa croupe, elle te regarde, tu vois qu’elle aime, et cette image te perds, tu vois son plaisir, tu sais ce qu’elle subit, tu connais. Un cri t’échappe, alors il fonce, plus profond, plus sauvage, il te lèche sans ménagement, il veut te faire craquer pendant que sa femme jouie, car de nouveau, elle crie qu’elle aime se faire enculer, qu’elle en veut encore. Tu cries encore, tu n’en peux plus, tu commences à jouir, et tu me vois me retirer de la femme, la retourner et la pénétrer vaginallement. Dès que je rentre, tu vois son plaisir, tu sais qu’elle va encore jouir, qu’elle est heureuse. Baise moi comme une salope, encule moi comme une chienne encore une fois, elle ne le crie pas, elle le murmure, elle n’a plus de souffle, elle tremble violemment de tout son être, tu commences à trembler toi aussi. Il a raison de toi, il va de plus en plus vite en toi, tu ne peux plus crier, car lorsqu’un son sortira de ta gorge, tu sais que tu jouiras, que tu ne pourras pas t’en empêcher. Tu la regardes jouir, mais ce n’est plus de la jouissance, elle s’est faire enculer par son mari, puis par moi, elle a joui deux fois. Là c’est un orgasme qu’elle va avoir. Profond, libérateur, total. Tu la vois se cambrer, se cambrer encore, encore plus, sa tête vers toi, un sourire béat sur les lèvres, te montrant tout son plaisir en te regardant. Elle gémit. Tu gémis. Elle recommence. Tu cries. Tu jouis, tu cries ton plaisir, elle hurle le sien. Tu cries de plaisir, et parce que je t’ai dominé, et fait dominé. Je reste en elle, lui se relève de toi. Tu restes sans bouger quelques secondes, puis tu viens m’embrasser à pleine bouche, et l’embrasse elle. Tu retournes vers lui, et embrasse son sexe tendu prêt à l’emploie. Tu sais qu’on a fait que la moitié. Je m’enlève d’elle, juge son état, te demande de lui apporter une boisson fraiche, de rester à côté d’elle sans rien faire, discuter si ils veulent, et je t’emmène à la douche. Une fois dessous, brulante, je te caresse, tu me laves. Je te pénètre avec mes doigts, te colle contre le mur, et te dis, maintenant toutes les deux, vous allez faire le spectacle, et il participera. Peut-être que moi aussi. Après, vous serez prise toutes deux en même temps, accessoires compris, puis on vous achèvera.

La nuit va être très longue…

On revient dans le salon, ils montrent la chambre à ma demande puis vont à la douche. Ils reviennent après quelques minutes, et ils te voient à genoux me suçant, taillant une pipe. Ils s’arrêtent à l’entrée de la chambre. D’un geste, je les fais rentrer, et dis à l’homme d’aller chercher tous les accessoires. Je fais signe à la femme de te rejoindre, et toutes les deux vous me sucez, chacune allant là ou l’autre n’est pas, me prenant en bouche chacune votre tour, me partageant, me réservant pour vous seule. Vous êtes douée toute les deux. Je pose mes mains sur vos têtes, vous tiens par les cheveux, vous prend la bouche, vous forçant à sucer, encore et encore, tu sens qu’elle aime, qu’elle en veut. Ça t’excite et pousse à en faire plus, et elle suit, fais pareil que toi. Je n’en peux plus, vous sucez comme des reines, dans un râle, sans pouvoir me retenir je jouis dans une bouche, la sienne. Elle me regarde, avale, t’embrasse à pleine bouche et te caresse. Tu lui rends ses caresses, je me retire du lit, vous dit de vous allonger.

Ma poupée, prend là, elle est à toi pour l’instant. Tu réagis en la prenant par la taille, et en te mettant sur elle. Tu es à califourchon, tu lui tiens les mains à côté de sa tête.

Tu l’embrasses, doucement. Tendrement. Suavement. Puis avec plus de passion. Tu sais qu’on vous regarde, elle aussi. Ça vous excite. Alors vous en faites plus. Tu lâches ses mains, et prends ses seins, les lèches, remonte l’embrasser, descend en laissant ta bouche, tes lèvres ta langue parcourir tout son corps. Doucement tu arrives à son sexe, très délicatement tu le lèches, pour voir ce que ça donne. Elle est toujours excitée, très mouillé, prête à tout. Tu remontes, l’embrasse, mets une main sur son sexe, et la caresse tendrement, tu te décales pour qu’on puisse bien voir ce que tu lui fais, tu lui écarte même un peu les jambes. Elle le fait elle-même, elle a compris. Tu deviens plus entreprenante, tu sais qu’elle t’a déjà cédé, et les évènements de la nuit montre qu’elle en veut plus, qu’elle veut de tout. Elle met ses mains sur ton visage, dégage les cheveux, nous regarde, et t’embrasse à pleine bouche. Tu lui réponds, et lui prend la bouche, c’est ton jouet pour le moment. Et elle est soumise tu l’as bien vue et senti. Alors tu te relèves, fais le tour du lit, te mets à contre sens d’elle, au-dessus d’elle. Tu nous regardes, puis lui mets deux doigts rapidement dans le vagin, sans mouvement pour la prévenir. Sa réaction est immédiate, elle se cambre pousse un petit crie. Tu regardes ce que tu fais, et accélère le mouvement, prenant bien soins d’avoir un mouvement rapide, rythmé, profond, pour ne pas lui laisser le temps de reprendre ses esprits. Tu veux qu’elle jouisse avec toi, et la pipe que vous avez faite toutes les deux t’as beaucoup excité. Profitant que vous êtes en travers du lit, tu sais qu’on peut vous voir toutes les deux agir sur l’autre Tu as fait exprès de vous placer comme ça, car tu savais que c’était ce que je voulais. Tu vois l’homme regarder sa femme t ce qu’elle subit de ta part. Il te voit prendre sa femme. Ça t’excite terriblement. Tu décides de passer à la vitesse supérieure. Tu dis à la femme : encule moi, et tu te mets à l’enculer toi aussi tout en lui léchant le sexe. Tu te concentre tout à ta tache, l’excitant et lui donnant le plus de plaisir possible. Puis tu écartes les jambes, tu fais descendre ton bassin. Ton sexe à sa portée maintenant. Tu le frottes contre son visage, mais elle savait ce que nous voulions tous. Toujours en pénétrant ton anus, elle commence à te lécher. Doucement d’abord, c’est la première fois qu’elle fait ça avec une femme, avec d’autre gens, et elle ne pensait pas que ça lui plairait autant. Alors elle s’y met sérieusement. Elle pose sa main sur ta croupe, te tient contre sa bouche, fermement, et se mets à furieusement te lécher. A toi aussi elle doit beaucoup pour cette nuit. Ton soutient, tes conseils, ta confiance, sa jouissance, ta tendresse. Alors elle te lèche, elle veut te remercier toi aussi. Tu ne t’attendais pas à autant de sa part, elle se met véritablement et sans retenu à te bouffer la chatte. Alors tu fais pareil, de ta bouche tu lui prends le sexe, le clitoris, tu joues avec deux doigts dans son anus, elle fait de même avec toi. Discrètement j’ai fait un signe au mari, et tellement vous êtes occupé à vous satisfaire l’une autre que vous n’avez rien remarqué. Mais il est là, à côté de vous deux, et vous donne à chacune un gode. On na pas besoin de vous dire quoi que ce soit. Chacune prend l’objet et le fait pénétrer d’un coup dans l’anus de l’autre. Vous gémissez toutes les deux. Mais vous continuez. Vous voulez que l’autre jouisse.

Si vous aimez, bientôt la suite.

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