Magali, mon assistante.

Magali depuis 8 ans est mon assistante. Jolie blonde aux cheveux lisses de 38 ans, toujours habillée très sexy, talons, décolleté, elle était parfaite, surtout que son travail létait tout autant. Mariée et Maman depuis quelques années, quatre pour être exact, sa vie a basculé quand son homme la quitté pour une femme plus jeune il y a 3 mois. Depuis Baskets, jeans, pulls horribles et je ne vous parle pas de son travail ; conneries sur conneries, jusque-là javais toujours réussi à arrondir les angles avec les clients mais cette fois, il va falloir que lon est une sérieuse discussion. Elle travaille dans le bureau dà côté mais je la convoque par mail pour le lendemain matin 9h pour officialiser et lui montrer mon mécontentement.

Le lendemain 9h.

Magali : -Tu voulais me voir.

Fred : -Oui Entrez Magali.

Je la vouvoie, chose que je nai quune fois à son entretien dembauche.

-Vous voulez me licencier ?

-Non non on nen est pas là

-Pourquoi me vouvoyez-vous alors ?

-Magali, votre travail a beaucoup changé depuis votre séparation, je comprends vos difficultés mais là vous avez commis une grosse boulette, vous vous êtes trompée dans les taux de remises. Le client était très mécontent car ça lui a fait perdre une affaire.

-Excusez-moi monsieur.

-On fait quoi Magali ? Si ce client nous quitte, je ne pourrais pas garder les 2 gars que jai embauchés dernièrement, je viens de renouveler leur période dessai mais ça me donne quun peu moins dun mois pour garder ce client ou en trouver un autre.

-Monsieur, vous ne pouvez pas me dire ça, dites-moi ce que je peux faire, je vais rattraper le coup.

-Je dine avec lui ce soir, javais mieux à faire un vendredi, très clairement sil sen va, les nouveaux partent aussi (Je marque un blanc) Et toi aussi.

— Non ! Vous ne pouvez pas me faire ça, vous voulez que je vous accompagne ce soir ?

— Pourquoi faire ?

— Mexcusez et je la coupe.

— ça va être un peu court pour une affaire à 300 000.

Les larmes aux yeux : -Excusez-moi

Je marque un nouveau blanc et me vient une idée.

— Magali, jaccepte votre proposition, mais je veux lancienne Magali, celle à qui je navais jamais rien à reprocher, toujours parfaite.

-Oui, monsieur je serais irréprochable.

-Tu peux rentrer chez toi à midi, fais toi belle, il a toujours la langue qui pend quand il te voit.

-Oui Monsieur, pas de problèmes.

-Je te prends vers 19h chez toi ?

-Ok Fred je te préfère comme ça.

-Continues à mappeler monsieur et à me vousoyer, jaime bien.

-Comme vous voulez monsieur.

-A ce soir, content de retrouver ton sourire.

La Journée fut chargée et je nai pas revu Magali avant de passer la prendre. Il est 19h pétante je tape à sa porte, elle mouvre, jai bloqué au moins 10 secondes, la plus belle femme du monde venait de se présenter à moi, à la fois sexy mais pas vulgaire, elle porte une robe à volants orange, décolleté jusquau milieu des seins, avec des bretelles nouées autour du cou (modèle more de chez Modatoi). Elle me fait entrer et me demande quelles chaussures je préfère. Les premières, des escarpins noirs simples mais avec un talon dau moins 10cm et les secondes, un petit talon fin de 4 – 5 cm le bout ouvert ainsi que le coté extérieur, en tissus multi-couleurs.

Fred : -Les secondes

Elle les enfile et me demande mon avis sur sa tenue :

-Tu es parfaite, tous les hommes vont baver en te voyant

-Cétait ce que vous vouliez, monsieur.

-Non euh si (Je suis troublé)

-Monsieur, on devrait partir, faudrait mieux être à lheure.

Nous nous dirigeons vers la voiture, elle me précède et maperçois que la petite robe quelle porte laisse apparaitre par transparence un string rose et quelle ne porte pas de soutien-gorge. Je lui ouvre la porte de la voiture puis la referme. Après quelques minutes de route je lui dis :

-Tu sais que ta robe est transparente ?

-Comment ça ?

-Tu portes un string rose ?

-Non, sil te plait on fait demi-tour il faut que je me change.

-non non on va être en retard.

-Je ne peux pas rester comme ça, ils vont me prendre pour une pute, sil vous plait monsieur.

-NON, .. Le mieux que je puisse te proposer cest de lenlever.

-QUOI ! Tu me prends pour une pute ce nest pas vrai.

-Tu sais, il mest arrivé de lui en payer à ce client et il aime ça le cochon, perso je préfère que tu le gardes, vu quil ne te touchera pas ça va lexciter encore plus.

-En fait tu as vraiment cru que jallais faire la pute pour toi ce soir.

-Premièrement, vous et monsieur on ne les oublie pas et deuxièmement si tu veux descendre tu es libre, je ne te force à rien et je rappelle que cest toi qui as voulu venir.

-Ok, je le garde, je vais te lexciter comme un puceau ce porc.

Je ne réponds pas et continue ma route sans un mot jusquau restaurant où nous arrivons quand le client descend de son véhicule. Nous le rejoignons :

Fred : -Bonjour Serge, ça va ?

Serge : -Bonjour, ça va ça va

Fred : – Tu te souviens de Magali

Magali : -Bonjour Monsieur.

Serge : -Comment oublier ce jolie minois

Magali : – Je vous présente mes excuses, je suis vraiment confuse cest à cause de moi que vous avez raté laffaire à 300 000.

Serge : – A cest toi

Fred : – Allons-nous installer.

Jouvre la porte à Magali et la fait passer devant, elle sait très bien pourquoi et amplifie son déhanché pour exciter le client. Une fois installé :

Magali : – Vous men voulez ?

Serge : – Non on en parle plus, on va la gagner quand même cette affaire, Fred va faire ce quil faut comme dhab.

Magali : -Ah ça me rassure.

Fred : – Attends, cest quoi faire ce quil faut.

Serge : -5 points de réduction supplémentaire sur le prix habituel.

Fred : – Impossible !

Serge : -Dommage on fera laffaire avec un autre partenaire.

Magali : -on peut peut-être faire un effort.

Fred : – Magali, cest simple 5 points cest ce que tu me coûtes en un an ! Serge, je peux te faire 2 points. Magali va nous chercher à boire.

Le client a le regard rivé sur le cul de Magali et hoche la tête au même rythme que le balancier de ses hanches.

Je le regarde dans les yeux et lui dis : – ça va, respires !

-Elle est sacrement bandante ton assistante.

-oui mais pas touche, cest mon assistante pas une pute !

-ok… ok c’est juste pour le plaisir des yeux.

-je te connais

-Une pipe et j’oublie les 5 points, c’est non négociable, débrouilles toi comme tu veux!

Magali arrive avec 2 pintes, qu’elle nous sert en nous dévoilant plus qu’elle ne le devrait son décolleté, puis reprend sa place.

Serge : -Tu vois ça ne devrait pas être bien compliqué.

Fred : – Magali, tu n’as rien pris pour toi?

Magali : -Je ne savais pas si je pouvais.

Serge : -Tu veux quoi ?

Magali : -Je ne sais pas

Serge : -Je vais choisir pour toi.

Serge sen va au bar, pour me laisser seule avec Magali.

Fred : – Tu sais ce quil vient de me demander ?

Magali :-Non

Fred : -Il veut que tu lui fasses une fellation pour oublier les 5 points.

Magali sans même réfléchir : – Hors de questions !

Fred – Cest toi qui vois et je te comprends.

Serge revient et dépose un gin tonic pour Magali. Je me doute de ce quil veut faire, un alcool fort et 2 bouteilles de champagne au cours du repas suffiront à men assurer. Magali commence à être pompette et prends des postures de plus en plus sexy.

Le repas terminé :

Serge : -Quand est ce quelle me suce ta pute ?

Magali : – je ne suis pas une pute !

Serge : -Une salope si tu préfères !

Magali : -Non Plus !

Serge : Arrêtes de faire ta sainte ni touche tu nous montre ton cul et tes miches depuis le début du repas.

Fred : – Du calme du calme, vas aux toilettes, elle te rejoint.

Serge : – Donnes-moi ton string dabord !

Magali est rouge écarlate jusquaux oreilles, forcément les autres clients ont entendu lordre.

Magali : -ok, je vous donne mon string, mais on vous fait 2 points et je ne vous suce pas.

Magali nattend pas la réponse et retire son string sous le regard médusé des autres clients. Elle embrasse le sous-vêtement et le tend à Serge qui laccepte.

Serge : – Fred 3 points ?

Fred : -Ok, je marrangerai. Magali, va régler laddition.

Serge : – Jaurai bien aimé quelle me pompe ta salope.

Fred : -Tes prêt à mettre combien ?

Serge : -On garde le devis quelle ma envoyé.

Fred : – OK, quand elle revient tu descends aux toilettes.

Serge : -Ok

Au retour de Magali, sans un mot Serge se lève et nous quitte.

Fred : – Il a proposé de commander au tarif de ton devis si tu vas le sucer tout de suite. Il est aux toilettes, on peut partir si tu veux.

Magali se sert une coupe de champagne et la vide cul sec puis sen ressert une seconde et se dirige vers sa pénitence. Serge lattend le pantalon sur les genoux la queue tendue. Cet homme obèse, 120 kg, répugne la belle qui trouve le courage de sapprocher en vidant la coupe cul sec. Elle sagenouille et prends la queue en bouche.

Serge : – Les mains dans le dos salope.

Magali, du bout des lèvres, sactive sur la bite. Après quelques minutes, Serge excédé par le manque dinvestissement, lattrape par les cheveux et lui colle le nez sur son ventre faisant taper sa queue au fond de sa gorge. Magali bave et suffoque mais cela narrête pas le mufle qui lui baise la bouche. Sentant quil allait jouir il lui demande :

-Tavales ?

Magali réponds non de la tête. Serge attrape la coupe et gicle dedans 5 fois sa semence.

— Essuies !

Magali sexécute du bout de la langue avec dégout mais minutieusement. Serge lui tend le verre :

-Tiens prend ça et va mattendre à table !

Sans un mot Magali regagne sa place suivie quelques minutes plus tard par Serge.

Serge : – tu nas pas fini ton verre je naime pas le gaspillage.

Magali me regarde, je vois bien que ça va être difficile :

Fred : -ça ne faisait pas partie du deal ça

Serge : -Comme tu veux !

Magali pour mettre fin au supplice se lève et vide le verre.

Magali : -Monsieur, on peut y aller maintenant je commence à avoir la tête qui tourne.

Serge, sur le cul, acquiesce, nous souhaite une bonne soirée et me dit :

-Je tenvoie la commande lundi, je nai quune parole tu le sais ! Magali je vous pardonne votre erreur.

Magali : – Merci, ça ne se reproduira pas.

Serge : – Dommage, bonne soirée

Nous nous saluons et nous quittons. Sur la route du retour, nous ne disons pas un mot. Arrivé à son domicile, je descends de la voiture, fait le tour, lui ouvre la porte et la raccompagne.

Magali : -Je suis pardonnée ?

Fred : -Bien sûr, jen attendais pas tant. Je temmènerai plus souvent !

Magali : -Stop, tas rien compris je ne suis pas une pute.

Fred : -hey oh, une fille qui suces pour de largent tappelles ça comment ?

Magali : -Une pute Monsieur. Je vous offre un dernier verre ?

Je ne devrais pas, elle est encore très alcoolisée, jai peur de profiter de la situation mais jaccepte. Elle nous sert deux whisky bien tassés, et commence à se confier : Ces problèmes dargent, sentimentaux etc puis sendort dans mes bras. Je nai pas envie de profiter de la situation, elle a déjà fait beaucoup pour moi ce soir. Je la porte dans sa chambre et linstalle dans son lit. Quand je la pose sa robe remonte et laisse apparaitre une petite chatte négligée toute poilue, je suis surpris par ce laisser-aller peut être na-t-elle pas eu le temps de sen occuper cet après-midi. Je ne peux mempêcher de dévoiler ses seins que je sais refait, un 85D, ils sont magnifique je ne résiste pas et les prends à pleines mains. Je reprends mes esprits la couvre dun drap et quitte la chambre. Ayant trop bu pour rentrer, je me couche dans son canapé.

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