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Gentille complicité – Chapitre 1




J’étais installé à mon bureau, en train de réviser mes cours d’économie. Le bac arrivé à grand pas et je devais être prête. Je suis une élève plutôt assidue désirant toujours me surpasser, tout l’opposé de ma grande sur Elsa qui est l’oisiveté incarné. 

Je regardais par la fenêtre de ma chambre, quand je suis sortie de mes rêveries par le flash d’un appareil photo. C’était Elsa, elle avait eu ce nouveau jouet il y avait maintenant trois mois et n’arrêtait pas de shooter tout ce qui bouge, un vrai paparazzi. 

— Comme tu es jolie petite sur !

Je rougissais, gênée par ce compliment soudain.

— Il faudrait que tu prennes un peu plus confiance en toi, Anna. L’année prochaine tu rentres en fac et j’ai un superbe exercice pour ça Les photos boudoirs.

— Les photos boudoirs ? En quoi ça consiste ?

— je te laisse faire tes recherches comme une grande, là je suis pressée, j’ai rencard avec Alexandre en ville, on se voit ce soir pour le dîner. 

Elle ferma la porte de ma chambre et dévala les marches d’escalier quatre à quatre.

Ma sur avait piqué ma curiosité. Je mis mon livre de cours de côté et m’approchais de l’écran de l’ordinateur. Je tapais les mots « photos boudoirs » sur le moteur de recherche et cliquais sur « images ». Des photos de femmes en petite tenue apparurent. Elles étaient magnifiques, la lingerie et la lumière mettaient en valeur leurs courbes féminines. 

Je ne serai jamais capable de poser comme ça, je suis beaucoup trop timide. Oh ! il faut que je me bouscule un peu sinon je n’arriverais jamais à rien. Je demanderai à Elsa de me guider et voila tout. 

Je m’approchais de mon armoire afin d’y trouver une éventuelle tenue sexy. Je n’avais que des culottes blanches ou à motifs et des boxers, rien de très concluant. Je me dirigeais alors vers la chambre de ma sur et m’approchais de sa garde-robe. Je me sentais gênée de rentrer comme ça dans l’intimité de ma sur mais bon c’était pour la bonne cause. 

Je tirais le tiroir de sa commode et y découvris un grand nombre de sous-vêtements. La curiosité s’empara de moi et je commençais à observer tous ces trésors. Il y avait toutes sortes de strings plus ou moins échancrés jusqu’à ceux avec une simple ficelle. Des culottes tanga en dentelles ainsi que de nombreux petits shorties plus ou moins échancrés eux aussi. 

Une chaleur naissait dans mon bas ventre à l’idée d’imaginer ma sur les porter, elle avait en effet un corps très mignon ; de jolis cheveux bruns qui lui tombaient sur les épaules quand elle ne les coiffait pas en chignon déstructuré. Ses yeux étaient bleus. Une poitrine raisonnable, environs quatre-vingt B pour ses dix-neuf ans et une taille plutôt fine. Les garçons au lycée aimaient regarder ses petites fesses qu’elle savait mettre en valeur avec toutes ses tenues.

Je pris une de ses petites culottes tanga, la plus échancrée ainsi qu’un soutien-gorge assorti et quittais la chambre. Je me dirigeais alors vers la salle de bain.

Je fermais la porte et me regardai dans la glace. J’étais plutôt jolie, disons un diamant brut. J’allais fêter ma majorité le weekend prochain. Mes cheveux étaient châtain clair, coupés dans un carré dégradé. J’avais les yeux verts. Mes seins étaient de la même taille que ceux de ma sur. Mon petit derrière lui était petit mais bien rebondit. Je mesurai environ un mètre soixante-dix, j’étais à peine plus petite qu’Elsa.

Je commençais à me dévêtir. Je retirais mon débardeur et mon jeans. Je m’observais ainsi vêtue dans le miroir. Je libérai mes seins, ils étaient ferme avec de petits mamelons. Je me tournais pour voir mes fesses. Elles étaient recouvertes par ma petite culotte blanche. Je tirais sur le tissu, qui commençait à disparaître dans mon petit derrière. Je contemplais mon cul ainsi exposé. La sensation était nouvelle mais agréable. Je pouvais voir la fente de mon sexe se dessiner à travers la fine couche de tissu. J’étais plutôt sexy exposée comme ça. Je me déshabillais complètement pour prendre ma douche. 

Je fis couler l’eau afin qu’elle arrive à bonne température et commençais à me doucher. Je fixais la pomme de douche en hauteur afin de pouvoir libérer mes mains et me savonner le corps. D’abords la nuque, ensuite mes seins, mes tétons commençaient déjà à darder. Je me sentais étrange, comme en lévitation. Mes mains parcouraient maintenant mon ventre et terminèrent leur course vers mon pubis. Mes doigts butèrent sur un petit amas de poils. Je pris alors mon rasoir et commençais à tout raser, je devais être parfaite pour la séance photo à venir. Une fois parfaitement imberbe, je quittais la douche pour me contempler une nouvelle fois sans ma toison. Je me trouvais encore plus belle. Ma fente était parfaitement visible. Je finis de me sécher et remontais le petit tanga le long de mes jambes. Je le tirai bien haut pour le faire rentrer un peu entre mes fesses. Je finis de m’habiller et de me maquiller légèrement. Je me sentais de plus en plus féminine. Je quittais la salle de bain vêtue d’une petite robe courte et de ballerines.

Je finis mes révisions, installée sur mon lit. Il me fallut quelques minutes pour retrouver mon calme et une concentration correcte afin d’étudier.

Les heures passées, je finissais de rédiger quelques notes sur mes fiches, quand mon stylo m’échappa des mains et roula sous le lit. Je descendis du lit et me mis à genoux. Je passais mon buste sous le lit et tendis le bras afin d’atteindre mon stylo. Dans cette position, ma robe ne couvrait plus mes fesses et je sentais l’air frais s’insinuer entre elles. 

— Quelle jolie vue ! Vivement ce soir pour notre petit shooting.

Zut ma sur était déjà rentrée et elle était en train de contempler mon petit cul ainsi offert. J’étais bien cambrée et le tanga rentrait profondément dans mes fesses. Je me dépêchais de sortir de sous le lit quand soudain je sentis ses deux mains sur mon cul. Elle commença à les ouvrir d’avantage, je sentais une douce chaleur se raviver entre mes jambes.

— Mais ! C’est à moi ce tanga ! Petite voleuse.

Ses mains continuaient à écarter mes fesses presque à leur maximum. Je sentais le tissu qui touchait maintenant mon petit trou. Je le sentais s’écarteler, jamais je n’avais été touché de la sorte. Elle finit par relâcher son emprise et je sortis de sous mon lit toute rouge et gênée. 

— Ce n’est rien Anna. Ta lingerie n’a rien dévoilée malgré ta position, le tissu caché encore tous tes trous.

Quelle vicieuse, je ne la connaissais pas comme ça. J’essayais de dissimuler mon émoi.

— Tu me le rendras tout à l’heure. Je t’ai ramenée un petit cadeau pour tout à l’heure. 

Elle jeta un petit sac sur mon lit et quitta la chambre. Je me précipitai pour l’ouvrir. Un petit string ficelle et mousseline noir. En passant mes doigts sous le tissu, je pouvais voir qu’il était assez transparent. Quelle coquine celle-là.

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