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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 23




Je sors les deux documents qu’Emile m’a remis ce matin. Adélia fond en larme. Émile l’a adopté, j’ai deux surs et une nièce à aimer, à adorer, à protéger.

On se prend toutes les quatre dans les bras, accroupies sur le lit, et l’on se regarde. Nos visages sont proches, très proches, trop proches. Je sors ma langue et celles de mes surs et de ma nièce ne tardent pas à la rejoindre. Un jeu s’organise. On se mange les langues, les lèvres, les nez, les yeux. On est recouvertes de salives. Je tombe en arrière.

— Si on allait dire à Émile combien on est heureuse ? Dis-je.

Malika est la première à sauter du lit et à partir en courant.

— Malika !!! Lui crie Théna.

La petite panthère bloque net sa course. Théna a une idée et nous entraîne dans notre ancienne suite.

Elle ouvre un des placards et fouille dans une malle. Elle en sort quatre toges blanches dignes des déesses grecques. Elles sont ornées de bordures en fil d’or tressées. On s’habille de ces tenues et l’on monte, en essayant de ne pas se prendre les pieds dans les draps. Arrivé devant le salon extérieur, Théna nous montre la révérence à faire, révérence grecque.

— Posez un genou à terre, le bras le long du corps, la tête bien droite et fixez votre papa dans les yeux. Compris ?

On a bien compris et l’on rentre toutes les trois dans le grand salon. La première à nous voir est Maria.

— Theé mou !!! (mon Dieu nous glisse Théna).

— Et la vieille, dit Émile qui nous tourne le dos, tu m’interdis de parler…

Il s’est retourné et nous regarde sans finir sa phrase. Il reste trente secondes bouche bée et s’en va vite fait à la passerelle. Cinq minutes, on attend cinq longues minutes. Personne n’ose bouger, parler. Émile réapparait vêtu d’une toge identique aux nôtres, mais plus richement ornée. Il vient face à nous.

— Tis korés mou…

— Emile !!! L’interrompt Maria.

— Mes filles, vous êtes magnifiques. Vous ne pouviez pas me faire plus plaisir, Mais relevez-vous. Venez montrer votre beauté à tous.

— Bampa, se agapame. Lui dit Théna.

Le vieux se retourne et nous prend dans ses bras, ou plutôt, nous le prenons dans nos bras. Je demande à Théna ce qu’elle a dit. "Papa, on t’aime". Je me blottis sur l’épaule d’Emile et l’embrasse.

— S’il vous plait, les filles, allons fêter ça en famille et entre amis.

Les trois matelotes font le service. Axiana, toujours en tenue, annonce à Émile que la vedette est en place. La fête peut commencer. Je demande à Axiana d’aller chercher Véro, elle souffrira demain, Émile a dit entre amis.

— Vous êtes trop bonne Mademoiselle Vanessa… Hihihihi…

— Connasse…

Axiana est de retour avec la p’tite chienne. Elle vient me donner la laisse. Je ne suis pas plus à l’aise que tout à l’heure. Maria me propose de la mettre au milieu du salon. Effectivement, une grande bâche épaisse est en train d’être installée. Je conduis la soumise au centre et la fais mettre à genoux, son cul reposant sur ses talons. Émile m’appelle.

— Oui, papa…

— Tu devrais aller voir David…

Je m’en vais voir David qui me donne la fameuse pilule grise. Devant mon air renfrogné, il me la glisse entre mes lèvres et me dit de la garder sous la langue. C’est toujours aussi dégueu. "POUAH".

Je bois une coupette en compagnie de mes surs, ma nièce, mon père et ma tatie. Gégé donne une coupe à Véro. Domi, Caro et David discutent entre eux.

L’ambiance est bon-enfant, chaleureuse. Je me lève, prends un verre et me dirige vers Véro.

— Ce nest pas comme cela qu’elle doit recevoir ce qu’on lui donne, en m’adressant à Gégé. Appuie-toi en arrière sur tes bras, cette fois-ci à Véro. Voilà, parfait.

Dans cette position, ses seins se dressent fièrement vers le plafond. Ils sont beaux, ils mériteraient d’être torturés, mais plus tard. Je lui fais signe d’ouvrir la bouche, prends une gorgée de ce divin nectar et le fais passer dans la bouche de la soumise en fin filet. Je tends la coupe à Gégé après avoir roulé une pelle à Véro. Je m’en retourne près des miens. Gégé se délecte de la façon dont il donne à boire à sa chérie. Entre chaque gorgée, il l’embrasse goulûment, passionnément.

— Dommage que je n’ai pas de pinces à seins, dis-je doucement à Maria.

— Hihihihihi… Il y en a derrière le bar, le petit tiroir de droite… Hihihihi…

Maria se lève et sa démarche chaloupée me fait rebander ce qui déforme ma toge. Effet pilule. Malika s’en aperçoit et vient entre mes jambes. Elle remonte la fine toile et commence à me lécher. L’effet est immédiat. Je me cale au fond du canapé et ferme les yeux. Je me laisse porter par les vagues du plaisir. Ma respiration se fait entendre, plus saccadée. Je sens une bouche taquiner mon sein droit et une main le gauche. C’est Théna, bientôt rejointe par Adélia. La jouissance monte au creux de mes reins sans jamais atteindre son paroxysme. Douce torture. Je jouis silencieusement. Seules les variations de rythmes de ma respiration trahissent mon état. Malika ne me suce pas, elle me lèche la verge, les couilles, l’anus. Les deux autres filles me pompent les tétons, les mordillent, jouent avec mes piercings. D’un coup je m’arc-boute, me raidis, je jouis. Je retombe épuisée, en transpiration. Les filles viennent alors m’embrasser. Me vient alors une idée.

— Enlevez vos toges et suivez-moi.

Une fois toutes les quatre nues, je les positionne en levrette face à Véro. Malika au centre, Théna à droite et Adélia, forcément, à gauche. Je demande à Gégé d’asperger la poitrine de Véro de champagne. Mes trois furies se délectent sur les seins, sur le ventre et sur le minou de la copine. Gégé bande et se met à califourchon au-dessus du visage de sa compagne. Elle le gobe, lui, il lui baise la bouche jusqu’à la glotte. Moi je me mets à califourchon au-dessus de ma petite reine de Sabbat et lui prend sa chatte d’un trait, avec force. Un "HAN, OUI" sort de sa bouche. Quatre, cinq aller-retours dans son antre, c’est au tour de Théna de subir mes assauts, puis Adélia. Je continue ainsi pendant de longues minutes. Mes trois femmes jouissent tour à tour en s’abreuvant de champagne sur le corps de la soumise. Gégé n’y tient plus, il se déverse dans la gorge de Véro. Malika s’est affaissée et suce son clitoris. Les deux autres lui mangent les tétons en tirant dessus. Une fois le sperme de Gégé englouti, elle hurle.

— HAN… OUI… C’EST BON… PUTAIN DE MERDE…

— JE VAIS VENIR MOI AUSSI… Dis-je en me mettant au plus profond de Malika.

Je décharge deux jets, je change de fourreau pour celui de Théna et pour me finir dans celui d’Adélia. Épuisé, non, je me sens en pleine forme, bandant comme un fou. Les trois filles sont assises autour de moi. Je prends la main de Véro et le mets debout. Je la retourne, lui retire son bouchon en le remplaçant par ma queue. Je la baise debout de toute ma force. Elle crie de douleur, cris bientôt remplacés par des ahanements de joie. La vitesse où je lui déverse une dose importante de mon jus de couilles est impressionnante. Je hurle comme une damnée. J’ai l’esprit de lui remettre le plug. Je m’effondre. Mes trois chéries viennent me nettoyer le vît, ce qui a pour effet de me redresser le mât.

— Non, s’il vous plait, laissez-moi reprendre mes esprits. Gégé, David, au secours !!!

Ils s’écroulent tous de rire. David, en galant homme et en docteur attentionnée me porte jusqu’au sofa.

— C’est bien ma fille, c’est bien…

J’éclate de rire à mon tour. Je regarde Véro qui n’a pas bougé. J’appelle Gégé. Il vient à mes côtés.

— Je crois qu’elle est prête pour que la prennes en mains. Je ne veux pas, je ne peux pas être la méchante Maîtresse qui la formera, s’il y avait formation à lui donner. J’arrête là mon rôle de dominante. Si elle en veut plus. Débrouille-toi ?

David, tout d’abord interloqué, me comprend. Il se lève et prend sa soumise par la laisse et s’en va vers sa cabine. Mes trois garces arrivent vers moi en marchant comme des reines. Elles remettent leur toge et m’habillent de la mienne. On demande la permission à Émile de prendre congé.

— Kalinýchta ta korítsia mou.

Il reçoit une claque sur sa cuisse et un regard noir de Maria.

— AIE… Bonne nuit mes filles. OUF…

On descend paisiblement l’échappée et on court jusqu’à notre suite. Là, c’est roulage de pelles baveuses, attouchements et copulations divers. On s’endort toutes les quatre, Malika sur moi, Théna et Adélia à nous côtés.

Je me réveille seule dans l’immense lit. Un mot sur la table de nuit. "Chérie, on avait faim et tu dormais si bien… Rejoins-nous vite. Malika". Je me lève et pars prendre une douche réparatrice et revigorante. Je cours dans la coursive et croise Maria. Elle m’engueule et m’envoie une claque sur les fesses, ce qui me fait bondir comme un cabri. "Aïe… Hihihihihi".

Une fois dans le salon extérieur, je retrouve mes trois divas, Émile et Domi. J’embrasse tout ce p’tit monde. Émile nous dit, me dit que je devrais profiter du prolongement de l’escale pour aller faire du shopping. Nous reprendrons la mer dans quatre jours pour une durée indéterminée. Il me dit de me dépêcher, Malika et Théna m’accompagneront. Adélia étant prise pour la manuvre du bateau, vu qu’Anxiana va descendre à terre pour y faire des emplettes, nous changeons de mouillage.

Il est 10h00, on est vite sur le quai. Gégé nous accueille. Il nous explique qu’après mon choix d’arrêter le dressage, ils étaient rentrés.

On fait les boutiques, plus luxueuses les unes que les autres. On charge dans le 4×4 les innombrables paquets et boites à chaussures. Pour ce qui est des bijoux, je n’en vux pas. Je ne porterai que ceux qu’Emile m’offrira. On craque quand même sur un fin bracelet qu’a choisi

Malika. Il est en or et il est orné d’un petit pendentif en forme de cur. On décide d’en offrir un à Adélia. Gégé nous invite chez lui pour y prendre un rafraîchissement. On accepte avec joie. Une fois arrivées, on est accueillies par une Véro resplendissante. Elle est nue et porte un collier que lui a offert Maria, plus gros que les nôtres. Quatre anneaux ornent ce collier de cuir noir. Quelle coquine cette Maria. Elle va pour me faire la bise, je lui prends la nuque est je l’embrasse à pleine bouche. Elle en fait de même avec mes trois complices.

— Et ton plug ? Je lui demande.

Elle se retourne et me montre son joli strass noir. Elle a dû se laver car on peut voir une trace de lubrifiant tout autour. Je lui souris, fière d’elle, elle bombe le torse. Nous installons dans le petit salon d’été qui se trouve à l’extérieur. Véro nous sert une citronnade bien fraîche. Véro attend bien sagement les mains dans le dos.

— Que de changement ! Dis-je.

— Oui… Étonnant. Me répondit-il. Depuis cette nuit, et dès que l’on est rentré, elle a adopté cette tenue…

— Et ta condition te plait Véro…

— Oui, c’est ce que j’avais d’enfoui au plus profond de moi et la petite séance d’hier soir a été un déclic pour moi et… Gégé…

Je regarde l’intéressée qui opine de la tête.

— Tout est bien qui finit bien.

On finit nos verres et on laisse Véro, non sans l’avoir embrassé goulûment.

Notre retour à bord et des plus bruyants. On se cogne dans la coursive et bientôt notre lit ressemble à un stand de marché aux puces. Je demande aux filles de me laisser ranger toutes mes affaires. Elles acceptent et me disent qu’elles m’attendront sur la plage avant. Elles se mettent nues, à l’exception de leur petit ras du coup.

Il me faut pas moins d’une heure pour placer les chaussures et les tenues dans mon placard. En prenant la dernière tenue, le bracelet d’Adélia tombe. Je range la tenue et ramasse le bijou.

Je suis dans notre ancienne coursive. Je passe devant notre ancienne cabine. Émile s’y trouve. Je toc.

— Entre Vanessa

— Merci Émile pour tout ce que vous faites pour moi.

— Normal, tu es ma fille.

— Oui mais…

Il me regarde d’une façon que je ne peux pas poursuivre ma phrase. Je vais pour partir quand il m’interrompt dans mon élan.

— Adélia est en passerelle…

Je le regarde interrogative. Il me montre le bracelet que je tiens dans la main. Il me sourit et me fait un clin d’il. Je lui rends son sourire et pars en courant vers la passerelle.

Après avoir gravi les échappées quatre à quatre, j’arrive au poste de commandement. Elle est là, à la barre, les yeux fixés sur l’horizon. J’approche d’elle tout doucement. Je la prends dans mes bras. Elle ne sursaute même pas. De sa main elle me montre un moniteur, la salope, depuis la chambre d’Emile, elle me suivait.

— Garce, je lui dis, tu n’es qu’une garce, poursuivis-je en la retournant.

Son regard me fait craquer. Je l’embrasse. Elle me griffe la colonne vertébrale du cou jusqu’aux fesses. Je la repousse et prends son poignet droit. Je lui pose son bracelet.

— Pourquoi à droite ? Me demande-t-elle.

— Parce que vous êtes gauchère, très chère…

Elle rigole, se lève sur la pointe des pieds et s’empale sur mon rostre.

— HUMMMM… Gourmande.

— Oui, depuis que je connais ta queue, je ne peux plus m’en passer.

Elle me met les jambes dans le dos en pose ses fesses sur le fauteuil. Elle imprime un mouvement d’oscillation de son bassin. Je fonds. Je lui mords l’épaule.

— Cannibale… HAN…

— C’est ma marque de fabrique… Humpf…

— On a de la compagnie…

Je me retourne et vois Émile en train de nous regarder tendrement.

— Maika et Théna ne sont pas là ?

— Regardez plage avant… Han, ouiiii…

Emile regarde et moi aussi. Les deux petites sont en 69 et s’enfonce chacune un gode. C’est excitant à souhait. Elle se l’enfonce dans le cul pendant qu’elles se triturent le clitoris. Le vieux bande. Je lui demande de venir à genoux sur le fauteuil, je déplace Adélia et la mets sur ta table à cartes. Le vieux à maintenant la bite à porter de nos bouches. Je suis le premier à l’avaler.

— HAN… PUTAIN… VANESSA…

Adélia se concentre sur mon sexe et les contractions de son vagin sont divines. Je pompe le vieux au rythme de mes coups de reins. Je ne sais pas comment il fait car il me jouit déjà dans ma bouche. J’essaie de tout garder, mais le second flot me semble interminable. J’arrive tant bien que mal à en déglutir un peu et en réserver pour Adélia. Je l’embrasse et partage ma récolte. Elle jouit, je la suis. Le vieux, épuisé, redescend et me remercie. Je me déboite d’Adélia. Ça lui coule entre les jambes. La salope d’Anxiana et une petite matelote viennent nous laver. L’extase.

Devant le tableau, Émile éclate de rire, on éclate tous les trois de rire, bientôt remplacé par mes soupirs de bonheur. Par instinct, non, par… Je ne sais pas… Je trépigne sous les coups de langue des filles. Je jouis comme une femelle. Émile se marre à en perdre haleine.

— HIHIHIHI, tu es trop belle ma chérie…

Je l’embrasse à pleine bouche. Ce qui me dégoûtait avant me plait maintenant…

Les filles se relèvent et partent aussi discrètement qu’elles sont venues. Adélia se déboîte, Émile reste assis sur son fauteuil, hilare. En bas, sur la plage avant, Malika et Théna ont disparu.

— Merci Vanessa. Me dit Adélia.

— Merci de quoi ?

— De me permettre de devenir mère…

Ouf, c’est vrai. J’ai maintenant trois femmes à engrosser, à devenir père-mère en même temps. Je me pose sur les genoux d’Emile. Il s’inquiète, mais je le rassure en lui avouant mes pensées. Il me répond que tout ira bien… J’en suis convaincu.

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