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Lili Danseuse Etoile – Chapitre 1




Mon cher journal,

Je m’appelle Gérard, j’ai 42 ans, je mesure 1m95 pour 100 kilos de muscles. J’ai été acteur pour le porno durant une belle année.

Malheureusement avec le porno, on nous demande de faire attention à nous. Des compléments alimentaires et développeurs sont conseillés pour que notre virilité soit impressionnante pour:

La quantité et aspect du sperme à éjaculer.

La taille de notre pénis, etc.

La qualité, le goût et…

Seulement à l’époque, tout n’était pas trop au point et j’ai fait une réaction allergique qui m’a fait trop développer mon pénis (29 centimètres pour 7 centimètres de diamètre) avec une éjaculation qui peut être douloureuse si elle n’est pas totale, cela peut aller jusqu’à 15 min d’éjaculation, car c’est saccadé. Avec surtout des orgasmes et des envies continuelles. Parfois une augmentation de 1 centimètre de circonférence supplémentaire en cas de gros besoins non assouvis.

C’est d’ailleurs à cette époque que j’ai connu ma femme, qui depuis me comblait jusqu’à ce que l’on lui annonce une ménopause précoce qui la rend frigide. Notre libido en prend un coup. De par ma particularité, je suis reconnu handicapé et inapte au travail. Du coup, je passe beaucoup de temps à me masturber et me vider parfois minimum 1 fois par heure si je n’ai pas un rapport sexuel et que j’ai une montée d’adrénaline. De ce fait, je sors rarement de chez moi.

C’est d’ailleurs à cause de cela que nous avons fait bâtir un petit pavillon insonorisé avec une double cloison capitonnée… à l’extérieur de la maison, c’était aussi notre espace de jeux à ma femme et moi. Depuis 5 ans, il est transformé en studio pour les enfants aujourd’hui devenus adultes. Occupé à ce jour par Lili qui vit toujours avec nous.

Nous avons 2 enfants, Esteban 23 ans, et Laurine dite Lili 21 ans. Esté a quitté la maison il y a 2 ans pour s’engager à l’armée de terre et se marie très prochainement à la fille du général.

Quant à Lili, elle est danseuse étoile et a fait vu de chasteté depuis très jeune, car elle souhaite dans rentrer au couvent.

Mon épouse et moi sommes toujours sous le choc, mais nous devons faire bonne figure, car notre fille paraît heureuse.

Son frère ne la comprend pas, plusieurs fois, il a tenté de l’influencer en lui disant:

Ma Lili, qui va me charrier…? Qui va me batailler…?Je sais ce qu’il te faut, un petit copain pour des petits câlins… comme…

Elle le coupa…

Mon frèro… non ! Ma décision est prise, je rentre au couvent… C’est comme si je te demandais de ne pas épouser Aline. C’est impensable, n’est-ce pas…?

Personne n’est parvenu à la faire changer d’idée. Elle sera officiellement bonne sur dans 15 j. Au couvent, il est convenu qu’elle y dispense des cours de danse classique aux enfants de l’orphelinat.

Voilà pour les présentations.

Merci mon cher journal, je reviendrais demain.

Mon cher journal, voilà 24 h de passées et dans moins d’une semaine, nous marions notre fils.

Les médecins m’ont confirmé qu’ils ont enfin trouvé un traitement qui peut me calmer quelque temps, je suis heureux, je commence après demain, cela fait maintenant plus d’un mois que je me suis abstenu, conditions pour pouvoir le prendre, un véritable calvaire.

Il me tarde vraiment.

Voilà pour aujourd’hui.

Je reviendrais dans quelque temps, histoire de te raconter avec un peu plus de détails comment il fonctionne.

Je te souhaite une bonne nuit.

Mon cher journal, voilà le mariage de mon fils qui arrive dans 24 h, mais je vais te raconter ce qui m’est arrivé il y a 5 jours.

L’autre soir quand je t’ai laissé, j’ai été réveillé par ma fille qui n’arrivait pas à dormir. Elle m’a sorti du lit en trombe pour la suivre dans son pavillon. Elle était en panique et moi à moitié réveillé. Heureusement que ma femme prend des somnifères pour dormir.

STOP !!! Que t’arrive-t-il ma Lili ? Pourquoi cette panique ?

C’est les copains d’Esté qui m’ont demandé de lui faire une surprise pour son enterrement de vie de jeune garçon et de danser pour lui.

Tu sais, la danse qu’on se faisait quand on était petit.- Ah non ! Je ne vois pas ! Surtout à 2 h 10, je ne vois que mon lit qui me rappelle.

Mais si papa, tu sais, c’est la danse avec mon derrière en lui tapant avec sur la figure et que je lui frottais sur le nez et une fois terminé, je lui pétais dessus et qu’il hurlait. Heureusement que j’étais plus rapide que lui…

Ah oui ! C’est vrai, ça nous faisait bien marrer ta mère et moi, car c’était inattendu.

Et tu le piégeais à chaque fois… Et donc pourquoi cette danse ? – Tout simplement parce que ça fait rire et qu’il s’attend à une strip-teaseuse… je vois déjà sa tête quand il me reconnaîtra.

Il va vouloir m’étriper comme toujours… aaaaaah haaaa haaa…- Bon moi, je retourne me coucher…

Bonne nuit ma chérie…- NON !!! Non ! Attends papa, c’est sérieux, j’ai un problème… je ne m’en rappelle plus ! Tu peux m’aider s’il te plaît, car toute seule, c’est compliqué… de plus, tu n’as rien à faire…

Heu !? Si, dormir.

Mais NON ! Tu n’auras rien à faire juste me dire si c’est bien ou pas et si c’est drôle…

En plus ! Enfin ! J’ai reçu la fameuse chaise avec les poignées et les blocs pieds pour faire des figures…

— Hein !? Quoi ? Je ne comprends rien.

Du coup, elle m’expliquait ce qu’elle allait faire avec sa gestuelle de danseuse… et moi, je m’endormais ou du moins piquais un peu du nez, je ne comprenais qu’un mot sur deux.

Mais si, assieds-toi là!!! Je t’explique comment je vais et ce que je vais faire… Alors… il y aura une barre de pôle dance comme ici… la chaise… là… au début, comme je serais déguisée, je ferais 2 ou 3 figures, comme ça, ensuite, j’arrache mon pantalon de strip, en dessous, j’aurais un short brillant et je viens vers la chaise, je fais ça… ça… ensuite pour le final, un flip depuis les poignées afin de me retrouver face à lui, puis je me retourne pour lui donner des coup de cul comme ça et après j’attrape les poignées et je fais ma sortie dos à lui, je lui pète au nez. Et je détale…

D’accord super… tu l’as ton truc ! Trop content d’avoir pu t’aider, bon je te fais un gros bisou et dodo je ne tiens plus.

NOOONNN, mais !.? Non attends !!! Je n’ai encore rien fait…

— Je t’expliquais juste ma chorégraphie…

— Aah (un tout petit son étranglé sortit de ma bouche un peu comme Coluche)

Donc si je comprends bien, tu veux que je prenne la place de ton frère ? Faire ton truc et me donner des coups de cul dans la figure et me péter au nez… hors de question… bonne nuit jeune fille…

Elle me tape une crise en pleurs…

NNOOOOON, mais papa, suis pas au point, j’ai personne à qui demander… s’il te plaît mon petit Papounet…

Heu oui à 2 h 20 c’est sûr…

Hé aussi je veux que ce soit réussi, car après, je ne lui ferais plus jamais.

Bon d’accord, allez, je m’installe où? Par contre, ne m’en veux pas si je m’endors.

Laà… ho ! Merci mon Papounet chéri adoré, je mets ma tenue et j’arrive…

Quoi !?

Je mets juste le bas, car le haut, je ne l’ai pas encore, du coup, je garde le haut de mon pyjama ! Donc, n’y fais pas attention, car c’est juste pour l’essai.

Ouiiiiiii, mais dépêche-toi, je suis vraiment naze…

La musique commence, lumière tamisée, le stroboscope s’enclenche et les spots s’allument au rythme de la musique assez douce, du coup, difficile de ne pas piquer du nez.

Je vois ma fille qui attrape la barre pôle danse qui fait ses 3 figures puis arrache son pantalon de strip comme convenu… sauf qu’elle le fait avec un peu de mal et qu’elle ne s’est pas aperçu qu’elle avait arraché son short et son slip en même temps par maladresse…

Je tente de le lui dire…

Ma chérie tu…

Pchuuttt je me concentre.

Je réitère plusieurs fois et elle s’énerve

Purée, tu me déconcentres, à cause de toi, je dois recommencer…

Mais je veux juste…

Pschuttt (Elle me met son doigt sur la bouche et repart à son point de départ et recommence.)

Bon, soit…

Elle reprend ses pirouettes et compagnie, simule l’arrachage de son pantalon, puis se dandine devant moi l’abricot à l’air… de temps à autre, elle me frôle avec ses mains… ses fesses…

Bien évidemment, je détourne mon regard, je suis un peu gêné… très fatigué, je suis comme dans une autre dimension et finis par m’endormir… mais au moment où elle me frôle à nouveau, une bosse se dessine et apparaît sous mon caleçon… je ressens des petites décharges, des frissons qui me réveillent et me provoquent illico une érection que je tente tant bien que mal de camoufler discrètement avec mes mains… je suis écarlate…

Le moment tant redouté arrive, les fameux coups de fesses dans mon visage est sur le point de venir, elle fait son flip… plutôt bien réussi sauf qu’elle manque de se casser la figure avec toutes ces acrobaties plus impressionnantes les unes que les autres… du coup, elle place son cul devant ma face et commence à me donner des coups de fesses en haut, à droite, à gauche, cette fois, suis réveillé pour de bon, j’éclate de rire, tellement elle est sérieuse ; jusqu’au moment où elle frôle mon sexe avec ses cheveux qui se sont défaits…

C’est là que je réalise que ma fille me fout son trou du cul sur mon nez et son petit abricot vient lui embrasser mes lèvres… À ce moment-là, je ferme les yeux et j’essaie de me contenir… en détournant mon visage… tellement j’ai honte… je me sens bizarre… mon service trois-pièces est à bloc… au garde-à-vous tel un marteau piqueur prêt à marteler à sec… ma queue est raidie parée à… avec mon gros gland comme une tête chercheuse qui est prête à recevoir et tout donner à la fois… qui a réussi à sortir seul de mon caleçon.

D’un coup Lili s’arrête et me dit:

Flûte, j’ai loupé ma sortie, je recommence…

Je profite de cet instant pour essayer de camoufler mon dard. Sauf que je la déséquilibre et en voulant se retourner, elle dérape et s’empale en partie sur le gland de ma queue bien raide qui avait repris sa place. À ce moment-là, j’ai, nous avons très mal, car inattendu, tellement rapide, je venais de déflorer en partie ma fille à notre insu. Purée ça réveille… et ça fait un peu mal.

On se regardait fixement. Elle avait un peu mal et ne comprit pas de suite ce qu’il se passait… elle était presque en grand écart sur moi… puis essaya de se relever impossible.

Encore sous le choc – Qu’est-ce que… aie… c’est quoi ça… Qu’est-ce que…- Ça va ma chérie, tu n’as pas trop mal…? Tu tes empalé sur moi du moins sur une partie de mon gland.

(Glups)

Je vais t’aider à te retirer avant qu’il ne rentre complètement et te déflore en totalité.

Hein !? Non ! C’est pas vrai… comment est-ce possible ?

Oui je suis ton père, mais un homme avant tout et parfois nous ne contrôlons pas toujours certaines pulsions que j’ai tant bien que mal essayé de dissimulé jusqu’à ce que tu… c’est un regrettable incident.

Jétais en panique, plus préoccupé par faire sortir ma fille de cette situation délicate et maladroite qu’autre chose.

D’accord, mais je veux sortir, aide-moi.- Allez, à 3, tu te pousses vers le haut…1… 2… oui, vas-y tu es presque sortie, tiens bon… 3… non rien à faire… on n’est coincés, tu es encore vierge et mon gland est trop gros.

Ho ! Papa, sors moi de là…

OK ! OK ! Ne paniquons pas, voilà, tu vas resserrer un peu tes jambes, car le grand écart peut faire que tu bloques tout.

Voilaaaaa ahhh aaaa.

Bon maintenant, inspire, je vais te décoller. Tiens-toi bien à moi.

Elle m’enlace avec ses bras autour du coup et là, je la maintiens fermement, mais je n’y arrive pas. Mon gland s’insère un peu plus, comme bien placé, mais bloqué, du coup, elle gémit, je viens de la dépuceler sans faire exprès. Ma queue s’enfonce, à peine fait deux va-et-vient (un mélange de gémissements et hurlement sort de nos bouches, elle s’agrippe à moi encore plus) et au troisième, je me retire sec. Elle hurle de jouissance, enfin délivrée, elle venait de me gicler toute sa cyprine dessus. Elle était tellement étroite et serrée que le moindre mouvement lui avait donné un orgasme.

À ce moment-là, enfin nous sommes libres, nous avons fait mine de rien et je me suis excusé. Elle, elle était bizarre sur le point de défaillir et me disait qu’elle se sentait un peu mal et au moment où elle se retourne pour se diriger près de son lit, elle manque de tomber et en voulant la rattraper, je l’embroche à nouveau avec ma grosse tête chercheuse. Elle se met à jouir ; essaye de se retirer et là, rien à faire, rebelote…

Aie aie tu m’as encore enfoncé ton gland.

Ho pardon pardon ça va ? Décidément, on n’a pas de chance !! On va recommencer pour te sortir de là! De plus, il n’est pas entré en entier.

Oui, j’ai un peu moins mal ça va !

OK ! Tu vas faire comme si tu faisais comme quand tu étais ado quand tu pratiquais assise sur le ballon de gym !

Hein !? De quoi tu parles huuuummmmm.

Tu sais, tu faisais comme ça en sautillant… ça devrait marcher…

Aaaahaaaaaaa jee hummmm ouuuu ouuuu bon d’accord je sautiiillllle ha je crois que c’est pire, je m’enfonce encore plus.

Stooop ! Bon essayons autre chose… Essaie de bouger un peu ton bassin comme tu fais quand tu danses la danse du ventre, ondule un peu…

OK comme çaaaa haaa ça fait un peu mal et je descends encore…

Aie… pour moi tu n’as presque pas bougé tu es encore sur mon gland… il est juste mieux placé je vais essayer moi de me retirer par contre je vais devoir te bouger un peu pour pouvoir me lever…

D’accord ! Haaa non ça fait un peu mal bouge pas je préfère attendre un peu…

5 min après…- Bon je vais essayer comme tu m’avais dit de sautiller et onduler en même temps Haaa on dirait que ça marche… oui je crois que c’est bon… haaaaa nooonnnn je n’y arrive pas…

Et elle s’empale encore plus profondément. Cette fois, mon gland a été englouti complètement.

Ho ma Lili suis tellement désolé et confus. Je… J’ai une autre idée tu recommences et moi j’essaie aussi de me retirer comme cela on tire chacun de notre côté.

Allez 1

2… 3… alleezzzz oui ça y est…

Haaaaa noooon c’est pire.

Cette fois, l’abricot de ma fille a avalé complètement mon gland et 1/3 de ma grosse pine. Je décide de me lever avec elle empalée afin de nous décoller. En lui expliquant que j’allais faire un petit va-et-vient comme la fois d’avant pour mieux me retirer et surtout de se détendre…

Lili détends-toi, je crois que c’est toi qui bloques tout-, Mais, je rêve, c’est moi qui bloque ? Non c’est ton gros gland à la con qui est bloqué en mooiiii…- Je vais faire 1 va-et-vient n’aie pas peur c’est juste pour sortir de toi, accroche toi bien à moi… Attention je commence doucement… ça va ? Je ne te fais pas trop mal…?

Haaa non… haaaa je… ça va… ça fait bizarre un peu mal, mais ça va.

Puis elle commence à se relâcher. Mais rien n’y fait, nous sommes collés.

Haaaa tu crois que ça vahaaaaa maaaaarrrrcheeeerrrr ? Suis bizarre, attends papa, je réessaye aussi…

Au moment où j’ai fait ce va-et-vient, je suis pris d’une pulsion intense, prêt à recommencer…

Non, ce n’est pas une bonne idée… Tu es très étroite.

Si je haaai hoooo ho ho haa tiens-moi ne me lâche pas, je suis bizarre je crois que ça marche, étroite ? Comment ça ? Et ça veut dire quooooooiiiiiii aaaaaahhh ?

Je te tiens… Huuuummmm !!! Ça veut dire que tu es encore viiiierge et que tu n’as paaas le passage pour recevoir un péniiiis. Du coup mon gland lui crée ce passage, il élargit ton vaaaagin, hummmm et normalement en cas de rapport après plusieurs vaaaaaa et vient le passage est fait et hmmmmm le gland ressooooort.

Au moment où elle ondule de tout son corps, elle se penche en arrière, elle m’offre un spectacle magnifique de ses seins (assez gros) qui se balancent à travers le haut de son pyjama blanc par les mouvements de son bassin.

Elle arrive enfin presque à se retirer, elle s’empale à nouveau comme si nous avions un ressort qui nous ramène l’un vers l’autre.

C’était tellement puissant que je me sentais mal à l’aise.

Ho non ! Ça ne marche pas. Donc il faut peut-être faire ça, mais ça fait mal…?.- Attends, je vais à nouveau te soulever pour atteindre le bureau qui est proche, ce sera peut-être plus facile. En essayant de te faire assoir. Allez ! Attention à la marche.

Aaah hoooo aaaahhh je crois que ça s’est encore enfoncé un peu.

On retente, rien à faire. Je lui propose :

On va retenter, mais plusieurs fois… on va dire 3 fois tu vas sautiller et onduler et moi je vais faire 3 va-et-vient je pense que ça marchera.

Haa haa haa haaaaaa ho ho haaa ho.

Hummmm huuuuuummmm hmmmmmmmm hooooo hummmm.

Ça ne fonctionne pas ? Papa, qu’est-ce qu’il t’arrive, tu transpires et tu gémis ? Ça va ?

Non ! Non, ça ne va pas.

Pourquoi ?

Parce que de 1, je suis ton père et que…

Mes pulsions prirent le dessus et machinalement je continuais les va-et-vient, ma respiration et mes râles commençaient à être plus intenses, je tenais fermement ses hanches et sans m’en rendre compte, je la repoussais et ramenais à moi. -aaaahaaa haaa aaaa ho humm ha ha, mais papa Hooooo papaaaa Hoo Hum- hoô Lili, je pense que ça va marcher, désolé c’est la seule solution !-Hooooo non, mais qu’est-ce qu’il m’arrive Haaaaaaaaaaaa Ouuiiiuiiiiiiiii paaa paaaa Huuuuuummmmm ouiiiiii

Elle venait de me jouir dessus… sa cyprine dégoulinant à flots de son vagin, nous étions toujours coincés, car elle m’avait bloqué en réintroduisant mon gland par ses mouvements.

Que marrive-t-il papa je suis toute bizarre.

Oui… Tu viens de me jouir dessus… et tu as aspiré mon gland !!

Ha bon… encore ?

Hé bien ma fille, on va recommencer pour le ressortir…

Sans s’en rendre compte, elle se remit à onduler… comme une invitation à un appel… Trop c’en était de trop… je repris les choses en mains et cette fois, j’y allais franchement par des mouvements plus précis, plus énergiques. J’attrape ses hanches et je commence à m’enfoncer un peu plus. Mon mandrin était juste rentré de moitié.

Hooooo ouiiiii papa encore…

Encore ? Mais… hummmmm.

Ouiiiii encore ! Encore ! Encore !

Choqué, je lui répondis…

Comme tu voudras.

Je la soulevai toujours empalée au bout de ma queue et la porta jusqu’au lit, puis je déposai délicatement afin de mieux m’introduire en elle.

Prête ?

Elle me fit un oui de la tête, et je pris ses mains afin de bien la plaquer et je commençai avec des petits va-et-vient de plus en plus rapprochés… et énergiques et sortis enfin de son vagin.

Ahhh hmm hummm hoooooo ouiiiiiiiiiouiii ouiouioui encore oui encore plus hummmm hoooooo oui vas y nooooooonnnnnn pourquoi t’es sorti ?

Quoi ?

D’un mouvement de bassin, elle s’empale à nouveau sur mon gland.

HUMMMMMM c’est encore coincé papa.

Plus fort que tout, je commençais à la ramoner comme une cheminée dans tous ses recoins. Elle hurlait de plaisir et gémissait, Transpirait. Je relâchais ses mains Je continuais à m’enfoncer puis je lui dis:

Prendre ton oreiller et mords dedans.- hummm ouiiii hummm Pourquoi ?- Fais ce que je te dis et agrippe-toi à ce que tu pourras.

Hummm ouuiiii aaaaaaaaiaaaaaiiiiiiaaaaaiee Je venais de la fourrer entièrement. J’étais complètement introduit, mes 29 centimètres étaient avalés par son vagin.

Tout est rentré, je vais ressortir, attention.

Oui d’accord.

J’allais pour ressortir, mais à peine à moitié reculé qu’elle se mit à onduler.

Mais que fais-tu ?

C’est pour t’aider et en même temps, ça fait moins mal.

Non, ne fais pas ça, ne fais rien. Parce que…

Hummmm.

Elle continua et sans s’en rendre compte, augmenta l’intensité et la cadence

Désolé Lili, je nen peux plus…

Je poussais un énorme râle suivi de plusieurs autres. Je l’accompagnais à grands coups de queue. Plus je la culbutais et plus elle en voulait. Elle était comme hystérique. Elle me rendait dingue, mes couilles venaient frapper fortement sa petite rondelle au point qu’on les entendait presque autant que la musique. Je n’arrivais plus à me contrôler. Je baise ma fille…

Puis elle me crie:

Je vais hurler… ouiiiiii continue plus fort, défonce-moi…

Je me suis mis à la pilonner tel un marteau piqueur en mode automatique qui ne pouvait plus s’arrêter… elle se mit à hurler de plaisir à gémir, transpirer encore et une fois de plus, elle m’éjacula dessus.

La voir dans cet état me rendait encore plus dingue.

Oui, vas-y, hurle autant que tu veux… tiens, prends ça…

Et je la culbutais puis m’enfonçai au plus profond de son intimité pour répandre de ce précieux jus de corps d’homme qui n’en finissait pas, plus je bougeais, plus ça giclait. Elle continua à gémir…

Revenu à la réalité des choses le temps pour nous de nous défaire enfin. Ma fille regarda vers mon entrejambe et cria:

Oh mon Dieu…

Les yeux écarquillés, elle regardait sa chatte et ma queue et me dit:

C’EST ÇA QUI ÉTAIT EN MOI.

Oui je…

Puis elle se mit à regarder le liquide qui sortait de son entrejambe.

Mais, mais c’est du sperme qui dégouline comme ça ?

Oui ne t’inquiète pas, ça ressort.

, Mais… ho mon Dieu… ho la quantité… ho mon Dieu, je ne prends pas la pilule.

Comment ça, tu ne prends pas la pilule ?

Elle hurlait. Paniquée…

STOP… Arrête de crier… Tu iras à la pharmacie chercher la pilule du lendemain.

Puis elle se dirigea vers le bureau et me dis, tiens en me tendant un mouchoir pour que je l’essuie et au moment où j’arrive, elle s’accroupit puis recule pour enfiler son slip, sauf qu’elle trébuche et atterrit près de ma queue qui était encore plus raide.

Les yeux écarquillés, elle ne put défaire son regard de ce spectacle, je lui pris la main pour l’aider à se relever et là, contre toute attente, elle leva sa jambe et déposa son pied au niveau de mon épaule.

Encore…

Je ne sais pas si c’est une bonne idée.

J’ai dit ENCORE… ENCORE… ENCORE…

Stop…

Je lui caresse le pied en descendant jusqu’à son entrejambe et elle poussa un gémissement de désir et ondulai. Je caressais son petit abricot, elle gémissait, elle était chaude comme de la braise, transpirait.

Je la saisis fermement à la taille, la soulevai et la déposai sur son bureau, puis la basculai en arrière afin de lui déposer plusieurs baisers sur sa chatte, je lui écarte les lèvres qui me dévoilent toute son intimité que je commence à brouter tel un animal dans les prés. Chaque mouvement l’envoyait en l’air.

Elle hurlait de bonheur, me suppliant de ne pas arrêter. Elle brûlait de plus en plus. Je saisis son clito entre mes lèvres afin de bien le travailler, elle commençait à onduler, à mouiller comme une dingue.

Ma langue se mit à fourrer son vagin encore humide de mon sperme et à lui aspirer afin de le récupérer en bouche. Je me relève et viens déposer au niveau de ses lèvres afin de lui faire goûter mon précieux jus. Je lui fais signe de goûter puis elle m’embrasse les lèvres afin de continuer à goûter. Je la relève et lui presse les épaules vers le vas tout en dirigeant sa tête vers queue.

Lèche, vas-y, goûte mon jus.

Elle commença à lécher puis je lui saisis la main afin qu’elle me masturbe tout en la guidant. Je lui mets un doigt en bouche qu’elle sert délicatement avec de petits mouvements, elle comprend le geste de va-et-vient et au bout d’un moment, je lui place mon gland face à sa bouche qu’elle suce, lèche, puis lui enfonce afin de continuer à me vider.

Elle avale de moitié, comme assoiffée, son regard est lumineux de désirs, mon sperme dégouline le long de ses lèvres, descend jusqu’à la naissance de seins, je la relève, la saisis par la taille pour la soulever, la rebascule sur son bureau et je lui fourre mon pénis encore en train de juter et l’enfonce par à coups.

Nous gémissons, notre respiration saccélère. Elle sempale en moi profondément, je suis bien en place bien au fond et nous commençons la danse à coups de pine bien en profondeur. Ses jambes sont tellement écartées que je peux la pilonner en profondeur, elle hurle de plaisir tellement je m’active. Une alternance de cris, de gémissements sans retenues comme une dépravée, elle me hurle de la sauter. Au point que je me demande si c’est bien insonorisé.

De plus en plus énergique, je la saute, elle est baisée comme jamais je n’avais baisé auparavant, je la pilonne tout en giclant, à mon tour je hurle de bonheur, jamais un jet n’avait été aussi puissant, d’autres ont suivi. À la limite de l’évanouissement tellement j’étais en manque. L’idée même de la savoir remplie et qu’elle aimait cela contrairement à sa mère, provoque en une montée d’adrénaline. Dans la foulée comme tel un fou, je la saisis par la taille, la porte, la plaque contre un des piliers derrière nous et je la saute comme un sauvage tellement c’est fougueux et bestial. Je ne peux m’arrêter… plus je baise ma fille plus j’ai envie de la sauter. Nous avons continué à baiser jusqu’au petit matin, j’ai dû éjaculer une bonne vingtaine de fois pour son plus grand bonheur et pour le mien.

Tellement elle était remplie qu’on la suivait à la trace, il y en avait de partout.

Puis je suis reparti en douce, car elle s’était endormie remplie de mon jus, belle à voir.

Voilà mon cher journal.

Je me sens vraiment mal, mais heureux à la fois. Mais cet incident vient de chambouler ma vie, je suis perdu, je désire Lili plus que tout au monde, elle m’a comblé, elle si délicate. Comme j’aime être en elle. Son intimité si fragile et douce à la fois. Sa grâce m’a rendu fou. Ces quelques heures m’ont rendu fou d’elle. Que dois-je faire ? A bientôt !

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