Lorsque j’entrai dans la cuisine, ma mère m’attendait, complètement nue. Comme il était d’usage depuis ma soumission, je m’inclinai devant elle et lui baisai les pieds.

«Me voilà, Maîtresse Nathalie! Ordonnez et j’obéirai.»

«Reste là en attendant que ta tante m’aie fait son briefing. Je déciderai de ton épreuve en fonction de ce qu’elle me dira. J’espère pour toi que tu t’en es bien tiré, esclave…»

Obéissant à ma mère, je demeurai à genoux devant elle, le visage tourné vers le sol.

J’entendis ensuite des bruits de pas et vis deux paires de jambes entrer dans la cuisine. Je devinai alors, au vu des chuchotements que j’entendais, que ma sur et ma tante étaient en train de débattre avec ma mère de la suite de mes épreuves de soumis.

Les chuchotements cessèrent et ma mère m’ordonna de relever la tête vers elle.

Mes trois maîtresses me fixaient à présent d’un il malicieux et mauvais.

«Bon, esclave. Nous avons délibéré. Vu que tu t’es amélioré, nous avons décidé qu’il était temps pour toi de recouvrir ta liberté et ta fierté masculine. MAIS, pour ce faire, il ne te suffira pas de me baiser comme tu l’as fait avec ta sur et ta tante. Bien au contraire, tu ne toucheras pas à un seul de mes cheveux. La dernière épreuve que tu auras à réussir sera de nous trouver des soumis et des soumises afin que nous puissions encore avoir quelqu’un à dominer.Trois garçons et trois filles. Nous te laissons un mois pour nous les trouver. Peu importe comment. Si tu échoues, tu nous seras soumis jusqu’à la fin de ta vie sans aucune chance de t’en sortir. C’est clair?»

«Oui, Maîtresse Nathalie. Je me mets tout de suite au travail.»

Pour trouver ce que je cherchais, il n’y avait pas 36 solutions. Surtout pour des soumis. La seule solution pour moi était le meilleur ami de l’homme: Internet.

Je savais de source sûre que le porno et les sites lui étant liés représentaient une grande partie d’Internet. Par conséquent, je décidai de chercher un site ou un blog parlant de soumission.

Je tapai ensuite "soumission" dans le moteur de recherche. Bien évidemment, je trouvai beaucoup de choses. De la définition de Wikipédia aux sites "pour adultes". L’un de ces sites attira mon attention par son nom pour le moins explicite. Je cliquai donc sur le lien et tombai sur le blog d’un soumis aimant se faire corriger par des femmes.

«Parfait!» me dis-je.

Je lis les articles en diagonale en cherchant l’éventuel espace "Annonces". C’est en cliquant sur un article que je finis par trouver ce que je cherchais. Au bas de l’article se trouvait un lien "Cliquez ici pour poster votre annonce".

Après avoir cliqué sur le lien, une fenêtre apparut, me demandant dans quel domaine je voulais poster mon annonce. J’avais le choix entre domination et soumission. Bien évidemment, je choisis "domination". Finalement, une autre fenêtre apparut, me demandant d’écrire mon annonce et de laisser une adresse mail de contact.

Le moment clé était arrivé. Il me fallait écrire une annonce attrayante pour pouvoir trouver un maximum de "candidats". Après plusieurs essais sur un papier annexe, je finis par trouver quoi écrire.

«Maîtresses cherchent soumis, h ou f, sans tabou pour relation maître-esclave. Âge indifférent.»

Je postai mon annonce en laissant mon adresse mail pour que les intéressés puissent me contacter. Après avoir reçu confirmation de la parution de mon annonce, je décidai de laisser passer quelques jours afin de laisser le temps aux candidats et candidates d’y répondre.

Quelques jours plus tard, lorsque j’eus consulté ma boîte mail, je reçus un tas de "candidatures" de soumis et de soumises qui faisaient part de leurs expériences vécues ou rêvées et en faisaient tout un CV. La palette d’âge des soumis et des soumises était plutôt grande. Elle allait de 16 à 54 ans pour les hommes et de 18 à 40 pour les femmes. Tous se décrivaient comme des "faibles"aimant être aux pieds des puissants.

Après avoir lu les candidatures, je rejoignis mes maîtresses dans la cuisine. Après m’être agenouillé devant elles et leur avoir baisé les pieds, je leur fis part de ce que j’avais trouvé.

«Je viens au rapport, chères Maîtresses! J’ai reçu beaucoup de candidatures. Je me suis dit que Vous aimeriez les voir avant de choisir.»

«Effectivement, esclave! Évidemment que nous choisirons nous-mêmes nos soumis! Bon, montre-nous ce que tu as trouvé.»

Je courus chercher mon ordinateur dans ma chambre et leur présentai les mails de candidature que j’avais reçus. Je m’agenouillai à nouveau tandis que mes maîtresses examinaient soigneusement les CV des soumis et soumises. Après une longue période de réflexion, ma mère me dit:

«Envoie un message à Patrick, Julie, Guy, Christophe, Charlotte et Pauline. Dis-leur de venir dans une semaine. Quant aux autres, envoie-leur un message dans lequel tu leur diras de se présenter ici dans un mois. À part ça, félicitations! Nous t’avons demandé six soumis et tu nous en ramènes le double. Tu es vraiment un gentil garçon.»

«Merci, Maîtresse Nathalie. Je m’y mets tout de suite.»

«Non, reste ici. Tu enverras les messages depuis ici. Nous devons nous assurer que tu envoies les bons messages aux bonnes personnes. Allez, assieds-toi sur mes genoux.»

Incroyable! Ma mère me traitait comme un gamin! Elle ne me croyait même pas capable d’envoyer un mail à quelqu’un correctement!

Je lui obéis cependant en ravalant ma fierté de peur de tout faire rater. À peine me fus-je mis à écrire les réponses aux différents candidats que ma mère commença à me branler. Ce contact pour le moins excitant et gênant à la fois me déconcentrait de ma tâche mais je n’eus pas le courage de le lui dire.

Prenant sur moi, je m’appliquai à rédiger les réponses en ignorant au mieux les caresses de ma mère et les rires de mes deux autres maîtresses.

Je parvins à finir tant bien que mal et à envoyer les réponses aux candidats.

Lorsque j’eus fini, ma mère me demanda de surveiller ma boîte mail afin de pouvoir savoir si les candidats avaient confirmé leur arrivée. J’acquiesçai de la manière habituelle et, alors que j’allais monter dans ma chambre, ma sur et ma tante se mirent devant la porte, m’empêchant de passer.

«Où comptais-tu aller comme ça, esclave? Nous n’en avons pas encore terminé avec toi. Nous devons d’abord tester quelques nouvelles acquisitions sur toi.» me dirent-elles.

«Lily, va chercher les godes et les cravaches. Nous allons les tester sur notre soumis.» renchérit ma mère.

Toute heureuse de reprendre du service, ma sur se dirigea vers les chambres et reparut quelques secondes plus tard avec les godes et les cravaches.

«À quatre pattes, esclave.» m’ordonna ma mère.

Pendant que je m’exécutais, je vis ma mère, ma sur et ma tante s’équiper chacune d’un gode et d’une cravache. Nues et équipées ainsi, mes trois maîtresses étaient tout simplement bandantes. Mon sexe ne manqua évidemment pas de trahir mon sentiment.

Faisant fi de mon érection, ma mère s’avança vers moi et me passa un ruban sur les yeux. Je ne voyais à présent plus rien de ce qui se passait.

Tout à coup, sans prévenir, un gode pénétra mon anus avec une force inouïe tandis qu’un deuxième me baisait violemment la bouche pendant qu’une cravache me fouettait le dos. Ce petit jeu dura quelques dizaines de secondes après lesquelles mes maîtresses m’accordèrent un court instant de répit avant de recommencer le manège. Je pus donc en déduire que le moment de répit que j’avais eu était juste le temps nécessaire à mes maîtresses pour qu’elles puissent changer de position.

Puis, quelques dizaines de secondes plus tard, mes maîtresses s’interrompirent à nouveau durant un court un court instant avant de remettre un tour qui connut la même durée et la même violence que les deux précédents.

J’entendis ensuite la voix de ma mère ordonner à mes deux autres maîtresses de m’amener à elle.

«Relevez-le et asseyez-le sur mon gode.»

Je sentis ensuite deux bras me lever et m’assoir sur la matière plastique du gode de ma mère. Lorsque je me fus bien empalé sur sa bite en plastique, ma mère me saisit les hanches et me fit faire des mouvements d’ascenseur de plus en plus rapides sur son gode pendant que ma sur et ma tante me frappaient le ventre et les cuisses de leurs cravaches.

Mes maîtresses se délectèrent de ce jeu durant une dizaine de minutes après lesquelles elles m’allongèrent sur la table de la cuisine, les yeux toujours bandés.

Soudain, je sentis un cul se poser sur mon visage. Instinctivement, je le léchai en tenant les cuisses de sa propriétaire dans mes mains afin d’assurer une efficacité optimale. Je léchai le cul durant quelques secondes avant qu’il ne soit remplacé par une chatte que je m’appliquai à sucer en me tenant aux hanches de ma maîtresse. La chatte céda ensuite sa place à une paire de seins que je léchai avec envie et application.

Mes maîtresses répétèrent encore deux fois l’opération avant de me rouer une dernière fois de coups de cravache et de me retirer le bandeau que j’avais sur les yeux.

Après m’avoir demandé de m’agenouiller devant elle, ma mère me demanda:

«Alors? As-tu compris qui te dominait à quel moment? Réponds, esclave.»

«Non, Maîtresse Nathalie. Sauf le moment où Vous m’avez fait empaler sur Votre gode. Je l’ai su uniquement grâce au son de Votre voix. Sinon, je ne savais pas qui me dominait à quel moment. Je sais juste que Vous m’avez, chacune à Votre tour, fait subir Vos envies.»

«Très bien. Relève-toi, mon fils. Tu es un homme à présent.»

Je m’exécutai tandis que ma mère organisait la journée J où les soumis devaient arriver.

«Le programme est simple. Pendant que nous nous préparerons, tu accueilleras les soumis et les guideras vers le salon. Ensuite, ton rôle sera fini et ta sur, ta tante et moi ferons subir aux soumis le même traitement que celui que nous venons de t’infliger. Cependant, tu dois nous rendre un dernier service. Les dominatrices se font monnaie courante, ces temps-ci. Alors, ne révèle jamais ce que nous faisons à nos soumis et soumises. Tu promets?»

«Je te le promets… Maman.»

Épilogue:

Grâce à toutes ces expériences, je suis devenu un homme dominant et vis aujourd’hui des moments heureux avec mon épouse et mes deux enfants. Quant à mes trois anciennes maîtresses, elles ont à ce jour 6 soumis et 6 soumises à leur service et sont devenues des dominatrices réputées et appréciées qui enseignent également aux jeunes filles l’art de la domination féminine.

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