La voiture freina et je sentis que nous descendions. J’avais les mains et les chevilles entravées par des liens de scellés en plastique particulièrement solides. Ma cagoule me plongeait dans le noir absolu. Mon gode en queue de chien me travaillait le sphincter l’obligeant à se détendre. Le manque de gel le rendait de plus en plus inconfortable et difficile à supporter.
Enfin, la voiture s’arrêta. Mon maître sortit et ouvrit le coffre. Il m’enleva ma cagoule et je pus alors respirer plus facilement.
Comme je te l’ai dit, ta soirée n’est pas finie. Je suppose que tu ne sais plus trop l’heure qu’il est, mais si j’étais toi, je resterais bien éveillé. Je te rappelle mes règles, bitch : soit t’es bien docile et soumis et tout ira bien ; soit tu te rebelles, et les photos et les vidéos partent directement à ta gentille petite famille et à tes collègues de bureau. T’as bien compris ?
Oui Maître.
Bien, maintenant tu vas aller voir mon ami Adam, c’est un bon dresseur de chiennes dans ton genre. Tu vas adorer te faire éclater, tu vas être accro !!… Je viens te chercher après pour te ramener chez toi.
Il ajusta un collier-de-chien autour de mon cou et y accrocha une laisse.
À genoux salope, avant de te laisser, tu vas encore me vider les couilles ; tout à l’heure, tu n’as pas tout bu !!.
Il déboutonna lentement son jean, tout en me fixant avec un sourire en coin, sortit ses couilles rondes et lisses et son chibre qu’il plaça sur ma langue tendue. Il se durcit rapidement à son contact. Il me prit la tête de ses deux grosses mains et sans aucun ménagement me burina la bouche par des mouvements rapides et profonds. Je bavais tellement, n’ayant pas le temps d’avaler ma salive. Il essayait de me faire prendre en bouche l’ensemble de sa verge épaisse et dressée. Plus je salivais, plus je lubrifiais sa verge qui s’enfonçait désormais sans aucun effort. Au bout de quelques instants, je sentis sa respiration s’accélérer. Mon maître allait jouir. L’idée me réjouit presque de lui procurer ce plaisir… que devenais-je ???
Il regardait autour que personne ne le surprenne. Il sortit son membre de ma bouche à temps pour décharger son foutre sur mon visage glabre. Ses jets puissants atterrirent presque tous sur mon front, mes joues et mes lèvres. Le reste de sa semence blanche, épaisse et chaude coulait sur mon torse imberbe. Il avait aimé ça et moi étrangement, j’étais reconnaissant à mon maître. Après lui avoir nettoyé la queue avec ma langue, il se rhabilla et me releva.
Regarde, bitch, au fond du parking, tu vas trouver une sortie devant toi. Au bout, il y a un ascenseur. Tu montes comme tu es, à poil et souillé jusqu’au 13ème étage et ensuite tu attends devant la porte de l’ascenseur, à genoux, la tête baissée que l’on vienne te chercher.
Mon maître me détacha les pieds et les mains. Il rentra dans sa voiture et démarra. Je le suppliais de rester, de ne pas m’abandonner ici, seul. Mais, il me repoussa violemment en passant son bras par la portière de sa voiture avec un rire moqueur. Je chutais et il démarra en trombe. Je restais seul dans cet endroit sombre et sale. Devant moi, la porte de l’ascenseur se dressait à une centaine de mètres.
Une voiture arriva. Je me cachais nu, le visage souillé, mon gode queue de chien toujours bien rivé son mon anus et ma laisse autour du cou. Deux jeunes caïds descendirent du véhicule pour prendre un petit paquet laissé derrière un extincteur. Ils étaient seulement à quelques mètres de moi, j’entendais leur souffle et leur discussion autour des meufs qu’ils allaient faire jouir ce soir dans les caves de la cité. Moi, tapi dans l’obscurité, j’étais terrifié et me demandais pourquoi j’acceptais cette situation.
Une fois ces individus partis, je me dirigeais vers la porte de sortie indiquée, longeais le couloir et appuyais sur le bouton pour appeler l’ascenseur. Je priais pour que personne ne soit dans la cabine lorsque les portes s’ouvriraient. Mon cur battait fortement contre ma poitrine. Les portes s’ouvrirent rapidement… personne dans la cabine, je montais et appuyais sur le 13ème étage. La cabine s’éleva lentement jusqu’à l’étage indiqué. Je sortis de l’ascenseur et restais à genoux, la tête baissée, déjà en position soumise.
Au bout d’un certain temps qui me parut interminable, quelqu’un siffla dans le couloir, comme on appelle un chien. Je ne bougeais pas. Le sifflement redoubla. Ensuite, quelqu’un arriva à ma hauteur, se posta devant moi et saisit ma laisse. Je restais le regard au sol presque en larme face à ma déchéance. Je le suivais ensuite à quatre pattes jusqu’à son appartement et il referma la lourde porte.
Regarde-moi, dit Adam. Se tenait devant moi, un homme noir, grand et athlétique. Plus musclé que mon maître. Le crâne rasé, il avait un regard dur, noir et profond. Torse nu, il portait un jean, des rangers lustrés et un bracelet de force en cuir. Son torse laissait apparaître une superbe musculature et des tétons dressés fermes et tendus. Une gifle gratuite et monumentale m’envoya au sol. Je ne pus retenir mes larmes.
Redresse-toi ! m’ordonna-t-il en tirant ma laisse.
Je me mis à nouveau à genoux. Une nouvelle gifle arriva sur l’autre joue.
« Je t’ai dit de me regarder, dit-il calmement.
Je le regardais, le visage toujours souillé par la semence de mon maître. Il me fixa triomphant et sourit.
« Je suis ton dresseur. Tu es encore novice, mais ensemble, on va aller très loin dans la connaissance de ton corps et la découverte de tes capacités. Tu es doué, paraît-il ? Je vais m’en assurer. Ton maître m’a demandé de bien te dresser pour que tu lui sois soumis dans n’importe quelles circonstances. Qu’il puisse se servir de toi, t’utiliser pour son propre plaisir ou le plaisir des personnes qu’il te désignera. Tu comprends ce que je te dis ? » Oui Maître, répondis-je.
Et un coup de pied arriva dans mes parties génitales. Le souffle coupé, je me tordais de douleur à ses pieds. Il me plaça une boule de tissu dans la bouche pour étouffer mes cris.
C’est oui : Dresseur Adam et toi tu n’es pas mon esclave de plaisir, mais mon apprenti.
J’attendis quelques minutes sur le sol, recroquevillé dans ma douleur. Il partit en me sifflant comme on appelle un chien.
Maintenant, nous allons te mettre dans de bonnes conditions pour ton dressage !
Et le suivant à quatre pattes, j’arrivai dans une grande salle de bain avec une grande douche à l’italienne. Il me retira ma laisse et mon gode.
Tu vas commencer à t’apprêter pour ton maître. Tu vas rentrer dans cette douche, te raser intégralement… les poils pubiens, les dessous-de-bras, les couilles… tu as 15 minutes. Si dans 15 minutes tu n’es pas imberbe, je te corrigerai et t’épilerai moi-même avec mon briquet.
Comme je faisais du sport, mon corps sculpté était déjà épilé pour partie. 15 minutes plus tard, j’avais perdu tous les atouts de ma virilité, plus aucun poil sur mes parties intimes sauf sur mes jambes. Que dirait ma femme en me retrouvant ainsi ? Une sorte de peur m’envahit d’une part parce que je sentais en moi grandir une posture que je ne connaissais pas, mais que je voulais découvrir et d’autre part parce que je sentais une nouvelle personnalité grandir en moi… une nouvelle personnalité soumise et docile aimant cette position inférieure.
Dresseur Adam revint, m’examina et fut satisfait du résultat. Même mon sillon fessier était rasé de près !!
Mon dresseur me siffla du salon. J’arrivai docilement.
Défais mes rangers, kiffe mes chaussettes puis tu les enlèves doucement et ensuite tu me décrasseras les pieds avec ta langue…
J’obéis immédiatement à mon dresseur. En enlevant ses rangers, je sentis une forte odeur de pieds, mais je léchais les chaussettes blanches avec application. Il me regardait sans aucune émotion, d’un regard froid. J’avais l’impression de passer un examen.
J’enlevais ensuite ses chaussettes délicatement et suça en premier ses gros orteils. Puis, ma langue glissa entre ses doigts de pied et enfin je léchais ses voûtes plantaires. Il aimait me voir à ses pieds complètement soumis à son bon plaisir… et moi j’appréciai cette posture. J’eus à un moment une hésitation, mais il me tira sur ma laisse pour ramener ma bouche vers ses orteils. Cela dura plusieurs minutes.
Il se leva.
Maintenant enlève mon jean puis reste à mes pieds.
Et de nouveau, il me tapota le dessus de la tête parce que j’avais bien fait. Une récompense en quelque sorte. Dresseur Adam était désormais devant moi. Son corps d’ébène me dominait de toute sa superbe. Il était de marbre. Au bout de quelques instants, il me demanda d’enlever son boxer avec mes dents sans le toucher. Je fis descendre le tissu de coton libérant ainsi un sexe imposant qui m’explosa au visage.
Bien, dit-il, reste devant mon sexe et admire bien ce qui va entrer tout entier dans tes entrailles… Maintenant, prends mon sexe en bouche et fais-le bien durcir… garde-le bien en bouche.
Son sexe grossit progressivement dans ma bouche. Il appuyait mon visage vers son pubis et me boucha le nez. Je suffoquais, mais il était plus fort que moi, alors difficile de lui résister.
Il relâcha la pression d’un coup et je tombais au sol.
Redresse-toi maintenant ! cria-t-il.
Et il tira sur ma laisse.
Prends mon sexe en bouche et suce-le… puis tu lécheras mes couilles pleines de jus.
Son sexe était désormais fermement dressé devant moi et ses testicules étaient également impressionnants et semblaient gorgés de sève.
Ensuite, il me demanda d’arrêter et de me coucher sur le dos sur une grande table en bois qui était dans le salon. Il arriva et me demanda d’écarter les jambes pour lui présenter mon anus. Il me doigta avec attention après avoir sucé son majeur. Il avait apporté un bol rempli de glaçons et commença à appliquer un glaçon autour de ma rondelle anale et en enfonça quelques-uns dans mon sphincter. Ma peau se rétracta au contact du froid. La sensation n’était pas très agréable.
Ton maître t’a trop dilaté en te pénétrant et a forcé furieusement ton sphincter qui était apparemment vierge. Tu as dû l’énerver. Je suis en train de refermer ton sphincter avec le froid des glaçons puis une fois refermer, je te pénétrerai fortement et entièrement.
Comment allait-il faire pour entrer son organe énorme dans mon orifice qu’il s’amusait à contracter ? Je pris peur en voyant son sexe dressé et coulant de mouille, posé sur l’entrée de mon anus. Il m’attacha alors les mains de chaque côté de la table pour que je bouge plus et plaçai ensuite mes jambes sur ses épaules. J’étais perdu et totalement à sa merci, à son bon plaisir !!
Pitié, bredouillai-je, la première fois ça a été très douloureux alors avec votre bite encore plus énorme, vous allez m’éventrer, pitié… arrêtez… je n’en peux plus.
Adam prit son temps pour me répondre en appuyant son gland sur mon anus.
Tu vas prendre toute ma queue que tu le veuilles ou non… à toi de te forcer pour t’ouvrir vite et faire glisser mon gland vers ton rectum, mais avant par précaution, parce qu’il ne faut pas déranger les voisins, tu vas prendre une de mes chaussettes dans ta gueule.
Et il m’enfonça le tissu odorant dans la bouche. J’étais paniqué pas l’expérience que j’allais subir, mais lui prenait son temps, il savourait le moment.
Il présenta son gland à l’entrée de mon anus et força doucement l’entrée. Son membre durci arriva bientôt dans mon sphincter et je sentais glisser le reste de son chibre puissant en pleine érection. La douleur me faisait pleurer et mes cris étaient étouffés par le tissu logé dans ma bouche. Pendant qu’il me pénétrait, il continua à passer méthodiquement un glaçon autour de mon anus, l’empêchant de se dilater et accentuant la douleur de plus en plus vive de la pénétration.
Tu vas te détendre et détendre ton sphincter pour accepter mon sexe. Tu le prendras entièrement que tu le veuilles ou non. Plus vite tu seras soumis, plus vite la douleur cessera. Je sais que ça te fait mal, je sais que le froid contracte ton anus… d’autres ont souffert ici avant toi.
Je me tordais de douleur et transpirai. Son gros gland glissait dans mon sphincter, mais n’avait toujours pas atteint mon rectum. Mon anus malgré le froid se dilatait naturellement de plus en plus. Enfin, son gland épais et dur entra dans mon rectum. Son chibre entier était désormais en moi, mais je n’éprouvais que de la douleur. Mon dresseur me regardait impassible, n’éprouvant extérieurement aucune jouissance, mais étant très appliqué dans ses mouvements de bassin pour me sodomiser profondément.
Je t’avais dit que tu prendrais entièrement mon sexe. Maintenant, tu vas te détendre et respirer profondément.
Il m’appliqua ensuite deux pinces à sein reliées par une chaîne en acier sur mes tétons dressés. Toujours sur le dos et entravé, je le regardais faire et tirer sur la chaîne pour exciter encore plus mes mamelons turgescents et ma jouissance. La douleur de mes seins me fit oublier celle de mon rectum et mon dresseur en profita pour accélérer en moi ses mouvements de bassin. Mes jambes sur ses épaules massives tremblaient sous l’effet de la pénétration désormais frénétique.
Tu ne t’ouvres pas assez, dit mon dresseur, je vais devoir forcer la pénétration.
Il se retira entièrement, huila son pénis, présenta son gland de nouveau à l’entrée de mon anus et força d’un coup de reins puissant l’entrée jusqu’au rectum. Je hurlais et me débattais, mais rien n’y faisait. Je le regardais suppliant, mais il était impassible et toujours aussi rigide. Pendant qu’il m’obligeait à m’ouvrir davantage, il prit une petite fiole qu’il ouvrit et me présenta sous mes narines.
Respire d’un seul coup, deux fois.
A la seconde inspiration, ma tête chauffa, mais mes muscles se relâchèrent et je sentis son pieu ébène désormais explorer à loisir mes entrailles. Chaque passage de son gland sur ma prostate me procurait une jouissance importante. La douleur primaire fit place à une jouissance intense que je découvrais pour la première fois de ma vie. Je sentais mon puissant dresseur black me posséder entièrement jusqu’à la garde, attaché sur cette table. Mes sens étaient en éveil et les pinces à sein renforçaient mon excitation, mon érection était intense.
Je jouissais malgré moi !!
Mon dresseur sourit alors légèrement me voyant apprécier ses pénétrations de plus en plus amples et rapides. Il s’arrêta d’un coup.
Maintenant, ta bouche va prendre entièrement ma bite.
Il bascula ma tête en arrière, j’étais toujours attaché sur la table. Il se présenta devant ma bouche, ma tête renversée. Il cracha sur sa queue et dans ma gueule ouverte. Une petite tape sur la tête me fit comprendre que j’avais bien fait. Il me pénétra la bouche et son chibre entra entièrement. Cela m’étouffait, mais il se retira. J’étais prêt à vomir. Il commença ses mouvements de bassin pour pénétrer ma bouche tout en tirant sur la chaîne des pinces à sein, ce qui m’excita encore plus. Je sentis ses mouvements s’accélérer. J’étais réduit à l’état de réceptacle à foutre. Il allait jouir en moi. Il commença à râler et ses muscles se bandèrent. Il me fixa dans les yeux pendant que de puissants jets de foutre épais glissèrent au fond de ma gorge. Il vida toute sa semence en moi.
Son sperme chaud coulait le long de ma bouche, je n’arrivai pas à tout avaler. Cela lui plaisait de me voir à sa merci, incapable de me débattre et transformée définitivement par cette expérience.
Il me détacha et m’amena par la laisse sous la douche. J’étais soumis à mon dresseur et étrangement reconnaissant de la jouissance qu’il m’avait procurée. J’oubliai les coups et les humiliations du début.
Maintenant, je vais me soulager dans ta bouche et tu vas tout avaler comme une bonne chienne consentante que tu deviens.
Il posa son gland sur mes lèvres et se soulagea dans ma bouche dans la douche. Debout, devant moi, entièrement nu, me regardant sans émotion, il était le puissant vainqueur de mon humiliation. Je bus tout son liquide qu’il lâchait progressivement.
Mon dresseur me rattacha les mains derrière le dos et me replaça le gode queue de chien dans mon anus et me retira les pinces à sein.
Tu vas redescendre au sous-sol. Ton Maître viendra te chercher à l’endroit où il t’a laissé. Tu l’attendras et tu lui seras soumis fidèlement comme la bonne petite chienne que tu es devenue.
Il me mit ensuite rapidement à la porte qu’il claqua bruyamment derrière moi. Arrivé au sous-sol, je ne vis personne. Je me cachais dans un coin sombre à nouveau apeuré et frigorifié. Une voiture arriva, mon maître était là. Il ouvrit le coffre et je montais à ma place. Il me ramena chez moi comme il connaissait mon adresse. A la descente du coffre, il me libéra les mains, me redonna mes affaires dans un sac et me laissa, le gode planté en moi.
Lundi soir, tu viendras me retrouver dans le local de ménage, me dit mon maître. Je vais avoir besoin que tu rendes un petit service à un pote qui a une vidange urgente à faire. Ça fait longtemps qu’il n’a pas eu d’entretiens, tu vas aimer.
Je rentrais chez moi rapidement et vis mon maître partir en trombe. J’étais troublé par ce que je venais de vivre. Nous étions samedi matin, 05h30, j’avais passé douze heures d’une aventure curieuse, furieuse, mais terriblement existante. Etrangement, je ressentis une forte excitation en pensant à lundi prochain… 72 heures à patienter…