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La femmme du révérend – Chapitre 3




La femme du révérend 3

young black boy change’s white preacher’s wife for-ever 3

Coulybaca/ Stevecom

La femme du pasteur livre ses deux aînées à Tyrone.

Tyrone empoigna son portable, c’était Jake l’immense noir ex-taulard.

— C’est toi mon frère? … demanda Tyrone reconnaissant la voix de Jake.

— Oui mon frère, j’ai repensé à ton offre concernant ces deux pucelles blanches… Les filles de ta pute préférée qu’on a baisé avec mes potes il y a deux semaines! …

Tyrone explosa de rire

— Sur mon frère.. Une des jumelles a 19 ans, elle a de longs cheveux blonds et ce qu’il faut là où il faut… Des petits nibards bien ronds, bien fermes, de longues jambes bien galbées, un corps de pute… Et en plus cette ravissante petite blanche est encore pucelle, je crois qu’elle s’appelle Sue! …

— Te souviens-tu de Bobby et Junior qui se sont fait Linda il y a deux semaines… Ils ont trouvé deux autres amateurs de pucelles blanches… Ils veulent tous 4 s’en faire une… Ils offrent 2000 $ pour la baiser à leur gré… Ils ont le fric… Quant à sa soeur…

— L’autre, se nomme Carole, elle ressemble comme deux gouttes d’eau à sa mère, une belle paire de nibards, de longues jambes, un ravissant petit cul… Tout comme sa mère… Rétorqua Tyrone sentant la bonne affaire.

— 4 autres gars sortant de prison cherchent une vierge blanche à se faire… Je te donne 2500 pour elle, et tu me livres leur mère gratuitement! … Je leur ai aussi parlé d’elle et il y a une paire de clients qui aimeraient la sauter.. Es-tu d’accord? …

— Sûr mon frère… Quand? …l’interrogea Tyrone ravi.

— Rappelle-moi cette nuit sur le coup de 22 heures si c’est d’accord… Conclut Jake.

Du haut de ses 18 ans, Tyrone l’aide serveur noir ne parvenait pas à croire en sa

chance, 4.500 $ de gagné en une soirée.

Il pourrait donner 100 $ à Caroline pour son entremise qui permettrait à ses clients de baiser ses deux aînées.

Il attendrait un peu pour se les faire à son tour, en attendant, il s’était réservé la plus jeune et par le diable… Jamais il n’avait gagné autant d’argent en une soirée… Il se ferait sucer la bite par Caroline avant que n’arrivent leurs clients.

Il téléphona ensuite à Caroline.

— Hey ma petite pute c’est Tyrone…

— Salut Tyrone, je suis dans mon bureau à l’église, je suis en rendez-vous… Je ne peux pas te parler pour l’instant! … Répondit Caroline d’une voix sourde.

— Ecoute-moi bien ma chérie… J’ai besoin de toi et de tes jumelles cette nuit à 22 heures… J’ai quelques potes qui veulent les sauter… Ils veulent se faire tes petits anges… Jette un coup d’oil discret sur les gens présents dans ton église et dis-moi en catimini que cela t’excite follement de voir des bites noires s’enfoncer dans les chagattes vierges de tes petits anges! … Allez, dis-le-moi…

Caroline qui ne voulait pas préjuger de ses réactions à ce spectacle lui répondit nerveusement :

— Cela devrait effectivement m’exciter… Tu le sais bien… Je serai heureuse d’y assister…

— C’est d’accord ma chérie… Je veux que tu assistes au dépucelage de tes petits anges…

— Oh merci mon chéri, on sera toi et moi… C’est merveil-leux… Concéda Caroline ravie.

— Au revoir… Tyrone éteignit son portable sans même attendre de réponse. Il savait qu’à défaut de la baiser à couilles rabattues, il se ferait tailler une pipe.

Caroline descendit au rez-de-chaussée, elle portait une mini-robe noire sur des bas noirs qui galbaient ses longues jambes.

Sa robe gainait sa croupe et exposait sa succulente paire de nichons?

Elle avait maquillé ses lèvres avec un rouge vif qui contrastait fortement avec ses grands yeux verts. Ses longs cheveux blonds cascadaient sensuellement sur ses épaules, elle était ravissante.

Le Révérend Mike James pénétra dans la maison après avoir emmené sa plus jeune fille, Laura chez ses amies. Son cour s’emballa à la vue de sa femme ainsi vêtue.

— Assieds-toi mon chéri… L’invita benoîtement Caroline.

— Tyrone m’a appelé… Sue et Carole doivent m’accompagner… L’informa-t-elle doucement.

Le révérend Mike savait ce que cela sous-entendait. Ses deux ravissantes aînées allaient appartenir à de nombreux noirs cette nuit! …

— Oh chéri… Mon pauvre chéri… Cela te fait bander… Mon pauvre chéri… Constata Caroline en lui caressant la cuisse.

— Je te raconterai tout en rentrant…

Leurs deux petits anges les rejoignirent au rez-de-chaussée.

Carole apportait une mignonne petite robe d’été jaune qui lui arrivait à mi-cuisses, elle portait un soutien-gorge push up qui mettait ses miches en valeur. Elle s’était maquillée légèrement, ses cheveux étaient serré en queue de cheval, ses yeux bleus étincelaient.

Sue, sa jumelle portait une tunique bleue qui moulait son jeune corps qui exposait aux yeux de tous ses longues jambes ha-lées. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses tétons pointaient librement au travers du fin tissu, ses superbes nichons étaient visiblement bien fermes et ses cheveux bruns cascadaient sur ses épaules, elle véritablement somptueuse.

Le révérend Mike embrassa tendrement ses deux filles en leur souhaitant une bonne soirée, Caroline le regardait droit dans les yeux…

— Je les surveillerai de près… On va passer une excellente soirée… Rétorqua Caroline en embrassant à son tour son époux.

Dans leur voiture, Caroline tentait d’expliquer, en demeurant dans le vague, le but de leur sortie.

Elle leur vantait ces bons moments qu’elles allaient passer en-semble.

— Ces hommes ont besoin de nous… Nous sommes des femmes d’église… C’est notre vocation de faire le bonheur de tous… Leur confia Caroline hypocritement.

Sa chatte était trempée à la perspective de ce qui allait leur arriver.

— Nous ferons de notre mieux maman… Nous sommes si heureuses de t’assister… Répliquèrent les deux filles en chour.

Tyrone leur ouvrit la porte et siffla d’admiration.

— Wow… Quelles beautés… Entrez…

La pièce était pleine de fumées de joint. Les deux filles regardaient abasourdies Tyrone enlacer leur mère pour lui rouler une pelle fiévreuse. Il se détourna et quitta la pièce.

Les jumelles regardaient fixement leur mère.

— Je me suis seulement montrée gentille avec cet homme, c’est vrai… Vous devrez aussi embrasser ses amis… Nous sommes ici pour aider ces malheureux… Les apaisa caroline d’une voix contrite.

Tyrone, de retour dans la pièce tendit un joint à Caroline, elle inhala profondément et s’assit sur le canapé entre ses deux aînées.

Carole, prend cette cigarette entre tes lèvres inspire profondé-ment et retiens ton souffle quelques instants avant de rejeter la fumée… A ton tour Sue…

Caroline et Tyrone éclatèrent de rire en voyant les jeunes filles tousser en chour après avoir avalé la fumée.

— Allez les filles une nouvelle bouffée…

Les deux jeunes innocentes se conformèrent aux ordres de leur mère.

Soudain les trois filles ressentirent une forte chaleur qui enva-hissait leur corps. La drogue opérait.

On frappa à la porte, Tyrone ouvrit aux arrivants.

Caroline reconnut alors Jake le colosse noir aux bras couverts de tatouages. Il était accompagné de 4 solides gaillards, elle pensa tout de suite qu’il s’agissait encore de connaissances faites en prison.

— C’est pour toi Tyrone… Dit Jake en lui tendant une épaisse enveloppe.

Jake observa attentivement les 3 jeunes femmes assises sur le canapé. Les deux jeunes filles se blottissaient contre leur mère.

— Debout salope! … Viens ici! … Cria Jake s’adressant à Caroline.

Comme elle s’approchait de lui, il l’empoigna et lui roula un patin baveux, sa langue pénétra profondément entre ses lèvres, elle ouvrit servilement la bouche.

Jake cessa brusquement de l’embrasser et interpella ses com-parses :

— Allez les gars venez donc palper les appas de cette garce… C’est un très bon coup…

4 paires de mains explorèrent alors sur son corps, lui pelotant le cul et les nichons.

— Quelle salope les gars! … Bordel, ce qu’elle est chaude! … Palpez donc ses miches! … Quelle chienne en chaleur! … se congratulaient les 4 gaillards en riant en chour.

Un gros noir passa sa main sous ses jupes lui palpant la chatoune, elle était trempée.

— Hey les gars elle est trempée comme une soupe… c’est vraiment une sacrée salope! … Rit-il à pleins poumons.

Déjà Caroline jouissait sous ses doigts.

Les deux jumelles étaient profondément choquées de voir leur mère subir les assauts de ce gros noir.

— Maman, maman… S’il te plait, ne lui faites pas ça… Ne te laisse pas faire… Je t’en prie… Hurlaient ses deux filles affolées.

Caroline les regarda en souriant.

— C’est rien les filles… Rien de bien grave…

On frappa de nouveau à la porte. Tyrone ouvrit une nouvelle fois la porte, Junior et Bobby entèrent suivis de deux autres violeurs sortant tout juste de prison.

Ils tendirent eux aussi une épaisse enveloppe à Tyrone tout en reluquant avec convoitise les deux jeunes filles.

— Maman, maman… Viens à notre secours… Oh maman… J’ai peur… Maman…

Caroline cessa ses embrassades en voyant une des brutes saisir un de ses petits anges par le bras et l’entraîner dans une chambre en compagnie de Bobby, Junior et leur dernier complice.

Elle entendit alors Bobby s’exclamer :

— Ta gueule salope… Tu vas être gentille avec nous petite pute… Hey Junior caresse-moi ces appas.. Bordel comment peut-elle être aussi mignonne…

Junior ajouta en riant :

— Bordel je ne peux plus attendre plus longtemps… J’ai une folle envie de la baiser… J’adore les jeunes pucelles blanches! …

Caroline dut se mettre à genoux, pour prendre soin des deux nouveaux clients

Elle ne savait où donner de la tête pour sucer simultanément leurs gros chibres noirs.

Elle vit Jake emmener Carole dans une chambre, la main posée sur sa somptueuse croupe. 4 noirs dans la force de l’âge les suivaient en riant à pleins poumons.

— Quelle jolie petite chatte, on va s’amuser comme des petits fous cette nuit, on va te baiser toute la nuit jolie petite pute, tu ne seras plus qu’une petite pute blanche! … Discutaient-ils entre eux en jubilant.

Elle vit Caroline en entrant dans la chambre.

— Maman, j’ai peur! … Maman, s’il te plait maman viens à mon secours! … Je t’en prie… De grosses larmes perlaient à ses paupières.

Jake l’empoigna rudement tout en jetant un oeil sur Caroline agenouillée, il gifla sévèrement Carole en plein visage, quelques autres claques suivirent.

— Ecoute-moi bien petite pute… Pleurer ne te servira rien.. Tu ferais mieux de te montrer gentille et docile avec moi et mes copains, on va te baiser à couilles rabattues! …

Caroline entreprit de tailler une pipe à l’un de ses clients, elle sentit qu’on lui remontait sa jupe, avant de descendre son string de satin noir sur ses cuisses.

Son autre suborneur, James, demanda à Tyrone.

— Comme personne ne s’occupe d’elle, puis-je la baiser en con ou bien lui lécher le cul? …

Tyrone éclata de rire

— Elle est libre, encule la… Enconne la… Si tu le veux, elle te sucera avec cour… Tu peux en faire ce que tu veux en attendant de sauter sa fille! …

Lui écartant les fesses en grand, James entreprit de lui lécher le trou du cul. Caroline était sur le point d’orgasmer, ses nichons étaient en feux…

Soudain elle sentit James engouffrer sa grosse mentule noire dans sa chatoune inondée de cyprine, tout en lui claquant les fesses.

— Bordel quelle chaude putasse! … Tortille-toi sur mon vit salope! … C’est ça… Comme ça…

L’autre gars, avait la bite enfouie profondément dans sa gorge, Caroline sentit soudain son gland s’expandre, elle sut alors qu’il était sur le point de gicler.

— Uuuuggghhhhhhhh… Avale mon foutre salope! … Avale mon sperme de noir… Uuuuggghhhhhhh… Et jet après jet il se vida les couilles dans sa gorge accueillante, caroline n’en manqua pas une goutte.

Son suborneur se mit à la gifler à tour de bras en, lui prenant le menton.

— Pour une femme mariée t’es une drôle de salope ma chérie, tu me suces la bite mieux qu’une pute… Une chienne blanche en rut! …

Il la gifla à nouveau, Caroline jouit brusquement.

— Je jouiiiiiiisssssssss… Aaaaaaaahhhhhhh… Ahhhhhhh… Avale tout salope! …

Caroline sentait James se vider à gros geysers dans sa cha-toune embrasée, gifle après gifle il se vidait jusqu’à la moelle.

— T’aimes le sexe brutal ma chérie… et la giflant de plus belle.

— Et maintenant nettoie ma bite salope…

— Aahhhhhhhhhh… Oh mon Dieu… Je jouis aussi…

Caroline vit alors son autre client se diriger vers la chambre d’un de ses petits anges.

Caroline entendit Carole sangloter dans sa chambre.

Jake dit alors :

— C’est d’accord les gars, vous pouvez lui bouffer le gazon et lui pourlécher le trou du cul, mais c’est moi qui la baiserais en premier…

Carole poussait des cris étouffés :

— Maman, oh maman… Oh mam… Caroline se figura que quelqu’un lui roulait une pelle interrompant net ses plaintes.

— Allez les gars foutez la à poil… Regardez-moi cette délicieuse chagatte… ha, ha, mon Dieu admirer ces succulents tétons… ces longues jambes bronzées… dépouillez-la de sa petite culotte… oh mon Dieu quelle mignonne petite chatoune! …

Un de ses clients éclata de rire en lui pelotant la croupe :

— Moi je veux me faire son trou du cul… Uuuuummmmm… Mon Dieu, que sa peau est douce… Que son cul est tentant… Mon Dieu palpez donc ce délicieux cul…

Un autre jouait avec ses nibards en s’esclaffant :

— Quelle belle paire de miches! …

James la délaissa se dirigeant vers la chambre de Sue. Tyrone regarda alors fixement Caroline lui enjoignant :

— Et maintenant suce-moi salope! … Bouffe-moi la bite! …

Caroline leva son regard sur lui tout en l’embouchant :

— Je pensais que nous serions tous deux ensemble cette nuit, juste toi et moi…

— Le business d’abord ma chérie… Et maintenant suce moi avec application… Lui rétorqua Tyrone impavide.

Caroline entendit alors Bobby dire à Junior :

— Elle a vraiment u corps somptueux cette petite pute… Un corps de jeune pucelle… Je meurs d’envie d’y goûter…

Junior ne put que grogner, la langue enfoncée jusqu’à la garde dans le trou du cul rétif de Sue, il plongeait profondément dans l’étroit oeillet resserré.

— Caressez-moi ses cuisses, et ses petits nichons? … Bordel, que sa peau est douce et soyeuse… palpez-moi ces nibards…

— Bordel, elle a tellement peur qu’elle vient de pisser sous elle, écartez-vous de mon chemin que je puisse goûter à son urine, elle doit être aussi savoureuse que son petit corps! … Allez ma chérie, pisse-moi dans la bouche, Bordel que j’aime le goût des jeunes pucelles blanches… Aaaahhhhhhhhhhh… Que j’aime le goût de son flot d’or! …

— Maman… Maman… J’ai peur… Maman… Mam…

Slap. Slap…

— Ferme là petite pute… Je vais sucer tes tétons… Bordel que son corps est goûteux… Extirpez vos langues de son con et de son trou du cul qu’elle puisse vous sucer…

Ils éclatèrent tous de rire.

— Maman… Maman… Mam…

Caroline comprit qu’une grosse bite noire venait de forcer ses lèvres.

— Suce-moi salope… Suce ma bite comme ta mère me l’a sucée… Tu n’es plus rien d’autre qu’une suceuse de bite… Regardez la les gars… Elle doit aimer ça… Elle me suce avec application alors je caresse ses charmes… Bordel ses tétons sont succulents… C’est ça les gars… Dépêchez-vous que je puisse à mon tour lui fourrer ma grosse bite dans la bouche! …

Tyrone se vidait les couilles dans la bouche asservie de Caro-line, elle adorait le goût de son foutre, si crémeux et si salé.

— Essuie-toi le visage et viens avec moi voir tes filles se faire baiser! …

Caroline s’assit sur le canapé et entreprit de nettoyer ses cuisses couvertes du foutre de James.

Elle entendit Jake intervenir :

— On s’est assez amusé avec elle les gars… Je veux la baiser maintenant…

Caroline se releva vivement et pénétra dans la chambre. Jake embrassait son petit ange à pleine bouche, un doigt fourré dans sa cramouille. Il rit à gorge déployée.

— Cette petite pute est trempée… Sa chatte dégouline de cyprine…

Il se releva et écarta les cuisses de Carole en grand, elle hurlait totalement paniquée alors que l’épais gland s’engouffrait dans sa chagatte vierge martyrisée.

Carole hurlait de douleur.

— J’ai mal… Om mon Dieu arrêtezzzzzz… Arrêtezzzzzzz… J’ai trop mal… Elle hurla de plus belle quand Jake enfouit sa grosse bite en elle massacrant son hymen.

— Je vous en prie arrêtez… Oooooooohhhhh… Que j’ai mal…

Les épaisses lèvres de Jake se posèrent alors sur les siennes. Jake coulissait âprement en elle, chaque fois il la pénétrait plus profondément, dévastant son fourreau d’amour tout endolori.

La jeune Carole n’avait jamais ressenti de telles sensations au-paravant.

Ce bâtard de nègre l’avait copieusement pelotée, tandis que d’étranges chaleurs lui embrasaient le corps.

Tout d’abord, elle se sentait coupable, souillée et endolorie, mais maintenant son corps la brûlait toute…

— Mon Dieu que c’était bon… Elle ne savait pas ce qu’étaient ces nouvelles sensations, mais cet émoi était si enivrant…

Jake l’empalait de plus en plus profondément, Caroline voyait sa petite Carole se cambrer sur les hanches pour mieux accueillir les coups de boutoir de Jake, elle gémissait sourdement.

Jake empoigna les longues jambes blanches de l’ex-pucelle et les verrouilla dans son dos musclé. Il l’embrassa de plus belle en enfouissant ses 30 centimètres de bite dans sa chatoune distendue, elle poussait des grognements satisfaits.

— Ooooooohhhhhhh… Aaaaaaahhhhhhhhhh… gémissait-elle, Jake la labourait âprement, il ressentait une folle joie de dépuceler cette jeune blanche.

Il baissa les yeux sur le visage extasié de sa ravissante proie.

— Baise-moi plus fort… Encore… Oh mon Dieuuuuuu… Je jouiiiiiisssssssss…

Il se déversait à torrent dans la chatte de la jeune blanche dépucelée, jet après jet il lui tapissait l’utérus.

Il extirpa sa grosse bite de sa chagatte dévastée avec un "plop" sonore…

— Poses tes fesses là et nettoie ma grosse mentule noire avec ta langue.

Carole lui obéit servilement.

Caroline gagna l’autre chambre où se trouvait Sue la jumelle de Carole.

Elle était accroupie sur le visage de Junior, un gros chibre noir fourré dans sa bouche.

Les yeux de deux autres comparses étaient braqués sur eux, ils brillaient de concupiscence.

Junior lui broutait la moule, elle gémissait sourdement.

— Bordel je veux me la faire! … Poussez-vous les gars que je baise cette somptueuse petite salope! … Je veux sentir son étroite petite cramouille enserrer mon épaisse mentule! … Relève-toi Junior, que je puisse la posséder! … Bordel ce que j’ai envie de cette savoureuse pucelle! … Pose-là le cul sur le lit, on la baisera chacun à notre tour! … Regardez les charmes de cette petite salope! … 4 violeurs de jeunes femmes enfermés dans une chambre avec une jeune pucelle blanche! … Elle a les yeux pleins de plaisir! … Elle miaule comme une chatte en rut! …

— S’il vous plait… Nonnnnnnn… Je vous en prieeeeeeee… Pas ça… Nonnnnnnnnnn…. Les suppliait la jeune fille affolée, Bobby la gifla rudement en plein visage.

— Ferme ta gueule salope! …

C’est à peine si Sue avait déjà embrassé son petit ami auparavant, jamais un homme n’avait palpé ses charmes intimes.

Ce bâtard venait de dévaster son jeune corps, il l’avait violentée sans vergogne, cependant son langage des plus vulgaires l’excitait au plus haut point.

L’énorme queue de Bobby s’engouffra dans sa mignonne petite cramouille, à peine l’eut-il pénétré que déjà il était sur le point de jouir en elle.

— Bordel sa chatte est brûlante comme l’enfer… C’est la pre-mière fois qu’elle se fait fourrer! …

— J’ai mal… Je vous en prie… Arrêtezzzzzzzz… Ca fait mal… Je vous en prie… Arrêtezzzzzzzzzzz… Pleurnichait-elle misérablement.

Slap… Slap…

— Allez petite salope tortille ton cul! …

Bobby débordait de joie.

Sa bite le brûlait depuis qu’il avait déchiré son hymen… Son fourreau s’avérait aussi trempé de cyprine et qu’étroit.

— Oooooohhhhhhhhh… Aaaaahhhhhhh… Mon Dieu… Epargnez-moi… Ayez pitié… Je vous en supplie…

Sue n’était pas qu’endolorie, elle était submergée par un intense plaisir, elle se sentait souillée mais son corps la brûlait tant son excitation était grande.

— Allez, baise-la Bobby… Fourre-moi cette petite salope blanche… Je crois qu’elle aime se faire baiser… Allez les gars matez son grand corps noir allongé sur cette petite blanche! … Suce ses tétons Bobby… Ils sont adorables… Je n’en peux plus d’attendre pour la baiser! … Quelle petite salope! …

Tyrone empoigna le bras de Caroline et l’entraîna sur le canapé lui offrant un joint. Ils fumèrent de concert écoutant attentive-ment les grognements de plaisir emplissant la chambre.

Une fois sorti de l’hôtel, Tyrone intima à C

Caroline

— Je veux que tu descendes la rue en roulant des hanches, tu vas jusqu’au croisement et tu reviens.

Des voitures ralentissaient sur son passage, deux jeunes bran-leurs lui demandèrent combien elle prenait pour une pipe, un vieil homme voulait lui pisser dans la bouche…

Une voiture s’arrêta le chauffeur l’interrogea :

— Hey chérie… Combien tu prends pour une passe? …

Arrivée au croisement 2 jeunes ados la sifflèrent et l’interpellèrent à leur tour :

— Hey salope… T’es vraiment bien carrossée… Combien…

Caroline n’en revenait pas de ces chaudes propositions, cela la troublait énormément alors qu’elle revenait vers Tyrone.

— Tiens voila 100 $ pour m’avoir livré tes filles! … Autre chose maintenant… Jake prendra soin de toi lorsque je serai parti… Approche que je tâte ta chatoune… Mais elle est trempée… C’est les propositions de tous ces éventuels clients qui t’émeut tant que cela? … Réponds-moi…

Caroline ne put qu’approuver son sentiment :

— Oui… J’ai… J’ai aimé ça! …

— C’est excellent, nous allons te faire faire le trottoir, tu vas nous rapporter pas mal de fric! … Nous nous partagerons les gains Jake et moi… Tes filles t’accompagneront… A mon retour je me ferai ta plus jeune… Elle sera à moi…

Caroline ne put qu’approuver de la tête.

Lorsqu’ils retournèrent dans la pièce, 4 des clients rhabillés fumaient u joint assis sur le canapé.

caroline pénétra dans la chambre occupée par Carole, un homme l’enculait alors qu’elle suçait la bite d’un autre

— Ohhhh mon Dieuuuu… Cette jeune salope baise comme une déesse grommelait son enculeur tout en lui claquant les fesses.

Caroline gagna alors la chambre occupée par Sue. Ses 4 clients la mignotaient avec concupiscence. Ils meurtrissaient son jeune corps.

L’un d’eux déclara soudain :

— Je vais la baiser à nouveau… Bordel ce qu’elle est ban-dante… Sur ces mots il lui enfourna sa bite en pleine bouche.

Caroline s’assit sur le divan. Jake et Tyrone discutaient en riant aux éclats. Des grognements sourds émanaient des deux chambres.

— Ce sont mes filles qui gémissent aussi lubriquement… Su-bodora-t-elle rapidement, J’espère qu’elles prennent leurs pieds! …

4 clients les quittèrent après avoir salué Jake et Tyrone. Les 4 autres sortirent des deux chambres en remontant leur pantalon.

— Bordel les gars… C’était délicieux… Quelles petites salopes! … Elles vont faire des putes sensationnelles! … Rirent-il en chour.

Ils les quittèrent sur ces mots.

Caroline pénétra à nouveau dans la chambre de Carole.

Son corps était couvert d’épaisses traînées de foutre. Son visage était couvert de sperme. Ses cheveux étaient empesés… des rigoles de foutre suintaient de son con et de son trou du cul. Caroline s’assit à son coté, elle racla la couche de semence qui embourbait son visage avec ses doigts qu’elle suça machinalement.

— Tiens ma petite chérie suce mes doigts… C’est du foutre de tes clients… Il est vraiment goûteux… Et maintenant tu vas te nettoyer pendant que je m’occupe de ta sour.

Sue était étendue sur le lit cuisses grandes ouvertes. Ses lèvres saignaient à force d’être giflée. Son corps était couvert de foutre, de la semence crèmeuse, blanchâtre s’écoulait de son trou du cul, et de sa chatoune.

Son corps était meurtri, on distinguait clairement les traces de coups et les marques de morsures qui couvraient ses cuisses et ses jeunes nichons.

Sue gémissait :

— Ohhhh que c’était bon… Nonnn pas ça… Mon Dieu, mon corps me brûle… Oooooooohhhhh, aaaaahhhhhhhhhhh…

Caroline constatait avec joie que Sue venait d’éprouver ses premiers orgasmes.

Les filles étaient calmes dans la voiture, caroline pensait déjà à l’avenir qui les attendait, elles devraient toutes trois se prostituer, faire le trottoir pour Jake et Tyrone.

Elles embrassèrent tendrement leur père sur la bouche. Ces baisers lubriques le choquèrent profondément.

Le révérend Mike léchait le sperme de James qui s’écoulait de la chatoune de son épouse tandis qu’elle lui racontait comment ses filles avaient appartenus à 8 hommes, 4 pour chacune.

Elle décide de ne pas l’avertir, pour l’instant qu’elles allaient faire le trottoir pour leurs deux souteneurs.

Elle entendit son mari haleter.

— Oh mon pauvre chéri… Mon cour… Tu jouis sur mes che-villes… Ha, ha, ha… Lèche-moi la foufoune avant que nous allions coucher…

Caroline ferma les yeux sous les caresses de la langue de son mari.

Le 30 mars 2009

Texte de Stevecom collecté sur Sex Stories Post

Traduit par Coulybaca

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