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Ma tendre maman – Chapitre 2




Vendredi soir, une semaine avant l’arrivée de maman, je l’appelle :

Bonjour mon homme !

Bonjour ma maman chérie !

On fait une visio, j’ai très envie de te voir mon fils !

Avec plaisir ma petite maman, moi aussi, je veux te voir !

La visio démarre, le visage d’Hélène apparaît à l’écran, et encore une fois, je suis troublé, qu’elle est belle ma mère, les images de son corps nu me reviennent à l’esprit !

Tu es là mon chéri ?

Oui ! Oui ! Je réfléchissais à un truc !

Je ne peux pas avouer à ma mère à quoi je pense à cet instant précis, vais-je avoir le courage, quand elle sera chez moi, de lui dire ce que je ressens pour elle ? J’en arrive à la conclusion qu’il faut laisser faire les choses. « Qui vivra verra ! »

Nous continuons à discuter et Hélène m’annonce qu’elle a pu obtenir son vendredi après-midi, elle prendra le train vers 13 h et arrivera à Biarritz le soir.

Je suis aux anges de revoir maman au bout de quatre mois, nous qui vivions avant ensemble tous les deux. Il me reste une semaine pour ranger mon appartement, faire le ménage et remplir le frigo.

Un dernier coup de fil de maman, pour me donner son heure d’arrivée. Le vendredi matin en partant au boulot, j’ai une boule au ventre, je suis fébrile, comment va se passer cette semaine de cohabitation ?… La journée me semble longue, j’ai l’impression que la pendule fait du surplace. Ouf, enfin ma journée de travail se termine, je vais enfin retrouver la femme qui fait battre mon cur. Je repasse chez moi prendre une douche et me changer, et direction la gare, je suis toujours aussi fébrile, comme un adolescent qui se rend à son premier rendez-vous. Je suis en avance, je fais les cent pas sur le quai, le train est annoncé, il entre en gare. Le flot de passagers descend, j’essaye de repérer Hélène. Ah la voilà, quand elle m’aperçoit un grand sourire lui barre le visage, arrivée à ma hauteur elle lâche sa valise, me prend dans ses bras et me couvre de baisers.

Mon chéri, ça fait si longtemps que je ne t’avais pas serré dans mes bras, que ça fait du bien !

Pour moi aussi ma petite maman chérie !

Je profite de cet instant de retrouvailles, pour lui déposer un baiser au coin des lèvres, Hélène ne dit rien de mon audace et semble ravie de mon initiative.

Nous prenons la direction de la voiture, je tracte sa valise, maman me surprend en me prenant le bras tout en se collant contre moi, on dirait deux amoureux qui se retrouvent, mais qui dans cette foule pourrait croire que nous sommes mère et fils !

Arrivés chez moi, maman visite mon appartement, et semble enchantée, je lui montre la vue que lon a sur la ville depuis le balcon. Mon immeuble se situe sur les hauteurs de Biarritz. Nous arrivons sur le sujet du couchage, j’ai bien deux chambres, mais un seul lit, la deuxième chambre est mon bureau, j’avais prévu de dormir sur le canapé. En lui suggérant cette idée, Hélène refuse catégoriquement.

Il est hors de question que tu dormes là, ce nest pas confortable, on dormira ensemble.

Mais maman !

Il n’y a pas de mais ! Pourquoi, tu as honte de dormir avec ta vieille maman ?

Tu rigoles, tu es loin d’être vieille, tu es magnifique !

Mes propos touchent Hélène, qui, pour me remercier, me prend la tête entre ses mains et me dépose un tendre baiser sur le front, ce qui me fait frémir.

Après s’être changée, Hélène en jogging bien moulant me met encore dans tous mes états, à croire qu’elle veut à tout prix me provoquer. Nous mangeons tout en discutant. Après le repas, un petit tour sur le canapé pour notre sacro-saint café, et encore une fois elle me déstabilise, elle est collée tout contre moi, il faut que je tente quelque chose, c’en est trop. Mais sois par timidité ou par peur de la froisser, je reste sur la retenue. Demain sera un autre jour.

On va se coucher mon petit homme, je suis fatiguée, le voyage m’a complètement vidée !

Comme tu veux, ma petite maman !

Va dans la chambre en premier, je vais à la salle de bain pour me changer.

Me voilà couché, j’ai gardé mon boxer, d’habitude, je dors nu. Hélène arrive dans la chambre, une vision de rêve s’offre à mes yeux. Elle sest parée d’une nuisette rose pâle satinée, arrivant à mi-cuisses, deux fines bretelles sur les épaules, je distingue ses deux beaux seins qui déforment le tissu, et là c’est « alerte générale » dans mon boxer. Je reste sur le dos sans bouger, de peur qu’elle se rende compte de mon état. On se fait la bise en se souhaitant une bonne nuit, Hélène se tourne, je fais la même chose. Nous nous trouvons dos à dos, ouf elle n’a rien vu de mon état. Je vais peiner à m’endormir, ce n’est pas le cas de ma chère maman, qui dort du sommeil du juste, je perçois sa légère respiration.

En me réveillant, je me sens léger, la plénitude menvahit, une forme de chaleur me traverse le corps.

Me rendant compte de ma position, en dormant, je suis venu me coller dans le dos de maman, ma main posée sur son ventre, avec une érection du matin, et pas une petite ! Je n’ose pas bouger, craignant de la réveiller. Comment sortir de cette situation ? Pourtant, je la désire, la peur de sa réaction me paralyse. Une légère ondulation de son derrière me ramène à la réalité, rêve-t-elle, ou le fait-elle volontairement ? Les mouvements de son joli popotin augmentent, la coquine est bien réveillée, elle profite de la situation, j’essaye de me retirer, sans parler. Elle me retient, et se frotte vigoureusement contre mon sexe tendu au maximum, je prends linitiative de caresser son ventre tout en douceur.

Tu en auras mis du temps pour comprendre !

Je ne réponds pas, intérieurement, je pense que maman veut la même chose que moi, mes caresses se font plus pressantes, sa respiration saccélère.

Maman, je crois que l’on va déraper tous les deux !

Mais j’ai très envie que ça dérape ! Depuis le temps que je l’attends ce moment !

Comment ça ?

Pas de réponse à ma question, Hélène se retourne et me faisant face, avec un sourire enjôleur, ses yeux pétillent de bonheur, elle vient déposer ses lèvres sur les miennes. Sa langue force le passage, et là, je réponds à son baiser, qui devient passionné, nos salives se mélangent, un baiser fusionnel, nos langues jouent la mélodie du bonheur, je deviens entreprenant, ma main a quitté son ventre, elle vient flatter ses seins que je caresse doucement. A bout de souffle, nous interrompons notre baiser.

Hélène voit mon air interrogateur.

Je t’expliquerai après, fais-moi l’amour, depuis le temps que jen rêve !

Une telle demande est impossible à refuser, surtout venant d’une femme aussi belle et que l’on désire, je lui retire sa nuisette, et je revois Hélène complètement nue, ça fait quatre ans que je n’ai pas eu cette vision, elle est toujours aussi désirable, les tétons pointent fièrement, son petit buisson finement taillé, est bien humide, Hélène se met sur le dos.

Viens, pour les gâteries, on verra après, j’ai envie de sentir dans mon minou la chose toute dure qui frottait contre mes fesses !

Je me place sur ma belle, me penchant pour aller chercher ses lèvres, Hélène ne reste pas inactive, sa main me masturbe tout doucement, et me guide vers lentrée de son intimité. J’investis tout en délicatesse son puits doux comme de la soie. Bien que ma belle Hélène mouille abondamment, c’est très serré, cela doit faire un bon moment que ma très chère maman n’a pas eu de rapport sexuel. Hélène me dévore la bouche, je peux lire dans ses yeux tout le bonheur qu’elle ressent de se faire prendre, à la vitesse de l’escargot, je la pénètre en totalité, nos pubis se touchent.

Comme c’est bon de sentir un homme en soi, ça faisait si longtemps !

Pour moi aussi c’est énorme de te faire l’amour !

Comme c’est chou ce que tu me dis !

Je commence à bouger, mais Hélène me stoppe.

Attends un peu que je me réhabitue d’avoir un sexe en moi !

Jouant les coquins, je comprime mon sexe pour bien appuyer ses parois vaginales. Ce qui déclenche chez Hélène dénormes soupirs.

À toi maintenant, mais sois doux mon chéri !

Toujours lentement et langoureusement, je ressors en laissant juste le gland au chaud, puis reprends ma progression, déclenchant un énorme « Waouh ! » de la part d’Hélène, à croire que c’est la première fois qu’elle fait l’amour. Je prends tout mon temps pour que nous puissions profiter de cet instant magique, ne pas se précipiter, pour en garder un souvenir magique. Notre union est dantesque, nous ne faisons qu’un, je rame dans son antre, tout en douceur, mes mouvements sont amples. Hélène me dévore avec les yeux d’une femme amoureuse, en accélérant progressivement, elle commence à gémir de plus en plus fort, ses bras m’enserrent au niveau des reins.

C’est un pur bonheur de faire l’amour avec toi mon homme !

Maman, je prends un plaisir fou de te faire l’amour !

Le point de non-retour approche pour nous deux, encore quelques mouvements et la soupape saute, nous partons dans une jouissance fulgurante. Tout en jouissant, Hélène plante ses ongles dans mon dos, ce qui m’électrise encore plus. Plusieurs jets de ma semence frappent sa matrice avec vigueur, notre plaisir est tellement fort, que nos cerveaux déconnectent, je me retrouve allongé sur ma belle à bout de souffle et dans un état second. La notion de temps disparaît, les douces lèvres de maman me ramènent à la réalité, et nous repartons pour un long baiser, ma virilité toujours plantée bien au chaud.

Je me répète mon chéri, cétait fantastique, depuis le temps que je l’attendais !

Je naurais jamais cru qu’un jour nous ferions l’amour tous les deux, mais maintenant explique-moi pour quelle raison tu voulais que ça dérape entre nous deux ?

Allonge-toi à côté de moi et prends-moi dans tes bras, je vais tout t’expliquer.

À suivre…

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