Clémentine est une femme au caractère bien trempé, elle sait ce qu’elle veut et surtout ce qu’elle ne veut pas. Ce qu’elle ne veut pas c’est par exemple qu’on l’importune quand elle est sur la plage, c’est pourquoi elle n’y va jamais seule. Je lui sers donc de garde du corps. J’adore garder son corps, surtout quand il faut faire une garde rapprochée. Ce jour là, nous sommes tous les deux sur les rochers. Nous ne sommes que tous les deux car Anne et Lola passent le plus clair de leur temps à s’aimer sous ma tente.
Un couple, s’installe à côté de nous. L’homme a l’air très contrarié tandis que la femme parait très heureuse avec un grand sourire. Elle nous salue et pose sa serviette à côté de Clémentine. Les places étant chères dans le coin, l’espace entre les deux serviettes est réduit au minimum. Elle s’allonge sur le ventre et pose sa tête sur ses bras en regardant dans notre direction. L’homme s’installe à ses côtés et veut lui caresser le dos. Elle se retourne.
— Je t’ai dit que c’était fini, quand je dis quelque chose, ce n’est pas pour revenir dessus. Le sujet est clos, je reprends ma liberté et je te rends la tienne.
— Enfin, tu ne vas pas me jeter comme ça?
— Je ne te jette pas, je te libère.
Le ton commence à monter et il faut qu’un voisin de l’homme lui fasse comprendre qu’on était sur une plage pour être tranquilles. L’homme se lève, prend sa serviette et part assez en colère.
— Excusez-moi pour ce qui vient de se passer, mais je n’arrivais pas à me défaire de cet homme, je pensais qu’il me laisserait tranquille sur les rochers. Permettez-moi de me présenter, Françoise, trente ans, de nouveau célibataire.
— Clémentine, trente deux ans, et Jean, trente six ans, pas complètement célibataires, mais assez disponibles.
Clémentine me regarde avec un petit sourire et pose ses lèvres sur les miennes. Je me pose des questions sur le sens de sa présentation. Je me mets sur le ventre, pose mon bras sur la taille de Clémentine et je m’assoupis en caressant son dos. Clémentine est sur le ventre aussi et ma main s’attarde un peu sur ses fesses. Tout à coup, je sens une autre main sur le dos de Clémentine. Je lève la tête et je constate que Françoise regarde Clémentine en lui caressant le dos. Clémentine a l’air d’apprécier puisqu’elle ne bouge pas. Je retire ma main et Françoise en profite pour poser la sienne sur les fesses de Clémentine. Celle-ci a un discret mouvement des hanches. Elle se saisit de la main de Françoise et se retourne vers moi.
— Allons dans la tente.
Nous nous levons, Françoise hésite mais Clémentine la tire par la main et lentraîne avec nous. Je suis les deux femmes et je peux détailler Françoise. Elle n’est pas très grande, svelte, presque trop mince, avec deux très beaux seins un peu lourds, des hanches généreuses, une toison coupée très court, des fesses qui attirent la main et un joli visage.
Nous arrivons à la tente pour constater qu’Anne et Lola sont dedans, elles dorment enlacées. Françoise les regarde avec une sorte d’envie dans le regard.
— Elles sont magnifiques.
— On peut le dire, mais il faut les réveiller.
— Non Clémentine, laissons les dormir, allons chez moi, j’ai loué une petite villa juste à côté, je suis là jusqu’à demain et je voudrais un peu en profiter sans ce grand con.
Arrivés à la villa, elle nous entraîne dans le salon et pousse Clémentine sur le divan lit encore ouvert. Clémentine est sur le dos, les jambes ouvertes et Françoise se jette sur son sexe. Clémentine pose ses mains sur la tête de Françoise en fermant les yeux. Françoise s’occupe de sa vulve tandis que je me penche sur elle pour m’emparer de ses seins avec ma bouche.
— Oh oui, vous me faites du bien, oui, continuez.
Je lui mordille les seins, les suce, les aspire, les titille avec ma langue pendant que Françoise lui aspire le clitoris.
— Oui, ça y est, je viens, je jouis, oui, je jouis.
Clémentine soulève son ventre pour offrir son sexe à Françoise, celle ci s’active encore plus et Clémentine explose de plaisir. L’atmosphère redevient sereine, Françoise se retourne vers moi et se saisit de mon sexe. Elle me masturbe lentement pour bien faire monter la pression. Clémentine est toujours sur le dos, les jambes ouvertes et les bras en croix. Une fois que je bande à mort, Françoise s’écarte et me libère l’entrecuisse de Clémentine. Je me positionne sur elle et doucement fait entrer ma bite dans son trou d’amour. Je sens la chaleur de son sexe m’envelopper, je progresse doucement et Clémentine commence à réagir. Elle soulève légèrement son ventre pour me faciliter la tâche. Ses mains se posent sur mes fesses et appuient pour que j’aille bien au fond de son vagin. Je sens sa matrice sur mon gland. Elle appuie encore plus.
— Oui, bien au fond, je veux te sentir bien au fond. Ne bouge pas, reste comme ça un petit moment.
Je m’immobilise un moment mais je sens ma bite ramollir. Je fais de petits aller-retour pour la maintenir en forme. Ses mains se crispent sur mes fesses.
— Vas-y maintenant, vas-y, fais moi l’amour.
Je reprends mes aller-retour lentement, bien à fond, sur toute la longueur de ma bite. Au final, je la pistonne en sortant ma bite de son sexe pour la ré-entrer immédiatement.
— Oh oui, continue, plus vite, plus vite.
J’accélère mes va-et-vient jusqu’à ce qu’elle parte dans un violent orgasme. Françoise lui caresse les seins en se masturbant. Clémentine se calme, elle ferme les yeux, met les bras en croix et reprend sa respiration. Françoise me fait mettre sur le dos.
— Tu n’as pas joui toi.
— Non.
— Je m’occupe de ça.
Elle me chevauche et s’empale sur mon sexe. Son sexe est moins serré que celui de Clémentine, ma bite va librement dedans mais elle se contracte et soudain je sens comme un étau me comprimer la bite. Je suis tellement serré que je jouis en un rien de temps. Françoise se redresse, ferme les yeux la tête en arrière.
— Je jouis, oui, c’est bon ton foutre, c’est bon.
Une fois tout le monde calmé, Clémentine me met au centre du lit, Françoise à ma gauche et elle a ma droite. Je les prends toutes les deux par le cou et les embrase l’une après l’autre.
— J’aime sentir le foutre me remplir le con, je ne peux jouir que comme ça. nous dit Françoise.
— Heureusement parce que tu m’as fait jouir très vite.
Elles se blottissent toutes les deux contre moi en me faisant de petits bisous. Nous somnolons pendant une bonne heure.
Clémentine se réveille la première.
— Il faut aller rejoindre les filles.
Nous allons à la tente, mais il n’y a personne. Nous nous installons sur le grand lit, Clémentine se penche sur Françoise quand les filles arrivent.
— Bonjour tout le monde. Il va falloir monter une annexe, il y a de plus en plus de monde ici.
C’est Anne qui parle en regardant Françoise.
— Nous avons fait des courses, tout le monde à table.
Nous mangeons tous assis par terre sur des couvertures. Comme par miracle, nous nous retrouvons tous sous la grande tente après manger. Anne a fait en sorte de se trouver au milieu de Françoise et de Lola. Toutes les deux se penchent sur elle et commence à la caresser. Anne se laisse faire, la connaissant très bien, je remarque ses narines qui palpitent, c’est le signe qu’elle se donne à fond et qu’elle va avoir un puissant orgasme. Seulement, Anne a besoin de beaucoup de temps pour jouir, il faut constamment la maintenir sous pression. Deux femmes sur elle, ce n’est pas de trop. Clémentine m’attire sur un côté du grand lit, elle se penche sur mon sexe et me demande de m’occuper de son fion. Nous sommes en position de soixante neuf mais, au lieu de m’occuper de son sexe, je m’occupe de sa rondelle que je fais palpiter avec ma langue. Clémentine se retourne, m’embrasse passionnément et me murmure à l’oreille.
— Jean, je veux que tu me sodomises. Je veux sentir ton pieu dans mon cul. Je veux te donner tous mes trous.
— Clémentine, tu es sûre de ce que tu veux, je sais que c’est à la mode, mais tu n’es pas obligée.
— Je le fais pour ton plaisir mais aussi pour le mien. Vas-y, encule-moi.
Clémentine est rarement vulgaire, je suis un peu étonné de sa demande mais je me penche sur son anus et commence à le lécher. Sa rondelle réagit immédiatement, elle est très sensible du fion. Elle maintient la raideur de ma bite avec sa main.
— Maintenant, vas-y, je tattends.
Je la mets sur le dos, pose ses jambes sur mes épaules et plante mon sexe dans son sexe pour le lubrifier. Je ressors de son sexe et présente mon vit sur sa rondelle. Je pousse doucement, elle ondule des fesses, elle apprécie, je pousse un peu plus jusqu’à sentir mon gland avalé par son sphincter.
— Oh.
Je pousse encore jusqu’à toucher ses fesses avec mon pubis.
— Enfin, je te sens bien, ça fait un peu mal mais j’aime sentir ton sexe dans mon cul. Vas-y, sodomise-moi doucement.
Je commence des va-et-vient lents, j’augmente l’amplitude petit à petit, toujours à la même vitesse. Tout à coup, je sens une langue sur ma bite. C’est Lola qui sapercevant que sa mère se fait sodomiser est venue participer. Elle lèche le clitoris de sa mère, et sa langue déborde de temps en temps sur ma bite.
— Oui, ma chérie, oui, tu me fais du bien, continue, je t’aime.
Mes aller-retour sont de plus en plus amples et rapides, Clémentine me serre le cou avec ses jambes, je sens qu’elle va partir quand j’entends Anne pousser un cri de joie.
— AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH oui, oui, oui, encore, encore, je te sens, oui, ooooooooooohhhhhhhhhhhhh
En entendant Anne jouir, Clémentine part à son tour dans un violent orgasme mais au contraire d’Anne, elle jouit en silence.
— HHHHHHHHHHHHHHHMMMMMMMMMMMMMMMM
Seul un petit grondement sort de sa bouche, mais son corps se cabre, est secoué de violents tremblements et de spasmes. Elle me serre le cou au point que j’ai peur pour mes cervicales. Elle se détend petit à petit et se retourne vers Anne.
— Viens.
Anne se rapproche de Clémentine et elles s’embrassent tendrement en se caressant. Lola regarde sa mère.
— Oh maman chérie, que tu es belle, je t’aime.
Elle pose sa tête sur son épaule et ferme les yeux.
Encore une fois, je n’ai pas joui. Françoise vient vers moi et se met à quatre pattes en me présentant son cul. Je me positionne derrière elle, constate qu’elle s’est lubrifié le cul avec sa salive et m’enfonce en elle d’un seul coup.
— La vache, quelle vigueur, vas-y, encule moi, je veux ton jus dans mon fion.
Je la pistonne à toute vitesse en la tenant par les hanches.
— Je vais jouir, je viens.
Je me vide dans son cul et je la sens qui jouit aussi, son cul se resserre sur ma bite et augmente mon plaisir.
— Il n’y a que moi qui n’ai pas joui dit Lola, qui veut s’occuper de moi?
Anne se jette sur elle, Françoise aussi ainsi que Clémentine. Anne est sur son sexe, Clémentine sur sa poitrine et Françoise l’embrasse. Au bout d’un moment, elles échangent leurs places et Clémentine se retrouve sur le sexe de sa fille.
— Oh maman c’est toi, oui maman chérie, oui, je t’aime, oui tu vas me faire jouir.
Je sens Clémentine hésitante, mais elle décide de satisfaire sa fille et sa tête plonge dans le sexe de sa fille.
— Oui, oui, je jouis, maman tu me fais jouir, AAAAAAAAHHHHHHHHHHH.
Lola a pris la tête de sa mère et l’appuie sur sa vulve. Elle se détend, libère sa mère et la fait remonter sur elle. Lola a sa mère sur elle, elle lui caresse les fesses et le dos. Clémentine pose sa tête sur l’épaule de sa fille, son visage exprime le bien être. Lola continue de caresser sa mère en fermant les yeux, elle jouit d’un bonheur parfait. Personne ne bouge, tout le monde est captivé par le bonheur de ces deux êtres qui s’aiment et qui viennent de découvrir à quel point.
Au bout d’une bonne demi-heure, Lola se retourne pour déposer sa mère sur le lit. Clémentine est sur le dos, toujours dans son extase. Lola lui écarte les jambes. Clémentine tente de résister.
— Maman chérie, je veux te rendre ce que tu m’as donné.
Clémentine, comprenant que de toute manière elle ne peut résister, se laisse faire et écarte d’elle-même ses jambes. Lola se penche sur son sexe, titille les lèvres, arrive au clitoris et l’aspire. Clémentine se raidit, se cambre et offre son sexe à sa fille. Anne se penche sur sa poitrine et Françoise sur ses lèvres. Clémentine est prise de tous les côtés et s’abandonne. Comme toujours elle jouit en silence en pressant sur la tête de Lola. Une fois remise de ses émotions, elle attire sa fille sur elle.
— Je t’ai donné du plaisir, tu m’as donné du plaisir, mais je ne veux plus que ça recommence. J’ai joui comme jamais, grâce à toi, mais c’est la dernière fois. Tu as une vie à vivre, vis la avec qui tu veux, mais moi je veux garder ce souvenir de notre seule et unique étreinte.
— Oh maman chérie, toi aussi tu m’as faite jouir comme jamais, je t’aime, j’aime ton corps, mais je ferais comme tu veux.
Lola pose ses lèvres sur celles de sa mère pour un baiser chaste.
— Et si nous allions nous baigner? dit Anne.
Tout le monde met son minimum et se dirige vers les rochers où la nudité totale est obligatoire.
L’après-midi se passe bien et nous rentrons le soir à la tente pour une soirée pleine d’amour et de tendresse.
Mais ceci est une autre histoire.