Trois mois se sont écoulés depuis la dernière fois, ma mère ne donne plus de signe de vie et la police nous dit qu’elle aurait soit disant quitté le domicile conjugal bien que soupçonne qu’elle soit tombée entre de mauvaises mains à cause de ses frasques. Sans doute , subissait elle les pires sévices et autres perversions. Ayant tenté de me renseigner à droite à gauche, je fis chou blanc et personne ne pu me renseigner. je dus me résoudre à accepter l’idée que ma mère se faisait probablement humilier et violer dans un endroit perdu. Beaucoup, me disent pour me consoler, qu’elle l’a bien cherché où que sans doute, s’était son choix et que s’y ça se trouve, elle y prend même du plaisir. Hélas, j’avais du mal à le croire. Mais la vie continue tant bien que mal et je soupçonne même mon père d’avoir à son tour une amante qu’il baise à son travail. Pour le moment, je décide de partir du foyer familial et d’accepter une colloc avec Nadir et sa sour Dounia. Leur mère veuve, était partie vivre avec un mec et leur avait laissé l’appart. Je m’entendais bien avec Nadir et j’étais sorti et avais rompu plusieurs fois avec Dounia. Je dois avouer être accroc à cette nana car à mes yeux, elle avait tout pour être parfaite. Elle mesurait 1m68 pour 57 kg, les cheveux noirs, un visage de belle beurette savamment maquillée et un corps magnifique. Elle n’avait pas de gros seins mais pendant l’amour , elle bougeait magnifiquement bien comme une féline. Mais j’étais instable et elle, bien qu’aimant la baise par dessus tout, cherchait un mec avec les pieds sur terre. Mais j’allais découvrir son petit secret et bien sur en profiter comme il se doit. Un petit secret mais qui selon moi, ne voulait pas le rester sans quoi, on ne m’aurait pas invité à cette collocation. Etant un gros chômeur, je me levais tard mais je croisais de temps en temps Dounia vers 10h du mat à la cuisine commune car elle avait des cours qui commençais tard à la fac. Nous parlions comme des amis et même si ses charmes m’attiraient, je faisais en sorte de n’en rien paraître (mais a mon avis, je devais mal y arriver). Dounia n’avait pas de complexe et n’hésitait pas à se trimballer en nuisette ou en soutif dans l’appart . Son frère, Nadir, ne semblait pas en être affecté et a force de vivre ensemble, le frère et la sour n’avait plus de complexe. De toute façon, Nadir et moi, n’hésitions pas a nous promener en caleçon devant elle. Pendant deux semaines nous vivions paisiblement jusqu’à ce que je découvre le pot au rose. J’étais donc parti faire un tour en ville histoire de boire une bière avec un pote de galère mais voilà qu’en cours de route, dans le bus, je reçois un message sur mon portable indiquant que celui-ci annule le rencard. Un peu vert, je décide de rentrer regarder la télé , ne sachant que faire . En ouvrant la porte de l’appart, j’entends des gémissements de plaisir dans la chambre de Dounia. La jalousie me gagne tout de suite et j’allume la télé mettant volontairement le son à fond pour ne pas entendre les cris de Dounia mais aussi la déranger pendant sa séance de jambe en l’air. Elle avait du se trouver un nouveau copain, sans doute un gros bourge des quartiers huppés comme elle l’avait toujours espéré. A ma grande satisfaction, les cris cessent immédiatement. C’est à ce moment que Dounia, sort avec sa couette complètement surprise.
-Qu’est-ce que tu fais là ?
-Rencard annulé, désolé pour la téle, la télécommande déconne.
Et c’est à ce moment là que je découvre l’incroyable vérité.
-Nadir ? Mais.
Il essayait de sortir de la chambre à poil pour regagner la sienne en essayant de profiter d’être caché par Dounia et sa couette. Hélas pour lui, ce fut pitoyable. Dounia devint toute rouge.
-Mes salauds, vous baisez ensemble ?
Nadir remit son caleçon et baissa le regard.
-Dis rien à personne !
-Pourquoi vous voulez que je le dise ? Mais jamais j’aurai cru.
Dounia alla s’enfermer dans sa chambre.
-Depuis que notre mère est partie, on vit tous les deux seuls et un jour, à force , on s’est rapprochée. Dounia s’est glissée dans mon lit une nuit et c’est comme ça que c’est parti.
-Alors si ça se trouve, j’ai été cocufié par son propre frère. Mais vous êtres des gros pervers vous deux.
— Souviens-toi, j’ai rien dit pour les histoires avec ta mère et j’ai même tenté de t’aider.
-C’est vrai, mais de toute façon, je dirai rien mais moi, maintenant, j’ai bien envie de profiter à nouveau de Dounia. D’abord parce que c’était mon ex et que surtout, si ça se trouve m’a quitté a cause de toi.
On entendit la porte s’ouvrir et là on vit Dounia qui se trouvait à poil droit devant nous. Ses beaux cheveux complètement en vrac.
-Ecoutez, on va pouvoir s’entendre les gars ! Prenez-moi à deux et on en parle plus
Nadir et moi on se regarde tout bête et Dounia nous invite à sa chambre. Cela semblait plus simple pour elle et impossible de résister à cette beurette, nue et au regard lubrique. Nadir me laissa passer en premier dans la chambre avec un petit sourire en coin. Au fond de lui, cette situation l’excitait. Voir sa sour se faire prendre par un autre mec devant lui. Je connaissais aussi la voracité de Dounia et je ne m’étonnais même pas lorsqu’elle se précipita sur mon pantalon pour le déboutonner afin d’extirper mon sexe déjà dur. J’étais accroc d’elle et elle le savait. Elle avait une sacré tête de perverse avec ses cheveux noirs en vrac qui tombait devant son visage et ce regard de chienne en chaleur. Elle commença à me pomper sous le regard lubrique de son propre frère. Il bandait lui aussi et terriblement. Dounia le dévorait le sexe avec ses lèvres pulpeuses. Elle parvenait en même temps à me baisser mon pantalon en entier. Je décidais alors de me mettre à poil. Elle alla donner la pêche à Nadir avec sa bouche magnifique. J’en profitais pour regarder son cul. J’avais beau le connaître, je m’en lassais pas. Je décide alors de la prendre pendant qu’elle pipe Nadir. Comme elle était à genoux, je la levais légèrement en orientant son cul vers le haut pour la prendre en levrette. Elle se laissa faire et je sentis avec mes doigts, que déjà, elle était prête à recevoir mon dard. Je la pénètre alors, sans douceur , beaucoup trop excité. De toute façon, je savais que Dounia aimait le sexe brut et j’avais rarement fait de préliminaires avec elle contrairement aux autres filles. Je me mis à la limer avec force et déjà elle gémissait tout en essayant de pomper son frère du mieux qu’elle pouvait. Ses gémissements deviennent des cris et je commençais à craindre pour les voisins alcooliques qui devaient se douter que ça partouzait dans l’appart à coté. Mais j’étais trop bien en elle et même rien n’aurait pu me faire me retirer d’elle. Nadir , voyant sa sour jubiler, ne peut se retenir et explose en plein sur son visage. Elle tenta d’en avaler le plus possible mais mes coups de bites l’empêchait de se concentrer sur la tache. Je suis au bord de me lâcher aussi mais je parviens à me retirer à temps. Mais déjà Dounia revient sur moi et je dois la mettre sur le lit. Je décide de me la jouer classique, à la missionnaire. Je la soulève légèrement et la pénètre à nouveau alors qu’elle écarte bien les cuisses. A mon tour je me mets à gueuler de plaisir. Dounia ouvre la bouche et renverse sa tête en arrière, le visage souillée de sperme. J’y vais à fond, de tout ce que je peux. J’avais retrouvé ma petite pute et je le lui disais bien crûment. Elle ne dis rien et se contenta de souffler puis de crier son plaisir. De son coté, Nadir s’astiquait comme jamais. Il avait encore de la vigueur malgré avoir juté. Je finis à mon tour par éjaculer. Je libérais tout ce que j’avais après des semaines de non baise à vous faire redevenir un gros puceau. Dounia m’accueillait avec joie et ça m’excitait encore plus. Nadir s’était achevé lui. Je m’affalais sur Dounia, crevé mais heureux. Elle osa me dire qu’elle retombait amoureux de moi alors que seule ma bite l’intéressait. Mais ce jour marqua un tournant dans notre collocation. Nous formions un trio lubrique parfait et Dounia semblait insatiable. Elle en arrivait même des fois à sécher ses cours pour se livrer à sa passion. Du coup, Nadir et moi, on pointait toujours aux Assedic par sa faute car obligé de rester pour la satisfaire. On galérait niveau fric, on mangeait peu mais on se régalait autrement. Mais hélas, à force de la prendre sans capote come on aurait du le faire, la nature revient mettre les choses en ordre. Un jour Dounia rentre à l’appart et nous montre un test de grossesse qu’elle tire de son sac à main.
-Bravo, bande de salopards, vous m’avez mise enceinte. C’est ce que vous vouliez, sale pervers! Je sais même pas qui est le père.
Furieuse, elle nous le lance à la figure, se déshabille et s’affale sur le lit offrant sa chatte béante.
-Maintenant, il faut payer bande de puceaux. Venez!
Nadir et moi on se regarde en soupirant. D’un commun accord on se dit qu’elle était devenue complètement psycopathe.