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voyage de noce africain – Chapitre 8




8ème jour:

Toute la nuit, je ne pensais qu’à Karim. Il n’y avait aucun doute, je ne pouvais lui résister. J’étais prête à accepter n’importe quoi pour sentir son corps. Je savais que c’était uniquement sexuel avec lui, car malgré ça j’aimais Alain. Toute la nuit je voulu sentir Karim, malgré l’aide de mes doigts, il fallait que je le revois avant le breakfast. Je voulais être témoin de son érection matinale. Le spectacle devait être surement plus impressionnant que celle de mon mari. J’aurais toute ma vie pour voir celle de mon mari chaque matin. C’est un peu comme un levé de soleil. A Etretat, c’est joli et je le verrais toute ma vie sans me lasser, mais le lever de soleil sur le Mont Blanc, c’est plus rare donc il faut en profiter.

Vers 5 h 30 du matin le soleil commençait à percer et je savais que c’était l’heure ou notre cuistot commençait à travailler pour préparer le petit-déjeuner et notre lunch. J’avais un peu peur que Boubakar soit présent aussi, mais au fond de moi-même j’avais adoré faire l’amour devant lui ou plus tôt devrais-je dire, être baise devant lui. C’était étrange, il y a deux semaines j’aurais refusé de porter un bikini à la plage, car je suis pudique et maintenant….Décidément la polaire de mon mari allait encore me servir. Je l’enfilée a même mon corps puis sorti. Ce matin-là, je maudis la fermeture de la tente qui réveilla mon mari. Je lui fis un gros bisou sur le front en rajoutant de se rendormir, j’allais seulement un besoin et me dégourdir les jambes.

Arrive sous la tente cuisine, Karim était en plein travail. Il me dit qu’il n’avait pas le temps ce matin en souriant et me demanda pourquoi je ne restais pas avec mon mari. Je n’ai pas eu le courage de lui mentir et lui répondit que lui seul pouvait me faire jouir comme cela et qu’il me baisait comme un apollon. Déçu je reparti, après tout, n’étais-je pas que son jouet ? Je le savais, j’étais sous son charme, toxico de lui, une Karimomane.

A peine ai j’eus le temps de faire 1m qu’il me plaqua contre la poutre centrale en métal de la tente. Il souleva ma polaire jusqu’aux épaules, et poussa encore plus fort contre la poutrelle qui se logea entre mes seins. Sans autre forme de préparation, il me planta de son dard. J’étais tellement mouille que je ne ressenti aucune douleur. D’une main il poussait ma tête coutre la poutrelle et de l’autre masturbait mon clito pendant qu’il me besognait. Je crois que ce fut la première fois de ma vie que je pris un orgasme aussi rapide. Je n’ai pu compter le nombre de fois que j’ai joui mais heureusement que j’étais coince contre la poutrelle car je n’avais plus de force dans mes jambes. Sentir ses doigts sur mon clito pendant qu’il me faisait l’amour, pardon je voulais dire me baisait, fut sensationnelle.

J’étais prise entre deux poutres, une froide et métallique et une chaude en ébène Karim savait comment me faire jouir. Aujourd’hui encore je me souviens de ce qu’il m’a dit en me baisant (j’ai du mal à dire ce verbe) avec son accent africain: " T’aime ça petite salope de bourgeoise ! Te faire défoncer par un homme, un vrai. Toi t’aime la queue, la vraie. Ça te change de celle de ton cocu de mari ! Dit moi qu’il en a une petite ! Aller dit le moi qu’il te baise mal petite chienne "Entre deux coups de bites, je ne pus que lui répondre par oui, qu’il me faisait jouir comme mon mari ne sait pas faire. Je lui demandai après ça qu’il se taise et accélère. Je crois que c’est la première fois qu’il m’a obéi. Je ne touchais plus terre, pris entre lui et la poutrelle.

Soudain il arrêta de me baiser, me fit mettre à genou. C’était l’heure de ma dose de protéines. J’ouvris en grand la bouche et là, il s’arrêta et me regarda avec un grand sourire et m’ordonna de fermer les yeux. Je senti une main sur mon front qui me pencha la tête en arrière et au bruit je deviné qu’il se branlait quand soudain je senti contre mon visage son gland qui ne mit que quelque seconde à décharger son foutre tiède. Je le senti éjaculer sur ma joue gauche puis celle de droite, sur mon front, sur mon menton et une dernière giclée sur mes lèvres Il m’ordonna de partir, me poussant en dehors de la tente. J’eus juste le temps de baisser ma polaire avant de sortir. Juste avant de rejoindre ma tente, je croisai Boubakar qui me découvrit recouvert de sperme. Avec un grand sourire il me demanda si le réveil avait été agréable

Je fus bien contente d’avoir laissé ma trousse de toilette entre les deux toiles de tente. Mon mari entendit de nouveau le zip, mais ne me vit pas. Le voile de la moustiquaire me cachait de lui. Je lui dis juste que j’allais me laver les dents et le visage et que je revenais. Pauvre Alain, je lui ai toujours refusé de le sucer et pendant notre voyage de noces j’étais devenu accroc au sperme de notre cuisinier. Je ne sais pas si c’est un antirides, mais ce matin j’avais mon masque de beauté. Pourquoi étais-je devenu comme ça? J’étais timide, je n’ai eu d’yeux que pour Alain. Et là, tout volait en éclat. J’aimais que Karim me baise, j’aimais que Boubakar nous voient. C’était dangereux pour mon couple mais j’aimais ça. Après tout ce n’est pas de ma faute si Alain ne sait pas me faire jouir. C’était décidé, je voulais profiter de Karim jusqu’à la fin de mon voyage de noces après, il sera tant de jeter un voile sur cette escapade.

Aujourd’hui, ce devais être une longue étape avant la journée de repos, pour arriver à un village a flan de la fameuse falaise Dogon. Je décidai de ne rien porte comme sous-vêtements. Une sorte d’hommage à mon maitre. Je voulais qu’il le sache, prétextant d’aider à mettre la table pour le petit déjeuner, je parti chercher la bouilloire d’eau et de lait. Une fois sous la tente, devant lui je défis mon soutien-gorge pour lui donner et enleva mon short et mon string. Je me dépêchai de remettre, car tout le monde attendait les boisons. En partant je lui glissai mes deux sous-vêtements dans la main en lui disant que je n’en avais plus besoin.

Que c’était agréable de marcher comme. Pourquoi s’encombrer de choses inutiles. Pendant la pose du lunch alors que chacun vaguait à divers occupations certains lisaient, d’autre dormait. Mon mari fessait de ce dernier groupe. Je vis éloigner Karim et décida de le suivre et une fois hors de vue du reste du groupe le rattrapa et alors que je commençais à glisser ma main sous sa djellaba, il me dit qu’il ne voulait pas ici, que je devais obéir, de m’attendre ce soir à la sortie du village ou le torrent formait un petit lac. Me rajoutant de l’attendre nue dans le lac. Avant d’arriver à ce fameux village, nous en avons croise un autre ou mon mari eu la bonne idée de m’acheter un ensemble africain bleu et blanc. Une jolie robe et une sorte de bustier, me laissant le nombril à l’air. Vous savez le genre de souvenir que l’on porte sur place et une fois rentré en France, fini au fond du placard.

Une fois arrive au village et les tentes montées, je parti au fameux rendez-vous, en prenant soin de prendre dans mon sac, ma nouvelle tenue. En effet un lac s’était forme encastrer entre des rochers et une berge formant une petite plage. Oh c’était plus un étant, car les deux rives n’étaient espace que de trois mètres En face de la berge, le rocher en devers formait comme une estrade. Je pense que les femmes du village devaient l’utiliser pour sécher le linge. Une fois sur la berge, je laissai mes affaires et me glissa nue dans l’eau. Ce fut très agréable après une longue journée de marche. Je senti arrive dans mon dos Karim qui se mit à embrasser mon cou et titiller mes seins. Il devait être d’humeur joueur, car il me mit un ruban sur les yeux et me demanda de me laisser faire… Je le senti me porter sur la berge, me fit mettre à genoux et commença à jouer avec sa langue sur mon clito. Même ça, il le fessait divinement bien. Il ne mit pas longtemps à planté sa large queue en moi. Prise en levrette comme ça je le sentais au plus profond de moi. Je le sentais taper au fond de moi. Je trouvais que ses mains étaient bien baladeuses; surtout son pousse qui commença à glisser dans petit trou. C’était la deuxième qu’il jouait avec après ce fameux diner Après de longs va et vient il se dégagea et je senti son gland contre mon illet, je voulais bien sentir son pouce en moi, mais là c’était une autre histoire. Déjà que je le refusais à mon mari qui a un organe nettement plus petit, je n’allais pas céder Voyant mon refus Karim en vraie gentleman n’insista pas et me repris par le minou. Il me prenait tellement fort que le claquement de son pubis contre mes fesses raisonnait. San faire de jeu de mots c’était agréable de baiser (finalement je me suis fait à ce mot) dans le noir avec…. un noir.

Il éjacula au fond de moi. Je sentais son sperme me tapisser les parois de mon vagin. Vue la pression qu’il dégagea je pouvais même dire qu’il me rinçait les ovaires. Je ne fus qu’à moitié surprise quand je senti sa queue toujours raide dans ma bouche. Sentir ma mouille et son sperme mélanger sur son sucre d’orge était un régal pour mes papilles. Je le senti s’allonger et me diriger sur lui. J’étais assise sur son ventre dos à lui et face au rocher. Il m’ordonna de m’empaler moi-même sur sa poutre. Ce que je fis avec la plus grande satisfaction; dirigeant son sexe contre ma vulve pour me laisser tomber sur lui. C’était la première fois que j’étais à la baguette. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’utilisai des mots jamais sorti de ma bouche avant cela. Je lui demandais d’aller plus fort. Je sentais ses mains sur mes fesses pour me faire monter plus haut et accélère ma chute sur son mat. Alors que je commençais à fatiguer. Il me maintint bien enfoncer sur lui et me dit: " je vais enlever ton foulard, si tu t’arrêtes, plus jamais tu ne gouteras à ma jolie queue, il faudra te satisfaire avec le vermicelle de ton mari."

Je me remis à le chevaucher. Je sentais une de ses mains masturber mon clito en même temps tandis que sa deuxième main ôta mon foulard. En ouvrant les yeux je découvris sur le rocher une vingtaine d’hommes nous observer, tous assis sur ce rocher. Toutes les générations du village étaient présentes. Je ne pus que m’arrêter de chevaucher Karim tellement je fus surprise et un peu gêné quand même Karim me rappela son marché et je recommençai à le chevaucher face à la foule. Il me souleva, me fit mettre à genoux et déchargea tout son sperme sur ma poitrine. Alors qu’il s’enfui, le public d’homme commença à applaudir. Que faire maintenant me rhabiller sans me laver et Alain ne sentirait sans aucun doute l’odeur de sperme sur moi ou bien me laver devant l’assistance ou je reconnu Boubakar et certains de nos porteurs. Je n’avais pas bien le choix et me glissa dans l’eau pour me rincer en essayant de fuir leurs regards et leur tourner le dos. Je me vêtis rapidement pour rejoindre le camp.

En sortant de l’eau j’avais mis ma tenue africaine. Elle était très légère et je me sentais presque nue en revenant au camp. La jupe était très longue m’arrivant jusquaux chevilles tandis que le haut qui commençait au-dessus du nombril, s’arrêtait en dessous mes épaules pour laisser ceci nu. Boubakar nous proposa de visiter rapidement le village avant le diner, laissant Karim travailler. C’est au bras de mon mari que je visitai le village. Arrive sur la petite place centrale, le chef du village nous accueilli et Boubakar fit la présentation de chaque personne du groupe au chef ainsi qu’à tous les habitants du village, heureux de voir des touristes arriver avec leurs euros en poche. Quand ce fut au tour de notre couple d’être présente, il nous décrivit comme un couple juste marier qui c’était juré fidélité pour l’éternité. Tous les hommes applaudirent. Alain les remercia, mais je savais que tous ces hommes m’avaient vu me faire baiser par Karim et savaient mon mari cocu après 15 jours de mariage. Alors que nous visitâmes d’étroites ruelles escarpées, nous fumes le couple le plus entoure. Les enfants suivaient les autres couples pendant que tous les hommes nous suivaient; et beaucoup me savait nue sous ma robe. Ce jour-là je senti un nombre effroyable de mains se poser sur mes fesses par erreur. Tout le monde sauf mon mari savait que j’étais la petite chienne du cuisinier.

Le groupe nous suivi jusqu’au camp. Karim profitant de la foule vint me rejoindre et dit que si je voulais gouter de nouveau à son sexe. Il fallait que je lui cède mon dernier pucelage. Je pouvais tout accepter de lui, mais pas ça. C’était trop sale et vu la taille de son sexe, c’était physiquement impossible. Pas naturel en quelque sorte. L’intrusion de son majeur ou de son pouce ne m’avait pas dérangé, mais je pouvais jurer sur la tête de mon mari ou sur la bible, qu’il n’y aurait rien d’autre que son doigt au singulier dans mon petit trou, devant mon refus, il me dit que ce n’était pas la peine de venir ce soir si je refusais de le faire. Sur le coup je fus un peu triste, mais je ne voulais pas céder Après tout ce n’était pas mon mari, fallait pas abuser. Il ne fallait pas pousser mémère dans les baobabs. (Je sais, limite comme humour)

Une fois le groupe de villageois parti, nous avons commencé le repas autour du feu. Karim ne me regarda pas une seule fois, m’ignorant totalement. Je savais qu’il jouait avec mes nerfs. Une fois le diner fini, le groupe de nouveau l’appela pour partager le thé et café ainsi qu’une panière de dattes ensemble. Il vint s’asseoir à côté de moi, ce qui immédiatement me troubla. Boubakar comme pour écarter mon mari demanda à s’asseoir à ma droite, prétextant l’entretien du feu. Je trouvé ce soir-là que Boubakar était particulièrement causant avec mon mari, essayant surement de le distraire.

Rapidement je senti la main de Karim à l’intérieur de ma jupe africaine. Je le trouvais plein de sang-froid et imperturbable. Il continuait de discuter avec tout le monde alors que sa main caressait mes fesses. Rapidement je senti un doigt se glisser dans mon anus. Vu la longueur qu’il glissa en moi se devait être son majeur. Je le sentais faire des mouvements circulaires dans mon petit trou de plus en plus large. Heureusement que grâce à la pénombre personne ne pouvait me voir rougir. Il faut que j’ai l’honnêteté de dire que au fur à mesure la sensation de son doigt devint agréable Le plaisir monta encore d’un cran quand je senti un deuxième doigt se frayer le passage. Je regrettai même quand il retira sa main lorsque la corbeille de dattes arriva vers nous. Je le vis prendre deux dattes. Une qu’il mangea de suites et l’autre en attente. N’étant pas fan de dattes je passai mon tour. Je senti la main de Karim revenir à sa place préféré. Je senti ses deux doigts m’investir encore plus profond. Qu’elle ne fut pas ma surprise de continuer de sentir ses doigts alors que sa main gauche était de nouveau en dehors de ma robe. je compris pourquoi lorsqu’il prit une datte dans la panière et me la montra. Je vis sa main descendre de nouveau dans ma robe et il enfonça la seconde datte dans mon anus. De ses deux doigts il l’enfonça le plus profondément possible. A chaque passage de la panière, une datte disparaissait en moi. Au 6ème passage, il me demanda de lui donner moi-même une datte. Ce que je fis sans broncher. A chaque passage je lui donnais une datte. Et fur à mesure que je me sentais pleine, une étrange sensation montait. Au quinzième passage de la panière je voulu passer mon tour, mais Karim insista. Il m’ordonna d’en prendre 5 et de lui donner. Une fois la 20eme inséré, je senti ses deux doigts les pousser encore plus profondément. J’avais l’impression de sentir mon ventre grossir.

Il se leva en me glissant à l’oreille que j’étais fin prête pour l’accepter et souhaita tout le groupe une bonne nuit. Ce fut le signal et tout le monde parti se coucher. En me dirigeant vers la tente avec Alain il me dit qu’il fut surpris de me voir aime les dattes. Ce que je lui répondis que j’avais pris sur moi et fait un effort pour les absorber. En arrivant devant la tente, il fallait vraiment que j’aille au petit coin pour évacuer les dattes. Une fois revenu et coucher dans les bras de mon mari, je ressentais comme un vide en moi.

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