Julie, responsable du personnel, pour faire plus ample connaissance avec la nouvelle infirmière de son entreprise, décide de minviter à déjeuner. Nous allons dans un petit resto chinois, pas très loin de la société. Elle a réservé une table un peu retirée pour pouvoir discuter toutes deux à notre aise.

— Oui bonne journée d’intégration depuis ce matin; tu me fais découvrir mon nouvel environnement, et je suis sans string comme tu l’as exigé..

Nous nous installons et passons commande, un petit apéritif maison sans alcool pour débuter, et nous décidons de boire du thé en mangeant .

— Oui tu t’es souvenue que j’allaitais encore, l’alcool n’est pas pour tout de suite, et j’aime la cuisine asiatique. Ma tenue est légère, c’est un jour printanier et la douceur des températures ma donné envie de porter une robe estivale.

Je suis détendue en présence de Julie, j’ai encore en souvenir mon entretien avec tout ce qui sest passés entre nous. Nous parlons un peu du travail, des collègues, mais très vite la conversation prend un tour plus personnel. L’ambiance aidant, j’oublie vite mon nouveau poste pour ne me concentrer que sur ma nouvelle amante, je vois dans ses yeux les mêmes envies que lors de mon entretien. Durant le repas, Julie prends son téléphone, appelle la secrétaire au bureau et lui annonce que nous ne rentrerons pas cet après-midi…

J’entends la conversation, là je suis avisée que ce restaurant et la suite vont être encore inoubliables. Je sens déjà les effets du thé se faire ressentir. Julie saperçoit que son petit coup de fil m’a un peu troublée. Nous terminons rapidement de manger et Julie me demande si je veux un autre thé. Je réponds par la positive, mais l’envie d’uriner devient très forte, j’ai du mal à rester stoïque sur ma chaise. Je me lève et fais part de mon envie plus que pressante. Elle répond:

-D’accord, alors je vais payer et je te rejoins aux toilettes, mais ne te barricade pas !

Sur ce, je remets ma petite veste, et je vais enfin pouvoir me soulager; il ny a quun WC femme, je my installe sans verrouiller la porte. Julie nest pas longue à me rejoindre. Comme je nai pas verrouillé la porte, celle-ci souvre et je vois ma belle amante dans lencadrement.

Ma robe étant remontée, Julie peut vérifier que je nai pas menti, pas de string en vue, juste mon intimé fraîchement épilé doù sort mon jet durine. Elle se délecte du spectacle : elle aurait envie de boire à la source, mais elle se retient.

— Tu comptes juste jouer les voyeuses ou tu ne peux pas attendre quon quitte le restaurant, ma Julie ?

— Non jadmire juste ton puits damour, je veux lhonorer avec un présent, mais pas ici, fais-moi confiance.

— Tu as bien fait de tépiler, ce sera plus simple et hygiénique pour le piercing que lon va te faire.

Je suis interloquée, la proposition de Julie me surprend au plus haut point.

— Euh ! Tu es sérieuse là ? Moi, me faire poser un piercing et sur mon sexe : tu es folle. Jai déjà assez souffert lors de mes accouchements ! Pourquoi veux-tu me voir avec cela alors que toi tu nen portes pas ? Je ne vais pas céder à tes caprices !

— Je mattendais à ce type de réponse, mais ne tinquiète pas pour la douleur ce nest rien par rapport à la mise au monde dun bébé,. Je nai certes jamais été enceinte; jai voulu porter des piercings, mais jai eu à chaque fois des allergiesCe petit bijou décuple les sensations et le plaisir, en plus dêtre esthétique, que ce soit sur le clito ou sur les tétons. Mais comme tu allaites, ce nest pas possible en haut, alors que le bas est prêt à en accueillir un, fais-moi confiance, tu ne le regretteras pas

Sur ce, Julie passe sa main avec douceur sur mon entrejambe humide et me donne un long baiser. Je mavoue vaincue, jai trop envie de lui faire plaisir et donc davoir un bijou intime. Jamais je ne me suis crue capable de dire oui à ce genre de requête. Dès que ma bouche se libère des lèvres de mon amante, je lui susurre mon accord, un sourire coquin sesquisse sur son visage.

les jambes »

Je rabaisse ma robe et Julie en profite pour glisser entre mes lèvres deux doigts qui juste avant étaient sur mon sexe, avec un goût de cyprine et durine mélangés, japprécie de plus en plus. Nous sortons du resto , Julie me prend par le bras et memmène vers le parking. En chemin, elle me rassure :

— Je connais bien la fille qui pose les bijoux. Tu ne sentiras presque rien, et pense au plaisir que cela va tapporter par la suite… Son véhicule parqué, nous nous dirigeons vers le salon. Là je commence à me poser plein de question.

— Mais pourquoi je fais ça ? Je dois être folle . Quest ce qui m’arrive ?

Bref je tremble comme une feuille. Nous voilà arrivées dans le salon, il a deux niveaux. Lambiance est cosy, ressemble à une uvre d’art tant il est agréable. Puis je rencontre la pierceuse, super accueillante, très jolie. Julie me présente à la demoiselle, lui dit que je voudrais si possible un piercing au capuchon vertical. R (Changement de sujet ) . La vendeuse acquiesce et me dit qu’il n’y a pas de soucis. La demoiselle minvite à monter; je gravis les marches, terrorisée, mais Julie maccompagne dans cette épreuve.

En haut, dans une petite pièce digne de celle d’un gynéco, la pierceuse me fait retirer mes vêtements (ceux du bas..). Je nai que ma jupe à retirer, elle esquisse un sourire complice avec mon amante, et m’invite à me coucher sur le dos sur la "table d’opération", tout en gardant bien les jambes pendantes de chaque côté. J’ai même droit à un coussin sous mon bassin histoire de bien surélever la chose. On parle de tout et de rien, j’imagine que c’est pour me rassurer, tandis qu’elle prépare tous ses instruments.

Elle me présente le bijou qui m’est destiné : un barbell de 1.6. Julie acquiesce, puis mesure pour voir si le piercing vertical est possible, et ouf oui ! (dans le cas contraire j’aurais eu un piercing horizontal, avec anneau). Elle commence par désinfecter mon pubis avec un spray gel, cest glacial. Je sursaute quand il arrive au contact de ma peau. La demoiselle prend un crayon pour marquer les points où elle va piercer ; elle dérape et effleure mon clito, cela a pour effet de me rendre rouge coquelicot de plaisir. Mais professionnelle ; elle me prévient alors que pour ce piercing, il va falloir que je fasse attention. Elle me met bien en garde : sous l’effet de la douleur, mes jambes peuvent partir en avant et lui donner un coup dans la tête.

Si c’est censé me rassurer c’est réussi, je me tiens néanmoins bien à la table avec mes mains et tire désespérément mes jambes vers le sol. Elle me demande si je suis prête, j’hésite à lui répondre non, et (qui?) elle me conseille alors de prendre une grande inspiration, et au moment de l’expiration, passe l’aiguille dans mon capuchon. Mes jambes ont alors un mouvement vers l’avant, tout comme mon bassin, comme si je décollais de la table, mais heureusement mes mains me maintiennent.

— Mais ça y est, elle a piercé !!!!! "Bah voilà, c’était pas si difficile!

Elle met alors le bijou en place, nettoie le tout, me fait regarder avec un miroir ; puis elle me laisse me rhabiller tout en m’expliquant les soins à prodiguer.

— De la bétadine solution vaginale deux fois par jour pendant deux semaines, et aucun rapport sexuel aussi pendant ce laps de temps.

Julie paye mon piercing et hop on s’en va toutes les deux . Je la presse un peu, jai de nouveau envie duriner et cest insoutenable. Quand nous arrivons à sa voiture, je lui soumets l’idée de me soulager à côté de celle-ci, car je narrive plus à me retenir., Julie me supplie de résister encore un peu…

— On sera chez moi dans 5 minutes.

— Je risque de craquer dans ta voiture, tu prends un risque là !

— J’aime prendre des risques. Fais un effort ma chérie, tu ne le regretteras pas…

Elle roule donc assez vite, et rentre dans un garage souterrain:

— Voilà Un étage à monter et nous y sommes

— Vite Julie, ma vessie va exploser. Une chance que je ne porte pas de string et une jupe, je vais faire plus vite comme cela.

Nous montons rapidement, Julie ouvre la porte, me guide vers…. sa chambre et me donne un grand saladier en verre transparent.

— Voilà, s’il te plait, installes toi confortablement sur le lit et remplis moi ce saladier…

Je découvre cet intérieur très charmant, mais cette requête me prend de court.

– Tu veux que j’urine dans ce récipient, qu’as-tu encore comme idée Julie?

– J’ai simplement envie de te voir… tu es jolie et j’ai toujours été très excitée en regardant une jolie femme uriner

Comment résister à de tels arguments. Je ne me fais donc pas prier et m’exécute. Je relève ma jupe, je m’accroupis au-dessus du saladier et je libère enfin ma vessie. Ma compagne me regarde uriner dans le saladier et commence en même temps à se déshabiller ; lentement en me regardant. Un vrai strip-tease ! J’ai du mal à me concentrer avec son petit jeu. Mon jet est dru, le saladier se remplit vite. Julie est maintenant entièrement nue. Elle ouvre le tiroir table de chevet et en sort une paire de pinces reliées par une chaîne.

Jai fini duriner. Le saladier étant très grand, il est à moitié rempli. Julie sen empare et le dépose devant elle. Ayant fini je me relève, un sentiment trouble m’envahit : je suis excitée de la voir nue, mais la présence de ces pinces me fait peur. Julie place une de ces pinces sur un de mes seins ; puis elle s’approche de moi, et place l’autre sur le second mamelon. Elle serre très légèrement le réglage et fait de même sur elle. De cette manière, nous sommes reliées ensemble par la chaîne.

Ensuite, mon amante se place debout au-dessus du saladier, écarte un peu les jambes, puis les lèvres de son sexe d’une main, et commence à son tour à uriner dans le saladier, debout, en me regardant. Dès quelle a fini d’uriner, elle s’approche tout contre moi, et m’embrasse brutalement. Sans ménagement, ses lèvres se collent contre les miennes, sa langue senfonce dans ma bouche, puis elle me repousse un peu sèchement ; et s’écarte, tendant la chaîne qui relie nos seins ; effectuant de cette manière une tension sur mon mamelon.

Son attitude me surprend, je me demande jusqu’où elle veut aller, je ressens alors une douleur dans mon téton. Ensuite, Julie se baisse, pas trop vite, pour me laisser le temps de comprendre que, si je veux éviter la douleur de nouveau, je vais devoir suivre ses gestes. Là plus le choix, sans un mot je fais comme elle. Nous nous retrouvons donc agenouillées face à face, la chaîne légèrement tendue, le saladier rempli de nos urines mélangées entre nous.

J’ai une vue imprenable sur le sexe luisant de mon amante, ma jupe lui masquant la vue sur mon sexe et son piercing. Julie pose ses mains sur le saladier. Du regard elle me demande de faire de même… La pince droite qui fait pression sur mon téton laisse diffuser une légère douleur mais aussi perler une goutte de lait naissante ; Julie s’approche plus près de moi, me fait redresser un peu et donne un coup de langue sur ce téton pour goûter mon lait, cela mélectrise. Elle tire un peu sur la chaîne pour augmenter la pression et faire perler une autre goutte, le lait coule le long de mon sein

Julie recule à nouveau, et pour me montrer l’exemple, baisse un peu sa tête et lape l’urine dans le saladier. Puis se redresse et d’un regard m’invite à faire de même, ma tête se baisse à son tour et je me penche vers le saladier pour l’imiter, la situation est plus qu’excitante. Je me mets à boire à mon tour notre mélange intime, j’entends la langue de ma maîtresse faire de même.

La chaînette nous reliant, elle aussi trempe, dans nos urines. On se redresse légèrement en même temps… je ne peux me retenir, et je viens coller ma bouche contre la sienne. J’ai envie de ce baiser, envie de sentir la douceur de ses lèvres, sa langue contre la mienne… En même temps, ce goût d’urine dans sa bouche décuple mes envies, je ressens le désir de Julie, jai rarement eu un baiser si enflammé, l’urine coule le long de nos joues je sens ses mains parcourir mon corps et les miennes aussi commencent à être baladeuses.

Elle prend ensuite le saladier et verse un peu du liquide sur nous… pour que nos corps mouillés adhèrent plus… Je ressens la chaleur de son corps accentuée par le liquide doré qui coule sur nos peaux ; je n’avais pas encore pris de douche improvisée de ce genre-là ! Julie me demande de l’allonger sur son lit après avoir posé le saladier sur le matelas, la chaînette nous reliant toujours Elle se couche sur moi, jouant avec la chaînette, tirant de temps à autre pour provoquer la douleur chez elle comme chez moi… Cette douleur m’excite. Mais pour faciliter nos ébats, mon amante nous détache… et vient déguster les gouttes de lait qui perlent à nouveau ; elle commence à lécher tout mon corps, et de temps à autre, reverse sur moi un peu du contenu du saladier.

Julie sent mon corps se libérer et voit bien que la douleur augmente mon désir et mon plaisir : sa succion sur mes tétons fait jaillir plus de lait ce qui la surprend et moi aussi. Ce sont maintenant des petits jets qui sortent de mes tétons, ce serait dommage de perdre ce liquide si précieux et éphémère. Julie boit mon lait maternel avec beaucoup de plaisir, reprenant de temps à autre un peu d’urine en bouche pour la recracher sur mes seins avant de lécher et sucer de plus belle. Sa langue me fait sursauter, c’est la première fois qu’une femme s’occupe de mes seins depuis mon accouchement.

Pour lui montrer combien j’apprécie, je pose mes deux mains sur sa nuque. J’ai le bas ventre en feu, je gémis de plus en plus fort mais jen oublie presque mon piercing et mon abstinence de deux semaines ce qui fait naître un début de frustration car je suis follement excitée par notre jeu et j’ai envie d’un orgasme intense mais rapide Julie prévenante noublie pas mon nouveau bijou sur mon sexe, elle se met donc en 69 au-dessus de moi, et commence un petit jeu, recherchant mon désir. Sa bouche tourne autour de mon sexe sans le toucher, des petits coups de langues au-dessus de mon clito, puis sa bouche redescend, posant au passage des petits baisers sur mes cuisses.

Elle recommence encore le même trajet, mais s’attarde un moment sur la partie entre mon sexe et mon anus. Je remonte mon bassin suite à cette dernière caresse. Mon amante voit que celle-ci me fait particulièrement de l’effet. Julie s’ouvre à moi : ma langue joue avec son petit bouton et mes mains caressent ses cuisses. Elles se rapprochent peu à peu de ses fesses et de son anus, juste avant d’arriver à son clito. Je redescends par le même chemin jusqu’à l’entrée de son vagin. J’y pose ma langue… la fais vibrer… y colle ma bouche pour déguster sa cyprine. Je sens le liquide couler sur ses cuisses.

Mon sexe, malgré ce que je viens de subir coule comme une fontaine, ma jouissance est déjà proche, pendant que la langue de mon amante continue sa descente et vient lécher mon petit trou, l’humidifier en prévision de la suite… Je sens des spasmes secouer mon corps, j’essaie de résister mais un premier orgasme me foudroie, heureusement étant sur le dos je ne mécroule pas !

Julie cambre son bassin et écarte ses fesses au maximum, mais elle veut m’en donner plus encore ; ses doigts viennent remplacer sa langue devant mon cul. Après un moment de pause je m’occupe de nouveau de Julie, j’ai envie de la faire jouir très vite et de lui donner plusieurs orgasmes successifs. A mon tout je fais pénétrer un doigt dans son cul, et lun de l’autre main va dans son sexe pendant que ma langue s’active sur son petit bouton.

Sa liqueur coule abondamment. Je m’en régale, tout en continuant à lui doigter le petit trou ; un second doigt vient rejoindre le premier dans son antre damour Je regroupe enfin trois doigts de ma main droite pour son sexe et deux de la gauche pour son anus, les cinq la pénètrent ensemble. Julie pousse un cri. Cette double pénétration soudaine, quelle attendait tant, la fait jouir instantanément. L’orgasme est tellement fort quelle mabandonne quelques instants pour mieux se concentrer sur son plaisir, mais je n’en ai cure; mon travail continue, mes doigts fouillent ses entrailles et son sexe ; je suis heureuse du résultat, ses muscles emprisonnent mes doigts, Julie m’appartient !

Après un moment, elle reprend un peu ses esprits malgré le plaisir qui continue à venir par vagues. Elle vide le saladier sur mon sexe et sur mes fesses; mes doigts entreprennent leur travail en moi. Julie boit avec gourmandise le liquide qui coule de mon sexe, mélangé à l’urine. Le lit est trempé, mon cul repose dans une petite flaque de pisse… Cette odeur m’excite encore davantage.

L’orgasme qui l’a pris ne s’est pas vraiment arrêté… elle jouit encore et encore… à un rythme effréné. Tellement que bientôt elle n’en peut plus. Julie se dégage de sa position, j’essaie de la retenir mais elle ne veut pas rester et se replace entre mes jambes, décidée à m’offrir un plaisir inédit. Au passage, elle lape un peu la petite flaque dans laquelle je suis couchée et recrache le liquide jaune sur moi. Puis, ce sont deux doigts qui pénètrent mon anus, doucement, mais le plus profondément possible Je la sens rentrer en moi, je suis ouverte pour elle, j’accueille ses doigts.

Julie insiste un peu, vérifiant sur mon visage si la douleur l’emporte sur le plaisir. Elle reste un peu sans bouger… Elle ressort ses doigts, retourne laper un peu d’urine et vient la cracher dans ma bouche. La voyant faire je l’attends bouche ouverte pour déguster ce quelle me donne. Puis Julie vient murmurer à mon oreille

— Ouvre-toi en grand ma chérie, ma main a envie de toi.

Elle revient entre mes cuisses, quelques petits coups de langue, pour reprendre le goût de mon plaisir, puis ce sont ses quatre doigts qui essayent de pénétrer mon fondement. Le plus difficile à faire passer est la partie la plus large de sa main… Je me sens aussi ouverte que le jour de l’accouchement mais pas le même orifice ! Sa main a complètement disparu au fond de mes entrailles, elle reste un moment sans bouger… puis commence à la bouger , doucement d’abord, puis de plus en plus vite Là le plaisir m’envahit et me foudroie bientôt de nouveau ; elle va me faire mourir de plaisir ! Je n’en peux plus, je n’ai jamais connu ça. Mon bassin se soulève sous les vagues de plaisir qui m’envahissent ; tout mon corps se tord de plaisir… je crie, je râle…

Je n’ai jamais eu d’amante aussi douée qui a su repousser mes limites, je me lâche complètement sous ses caresses. Je me laisse enfin retomber sur le lit, épuisée. Julie se couche à mes côtés, me laissant le temps de reprendre contact avec la réalité. Elle se serre contre moi. Nous réalisons soudain que nous sommes couchées dans une grande flaque d’urine…"

—– Mail original —–

De: [email protected]

À: [email protected]

Envoyé: Jeudi 4 Juin 2015 20:50:11

Objet: Re: correction

Bonsoir cher correcteur

voici mon texte retouché

Paty

En tant que responsable du personnel, pour faire un peu connaissance avec la nouvelle infirmière de son entreprise, Julie décide de minviter à déjeuner.

Nous allons dans un petit resto chinois, pas très loin de la société. Elle a réservé une table un peu retirée pour pouvoir discuter toutes deux à notre aise.

« Oui bonne journée d’intégration depuis ce matin, tu me fais découvrir mon nouvel environnement, et je suis sans string comme tu l’as exigé ».

Nous nous installons et passons commande, un petit apéritif maison sans alcool pour débuter, et en mangeant nous décidons de boire du thé.

Oui tu t’es souvenue que j’allaitais encore, l’alcool n’est pas pour tout de suite, et j’aime la cuisine asiatique.

Ma tenue est légère, c’est un jour printanier et la douceur des températures ma donné envie de porter une robe estivale.

Je suis détendue en présence de Julie, j’ai encore en souvenir mon entretien avec tout ce qui cest passés entre nous.

Nous parlons un peu du travail, des collègues, mais très vite la conversation prend un tour plus personnel.

L’ambiance aidant, j’oublie vite mon nouveau poste pour ne me concentrer que sur ma nouvelle amante, je vois dans ses yeux les mêmes envies que lors de mon entretien.

Durant le repas, Julie prends son téléphone, appelle la secrétaire au bureau et lui annonce que nous ne rentrerons pas cet après-midi…

J’entends la conversation, là je suis avisée que ce restau et la suite vont être encore inoubliables. Je sens déjà les effets du thé se faire ressentir.

Julie saperçoit que son petit coup de fil m’a un peu troublée. Nous terminons rapidement de manger et Julie me demande si je veux un autre thé.

Je réponds par la positive, mais l’envie d’uriner devient très forte, j’ai du mal à rester stoïque sur ma chaise.

Après lui avoir répondu je me lève et fais part de mon envie plus que pressante.

« D’accord, alors je vais payer et je te rejoins aux toilettes, mais ne te barricade pas !!! »

Sur ce je remets ma petite veste, et je vais enfin pouvoir me soulager ; il ny a quun WC femme, je my installe sans verrouiller la porte.

Julie nest pas longue à me rejoindre, nayant pas verrouillé, la porte souvre et je vois ma belle amante dans lencadrement.

Ma robe étant remontée, Julie peut vérifier que je nai pas menti, pas de string en vue, juste mon intimé fraichement épilé doù sort mon jet durine.

Elle se délecte du spectacle, tout en sachant quelle aurait envie de boire à la source mais elle se retient.

« Tu comptes juste jouer les voyeuses ou tu ne peux attendre quon quitte le restau ma Julie ? »

« Non jadmire juste ton puit damour, je veux lhonorer avec un présent, mais pas ici, fait-moi confiance.

Tu as bien fait de tépiler ce sera plus simple et hygiénique pour le piercing que lon va te faire »

Je suis interloquée, la proposition de Julie me surprend au plus haut point.

« Euh tu es sérieuse là, moi me faire poser un piercing et sur mon sexe tu es folle, jai déjà assez souffert lors de mes accouchements !! »

« Pourquoi veux tu me voir avec cela alors que toi tu nen portes pas, je ne vais pas céder à tes caprices !! »

« Je mattendais à ce type de réponse, mais ne tinquiète pas pour la douleur ce nest rien par rapport à la mise au monde dun bébé, je nai certes jamais été enceinte, jai voulu porter des piercings, mais jai eu à chaque fois des allergies.. »

« Ce petit bijou décuple les sensations et le plaisir, en plus dêtre esthétique, que ce soit sur le clito ou les tétons, mais comme tu allaites, ce nest pas possible en haut, alors que le bas est prêt à en accueillir un, fait-moi confiance tu ne le regretteras pas »

Sur ce Julie passe sa main avec douceur sur mon entre-jambe humide et me donne un long baiser, je mavoue vaincue, jai trop envie de lui faire plaisir et donc davoir un bijou intime.

Jamais je ne me suis crue capable de dire oui à ce genre de requête.

Dès que ma bouche se libère des lèvres de mon amante, je lui susurre mon accord, un sourire coquin sesquisse sur son visage.

Je rabaisse ma robe et Julie en profite pour glisser entre mes lèvres deux doigts qui juste avant étaient sur mon sexe, avec un gout de cyprine et durine mélangés, japprécie de plus en plus.

Nous sortons du resto, Julie me prend par le bras et memmène vers le parking. En chemin, elle me rassure.

"Je connais bien la fille qui pose les bijoux, tu ne sentiras presque rien, et pense au plaisir que cela va tapporter par la suite… »

Son véhicule parqué, nous nous dirigeons vers le salon.

Là je commence à me poser plein de question.

« Mais pourquoi je fais ça ? Je dois être folle ? Quest ce qui m’arrive ???

Bref je tremble comme une feuille.

Nous voilà arrivées dans le salon, il a deux niveaux, lambiance est cosy ressemble à une uvre d’art tant il est agréable, puis je rencontre la pierceuse, super accueillante, très jolie.

Julie me présente à la demoiselle, lui dit que je voudrais si possible un piercing au capuchon vertical, la vendeuse acquiesce et me dit qu’il n’y a pas de soucis.

La demoiselle minvite à monter; je gravis les marches, terrorisée, mais Julie maccompagne dans cette épreuve.

Arrivée en haut, dans une petite pièce digne de celle d’un gynéco, la pierceuse me fait retirer mes vêtements (ceux du bas..), je nai que ma jupe à retirer, elle esquisse un sourire complice avec mon amante, et m’invite à me coucher sur le dos sur la "table d’opération", tout en gardant bien les jambes pendantes de chaque côté. J’ai même droit à un coussin sous mon bassin histoire de bien surélever la chose.

On parle de tout et de rien, j’imagine que c’est pour me rassurer, tandis qu’elle prépare tous ses instruments.

Elle me présente le bijou qui m’est destiné : un barbell de 1.6, Julie acquiesce, puis mesure pour voir si le piercing vertical est possible, et ouf oui ! (dans le cas contraire j’aurais eu un piercing horizontal, avec anneau).

Elle commence par désinfecter mon pubis avec un spray gel, cest glacial, je sursaute quand il arrive au contact de ma peau.

La demoiselle prend un crayon pour marquer les points où elle va piercer ; et elle dérape et effleure mon clito, cela a pour effet de me rendre rouge coquelicot de plaisir.

Mais professionnelle ; elle me prévient alors que pour ce piercing, il va falloir que je fasse attention.

Elle me met bien en garde : sous l’effet de la douleur, mes jambes peuvent partir en avant et lui donner un coup dans la tête.

Si c’est censé me rassurer c’est réussi, je me tiens néanmoins bien à la table avec mes mains et tire désespérément mes jambes vers le sol.

Elle me demande si je suis prête, j’hésite à lui répondre non, et me demande alors de prendre une grande inspiration, et au moment de l’expiration, passe l’aiguille dans mon capuchon.

Mes jambes ont alors un mouvement vers l’avant, tout comme mon bassin, comme si je décollais de la table, mais heureusement mes mains me maintiennent.

Mais ça y est, elle a piercé !!!!! "Bah voilà, c’était pas si difficile!"

Elle met alors le bijou en place, nettoie le tout, me laisse regarder avec un miroir ; puis elle me laisse me rhabiller tout en m’expliquant les soins à prodiguer.

De la Bétadine solution vaginale deux fois par jour pendant deux semaines, et aucuns rapports sexuels aussi pendant ce laps de temps.

Julie paye mon piercing et hop on s’en va toutes les deux.

Je la presse un peu, jai de nouveau envie duriner et cest insoutenable.

Arrivées à sa voiture je lui soumets l’idée de me soulager à côté de celle-ci, car je narrive plus à me retenir.

Julie me supplie de résister encore un peu… « On sera chez moi dans 5 minutes »

"Je risque de craquer dans ta voiture, tu prends un risque la!!!"

« J’aime prendre des risques. Fais un effort ma chérie, tu ne le regretteras pas… »

Elle roule donc assez vite, et rentre dans un garage souterrain.

« Voilà Un étage à monter et nous y sommes »

« Vite Julie, ma vessie va exploser »

Une chance que je ne porte pas de string et une jupe, je vais faire plus vite comme cela.

Nous montons rapidement, Julie ouvre la porte, me guide vers…. sa chambre et me donne un grand saladier en verre transparent.

"Voilà, s’il te plait, installes toi confortablement sur le lit et remplis moi ce saladier…"

Je découvre cet intérieur très charmant, mais cette requête me prend de court.

« – Tu veux que j’urine dans ce récipient, qu’as-tu encore comme idée Julie? »

« – J’ai simplement envie de te voir… tu es jolie et j’ai toujours été très excitée en regardant une jolie femme uriner »

« – Comment résister à de tels arguments »

Je ne me fais donc pas prier et m’exécute.

Je relève ma jupe m’accroupie au-dessus du saladier et je libère enfin ma vessie.

Ma compagne me regarde uriner dans le saladier et commence en même temps à se déshabiller ; lentement en me regardant. Un vrai strip-tease !!

J’ai du mal à me concentrer avec son petit jeu , mon jet est dru, le saladier se remplit vite.

Julie est maintenant entièrement nue. Elle ouvre le tiroir table de chevet et en sort une paire de pinces reliées par une chaine.

Jai fini duriner, le saladier étant très grand, il est à moitié rempli, Julie sen empare et le dépose devant elle. Ayant fini je me relève, un sentiment trouble m’envahit je suis excitée de la voir nue, mais la présence de ces pinces me fait peur.

Julie place une de ces pinces sur un de mes seins ; puis elle s’approche de moi, et place l’autre sur le second mamelon. Elle serre très légèrement le réglage et fait de même sur elle.

De cette manière, nous sommes reliées ensemble par la chaine.

Ensuite, mon amante se place debout au-dessus du saladier, écarte un peu les jambes, puis les lèvres de son sexe d’une main, et commence à son tour à uriner dans le saladier, debout, en me regardant. Dès quelle a fini d’uriner, elle s’approche tout contre moi, et m’embrasse brutalement. Sans ménagement, ses lèvres se collent contre les miennes, sa langue senfonce dans ma bouche, puis elle me repousse un peu sèchement ; et s’écarte, tendant la chaine qui relie nos seins ; effectuant de cette manière une tension sur mon mamelon.

Son attitude me surprend, je me demande jusqu’où elle veut aller, je ressens alors une douleur dans mon téton.

Ensuite, Julie se baisse, pas trop vite, pour me laisser le temps de comprendre que, si je veux éviter la douleur de nouveau, je vais devoir suivre ses gestes.

Là plus le choix, sans un mot je fais comme elle.

Nous nous retrouvons donc agenouillées face à face, la chaine légèrement tendue, le saladier remplit de nos urines mélangées entre nous.

J’ai une vue imprenable sur le sexe luisant de mon amante, ma jupe lui masquant la vue sur mon sexe et son piercing.

Julie pose ses mains sur le saladier. Du regard elle me demande de faire de même…

La pince droite qui fait pression sur mon téton laisse diffuser une légère douleur mais aussi perler une goutte de lait naissante ; Julie s’approche plus près de moi, me fait redresser un peu et donne un coup de langue sur ce téton pour goûter mon lait, cela mélectrise.

Elle tire un peu sur la chaine pour augmenter la pression et faire perler une autre goutte, le lait coule le long de mon sein

Julie recule à nouveau, et pour me montrer l’exemple, baisse un peu sa tête et lape l’urine dans le saladier. Puis se redresse et d’un regard m’invite à faire de même, ma tête se baisse à son tour et je me penche vers le saladier pour l’imiter, la situation est plus qu’excitante.

Je me mets à boire à mon tour notre mélange intime, j’entends la langue de ma maitresse faire de même.

La chainette nous reliant, elle aussi trempe, dans nos urines.

On se redresse légèrement en même temps… je ne peux me retenir, et je viens coller ma bouche contre la sienne. J’ai envie de ce baiser, envie de sentir la douceur de ses lèvres, sa langue contre la mienne…

En même temps, ce goût d’urine dans sa bouche déculpe mes envies, je ressens le désir de Julie, jai rarement eu un baiser si enflammé, l’urine coule le long de nos joues je sens ses mains parcourir mon corps et les miennes aussi commencent à être baladeuses.

Elle prend ensuite le saladier et verse un peu du liquide sur nous… pour que nos corps mouillés adhèrent plus…

Je ressens la chaleur de son corps accentuée par le liquide doré qui coule sur nos peaux ; je n’avais pas encore pris de douche improvisée de ce genre-là !!

Julie me demande de l’allonger sur son lit après avoir posé le saladier sur le matelas, la chainette nous reliant toujours

Elle se couche sur moi, jouant avec la chainette, tirant de temps à autre pour provoquer la douleur chez elle comme chez moi… Cette douleur m’excite.

Mais pour faciliter nos ébats, mon amante nous détache… et viens déguster les gouttes de lait qui perlent à nouveau ; elle commence à lécher tout mon corps, et de temps à autre, reverse sur moi un peu du contenu du saladier.

Julie sent mon corps se libérer et voit bien que la douleur augmente mon désir et mon plaisir ce qui a pour effet que sa succion sur mes tétons fait jaillir plus de lait ce qui la surprend et moi aussi.

Ce sont maintenant des petits jets qui sortent de mes tétons, ce serait dommage de perdre ce liquide si précieux et éphémère.

Julie boit mon lait maternel avec beaucoup de plaisir, reprenant de temps à autre un peu d’urine en bouche pour la recracher sur mes seins avant de lécher et sucer de plus belle.

Sa langue me fait sursauter, c’est la première fois qu’une femme s’occupe de mes seins depuis mon accouchement.

Pour lui montrer combien j’apprécie, je pose mes deux mains sur sa nuque

J’ai le bas ventre en feu, je gémis de plus en plus fort mais jen oublie presque mon piercing et mon abstinence de deux semaines ce qui fait naitre un début de frustration car je suis follement excitée par notre jeu et j’ai envie d’un orgasme intense mais rapide

Julie prévenante noublie pas mon nouveau bijou sur mon sexe, elle se met donc en 69 au-dessus de moi, et commence un petit jeu , recherchant mon désir.

Sa bouche tourne autour de mon sexe sans le toucher, des petits coups de langues au-dessus de mon clito, puis sa bouche redescend, posant au passage des petits baisers sur mes cuisses.

Elle recommence encore le même trajet, mais s’attarde un moment sur la partie entre mon sexe et mon anus.

Je remonte mon bassin suite à cette dernière caresse, mon amante voit que celle-ci me fait particulièrement de l’effet.

Julie s’ouvre à moi, ma langue joue avec son petit bouton mes mains caressant ses cuisses. Elles se rapprochent peu à peu de ses fesses et de son anus, juste avant d’arriver à son clito, je redescends par le même chemin jusqu’à l’entrée de son vagin. J’y pose ma langue… la fais vibrer… y colle ma bouche pour déguster sa cyprine, je sens le liquide couler sur ses cuisses.

Mon sexe, malgré ce que je viens de subir coule comme une fontaine, ma jouissance est déjà proche, pendant que la langue de mon amante continue sa descente et vient lécher mon petit trou, l’humidifier en prévision de la suite…

Je sens des spasmes secouer mon corps, j’essaie de résister mais un premier orgasme me foudroie, heureusement étant sur le dos je ne mécroule pas!!!

Julie cambre son bassin et écarte ses fesses au maximum, mais elle veut m’en donner plus encore ; ses doigts viennent remplacer sa langue devant mon cul.

Après un moment de pause je m’occupe de nouveau de Julie, j’ai envie de la faire jouir très vite et de lui donner plusieurs orgasmes successifs.

A mon tout je fais pénétrer un doigt dans son cul, et lun de l’autre main va dans son sexe pendant que ma langue s’active sur son petit bouton.

Sa liqueur coule abondamment. Je m’en régale, tout en continuant à lui doigter le petit trou ; un second doigt vient rejoindre le premier dans son antre damour

Je regroupe enfin trois doigts de ma main droite pour son sexe et deux de la gauche pour son anus, les cinq la pénètrent ensemble

Julie pousse un cri. Cette double pénétration soudaine, quelle attendait tant la fait jouir instantanément. L’orgasme est tellement fort quelle mabandonne quelques instants pour mieux se concentrer sur son plaisir, mais je n’en ai cure; mon travail continue, mes doigts fouillent ses entrailles et son sexe ; je suis heureuse du résultat, ses muscles emprisonnent mes doigts, Julie m’appartient!!!

Après un moment, elle reprend un peu ses esprits malgré le plaisir qui continue à venir par vagues. Elle vide le saladier sur mon sexe et sur mes fesses ; mes doigts reprennent leur travail en moi.

Julie boit avec gourmandise le liquide qui coule de mon sexe, mélangé à l’urine. Le lit est trempé, mon cul repose dans une petite flaque de pisse… Cette odeur m’excite encore d’avantage.

L’orgasme qui l’a pris ne s’est pas vraiment arrêté… elle jouit encore et encore… à un rythme effréné. Tellement que bientôt elle n’en peut plus.

Julie se dégage de sa position, j’essaie de la retenir mais elle ne veut pas rester et se replace entre mes jambes, décidée à m’offrir un plaisir inédit.

Au passage, elle lape un peu la petite flaque dans laquelle je suis couchée et recrache le liquide jaune sur moi. Puis, ce sont deux doigts qui pénètrent mon anus, doucement, mais le plus profondément possible Je la sens rentrer en moi, je suis ouverte pour elle, j’accueille ses doigts.

Julie insiste un peu, vérifiant sur mon visage si la douleur l’emporte sur le plaisir.

Elle reste un peu sans bouger… Ressort ses doigts, elle retourne laper un peu d’urine et vient la cracher dans ma bouche. La voyant faire je l’attends bouche ouverte pour déguster ce quelle me donne.

Puis Julie vient murmurer à mon oreille "ouvres-toi en grand ma chérie, ma main a envie de toi"

Elle revient entre mes cuisses, quelques petits coups de langue, pour reprendre le goût de mon plaisir, puis ce sont ses quatre doigts qui essayent de pénétrer mon fondement. Le plus difficile à faire passer est la partie la plus large de sa main…

Je me sens aussi ouverte que le jour de l’accouchement mais pas le même orifice !! Sa main a complètement disparu au fond de mes entrailles, elle reste un moment sans bouger… puis commence à la bouger , doucement d’abord, puis de plus en plus vite

Là le plaisir m’envahit et me foudroie bientôt de nouveau ; elle va me faire mourir de plaisir!!! Je n’en peux plus je n’ai jamais connu ça.

Mon bassin se soulève sous les vagues de plaisir qui m’envahissent ; tout mon corps se tord de plaisir… je crie, je râle…

Je n’ai jamais eu d’amante aussi douée qui a su repousser mes limites, je me lâche complètement sous ses caresses. Je me laisse enfin retomber sur le lit, épuisée. Julie se couche à mes côtés, me laissant le temps de reprendre contact avec la réalité. Elle se serre contre moi. Nous réalisons soudain que nous sommes couchées dans une grande flaque d’urine…"

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