Rappel du chapitre précédent.
Nous avions invité Sophie à passer deux ou trois jours avec nous, avec la ferme intention de jouer avec elle ; mais surtout pour écrire le projet de la fameuse pièce de théâtre porno que nous espérons pouvoir jouer. Elle arriva trempée jusquaux os et nous raconta les mésaventures qui lui arrivèrent pendant son trajet. À lidée de jouer en public, elle accepta avec enthousiasme et nous partîmes acheter son costume de scène qui se résumait en une simple tenue décolière. Gladice lobligea à se caresser alors que le rideau était resté ouvert ; elle eut dailleurs un terrible orgasme. Après avoir mangé et beaucoup parlé du projet, nous sommes rentrés ; moi tout seul à conduire et les filles derrière.
ooOoo
Allez chauffeur, à la maison ! mordonne Gladice en riant.
Bien Madame !
Je démarre et me voilà englué dans les embouteillages, mais cela ne perturbe pas les filles qui semblent très occupées. À un moment, dans le rétroviseur, je vois disparaître la tête de Sophie et jentends les soupirs de Gladice qui passent rapidement au stade de gémissement puis aux : ut « Ah ! Ouiii ! Continue ! Encore ! Plus fort ! Humm ! Cest bon ! »
Je suis troublé par les gémissements de ma belle au point que jai failli emboutir la voiture devant moi qui venait de freiner. Après une heure de circulation en accordéon et autant de temps de gémissements de la part Gladice et de Sophie, nous arrivons enfin à bon port.
Sitôt entrée dans la maison, Sophie séclipse prétextant une envie pressante ; nous profitons de ce moment dintimité pour nous embrasser avec passion. Pour respecter la règle nous nous déshabillons entièrement et Gladice me chuchote :
Nous allons nous amuser un peu avec elle, daccord ?
Si tu veux et on fait quoi ?
Laisse-moi faire, et obéis !
Gladice a à peine terminé sa phrase que Sophie fait son apparition, et est toujours habillée.
Dis donc, petite effrontée ! Tu ne respectes pas la consigne !
Mais
Il ny a pas de mais ! Issam ! Emmène-moi ça dans la chambre !
Sans attendre, je saisis la coupable par la taille et la charge sur mon épaule comme un vulgaire sac de sable. Elle gesticule dans tous les sens, bat des pieds au risque de glisser et de tomber. Pour éviter quelle ne méchappe, je passe ma main sous sa robe et lui agrippe les fesses que je tiens fermement pour la bloquer.
Mais ça nva pas ! Vous êtes fous !
Silence ! crie Gladice. On va tapprendre à respecter les règles !
Mais jallais me déshabiller !
Trop tard ! Jette-moi ça sur le lit !
Elle laisse échapper un « Ah ! » de surprise au moment où je fais presque voler mon sac de sable sur le lit, et un autre quand elle rebondit sur le matelas. Gladice se jette sur elle et lui arrache sa robe qui se déchire en deux.
Mais tu es folle, tu mas déchiré ma robe ! Et comme je vais rentrer chez moi ?
À poil, pardi !
Tes malade ! Je ne vais pas me balader à poil dans la rue, je ne tiens pas à me retrouver au poste de police pour exhibitionnisme !
Ou te faire sauter ! Issam tiens-là, le temps que je moccupe delle.
Me faire sauter, je veux bien
Alors prépare-toi, Issam ! Tiens-la fermement.
Je limmobilise instantanément en posant une main sur sa poitrine et lautre sur son pubis et deux doigts contre sa fente.
Gladice ! Elle mouille comme une fontaine !
Tu métonnes ! Donne-moi tes mains, petite peste !
Non ! Je ne veux pas, mais quest-ce que tu fais ? Lâche ma main !
Malheureusement Gladice a été plus rapide et la gamine se retrouve attachée par une corde reliée à chaque pied du lit, bras et jambes en croix. Elle gesticule dans tous les sens, rouspète et demande :
Mais quallez vous me faire ?
Je te lai dit ! reprend Gladice. On va te faire souffrir, je suis certaine que tu vas aimer.
Cest évident quelle va aimer ; elle mouille déjà comme une folle ! je confirme.
Tu vois bien que ça ne sert à rien de te débattre ainsi !
Ma Chérie na pas terminé sa phrase quelle lui tord les tétons.
Aïe, aïeee ! Mais ça fait ma…leuee !
Mais non tu te fais des idées !
Mais ça ne va pas non, pas ça !
Bon , maintenant ça suffit ! Issam, bâillonne-la !
NonMmmm.Mmmm !
Merci Chéri, un peu de calme nous fera du bien ! Alors ma belle, tu as dit vouloir des surprises, et bien en voiciHein ?
Tout en parlant Gladice sest assise sur labdomen de notre petit jouet, elle attrape les tétons de Sophie et tire dessus comme pour les allonger.
Mmm, mmm !
Son cri est inaudible mais sous leffet de la douleur je pense, elle sarc-boute sur ses jambes ; elle arrive même à soulever Gladice. Vu de derrière, je peux profiter du joli spectacle des fesses de ma belle, qui sautent sous les soulèvements rapides du corps de Sophie ; mais aussi une magnifique vue sur la chatte de Sophie dégoulinante de cyprine.
À ton avis, mon Chéri, elle est prête ?
Vu dici Oui !
Alors baise-la !
Si cest un ordre
Cen est un !
Gladice libère la place et je peux mallonger sur elle qui ouvre de grands yeux chargés denvie.
Je vais te baiser, ma petite ; tu vas voir comment tu vas aimer
Mmmm, mmmm ! me répond-elle avec de grands yeux remplis de gourmandise et un hochement de tête affirmatif.
Je vais téclater la chatte !
Sa réponse est un nouvel hochement rapide de la tête. Alors je commence à rentrer mon vit en elle. Elle est un peu étroite, mais il glisse tout seul et je lenfourne jusquà la garde. Elle gémit doucement, ferme les yeux, ondule du bassin, et je ressors aussi doucement puis entre à nouveau, pour ressortir mon vit et le rentrer dun coup sec au plus profond delle. Je la sens vibrer, alors jaccélère et donne de lintensité à mes coups de reins, pour que chaque coup de piston la fasse tressaillir de plaisir. Je suis comme une machine jusquà ce que je la voie trembler de bonheur, que ses mains se crispent, que son souffle saccélère, que ses entrailles vibrent et que son orgasme arrive, puissant. Quand il arrive, elle sarc-boute sur ses jambes, crie dans son bâillon et tremble de tout son corps. Appuyé sur mes mains je lui laisse de lair, et je contemple sa frimousse aux yeux coquins ; elle reprend ses esprits doucement.
Issam on la retourne ! Allez ma belle ! À quatre pattes, il va tenculer maintenant.
Comme réponse, nous avons le droit à un non de la tête et quelques grognements peu convaincants ; mais nous la retournons malgré tout. Cette fois jai son trou du cul juste devant mon dard, je récupère de la mouille qui sécoule delle avec ma bite. Je me positionne bien droit et à la bonne hauteur, je la saisis fermement par la taille, jappuie mon gland sur son entrée et « Han ! » je rentre dun coup. Elle se cabre et rugit dans le tissu qui lui occulte la bouche, et cette fois je la pistonne à nouveau jusquà ce que ce soit moi qui arrive à lorgasme. Je vais lui éjaculer dans les boyaux alors jy vais de bon cur ; à chaque coup de boutoir, mes couilles pleines à bloc battent contre sa fente. Sophie sétire comme une chatte et se contracte aussitôt, râle, rugit, serre ses poings toujours attachés aux pieds du lit par la corde.
Je sens quelque chose entrer dans son vagin, cest Gladice qui introduit un gode vibrant ; je sens ma petite prisonnière vibrer encore et rugir plus fort. Je sens les vibrations du jouet qui paraît être directement au contact de mon chibre en furie et dont la pression interne ne fait quaugmenter très rapidement. Quand jarrive à lextase, elle tremble de tous ses membres, la tête dans loreiller, les jambes repliées sous elle et le cul bien en hauteur. Elle se cambre comme pour me laisser encore plus de place afin de la pénétrer au plus profond delle, et son corps en transe indique que son orgasme est dune puissance terrible. Elle est secouée de spasmes et quand je la libère ; elle seffondre sur le lit, épuisée par quelle vient de vivre.
Le temps de la laisser souffler un peu, et de reprendre ses esprits ; nous la détachons et Gladice retourne le corps inerte quelle place sur le dos et les mains bien à plat sur le matelas. Elle sallonge à côté delle et entame une série de caresses douces et délicates. Pendant quelle retire le gode, ses lèvres suçotent ses tétons et sa langue les lèche tour à tour. Le corps tout entier de notre belle petite suppliciée ondule doucement, le bâillon retiré ; Gladice va chercher les fines lèvres si appétissantes et sensuelles de Sophie. Je pense que le fougueux baiser quelles échangent va conclure cette belle première partie de jambes en lair du séjour de Sophie. Eh bien non !
Gladice après avoir embrassé généreusement Sophie sur la bouche, couvre maintenant tout son corps de baisers, de léchouilles et de caresses ; elle est arrivée au pubis de la belle. Ses doigts fouillent les ouvertures encore béantes du vagin et de lanus que je viens décarteler, et sa bouche ou plutôt ses dents mordillent allègrement les tout petits tétons de Sophie, puis dun geste large, elle lui ouvre grand les jambes. Elle plonge sa tête vers labricot qui nattend quun supplément de câlins et lèche le fruit tout juste mûr de notre jeune complice. Les ondulations de la jeune femme reprennent, et dun geste elle invite ma chérie à lui offrir son fruit si doux que je connais bien. Sensuit une série de gémissements dus à la gloutonnerie des succions, quelque peu bruyantes certes. Mais dont le spectacle si beau et si passionnant capte toute mon attention. Sur le moment je me demande si cette scène ne pourrait pas être incluse dans le spectacle, tellement elle est érotique et excitante.
Mais tout à coup le doute menvahit, et si elles tombaient amoureuses ? Cette idée me glace le sang. Je réfléchis et je me raisonne en me disant que cela nest impossible et que cette idée est complètement ridicule. Chassant au loin cette idée saugrenue, je continue à les observer. Le temps de refaire surface et elles se broutent le minou, en position du 69 et la tête enfouie dans lentrejambe de lune et de lautre ; elles se font lamour ! Le plus simplement du monde. Assister à ce genre de spectacle est extrêmement excitant pour moi et je savoure avec un immense plaisir ce moment. Quand elles ont terminé, cest avec ravissement que je reçois les compliments de Sophie.
Vous êtes des amours, je noublierai jamais cette journée ; vous rendez-vous compte que jai eu cinq orgasmes depuis ce matin ? Cela ne métait jamais arrivé ! Je vous aime !
Toi aussi, tu nes pas mal et je pense quon va bien samuser tous les trois ! Nest-ce pas chéri ?
Tu as raison, elle est sublime cette petite et je pense que les spectacles vont être particulièrement jouissifs !
Alors, nous allons les faire ces pièces ?
Oui, ma belle et nous allons demander à Jelila que tu habites ici avec nous !
Vous pensez quelle sera daccord ?
Ne tinquiète pas, je vais moccuper de ça personnellement ! conclut Gladice.
Merci, cest trop cool !
Bien ! Et si on mangeait car tout ceci ma donné faim ! mexclamé-je.
Oui et moi aussi ! Dites, on pourra recommencer après ?
Mais dis-moi, tu es une sacrée gourmande ; tu vas finir par user la queue dIssam !
Pas de danger ! je répliqueCest inusable !
Ça ! Cest bien un mec ! répond ma Chérie en en éclatant de rire qui devient rapidement communicatif.
Nous nous rendons dans la cuisine et ce soir, cest « frigo ouvert », chacun mange ce dont il a envie et cest bien plus facile et surtout pas de cuisine à faire !
Alors Sophie, cette petite surprise, tu las trouvée comment ?
Géniale, sauf que je nai plus rien à me mettre pour rentrer chez moi ; je vais être obligée de mettre le costume pour la pièce.
Certainement pas, les tenues de scène ne doivent être utilisées uniquement pour jouer ! informe Gladice.
Mais vous nallez pas me laisser rentrer toute nue, cest une blague ?
Pas du tout, nous te raccompagnerons en voiture ; tu tapercevras rapidement que traverser tout Paris nue en voiture, cest super-excitant.
Alors tu le feras aussi !
Si tu veux, moi cela ne me pose pas de problèmes ; jadore mexhiber ! Pas vrai Chéri, et tu nous conduiras pendant que nous ferons lamour ; ça te va ma belle ?
Oh, oui ; oh, oui ! Je mouille déjà denvie
Alors caresse-toi et masturbe-toi.
Là, maintenant, devant vous tout en mangeant ?
Oui, tu peux bien nous offrir un petit spectacle ! Non ?
OK ! Daccord, je vais vous donner envie de me baiser encore !
Elle commence alors à se caresser tout le corps, et après sêtre enfilée des doigts elle sintroduit un uf dur dans le vagin. Elle le ressort, il est tapissé de mouille, elle le lèche avec gourmandise à grands coups de langue, puis elle le mange. Alors, elle se lèche les babines et ses doigts dégoulinants de mouille. Puis elle nous fixe avec un regard à la fois provocateur et qui semble chercher quelque chose, elle se lève, grimpe sur la table saisit ma bouteille de Coca vide, la place au centre de la table et sempale dessus en se caressant tout le corps. Elle gémit, couine, halète et soupire de plaisir quand son ventre vibre de bonheur.
Cette fille est vraiment une sacrée coquine !
[À suivre]