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Warda et Julie, salopes du lycée – Chapitre 2




APRÈS LEFFORT, LE RÉCONFORT

Warda est confortablement installée sur le canapé de son salon, le corps nu et les jambes écartées, auprès de moi. La tête confortablement installée sur un oreiller, elle me raconte son aventure dans les plus moindres détails depuis plusieurs minutes. Je lécoute sans dire un mot.

— Ensuite Il ma caressé la joue, me disant que javais fait un bon travail. Jai pensé à toi dailleurs, tu aurais aimé être à ma place : à genoux face à un homme, la bouche pleine de son sperme Cétait tout toi ça.

Je ne pouvais que confirmer silencieusement. Jétais jalouse de son histoire, nous fantasmions toutes les deux sur notre professeur de français depuis le début de lannée, comme sur la moitié de nos profs dailleurs. Et voilà que spontanément, elle a le droit de lui offrir une fellation

— Là il a sorti son téléphone, pour prendre des photos. Jai bien rechigné un peu, mais je navais pas vraiment le choix, alors je lai laissé faire.

Je relève ma tête pour lui demander :

— Il a pris des photos ? Tu les a vus ?

— Ne tarrête pas ! Me crie-t-elle en prenant ma tête dune main pour la rabaisser où elle était.

Car oui, ceux qui mimaginaient assise à côté delle se trompaient lourdement. Je suis actuellement par terre, devant le canapé, aussi nue quelle, en train de lui doffrir du plaisir à son coquillage rasé pendant que ses jambes souvrent à moi. Et elle ne me laisse pas minterrompre. Je reprends mon activité, encouragée par les soupirs quelle pousse entre chacune de ses phrases.

— Oui il a des photos. Une fois quil les a prises, jai dû avaler, et Oooh Continue

Elle a fermé les yeux. Ce geste et ses gémissements mindiquent quelle est proche de lorgasme. Parfait timing, son histoire aussi approche de la fin.

— Après on On sest assis sur son bureau On a regardé les pho Pho Photos Aaah Jai demandé si je pouvais en avoir une Cop Copie Mais Aaah Aaah !

Elle commence à se crisper. Jaccélère le mouvement, donnant plus dénergie à ma langue. Son intimité se réchauffe. Jadore ces moments où je sens son orgasme sur le bout de mes lèvres. Elle craque enfin, son gémissement résonne dans mes oreilles comme étant le plus beau son au monde, et le liquide qui envahit ma bouche, bien que nayant en soi pas beaucoup de goût, est un nectar divin à engloutir.

Le fait dêtre une fontaine la fait un peu complexer, mais moi je nen garde que du bonheur. Dune, elle ne peut pas tricher, je peux être certaine quaucun de ses cris nest une simulation. Et surtout, boire son plaisir à même la source est un tel bonheur pour moi !

Ses muscles se détendent à nouveau, elle pose ses bras le long du corps, gardant les yeux fermés et un sourire illustrant sa béatitude. Je me relève doucement, et vient massoir à côté delle. Elle laisse sa tête tomber sur mon épaule, menserrant le cou dun bras.

— Oh Julie Je taime

— Moi aussi mon cur.

Je lui offre un doux baiser sur le front, avant de me rapprocher de son oreille pour y chuchoter :

— Tu as ses photos finalement ?

Ouvrant la moitié dun il, elle me montre du doigt son téléphone portable posé en évidence sur la table basse. Je me lève promptement pour le ramasser, puis reviens rapidement à ses côtés. Elle repose sa tête à sa place, et sous nos quatre yeux, jouvre la première photo. Lorsque je la vois, Je narrive pas à retenir un murmure :

— Espèce de salope

Elle a bien entendu, mais ne réagit pas, se contentant de regarder sur mon épaule les photos que je fais défiler les unes après les autres. Jamais je ne lavais vu accepter de garder de la semence masculine en bouche suffisamment longtemps pour prendre une photo.

— Tu tes offerte à ce type plus quà nimporte quel homme Tout ça parce quil ta menacé Lenfoiré

Elle me met une pichenette sur le menton. Elle na jamais aimé me voir jalouse de qui que ce soit.

— Oh, ne ten fais pas ça nétait pas si désagréable, il ne ma même pas demandé de me déshabiller. Et pourtant, je naurais pas hésité. Et puis tu sais que je navais pas le choix : si mes parents apprennent pour nous, ils me renieraient, mexpulseraient de la maison et découperaient ma tête de toutes les photos de famille.

Je me retiens de pouffer, cest assez ironique de la voir dire ça après avoir jouie dans le salon de sa famille. Mais bon, il est vrai que moi la première, je préfère que nous venions faire ça ici plutôt que chez moi. Non que ce soit moins loin, mais plutôt que ses deux parents rentrent tard et quelle na quune sur pour fratrie. Moi jai deux chiens, à domicile en permanence, et trois grands frères, pratiquement toujours chez moi avant moi. Cétait plus compliqué de caller un rendez-vous tranquille.

— Mais ne ten fais pas, reprend-elle. Je vois bien que toute cette histoire ta excitée, je vais moccuper de toi

Elle pose doucement lune de ses mains sur le duvet blond situé juste au-dessus de mon sexe. Je frémis, nous imaginant un moment échangeant les rôles. Je pourrais alors à nouveau sentir sa langue si douce, sans doute en pensant très fort à elle suçant avec talent monsieur Ferrand. En temps normal, cest sans doute ce que jaurais fait, mais pas aujourdhui. A contrecur, je prends sa main baladeuse avec la mienne, la reposant un peu plus loin.

— Désolée Warda, pas aujourdhui. Je pense que je vais tenter de rester assez frustrée pour demain.

Je nai même pas besoin de lire son regard pour le deviner : elle est en linstant à la fois surprise et déçue par ma réponse. Il était rare que je refuse une douceur de sa part.

— Pourquoi ? Ne me dis pas que tu ne veux pas un moment de détente avec moi Juste à cause de ces photos ? Depuis quand me voir moffrir à un homme te priverais de ton désir pour moi ? Je ny crois pas une seule seconde.

Afin de lui prouver à quel point elle a raison, je me retourne vers elle et lembrasse langoureusement, passant lune de mes mains à travers ses cheveux démêlés et lautre sur son torse, profitant du relief de ses deux tétons bruns encore durcis par ma présence. Après une demi-minute de baiser, je brise le lien et mexplique :

— Là nest pas le problème. Jaimerais faire quelque chose demain Une surprise Je préfèrerais me garder pour ce moment.

— Demain ? Demain vendredi On na pas français pourtant, je ne vais pas revoir Ferrand Quest-ce que tu mijotes encore ?

— Une surprise jai dit. Mais tu comprendras demain, promis.

Elle ninsiste plus, laissant son corps avachi à moitié sur le mien. Je profite davoir le téléphone en main pour regarder lheure : 18 heures déjà !

— Désolé Warda Ton nouvel amant nous a assez retardé, je pense que je vais rentrer.

— Oh non ! Soupire-t-elle dans mes bras, reste encore un peu. Ma sur ne rentre quà 8 heures.

— Mais si je rentre trop tard, mes frères vont finir par se douter de quelque chose Lexcuse de « je reste à lécole pour réviser » me permet de justifier une heure de retard, mais ils ne vont pas simaginer que jy reste jusquà 8 heures du soir.

— Soit

Elle se force à se relever, ramassant ses vêtements posés au sol quelques mètres plus loin pour se rhabiller. Je ne la quitte pas des yeux, profitants dune dernière vue sur ses sublimes courbes avant que sa jupe ne remonte à ses fesses. Une fois que je ne peux plus rien voir, je me lève à mon tour pour limiter.

— Dit, ça ne te dérange pas si je fais une copie de tes photos ? Je nen ai aucune ou tu as du foutre dans la bouche.

— Pour qui crois-tu que je les ai demandés ?

Avant de partir, je la prend une dernière fois dans mes bras, sentant son cur battre contre ma peau. Elle profite de sa plus petite taille pour poser sa tête sur mes seins, et moi de mon bras long pour glisser ma main sur son fessier. Il est bombé mais pas trop gros, attirant toujours tous les regards quil y avait derrière lui lorsquelle marchait dans la rue. Je ne résiste pas à lenvie de malaxer lune de ses fesses, testant une fois de plus leur robustesse.

— Mh, ce cul Toujours aussi dur que le roc

— Eh bien frappe-le. Je sais que tu adores ça.

Je ne peux le nier. Mettre sa solidité à lépreuve et entendre Warda crier sur le coup a toujours été lun de mes plus grands fantasmes. Aussi, profitant de cette autorisation, je lève le bras qui descendait le long du corps aussi haut que je peux, attendant alors quelques secondes, le regard fixé sur son visage, impatiente de voir sa réaction. Et je frappe un coup sec sur sa jupe.

Le bruit du claquement retentissant mexcite presque autant que le cri mêlé de stupeur, de douleur et de plaisir que Warda a poussé en sursautant dans mes bras. Je pourrais aisément recommencer ainsi plusieurs fois, si la dureté de ce que je viens de frapper navait pas fait mal à ma main au point de la rougir. Elle se blottit contre moi, murmurant dun ton à peine audible :

— Salope

— Moi aussi je taime.

Après un dernier baiser, je rentre chez moi, où comme prévu mes frères mattendaient mais ne font pas dhistoire en me voyant rentrer si tard. Le reste de la soirée se passe sans détails. Jai tout de même du mal à mendormir, ayant de la difficulté à ne pas me masturber en vue de ce que je projetais de faire.

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