Depuis que je suis étudiant, j’ai toujours été fou de Chantal, longs cheveux blonds, des formes là où il faut.
J’aime son bassin assez large, ses seins bien accrochés.
L’idée de la prendre en levrette, a souvent inspiré mes plaisirs solitaires.
Jamais une occasion en dix ans.
Ce n’est que lors d’un congrès récemment à Paris que j’ai pu l’approcher.
Mariée à André, deux enfants, le femme mûre de 35 ans, directe et sachant ce qu’elle veut.
Nous étions le dernier jour, bien habillés, soirée de clôture oblige.
Elle, ultra chic dans un tailleur blanc, jupe mettant bien son bassin de femme épanouie en valeur, une veste bien cintrée épousant sa taille mince, chemisier rehaussé d’un carré Hermes, un parfum d’enfer.
A table, assise à côté de moi, je suis sous le charme, on boit assez bien, les bouteilles succèdent les unes aux autres.
Nous sommes nombreux de la même promotion 2003.
L’ambiance est chaleureuse, nous sommes tous bien, les heures passent.
Les tables débarrassées, la soirée dansante bat son plein.
Chantal danse avec tous, elle est radieuse, elle ne refuse pas un verre et ce qui devait arriver arriva, soudain se sentant dépassée, elle demande mon aide, elle me demande de la raccompagner dans sa chambre, elle ne se sent pas bien, elle a trop bu.
Dan l’ascenseur, elle s’appuie sur moi, elle me demande de ne pas la laisser seule.
Dans sa chambre, elle s’écroule en une fois sur le lit. Je n’ose la laisser seule. Elle est si belle ainsi vautrée en quinconce au travers du lit.
Sa jupe relevée assez haut, j’ai une vue sur ses jambes gaînées de bas auto-portants, et mieux dans un mouvement de retournement, son bassin moulé par un slip blanc n’a plus de secret , mes fantasmes d’avant renaissent.
Que faire, la mettre au lit, la laisser habillée, la déshabiller, je ne sais.
Je suis assis dans le fauteuil, le regard figé sur cette créature de rêve. Son bassin est bandant, large comme j’aime et bien enveloppé par un slip épousant les moindres détails.
Je bande ferme, l’envie de la posséder est forte, je n’ose pas. Je regarde, je m’imagine un scénario torride, j’imagine la baiser en levrette comme dans mes fantasmes, je m’imagine en elle, la limant. Elle ne bouge pas, elle m’a demandé de ne pas la laisser seule. J’observe la chambre, le désordre de la femme qui s’est préparée pour la soirée. Ici un pantalon , là un soutien gorges et un slip traînent. Je saisis le slip, celui porté toute la journée, il sent, j’hume ses odeurs intimes , je bande à mort. Il m’en faut plus, je me décide, je vais la déshabiller et lui mettre sa robe de nuit posée sur l’oreiller.
J’enlève la veste, puis la jupe, elle est magnifique, je déboutonne son chemisier et là en bustier, sa poitrine fièrement dressée me subjugue. Je la retourne et c’est au tour du slip et du bustier de disparaître. Elle dort profondément, elle est vraiment loin, ne restent que les auto-portants qui glissent me la livrant nue. Quel spectacle, c’est vraiment une femme superbe. Elle sent vraiment bon, je m’imprègne de son odeur, je lui caresse le corps, les seins, les cuisses, aucune réaction. Je n’ose pas aller plus loin. Je lui passe sa robe de nuit, tout en soie, blanche.On dirait un ange.
J’ouvre le lit et je la positionne, elle est mon idéal de femme.
N’osant la laisser seule, je me déshabille t en slip, je me mets aussi dans le lit.
Je m’endors vite, plein de pensées lubriques dans l’esprit.
Au milieu de la nuit, je me réveille collée à Chantal, mon sexe pointant sur son derrière, elle parle, elle me prend pour son époux, elle me dit André, laisse moi ou prend moi vite que je puisse dormir. Je n’en crois pas mes oreilles, j’ôte mon slip, et elle de son côté relève sa nuisette, relevant une jambe pour me permettre de la pénétrer. Je ne me fais pas prier, je m’enfonce en elle doucement, le rêve, je saisis par la même occasion dans ma main un de ses seins que j’agace doucement, elle me dit de faire vite, qu’elle a sommeil, je la lime à grands coups, elle me dit qu’elle sent que j’ai une grosse envie toujours dans un demi sommeil. Soudain elle jouit comme une folle, ce qui déclenche mon éjaculation en jets puissants en elle, elle retombe dans son sommeil. Je ne sais que faire, elle va se réveiller et sentir son vagin tout poisseux, elle va me demander ce que je fais là, elle va peut être croire que j’ai profité de la situation pour abuser d’elle. Je ne suis pas tranquille.
Le matin, elle se réveille, elle n’a pas de souvenir de la soirée, elle est surprise, elle me réveille, elle me demande ce qu’on a fait, elle m’avoue qu’elle a souvent fantasmé sur moi, qu’elle n’a jamais osé m’apostropher. Elle est consciente d’avoir trompé son mari.
Elle est sublîme, je la prends dans les bras, on s’embrasse, folie passagère me dit-elle, je la désire encore, la savoir consentante décuple mon excitation, je lui dis vouloir la prendre en levrette, elle me dit que c’est sa position préférée parce qu’elle sent beaucoup plus la pénétration, j’y mets toute mon énergie, j’ai son cul en pleine vue, je peux prendre ses seins en pleine mains, je sens qu’elle ne va pas savoir tenir longtemps avec ce traitement, elle perd son souffle, je sens que l’explosion en elle est proche, elle jouit, je l’inonde abondamment. Nous nous enlaçons et nous embrassons nous confiant avoir jouis comme jamais depuis longtemps.
Nous sommes amants depuis 5 ans et à chaque fois c’est l’extase sexuelle.
J’aime pénétrer cette femme, son bassin est fait pour moi.