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Festayre d'une nuit – Chapitre 1




En ces beaux jours qui reviennent, il me vient l’envie de vous raconter les péripéties d’une soirée festive follement débridée que j’ai vécue il y a trois ans environs.

Je voulais rompre la monotonie de mes sorties du soir. Je ne suis pas très friande des ambiances sans excentricité, sans folie, trop conventionnelles. Pour changer de milieu, j’avais décidé d’accepter de me rendre dans une des ferias très célèbres en Aquitaine. Plusieurs hommes m’avaient invité pour l’occasion. Comme convenu. Je me suis présentée en début de soirée, nue, sous une courte – et fluide – robe blanche à fines bretelles. Un foulard rouge complétait ma tenue. La chaleur accumulée dans le sol par cette journée d’été, remontait du bitume. Dans la foule amassée, l’atmosphère était suffocante. Il faisait très chaud. Après avoir fait le tour de quelques buvettes, je dégoulinais de sueur. Ma robe blanche collait au corps moite et même humide en maints endroits. Elle laissait deviner par transparence, plusieurs parties intimes de mon anatomie.

À la nuit tombée, nous étions tous totalement éméchés. Avec nos amis, nous nous retrouvâmes scotchés au comptoir d’une bodega. Il y avait tellement de monde que nous étions collés les uns aux autres. Dans la pénombre, je sentais des mains courir sur mon corps. Je me laissais faire : c’était tellement agréable ! En me servant à boire, un inconnu renversa un verre de bière sur ma poitrine. Je sentais le liquide froid couler entre les seins, sur le ventre et les jambes. Des mains qui suivaient les méandres du liquide sur mon corps, pétrirent ma poitrine ; d’autres, plus hardies, passèrent sous ma robe et s’insinuèrent entre mes cuisses trempées. Je ne pouvais plus me contrôler. Mon bassin ondulait et partait à la rencontre de ces doigts osés qui fouillaient mon sexe. Ainsi, ma robe remontée sur les hanches et les seins à l’air, je m’offrais aux plaisirs des hommes qui m’entouraient.

Dans la cohue, lorsque l’on m’obligea à m’agenouiller dans la sciure qui jonchait le sol poisseux, personne ne s’aperçut de ce que je faisais : je suçais plusieurs verges en érection qui s’offraient à moi, d’autres en profitèrent pour me pisser dessus. Je fus douchée copieusement par tous ces hommes. Le sperme et l’urine mêlés à la bière coulaient sur mon visage et ruisselaient le long de mon buste.

Une fois à l’extérieur de la bodega, j’étais totalement ivre, ma robe était méconnaissable, le tissu distendu au niveau de la poitrine, laissait apparaître mes seins.

La nuit était bien avancée et l’orage qui menaçait depuis une bonne partie de l’après-midi choisit ce moment pour éclater, une pluie diluvienne se mit à tomber. C’était très agréable l’eau était tiède et coulait agréablement sur mon corps surchauffé. Le tissu trempé collait parfaitement à ma peau et attirait la convoitise et l’attention de nombreux hommes.

Alors que je passais à côté d’un square, ils m’allongèrent dans l’herbe humide et boueuse pour me prendre virilement à tour de rôle. Je ne sais combien se vidèrent sur moi ce soir-là.

À mon grand étonnement, je me réveillais au petit matin, totalement nue dans mon véhicule. J’étais dans un état de plénitude total. Je n’avais pas conscience de ma folle nuit. Des souvenirs plus ou moins flous me revenaient par intermittence, mon corps ainsi que mes cheveux étaient couverts de boue maculée de traînées de sperme et d’urine séchés. Je vous laisse imaginer dans quel état j’étais !

Pour la petite histoire, je n’ai jamais retrouvé ma jolie robe blanche : elle avait disparu pendant la nuit !

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