J’avais envie de m’évader ce week-end, après la semaine que javais subie. Avec un ami on avait décidé d’aller en boîte. Je me préparais. J’étais habillé simplement mais en mettant en valeur mes atouts. Un haut noir de marque, légèrement moulant pour mettre en valeur mes abdos et un pantalon noir avec des baskets bordeaux. J’avais un peu taillé ma barbe, rafraîchi ma coupe et voilà j’étais super.
Je rejoignis mon pote Wilfried en boîte. Il était habillé avec un haut basic et un jean, simple mais efficace. Notre objectif, nous amuser, rencontrer le plus de belles femmes et si possible baiser. Il était 23 h 30 quand on arrivait dans la boîte. Il y avait déjà pas mal de monde à lintérieur. Il y avait beaucoup de potentiels dans cette boîte. J’avais remarqué un groupe de femmes qui dansaient sur la piste. Elles étaient toutes superbes avec un corps magnifique. Mais une d’entre elles m’avait plus marqué.
Elle était noire avec un bel afro, et des courbes très accentuées. Elle portait un mini croc top rouge, moulant parfaitement son énorme poitrine qui cherchait à s’évader pour mon plus grand bonheur, et une jupe taille haute moulante rouge également qui mettait bien en valeur ses fesses qui étaient en accord avec sa poitrine.
Je ne pouvais détacher mes yeux d’elle. Sa façon de bouger, son corps qui ondulait au rythme de la musique, me donna un début d’érection. Wilfried l’avait remarqué aussi. On commentait ardemment sa prestation. A force de la fixer, j’avais l’impression qu’elle ressentait nos regards posés sur elle. Elle finit par nous voir la mâter, mais se retourna comme si de rien était et continua de plus belle à onduler ses hanches. Elle se retournait de temps en temps pour s’assurer qu’on ne perdait rien du spectacle qu’elle nous offrait. Le DJ mit des sons américains, qui la firent commencer un magnifique twerk. On voyait ses fesses bouger dans tous les sens de hauts en bas, et elle arrivait à faire de beaux blocages. Ah ouais elle doit baiser comme une malade. Un homme se rapprocha d’elle par-derrière et elle le fit profiter du balancement de ses hanches et de ses fesses. Le gars commença à exprimer sa joie quand sa robe remonta et laissa voir ses fesses. Je pus apercevoir son beau cul à peine quelques secondes, qu’elle cacha aussitôt. Le gars insista pour qu’elle continue, mais elle refusa le trouvant trop insistant. Je me précipitai pour l’aider et repoussai le gars. Il voulut répliquer, mais il savait qu’il n’aurait eu aucune chance face à Wilfried et moi.
Elle nous remercia et se mit à rire. Plutôt bizarre comme réaction. Elle se rapprocha et nous dit :
— Il fallait ça pour que vous vous décidiez à me rejoindre, finit-elle par nous lancer.
De près, elle était encore plus belle. J’avais une vue imprenable sur son décolleté. J’avais l’impression qu’elle avait jeté son dévolu sur moi. Elle me regardait droit dans les yeux, tout en bougeant son corps. Nos corps se rapprochèrent pour commencer à danser un bon zouk. Le meilleur moyen de pouvoir se toucher sensuellement. Je dirigeais la danse, elle arrivait à me suivre sans problème. On bougeait nos hanches au rythme de ce bon zouk et mes coups de reins la firent gémir tout doucement. Un son presque inaudible mais sa bouche est si proche de mon oreille que j’ai pu l’entendre. Je la serrai fort contre moi. Je sentis les mouvements de sa poitrine contre moi. Ma main était bien plaquée sur son dos, mais je ne pus m’empêcher d’en faire descendre une, tout doucement vers ses fesses. Elles étaient bien fermes, bien galbées. Elle me laissa faire, sans rien dire. Je la serrai de plus en plus fort, nos corps se frottèrent et bien sûr ce qui arriva, arriva. Je bandais comme un chien à la sensation de ses courbes voluptueuses. Je suis sûr qu’elle avait senti mon érection grandissante. Elle continuait à me chauffer. Elle finit par me diriger vers un mur au fond de la boîte ce qui ne me dérangea nullement. On était quasiment caché de tous. Elle frotta son beau cul sur mon membre qui était encore bien couvert par mon pantalon. C’est à ce moment que le DJ mit de la dance hall.
Qu’est-ce qu’il me fait ?
J’étais déjà presque mort et là c’est sûr je ne pourrai plus tenir. Elle me fit un twerk privé. J’avais une vue d’ensemble sur ses fesses. A chaque mouvement de rein, sa robe remonta et ne couvrait plus ses fesses. La seule chose qui habillait son derrière était une bande noire qui passait entre ses deux pommes de fesses.
Elle ne fit pas redescendre sa robe cette fois-ci.
Je sentais qu’elle me voulait. Et sincèrement inutile de dire que moi aussi. Je fis descendre légèrement pantalon, laissant mon boxer plus visible, avec une belle bosse s’y dessinant. Je la pris par la hanche et plaquai son beau cul, contre mon membre. La sensation était exquise. Elle me tuait en faisant ça et elle le savait. Je mis une de mes mains sur son haut que je baissais, pour pouvoir libérer sa poitrine. Elle ne m’en empêchait pas non plus.
Les autres ne faisaient pas attention à nous. On était bien caché, il faut dire. Cela était excitant de se dire que quelqu’un pouvait nous voir à tout moment. Au loin, je vis Wilfried. Il avait l’air de me chercher. Il finit par me voir, et n’en crut pas ses yeux. Il nous fixa hébété.
Mes mains jonglaient entre ses gros seins, je prenais un plaisir à la peloter et à titiller ses tétons. Elle prit plaisir à recevoir et ses hanches qui continuaient leur travail merveilleusement. Je ne pouvais plus tenir. Je fis sortir ma queue et le passai entre ses fesses. Elles étaient douces. Elle se pencha encore plus, me donnant l’autorisation de la pénétrer. Je n’hésitais pas longtemps. Ma queue disparut en elle, puis réapparut, disparut à nouveau etc…
Sa chatte était chaude et bien humide. Je voulais la sentir plus, je n’étais pas assez profond en elle. Je voulais la baiser. Il y avait un canapé là où on était. Je la plaque dessus et me fis enfin un plaisir de la défoncer. Elle se mit à gémir, mais heureusement la musique étouffait ses cris. Elle m’offrait son cul, comme pour me dire « encore ». Je pris mon pied à la baiser, malgré tous les gens qui nous entouraient. Elle m’avait tellement travaillé au corps, que j’avais déjà envie de jouir. C’était tellement bon, putain. J’en voulais encore et je savais qu’elle aussi. Mais je ne pouvais plus tenir. Je sortis en elle et fourrai ma queue dans sa bouche, qu’elle dégusta avec plaisir. Sa langue sur mon membre et ses va-et-vient me firent exploser. Sa bouche fut remplie de ma substance, qui dégoulinait sur sa poitrine. Elle avala tout. La petite garce.
Je fis entrer ma queue dans mon boxer qui était épuisée après tant d’émotion. Elle se rhabilla aussi, et enleva le reste de sperme sur sa poitrine qu’elle mit dans sa bouche.
On ressortit de notre petit coin, comme si de rien était. Personne ne soupçonnait quelque chose, sauf mon pote Wilfried. Il était dégoûté, car il avait vu une partie de nos ébats.
Quelle soirée de fou. Je m’en souviendrai longtemps de cette belle baise.