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Lourdes couches – Chapitre 1




Voilà deux ans que je vis avec Hélène, ma compagne. Alors que je passe la journée et parfois mes nuits dans mon cabinet médical, mademoiselle traîne à la maison. Mes revenus de jeune médecin suffisent à assurer le bonheur de notre couple, alors pourquoi faire des efforts ? Du moins, c’est ce qu’Hélène pense souvent à haute voix.

En deux ans, elle a pris 8 kilos. Elle qui était déjà bien en chair est devenue une vraie petite caille. Des seins conséquents (95 D) et un ventre à la Botticelli, sans compter un cul de jument, ferme et volumineux à la fois. D’un naturel plutôt calme, Hélène n’a jamais fait preuve de beaucoup de caractère, en un mot, c’est une soumise.

Devant tant de passivité, il m’est venu l’idée de la dominer. Pas pour en faire une esclave, non, quelque chose de plus subtil, quelque chose qui lui rappellerai tout le temps qu’elle est ma chose. Pour cela, j’ai décidé de la rendre incontinente. Ne pas pouvoir se retenir de chier ou de pisser, se sentir impuissante quand l’urine s’accumule dans la vessie, salir ses culottes sans aucune alternative… Autant de moyen d’imposer une soumission totale. Hélène était déjà adepte de la sodomie et des lavements de fort volume (jusqu’à 3 litres d’eau tiède). Mais jamais je ne l’avais obligé à porter une couche.

Le grand soir était enfin arrivé. Je commence par une sodomie bien profonde, Hélène se masturbe en même temps et me précède légèrement sur la route de l’orgasme. Bien allongée sur le lit, je lui écarte les jambes et applique sur son anus une crème contenant un puissant décontractant musculaire (l’anus est un muscle après tout !). Elle sent une chaleur s’emparer de son cul et tout de suite après, a l’impression de s’ouvrir "en grand". C’est un effet surtout psychologique mais le butt plug que je lui enfonce dans le cul ne l’est pas ! Ajoutons que je l’ai attaché aux quatre montants du lit par de solides bandeaux de velours.

J’ai fait l’achat d’un coffret complet de dilatation anale. Il se compose de douze butt plugs qui vont de 1 à 12 centimètres de diamètre avec des écarts variables. En voyant la collection complète, LN m’interroge, elle ne conçoit pas que ces énormes plugs puissent être accueillis dans un anus humain. Pourtant, elle hébergera en son fondement même le plus démesuré… A ce moment, elle comprend qu’il ne s’agit pas simplement d’un gadget. Je lui explique mon projet : lui dilater démesurément l’anus pour la rendre incontinente. Et lui faire porter en permanence un cathéter dans l’urètre pour qu’elle perde tout pouvoir sur sa vessie. En prenant conscience de toute l’horreur de mon projet, elle se met à pleurer et à me supplier de ne pas continuer. Je reste inflexible. Je lui annonce qu’elle gardera le plug N 2 toute la nuit et le lendemain dans la journée aussi. Cela ne lui semble pas impossible mais je sais que la crème dont son anus est badigeonné favorise ces prises de bonnes intentions. Après avoir désinfecté sa chatte et lubrifié généreusement son urètre, jintroduis prestement une sonde munie d’un petit ballonnet. En quelques centimètres, la sonde a pénétré la vessie et de l’urine s’écoule, heureusement arrêtée par le robinet d’arrêt. Je gonfle le ballonnet d’arrêt de telle façon que la sonde ne puisse pas sortir sans mon intervention. Il lui est bien entendu interdit de toucher au robinet. Je montre à LN comment je peux jouer avec son flux urinaire. Que j’ouvre le robinet et elle se vide devant moi. Que je le ferme trop longtemps, elle vient assez rapidement gémir dans mon bureau pour que je fasse littéralement baisser la pression.

Du côté pile, après deux semaines, nous en sommes au butt plug N 3. C’est assez pour qu’elle ne puisse plus retenir ses vents. Un sillage nauséabond subsiste dans son passage. Heureusement que c’est une femme d’intérieur… Avec l’aide de crème et de lubrifiant, je compte passer au-delà du N 3. Je sais qu’à ce niveau, son anus sera très distendu et ne retiendra plus grand chose. LN pleure de plus en plus souvent. Le soir, en rentrant du cabinet, je l’oblige à se prosterner nue devant moi, en levrette et à retirer elle-même le plug de son l’anus pour que je puisse juger du degré de dilatation qu’elle a atteint.

Chaque matin, son anus avait encore perdu de son élasticité et après le n 4, il était incapable de se refermer normalement.

Je l’entends encore pleurer quand nous sommes arrivé au n 5. Malgré ses gémissements puis ses pleurs, ses supplications lorsqu’elle s’est rendue compte que son anus était devenu trop lâche pour lui éviter de salir sa petite culotte et retenir ses vents…J’ai alors décidé de l’obliger à porter des couches-culottes. Avant, elle devait rester nue jusqu’au repas mais elle a un soir laisser fuir les conséquences de sa dilatation anale dans la cuisine. Son trou du cul a bien changé depuis le début de mon projet. Il ressemble maintenant à une étoile brune, brillante de vaseline et toujours accueillante. Les muqueuses roses de son rectum sont visibles en lui écartant le trou du cul avec deux doigts, sans effort. De toute façon, à la maison, je l’oblige à se balader à poil le cul graissé à la vaseline. Je peux désormais lui glisser quatre doigts sans effort et je ne m’en prive pas. Elle perd progressivement tout contrôle sur son sphincter anal et en ressent une immense humiliation. Quand elle porte sa couche, j’ouvre le robinet de la sonde et elle se vide sur le champ. Lors du repas, je veille à lui faire absorber beaucoup de bière, les mictions ne tardent pas à survenir irrégulièrement sans qu’elle ne sache quand cela surviendra ni dans quelle quantité. A moins que je ne décide de la torturer un peu et à refermer le robinet deux heures de suite…Et à lui alourdir rapidement sa couche.

Arrivé au N 8, Hélène savait avec certitude qu’elle était totalement incontinente et le resterait sauf opération chirurgicale. Elle le vivait avec fatalité. Le fist-fucking à deux mains était devenu une chose tout à fait aisée. La douleur lui semblait très supportable désormais. Avec l’aide de crèmes et en prenant le temps, son anus était capable d’absorber le cul des grandes bouteilles de Perrier sans coup férir. Et la sodomie n’avait plus aucun intérêt avec un anus qui, au repos, laissait observer un trou sombre de six centimètres de diamètre. J’avais cependant acheté des simili bites de cheval dans un sex shop et je ne me privait pas de les utiliser dans ce cul monstrueusement élargi. Certains soirs, je lui retirait le plug et lui mettait immédiatement une couche. Le lendemain, la bière était au fond de sa couche et elle avait rarement le cul propre. Et le pire, c’est qu’elle n’y pouvait rien ! Mon but était de lui dilater totalement l’anus afin de l’astreindre au port quotidien d’une couche, la mission semble réussie… Sa déchéance est totale, elle a perdu tout contrôle sur son sphincter anal. Parfois, je la fait se mettre à quatre pattes avec le cul surélevé. Là, je prends une bouteille d’huile d’olive et il me suffit de lui ouvrir l’anus et de la vider dans ses intestins ! Après ça, elle est évidemment obligée de mettre une couche pour éviter de graisser ses culottes et ses pantalons…

Mais ce soir, selon ma fantaisie, elle va avoir droit à un lavement spécial. Direction la salle de bains ! Je lui accroche les poignets à une corde passée dans un anneau au plafond. Je tire jusqu’à ce qu’elle doive se hisser sur la pointe des pieds. Ainsi, elle est en extension et ne peut s’enfuir vers les WC. Le lavement qui l’attend est une véritable torture liquide : 300 ml de glycérine liquide pour 3,5 litres d’eau. Une canule classique étant bien trop fine pour son anus dilaté à l’excès, j’ai recours à un double Bard-x. C’est une canule composée de deux ballons gonflables qui rendent le plus ouvert des trous du cul totalement étanche. Et il lui faut bien ça ! J’utilise un tube de gros diamètre, ainsi, le débit est plus rapide et la pression plus forte. Totalement enduit de gel lubrifiant, son anus ne peut opposer une résistance suffisante au Bard-x. Je gonfle rapidement les deux ballonnets et ouvre en grand le robinet. Tout va bien jusqu’à un litre et demi où ses gémissements commencent à s’élever. Ils deviennent des cris à 2 litres et des halètements passé trois litres. Le lavement a du mal à se terminer mais je ne cède pas un centimètre dans mon élévation du réservoir. Là, elle chiale franchement, d’autant plus que la pression dans ses intestins rend les crampes dues à la glycérine plus intolérables encore. La glycérine liquide semble lui tarauder les boyaux. La pression de la cataracte qui déferle dans son cul lui enfle le ventre, elle se voit enceinte de 5 mois ! Elle est saisie de terribles tremblements, pour la soulager, je lui enfile une couche-culotte sans réaction de sa part. Remise sur pieds, je dégonfle tout d’un coup le Bard-x et j’entends une véritable cascade remplir la couche. Une fois vidée, je faufile ma main dans la couche et lui glisse dix suppositoires à la glycérine dans le rectum. Loin d’en avoir fini avec elle, je regonfle le Bard-x grâce aux poires en caoutchouc qui dépassent de la couche. Et voilà son cul de nouveau étanche ! Des sanglots dans la voix, elle me supplie d’arrêter mais je remplit à nouveau le bock de 3 litres d’eau chaude. Son ventre gonfle à nouveau et j’arrête la torture à 2 litres. Sa couche, déjà alourdie par le précédent lavement, se remplit encore. Une fois l’eau évacuée, les suppos font leur effet et une chiasse violente la saisit. Un filet d’eau coule doucement de la couche détrempée sur le sol…

Elle est devenu ma chose, mon trou du cul adoré… Belle déchéance !!!

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