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Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. – Chapitre 9




Chapitre 9 : Début de soirée chez Blandine

Quelques jours passent et ma petite fille sest un peu calmée car elle ma quand même avoué que ses parties intimes étaient très sensibles au touché et quelle ne pouvait même pas porter de slip pour ne pas irriter ses chairs malmenées dernièrement et notamment son trou du cul. Trois jours après, je lai quand même vu se diriger vers mon voisin Claude et je ne lai revue que 3 heures plus tard pour filer directement dans un bain chaud.

Le samedi suivant elle reçoit un coup de fil et elle vient me retrouver après.

— Papy Éric me demande si jai envie de le rejoindre ce soir à une partie que donne sa voisine. Une dénommée Blandine.

— Pourquoi pas ma puce, ça te changera les idées.

— Pas sûr, papy, Éric ma dit que ses fêtes étaient assez chaudes. Accompagne-moi, tu me serviras de chaperon. Dit-elle en souriant.

— Tes sûre ma puceJe pense que tu nas plus besoin de chaperon. Et tu auras Éric.

-Pas sur ! Il risque dêtre très occupé par le service. Et je te veux près de moi !

Et me voilà en train daccompagner ma petite-fille à une soirée qui risque de se transformer en baisodrome organisé.

Nous arrivons dans une grande propriété avec piscine et dès notre arrivée le ton est donné.

Blandine, la fameuse voisine dÉric, est allongée sur une chaise longue, toute nue sous le soleil couchant.

Quand elle nous aperçoit, elle se lève et je vois une femme magnifique venir vers moi .La quarantaine daprès Éric mais elle ne les fait pas du tout. Grande, un corps bronzé sans aucune marque et des seins ! Ça vous saute à la figure provoquant immédiatement une poussée de chaleur dans mon ventre. Probablement avec des implants mais si cest le cas, le travail du chirurgien est remarquable !

Gros, dune rondeur parfaite avec de beaux tétons qui couronnent le tout sur des aréoles de grande taille. Elle est blonde avec des reflets roux, des yeux verts et un sourire de tigresse en quête de mâle.

Et pour terminer ce tableau idyllique, elle a un petit tatouage en forme de serpent qui par du nombril pour se perdre dans une fine toison dor.

— Bonjour, vous devez être Laurine La jeune fille dont Éric me loue ses qualitésmais qui cet homme si charmant ?

— Mon Papy. Jai pensé que ça le distraira un peu de sa solitude vous ne men voulez pas de lavoir invité ?

— Pas du tout ma petite, je prendrais soin personnellement de ton papy.

Et après avoir embrassé Laurine, Blandine pose ses lèvres sur les mienne et caresse mes lèvres du bout de sa langue en guise de bonjour.

Décidément, jai bien fait daccompagner ma puce et cette Blandine me plait beaucoup.

— Par contre vous arrivez un peu tôt. Je ne suis même pas habillée. Les autres invités narriveront que vers 9 heures. En attendant venez visiter ma maison, pour ne pas vous perdre par la suite.

Lorsque nous arrivons dans sa chambre pleine de miroirs, elle regarde Laurine et lui dit.

-Déshabilles-toi ! Jai une robe qui devrait taller parfaitement pour cette soirée.

Sans poser de question ma petite fille se fout à poil devant Blandine et moi. Blandine, après lavoir détaillé de la tête au pied, se retourne et me dit.

— Elle est magnifique votre petite fille ! Un corps de jeune fille avec de beaux seins et des fesses à croquer et avec un visage dangeune superbe nymphette à croquer. Vous êtes chanceuxmonsieur Heeeuuuuuuu…

— Daniel. Appelez-moi Daniel.

— Je suppose que vous prenez grand soin delle que vous la couvez damour en bon papy

Cest Laurine qui répond.

— Oui, madame. Il est trèstrès proche de moi et il fait tout pour me faire plaisir.

— Ah, oui Tout ce que vous lui demandez

— Oui, absolument tout ! Même les choses les plus inavouables

— Ooooohhhh, je voisalors vous avez bien fait darriver en avance. Il faut que je vérifie vos allégations.

Elle vient vers moi et sa main derrière mon cou, et son autre main qui caresse ma queue déjà bien dure, elle me glisse dans loreille.

— Montrez-moi vos talents, cher Daniel. A poil, vite !

Il ne faut pas me le demander deux fois. 2 temps et 3 mouvements et je suis aussi nu quelles.

— Papy ! Tu nas pas honte ! Devant ta petite fille ! crie Laurine.

Qui se précipite vers moi, me prend dans ses bras, et me fait pivoter pour ne présenter que mon cul à notre charmante hôtesse.

— Éric à raison. Elle est belle et adorable votre petite fille.

Dit Blandine en venant derrière moi pour me prendre en sandwich entre elle et Laurine et attraper ma queue dans sa main alors que Laurine est déjà en train de caresser mes couilles.

— HuuummmLaurineton papy me plait beaucoup.

Dit elle en caressant ma bite de bas en haut comme pour en prendre la mesure.

— Jai en main une belle bite, bien droite et bien dure

— Et moi jai dans la mienne de belles boules bien pleine ajoute Laurine.

Je suis coincé par deux perverses !

— Je crois bien quil faut que lon soccupe de lui. Quand penses-tu, jeune fille

— Si sa queue est bien dure elle doit lui faire mal. Il faut peut-être le soulager.

— Et si ses couilles sont engorgéesil faudrait les vider

— Oui mais quoi faire

— Moi je goûterais bien, dit Blandine. Allongez-vous sur le lit, Daniel. Votre petite-fille et moi allons vous soulager.

Elles mentraînent et me poussent sur le lit et Blandine se penche sur moi pour faire glisser sa langue sur toute la longueur de ma queue.

Je ne peux mempêcher de gémir et heureusement que Laurine ma taillé une pipe peu de temps avant de venir, car ces deux garces lubriques mauraient déjà fait jouir.

— Il me semble quil aime ça. Dit Blandine et ajoute.

— Que pouvons-nous faire dautre ?

— Nous allons le sucer toutes les deux. Répond Laurine.

Et les voilà qui commencent à lécher ma queue avec leurs langues, partant du bas pour finir sur mon gland et joindre leurs lèvres pour embrasser le bout de ma bite entre elles. Puis elles recommencent et quand une soccupe de mes couilles, lautre avale ma bite le plus loin quelle peut. Je maperçois que Blandine est une experte de la fellation. Elle a une langue de serpent qui tourne autour de ma queue dans sa bouche. Si cétait un concours de pipe je ne saurais laquelle choisir.

Mais à ce petit jeu je ne tiens pas longtemps et je crie que je vais jouir.

Ma petite fille qui mavait en bouche se retire vivement et dit.

— A vous lhonneur Madame

Elle mavale au même moment ou mes premières giclées de sperme fusent de ma bite et vont directement dans sa gorge. Je me finis sur sa langue et dans sa bouche.

— Huuuuummm, Laurine, ton papy est délicieux. Un vrai régal. Tu devrais goûter.

— Oh, mais je le sais très bien. Juste avant de venir jai pris un acompte !

Et Blandine lâchant ma bite quelle nettoyait consciencieusement.

— Tu es une sacrée coquine, Laurine. On va bien sentendre toutes les deux.

Et Laurine, apercevant une minuscule goutte de sperme perler au bout de mon gland, la recueille du bout de sa langue et fait mine de la déguster.

— Un vrai nectar. Je ne peux dailleurs plus men passer !

— Non de dieu ! Mesdames, vous êtes des putains de suceuses ! Je nai pas tenu très longtemps. J’ai besoin de quelques minutes pour récupérer.

— Bien sûr, Daniel, reprends des forces. En attendant je vais moccuper de ta petite fille espiègle.

— Faites donc chère madame. Je vous regarde.

Blandine attire vers elle le visage de ma petite-fille et posant sa bouche sur ses lèvres en insérant sa langue entre les lèvres roses de Laurine, elle lembrasse longuement en jouant avec douceur avec ses lèvres et sa langue. Laurine lenveloppe de ses bras et la tire contre elle.

Je laisse Laurine vous raconter la suite.

Ses tétons durs, gros et très longs se plantent sur mes seins et cette seule sensation de chair chaude pressée contre la mienne fait chanceler mon esprit. Son baiser devient plus chaud et passionné et sa langue fouille ma bouche et martyrise ma langue. Je glisse mes mains vers le bas de son dos et je caresse la chair chaude de ses fesses tendues. Blandine geint doucement quand je passe une de mes cuisses entre ses jambes et que je frotte sa chatte humide. Nous restons comme ça un certain temps à nous embrasser, nos corps pressés lun contre lautre, perdu dans le plaisir de sa chair nue contre la mienne.

Quand elle lâche ma bouche elle dit.

— Whaou ! Cest sublime ! Ça fait un moment que je nai pas embrasser une femme et javais oublié combien cest bon et doux.

Blandine caresse mes seins et jajoute.

— Allonge-toi sur le lit. Je vais te montrer que je ne suis plus une petite fille.

Je magenouille au-dessus d’elle avec mes mains qui tiennent ses bras au-dessus de sa tête et mes jambes chevauchant une de ses jambes. Je picore ses lèvres de tendres baisers puis cest son visage, ses oreilles et son cou avant de moccuper de ses seins incroyablement fermes. Ma langue tourne autour de l’aréole avant de donner une pichenette sur son téton toujours dur. Blandine gémit quand jaugmente la vitesse et la pression de ma langue sur cette pointe sensible alors je fais pareil avec le sein droit tout en pinçant entre mes doigts le téton gauche.

Puis jembrasse et je lèche son corps en descendant doucement, je mattarde sur son nombril puis je file vers ses cuisses. A genoux entre ses jambes, jécarte bien ses cuisses pour embrasser lintérieur de ses cuisses à la peau si fine et si douce, en mapprochant, à chaque baiser, plus près de sa chatte.

Ses lèvres de chatte sont brillantes de jus. J’embrasse doucement ses lèvres humides et je glisse ma langue dans les plis de sa chatte plus chaude que son corps. Je tournicote ma langue et ma bouche partout dans sa chatte, partout sauf sur son clitoris. Je ne veux pas quelle jouisse tout de suite.

Je mouille un de mes doigts en le plongeant dans sa chatte et Blandine gémit quand je caresse lentrée de sa grotte damour avec. Lorsque jappuie sur un point sensible, elle crie de plaisir. Maintenant je peux décapuchonner son clito avec le bout de ma langue, comme me la si bien appris ma copine Bella. Dès que je stimule cet autre point sensible, Blandine sursaute comme si elle prenait une décharge électrique. Je grignote son clito tout en faisant aller mon doigts dans sa chatte et en gémissant elle plaque ma tête dans son entre cuisse.

— Ouiiiii, encore ! Continue.OOOOOooohhhhh Tu es douée petite !

Et elle jouit en me traitant de petite salope !

A suivre

Phantome

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